Le Punisseur - Chapitre 1 - Ingrid

Je savais bien que lorsqu'on a un job comme le mien, il faut à tout prix éviter de tomber amoureux. Et ce Pour deux raisons évidentes, la première et tous les patrons vous le confirmeront ,c'est qu' on est moins efficace au travail quand on débute une histoire amoureuse, et la seconde, c'est qu'on s'attache à l'être aimé et dans mon boulot un peu spécial, ça peut vite devenir un très gros problème. J'avais donc du mal à trouver le sommeil alors que j'étais allongé dans le grand lit d'un hôtel sans charme de la banlieue parisienne. À mes côtés la sublime magalie que je venais d'honorer pendant plus de 2 heures dormait à poings fermées comblée et repue de sexe. Quand on sait comment s'était passée notre première rencontre, on pouvait s'étonner de la retrouver profondément endormie à mes côtés dans cet hôtel minable.
Ceci dit, il est temps que je vous explique comment j'en étais arrivé là.
D'abord, je vais me présenter un peu. Je n'ai rien du beau gosse, au contraire je suis plutôt l'archétype du type banal que vous allez cotoyer pendant une heure et que vous ne reconnaîtrez pas le lendemain. Plutôt grand (1m 82) et mince, j'ai toujours eu ce côté insignifiant qui me permet de passer inaperçu notamment pour les femmes dans la plupart des situations. Et je dois avouer que c'est un avantage non négligeable pour le job que j'exerce. Mais je possède aussi deux particularités indispensables à l'exercice de ma profession: d'abord une très grosse bite et ensuite une endurance exceptionnelle. Contrairement à d'autres gars très bien montés, même au repos mon engin est vraiment impressionnant. Pour résumer j'ai en permanence un concombre et une paire de clémentines qui pendent entre mes cuisses et ce n'est pas toujours pratique pour s'habiller. En revanche quand je bande mon machin grossit raisonnablement si bien qu'il ne dépasse guère 25 cm de longueur pour une épaisseur de 6 à 7 cm lorsque il est entièrement déployé. Je sais qu'une queue comme la mienne fait fantasmer pas mal de mecs mais ça n'a pas toujours été simple de trouver des orifices pour l'accueillir.

Heureusement j'ai pu résoudre ce problème avec les mères de certains de mes copains dès que j'ai intégré le lycée. Mon autre particularité et je dirai que c'est la principale pour mon job, c'est que depuis mes 13 ans j'ai un apétit sexuel Hors du commun. Il m'arrive régulièrement d'éjaculer plus d'une dizaine de fois par jour pour être pleinement détendu et je peux aisément décharger 5 à 6 fois avant de commencer à debander. D'ailleurs Pour m'aider à mieux gérer mon hyper sexualité, dès que j'ai eu 14 ans, je me suis mis à pratiquer certains arts martiaux privilégiant les techniques de self défense. A posteriori, je trouve deux avantages à cette pratique : d'abord un moyen d'évacuer mon excès de testostérone mais aussi une protection au cas où un mari jaloux apprécierait modérément mon ardeur à sauter sa femme.
Mais ce n'est pas le tout d'avoir les compétences pour exercer un métier, il faut aussi trouver un emploi disponible et un employeur prêt à vous faire confiance après un entretien d'embauche.
Dans mon cas l'entretien d'embauche fut très particulier. Je vais néanmoins essayer d'en faire un récit à peu près fidèle. Vous connaissez tous des jeunes qui ne savent pas trop ce qu'ils vont faire de leur vie après avoir obtenu un diplôme plus ou moins prestigieux. Pour moi, le problème s'est posé après que j'ai décroché sans gloire un bac scientifique. Comme beaucoup et par facilité, je me suis inscrit en fac de science et au bout de 5 ou 6 ans d'études peu studieuses il est vrai, je végétais toujours en dernière année de licence dans le but de décrocher un diplôme qui de toute façon ne m'offrirait aucune opportunité de travail en rapport avec les études suivies. Lorsque mes parents en eurent marre d'entretenir leur glandeur de fils, - il est vrai que je préférais passer mes après midi à sauter des femmes mariées desoeuvrees plutôt qu'à user mes fonds de culotte dans des amphithéâtres bondés -j'ai dû me débrouiller tout seul et j'ai donc commencé à chercher des moyens de subsistance.
