Les Vacances De Valérie

C’est ma collègue de travail, Valérie, qui m’a raconté ses vacances dans les îles, cet été, avec sa mère ...

La mère et la fille sont parties seules en vacances aux Antilles, pendant trois semaines, sans leurs maris, malgré le fait qu’elles soient toutes les mariées.

Depuis longtemps, les parents de Valérie allaient chaque année en vacances là-bas, ils adoraient l’endroit, et ils ne voulaient pas changer de destination. Il y a trois ans, pendant ses vacances, le papa de Valérie a eu une grosse indigestion, il a été très malade, et il a passé dix jours à l’hôpital. Il est rentré sur le continent amaigri, pâle, et il a eu beaucoup de mal à s’en remettre. L’année suivante, il a refait une indigestion avec le même plat (dont je ne me rappelle plus le nom).

Le médecin qui l’a soigné a expliqué que l’indigestion était tellement forte qu’il était allergique, désormais, aux plats tropicaux, et qu’il devra se contenter de nourriture européenne. Le père de Valérie a encore passé de très mauvaises vacances, ne pouvant pas se consacrer à sa passion de se goinfrer de plats exotiques, et l’année dernière, il n’a pas voulu repartit dans les îles. La maman de Valérie a eu beau déployer des trésors d’ingéniosité pour le convaincre, rien à faire.

Donc, l’année dernière, ils sont restés sur le continent et là, c’est la maman de Valérie qui a eut ses vacances gâchées.
Par conséquent, cette année, elle a réservé un séjour en Guadeloupe, dans son hôtel favori, sans rien dire à son mari, espérant arriver à le convaincre de la suivre là-bas. Mais c’était mission impossible, le père ne voulant rien céder.

Du coup, pour ne pas perdre sa réservation, la maman a emmené sa fille. Les maris n’étaient pas contents du tout, surtout celui de Valérie, mais les deux femmes sont restées intransigeantes, et sont parties en vacances ensembles.

Le premier soir, les deux femmes se sont pomponnées et sont descendues au sous-sol, au night-club de l’hôtel, pour s’amuser, danser et boire des coups, puisque c’est compris dans le séjour.

La musique latino incite à la fête, et la chaude ambiance donne soif, donc les femmes se sont amusées à flirter un peu, encouragées par l’atmosphère du lieu.

Au cours de la soirée, un grand black bien habillé s’est présenté pour inviter la maman de Valérie à danser. Rapidement, Valérie s’est aperçue qu’ils se connaissaient déjà, étant donné les familiarités que le noir se permettait avec sa mère.
Questionnée, la maman un peu embarrassée a avoué à sa fille que, l’année où son père avait été si malade, elle s’était baladée et qu’elle était sortie un peu pour se distraire. Sans donner plus de détails.

Le grand africain est revenu du bar avec les boissons qu’il était allé cherché. Il a posé les verres sur la table, il s’est penché sur la mère de Valérie, et ils ont échangés un long baiser langoureux. Valérie était sidérée. Sa mère avec un jeune noir, l’embrassant à pleine bouche, en public, dans un hôtel où elles étaient connues, quelle horreur !

Puis, il s’est assis à côté de la maman de Valérie, entourant ses épaules de son bras, l’autre main posée sur la cuisse de sa conquête, affichant sans équivoque son titre de propriété sur cette femme. Valérie, gênée, s’est esquivée, prétextant les fatigues du voyage. Tandis que sa mère, rougissante, lui a répondu qu’elle allait «rester encore un peu».

Rester encore un peu … La maman de Valérie n’a regagné la chambre qu’au petit matin. Visiblement fatiguée, elle s’est effondrée dans son lit et s’est mise à ronfler. Valérie ne pouvait plus dormir, elle s’est levée, a pris son petit-déjeuner, puis elle est allée faire bronzette au bord de la piscine, se rafraîchissant en faisant trempette ou en buvant des cocktails sans alcool. Vers midi, elle est retournée réveiller sa mère qui ronflait encore.