Même si mes connaissances en maths n'étaient pas au niveau de ce qu'elles auraient dû être, j'étais suffisamment compétent pour filer des cours à des gamins de 3 ème dotés de parents peu rassurés avant le passage au lycée de leur progéniture. Je déposai donc une petite annonce dans les boulangeries du quartier chic où j'avais pu degoté à prix très raisonnable une studette plutôt confortable. Il est vrai que la femme du propriétaire, une bourgeoise de province aux formes généreuses m'y retrouvait parfois lors de ses déplacements à la capitale. Ma petite annonce s'avéra efficace puisque je fus rapidement contacté par des mères soucieuses de l'avenir de leurs s. J'avais ainsi en permanence 4 ou 5 élèves que je voyais une ou deux fois par semaine et comme j'étais disponible, discret et que les gamins m'appréciaient ça se passait plutôt bien. C'est lors de la deuxième année que la situation a sérieusement dérivé. Alors que jusqu'à présent je n'avais eu à faire qu'a des ménagères aussi bandantes qu'une arrière grand-mère arthritique, on m'embaucha pour inculquer quelques notions de mathématiques à Harry. Harry était arrogant, grassouillet et fainéant comme une couleuvre. Mais le plus remarquable chez ce gamin était sa mère. Ingrid aurait filé la trique à un archevêque homosexuel. D'origine suédoise, elle avait de longs cheveux blonds et derrière elle une carrière de mannequin qu'elle avait interrompu après avoir rencontré et épousé Roberto de 15 ans son ainé. À 40 ans à peine, elle était magnifiquement conservée et elle bénéficiait en outre d'un coach personnel qui l'aidait à entretenir au mieux son corps de rêve. Ingrid dont la taille avoisinait 1m80 possédait en outre un très beau visage avec des yeux extraordinaires. Certains prétendent que les scandinaves sont froides et distantes mais son regard bleu/vert aux reflets de braise signifiait exactement le contraire. Lorsque je la rencontrai la première fois je compris aussitôt que je me trouvais face a une vraie bombe sexuelle.
Certes j'avais toujours su me tenir à carreau face à une jolie femme mais cette fois là j'eus quelque mal à ne pas choper la trique ce qui aurait vraisemblablement mis fin prématurément à notre collaboration. Heureusement l'arrivée de son abruti de fils eut un effet radical en vidant mon esprit de toute pensée égrillarde. Les premiers cours se passèrent relativement bien malgré la motivation toute relative d'Harry...jusqu'au jour où Ingrid me proposa de boire un verre à la fin de la séance pour que je lui fasse un premier bilan des compétences de son rejeton. Comme j'étais profondément vautré dans un fauteuil particulièrement confortable en sirotant un verre de vin, on remarquait sans mal ma virilité fort encombrante. Lorsque Ingrid découvrit le volumineux paquet en portant son verre à ses lèvres, je la vis marquer un court arrêt tout en déglutissant difficilement.
Son trouble disparut aussi vite et le reste de l'entretien fut tout à fait anodin. En quittant le très luxueux appartement je n'avais donc pas matière à fantasmer sur l'évolution de ma relation avec la mère d'Harry. Ce n'était pas non plus la première femme surprise en découvrant le paquet qui remplissait mon pantalon et si j'avais dû baiser toutes les nanas troublées par cette découverte, je serais mort d'épuisement depuis longtemps.
Mais je compris aisément lors de ma visite suivante qu'Ingrid n'était plus seulement intéressée par mes connaissances en mathématiques. Elle avait en effet troqué son jean, son chemisier et ses ballerines habituels contre une robe légère courte et décolletée et des sandales à talons hauts. Bonjour Arnaud me salua t elle avec un grand sourire qui tranchait nettement avec les accueils précédents, Harry doit se rendre chez un copain à 16:45 et vous devrez donc finir le cours un peu plus tôt. Nous profiterons du quart d'heure restant pour faire un petit point. Très bien dis-je avant d'aller rejoindre mon élève dans sa chambre spacieuse. À 16:45 pétantes, le gamin se leva prit sa veste et me laissa en plan comme une vieille merde.