Il s’est avéré drôlement difficile de la réveiller et, même après une bonne douche et un maquillage léger, les cernes sous les yeux étaient encore parfaitement visibles. Pendant le repas, Valérie a questionné sa mère qui a fini par lui confesser toute l’histoire.


Lorsque son père avait été si malade, et qu’il était resté une dizaine de jours à l’hôpital, sa mère, livrée à elle-même, a tenté de se distraire pour ne pas gâcher ses vacances. Son mari, à l’hôpital, était parfaitement soigné, elle passait ses journées à son chevet, mais le soir ?

Le night-club de l’hôtel, au sous-sol, était parfaitement sécurisé, elle ne pouvait pas y faire de mauvaises rencontres, et elle pouvait s’amuser un peu. C’est là qu’elle a rencontré ce beau jeune homme noir, un peu trop jeune pour elle, et qu’ils s’étaient «connectés». À l’époque, elle ignorait que de beaux jeunes hommes noirs traînaient dans cet hôtel pour distraire les riches touristes européennes, et que c’était même une «spécialité» de cet hôtel.

L’année suivante, son père avait encore été malade, et sa mère s’était «reconnectée» au jeune africain, mais elle avait failli se faire surprendre par son mari, échappant de peu à une scène publique, ce qui l’a obligée à plus de discrétion. Elle l’avait accompagné chez lui, une chambre en ville, qu’il partageait avec d’autres gars, elle lui avait donné un peu d’argent, puis elle avait rompu le contact … jusqu’à hier soir.

Valérie avait beaucoup de mal à comprendre sa mère, et encore plus à croire à une connexion occasionnelle, et elle insistait pour que sa mère lui explique un peu plus cette histoire ahurissante. Finalement sa mère, en baissant le ton, lui a racontée, gênée, que : "les jeunes africains, bien membrés, et très … vaillants, beaucoup plus que ton père, en tout cas, voilà, enfin, tu es une femme maintenant, tu comprends ce que je veux te dire, au lit, ils sont sans pareils !"

Voilà, elle s’était «connectée», plusieurs années durant, à de jeunes noirs bien membrés. Pendant que son mari prenait son plaisir en faisant bombance, et s’écroulait pour une sieste réparatrice aux heures chaudes de la journée, elle s’encanaillait dans des alcôves sordides, et se faisait baiser contre une poignée de billets.


Quand elles ont rencontrées le grand noir, une nouvelle fois, le deuxième soir, au night-club de l’hôtel, il n’était pas seul. Il était accompagné par son «cousin», aussi grand que lui, un peu plus maigre, et moins bien habillé. Par contre, la bosse qui déformait son pantalon faisait saliver la mère de Valérie.

Valérie, elle, ne salivait pas, mais elle était curieuse de savoir, de connaître, pourquoi certaines filles, au lycée, à l’université, en baissant la voix, en pouffant, racontait que c’était «extraordinaire». Et cette idée que sa mère, alors que son mari était souffrant, l’abandonnait pour aller se faire ramoner la chatte par de jeunes noirs, ce devait être quelque chose qui valait le coup, quelque chose à essayer … Après tout, son mari était loin ...

Valérie a accepté de danser avec le jeune black, très bon danseur, mais très caressant, très entreprenant même. Il savait pourquoi on avait fait appel à lui, et il voulait utiliser son démonte-pneu pour donner du plaisir à la femme blanche.

La mère de Valérie s’est esquivée avec le grand noir, en glissant à l’oreille de sa fille :
"Ne viens pas te coucher tout de suite, laisse-moi une heure ou deux !"

Désireuse de ne pas faire d’esclandre sur la piste de danse, et ne parvenant pas à lutter efficacement contre les mains baladeuses du jeune homme, Valérie s’est résignée à l’emmener promener le long de la plage. À l’ombre d’un bosquet complice, elle a compris pourquoi c’était aussi «extraordinaire» !

Allongée, sur un transat, sous la voûte étoilée, et couverte par un jeune noir en rut, elle a découvert ce que voulait dire le mot «baiser». Des dimensions hors normes, et puis infatigable, elle a finit rompue, moulue, brisée. Se croyant plus résistante que sa mère, et pensant qu’elle avait fini depuis longtemps, Valérie a abandonné son étalon contre un billet, puis elle est rentrée se coucher. Mais son arrivée intempestive a fait fuir le grand black.


Alors, mère et fille ont échangé des confidences. Tout y est passé : la taille, l’incroyable douceur du contact du membre à l’intérieur de la chatte, ce côté enveloppant, limite verrouillée à l’intérieur d’un cocon, subissant le rythme sans pouvoir répondre, soumise à un mâle dominant qui vous donne une série d’orgasmes tous plus incroyables les uns que les autres, jusqu’à l’apothéose finale qui vous laisse fourbue mais ravie, avec une seule idée en tête : recommencer.

Le lendemain matin, après un petit déjeuner copieux, les deux femmes se sont promenées sur le front de mer, au bord de la plage. Bientôt, elles furent accostées et presque harcelées par une légion de jeunes hommes noirs, tous très beaux, mais extrêmement collants, limite effrayants. Heureusement, la mère de Valérie savait où retrouver leurs galants.

Quand Valérie vit arriver son taureau fougueux, ce matin-là, elle fut stupéfaite de voir à quel point il lui était beau !
D’abord, elle lui a tendu les bras. L’étreinte sur le front de mer l'a amenée à prendre conscience du renflement dans son short, alors qu'il l’enlaçait et l’embrassait amoureusement. Un contact corporel étroit, prolongé, pour que la jeune femme sache bien qu’elle se trouvait en présence d’un mâle alpha, qu’elle pouvait se détendre, elle était «prise en charge».

D’abord, elles se sont plaintes à leurs gladiateurs du traitement que leur avaient fait subir les jeunes autochtones. L’amant de Valérie avait la solution : une chaînette ornée d’une médaille ésotérique qu’elles ont accrochées à leur cheville gauche.

"Ainsi, les mecs sauront que vous nous appartenez. C’est le symbole de notre gang. Vous êtes sous notre protection. Avec nous, ici, vous ne risquez rien. Nos gars sont craints et respectés."

Puis, les deux couples se sont séparés. La mère de Valérie voulait faire des emplettes au centre ville, Valérie voulait s’amuser un peu avec son nouvel amant. Elle l'a invité à l’accompagner dans sa chambre, à l'hôtel.

Valérie m’a dit qu'elle n'avait jamais été aussi excitée de sa vie que lorsqu'elle marchait sur le front de mer, puis dans les allées de l'hôtel, avec son flirt. Ils marchaient, étroitement enlacés, échangeant des baisers passionnés et des regards langoureux. Toutes les personnes qu’ils croisaient et qui les dévisageaient, Valérie était parfaitement consciente qu'ils savaient où elle allait avec ce bel étalon, et ce qu’ils allaient faire ensemble ! 

Elle a dit qu'elle s'en fichait éperdument à ce moment-là, elle savait juste qu'elle le voulait lui, dans sa chatte brûlante de désir ! Ils s'embrassèrent encore dans l'ascenseur, et Valérie pouvait sentir sa grosse bite noire et dure se presser contre son ventre.  Valérie m'a confié qu'elle désirait plus que tout sucer cette bite, un désir bestial, primitif, alors qu’elle avait toujours refusé cette caresse à son mari, trouvant cette posture avilissante. Même si elle ne savait que peu de choses sur le jeune homme, c’était comme un besoin irrésistible.

Valérie m’a dit que l'attraction animale était si puissante que, dans l’ascenseur, elle se frottait contre lui comme une chatte en chaleur qui rampe devant le matou. Elle n’avait jamais ressenti pareil convoitise, et elle sentait des fourmillements se propager dans son ventre.