Je sortis donc de la pièce moi aussi pour me rapprocher de la porte d'entrée. Allez m'attendre dans le salon me demanda Ingrid juste après que son fils eut quitté le triplex familial; je vais nous préparer une petite collation. Lorsqu'elle s'assit en face de moi après nous avoir servi une coupe de Champagne, je me rendis compte aussitôt que mon hôtesse avait profité de son passage à la cuisine pour retirer sa culotte. Face à ce constat, je fis donc ce qu'elle attendait de moi. Je me levai pour me déshabiller et surtout libérer ma queue désormais beaucoup trop à l'étroit dans mon pantalon. My God s'ecria t-elle en découvrant le monstre. What a monster cock! Je me rassis alors attendant que la blonde sublime prenne les choses en main ce qui ne tarda guère. Quelques secondes plus tard elle me taillait une pipe digne d'une star de film X. Et Moins de 3 minutes plus tard je déchargeai une dose de foutre conséquente qu'elle s'appliqua à avaler jusqu'à la dernière goutte. Ensuite ce fut le début de la chevauchée fantastique. Toute heureuse de constater que mon engin était toujours aussi gros et raide, elle envoya valser sa robe et se mit à quatre pattes en m'invitant à la baiser. Je ne me fis pas prier et vins m'agenouiller derrière elle avant d'attr ma queue et de la planter dans sa fente trempée tout en agrippant fermement ses hanches magnifiques. oooh no no it's so huge ! hurlait t elle aux anges en poussant son cul vers mon pubis. Elle n'attendait qu'une chose: que je m'enfonce aussi profondément que possible jusqu'à remplir complètement sa grotte intime.
Lorsque je tapai sa matrice Je ne lui avais pas encore tout mis mais je commençai néanmoins à la limer énergiquement. Rapidement elle se mit à gémir me suppliant de lui enfoncer tout le paquet dans la chatte. Lorsque j'y parvins enfin après 15 minutes de forage intensif elle hurla de plaisir submergée par un orgasme inouï juste avant que je déverse un verre de jute au fond de son con. Mon engin n'ayant pas dégonflé d'un millimètre je lui laissai à peine le temps de reprendre son souffle avant de remettre le couvert. Cette fois-ci elle hoquetait de plaisir enchaînant les orgasmes en rafale jusqu'à je me vide à nouveau dans sa chatte distendue. Constatant que mon engin restait toujours aussi ferme, elle poussa un cri de stupeur. Oh no! stoooop! You will destroy my pussy. J'eus pitié d'elle et extirpai mon dard de son antre si accueillante. Ok baby don't cry, I will take your ass now déclarai je alors en posant le gland sur son oeillet dont l'aspect me laissa supposer qu'il avait l'habitude de ce genre de pratiques. Il fallut un peu de temps pour que j'investisse tout le conduit mais je fus largement récompensé. Ingrid en transes hurlait carrément de plaisir alors que je lui ramonais les boyaux. J'avais l'impression que tout l'immeuble devait l'entendre mais heureusement l'isolation du triplex était parfaite. Elle prit un pied incroyable lorsque je déchargeai dans son fion. C'est à ce moment que Popaul commença à baisser pavillon. Je m'affalai alors sur le tapis à côté de la blonde qui récupérait lentement. Elle vint ensuite se blottir près de moi et m'entoura de ses bras. Oh Arnaud c'était fantastique m'avoua t-elle avant de me rouler une pelle. L'effet ne se fit pas attendre et Popaul se redressa comme au premier jour. It's absolutely crazy s'exclama de nouveau Ingrid alors que je poussais mon dard dans sa fente béante. Ses gémissements reprirent de plus belle et je la limai une fois de plus jusqu'à ce que j'éjacule une dernière fois alors qu'elle jouissait en criant de plaisir. Elle reprenait difficilement son souffle me caressant délicatement le torse lorsqu'elle poussa un cri strident. Oh bon sang il est 18:30, s'excusa t-elle il faut que tu partes tout de suite. Roberto va arriver d'un instant à l'autre. En voyant le visage paniqué de mon hôtesse je me dispensai de poser des questions et je me rhabillai à toute vitesse avant de quitter l'appartement sans demander mon reste.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!