Quand ils sont entrés dans la chambre, le gars a continué de l'embrasser voluptueusement tout en la déshabillant lentement. Sans qu'elle ne s'en rende compte (ses mots), elle était nue, et les mains du gars étaient partout sur elle. 
Elle m’a dit qu'elle avait adoré cette exploration méticuleuse, chaque centimètre carré de sa peau était sollicité, enfiévré, et son ardeur sexuelle augmentait sans cesse.

Elle subissait ses attouchements comme une poupée entre ses mains, ce jeune gars lui faisait découvrir des plaisirs inconnus et, bien que plus âgée que lui, elle s’imaginait comme de la pâte à modeler entre les mains du sculpteur. Elle déboutonna sa chemise pour s’enivrer de sa chaleur et de la douceur de sa peau. La sensation de son corps brûlé de soleil, musclé et sexy contre ses seins était si intense qu'elle poussa un soupir et se souda contre lui.

Ils s'embrassaient passionnément, puis elle se libéra de l’étreinte pour l’embrasser dans le cou, sur la poitrine … elle suça longuement ses tétons et se baissa pour l'embrasser sur le ventre en descendant jusqu’au pubis. Elle s'assit sur le bord du lit et l’attira près d’elle tout en baissant son short. Tout le temps, ses yeux bleus de petite fille n’ont pas quittés les yeux noirs du gars. Elle s’était frottée contre cette bite dans l’ascenseur, mais quand elle a baissé son short, le membre a surgi, comme un ressort, la faisant sursauter.

Ses yeux s’agrandirent d’étonnement en voyant les dimensions de l’engin. La nuit dernière, dans l’obscurité, elle s’était bien rendue compte que le sexe dans son ventre était colossal, mais si elle l’avait vu avant, elle aurait douté de pouvoir l’accueillir dans sa chatte

Valérie voulait ressentir la chaleur et la douceur de cette bite, alors elle la caressait de sa main en la frottant contre sa joue. Mais le gars ne l’entendait pas de cette oreille :

"Ne me fais pas languir, bébé, prends-moi dans ta bouche et fais-moi jouir. Mets-la dans ta bouche, bébé, je veux voir tes lèvres roses sucer ma bite !"

J'ai eu le sentiment qu’il était beaucoup plus vulgaire que ça, mais c'est comme ça qu'elle m’a raconté l'histoire. 
Elle l’a prit en bouche et l’a sucé. Difficilement, parce qu’il était trop volumineux. Douloureusement, parce qu’il a mis sa main sur sa nuque pour l’encourager à le prendre plus profond. Les muscles de sa mâchoire étirés au maximum se paralysaient, au bout d’un moment, elle ne pouvait plus le sucer, et elle lui a demandé de s’arrêter.

Il l'a ensuite soulevée dans ses bras musclés, et il l’a embrassée le cou en la déposant sur le matelas. D’instinct, elle a replié et écarté ses jambes pour s’offrir à son amant. Il s’est penché sur elle et, avec ses lèvres, avec sa langue, avec ses doigts, il a joué une symphonie lyrique qui a fait chanter à Valérie toutes les notes de la gamme. Plusieurs fois, sa voix s’est étranglée, rendue muette par les spasmes qui la secouaient.

Ensuite, il a rampé sur elle, il lui a dit de "le mettre dans", et elle sentit cette tête épaisse écarter les lèvres de sa chatte. Il est entré immédiatement en elle, sans douceur mais sans forcer, en lui coupant le souffle ! Elle m'a décrit leur étreinte comme un long orgasme, depuis le moment où sa queue est entrée en elle, jusqu’au bouquet final.

Il l'a travaillée de toute sa longueur. Lentement au début, pour qu’elle s’habitue, puis en accélérant progressivement. La sentant complaisante et mouillée, il s’arrêta pour lui faire soulever le bassin et glisser ses mains puissantes sous ses fesses dodues. À partir de ce moment, elle a subi un véritable bombardement. Le souffle court, écrasée par le poids du garçon, frappée par une bite qui heurtait le fond de son ventre, les longs coups féroces faisaient trembler ses chairs.

Elle m’a raconté qu’elle ne pouvait pas s’empêcher de geindre et de gémir chaque fois qu'il s'enfonçait en elle. Les deux amants étaient couverts de sueur et il continuait, infatigable, en lui disant des mots d’amour. Alors qu’elle perdait la tête et couvrait le visage de son amant de baisers passionnés, il est ressortit en lui demandant de terminer dans sa bouche.

Elle m’a dit qu'en baissant les yeux sur sa bite, qui semblait encore plus longue et plus épaisse qu'avant, elle l’a vue trempée de leurs jus. Avant son mariage, avec ses copains, elle suçait parfois un peu avant, jamais après. Et pour sucer un peu avant, elle exigeait du gars qu’il lave son truc (ses mots). Mais avec ce gars, elle n'y a même pas pensé. Elle m’a dit qu'elle avait pris sa bite trempée dans sa bouche et qu’elle l’avait sucé comme une salope (ses mots). Et quand il est venu, il a glissé ses doigts dans ses cheveux sur sa nuque, pour maintenir sa tête. À ce moment-là, il lui a dit :

"Oui, c’est ça, suce-moi bien à fond !" puis "Avale bébé, avale tout" Et il a jouit dans sa bouche une quantité effarante de sperme qui a ruisselé sur son menton, sur ses seins et jusque sur son ventre. Immédiatement après, il lui a dit qu'il avait des trucs à faire et qu'il reviendrait plus tard. Et il l’a plantée là, un peu frustrée.

Elle a pris une douche et elle est descendue à la piscine de l’hôtel. Elle y a retrouvé sa mère qui bronzait au bord de la piscine. Elles ont parlé de leurs hommes respectifs et, à demi-mots, de leurs performances. Puis sa mère, en souriant, lui a parlé des bracelets de cheville. En fait, ce sont des «marques d’esclavage», ce qui veut dire que celle qui le porte appartient au gang. Oui, oui, au gang, à tous les membres du gang, à n’importe quel membre du gang.

C’est pour ça que les locaux, en voyant une femme porter ce «bracelet d'esclave», savaient qu’elle appartenait au gang et qu’ils n’avaient pas le droit d’y toucher, sauf s’ils appartenaient au gang. C’était un code tacite, apparemment bien respecté des jeunes locaux.

Elle a demandé à sa mère où elle allait avec son chéri, au cas où elle aurait besoin de la retrouver. Sa mère l'a guidée vers le vieux port, tout au bout, une allée entre deux maisons. Elles ont emprunté le passage puant, débouché dans une cour, et lui a montré une porte au fond de la cour. Elle lui a montré l'appartement de l'extérieur et lui a dit de frapper à la porte si elle avait besoin d'elle. 

Pendant qu'elles parlaient, le petit ami de sa mère, le grand noir, est entré dans la cour. Il a étreint sa mère et il a embrassé Valérie longuement, dans le creux du poignet, en la regardant droit dans les yeux. Valérie a senti un frisson courir le long de son échine. Sans la quitter des yeux, il a demandé à sa mère :

"Elle a accepté le bracelet de cheville, sait-elle à quoi elle s’engage ?"

"Non, c’est encore un peu tôt". À répondu sa mère.

Mais Valérie s’est rebiffée :

"Et à quoi ça m’engage ?"

"Tu appartiens aux hommes du clan, à TOUS les hommes du clan."

À ce moment-là, la porte s’est ouverte, Valérie a vu un vieil homme noir assis sur une chaise, entièrement nu. Elle s'est détournée, choquée. Elle n'a vu l'intérieur que brièvement, mais elle a pu voir qu'il faisait très sombre. 

"Tu devrais probablement y aller maintenant, chérie"

Valérie était inquiète et elle a demandé à sa mère si tout allait bien. Elle a ri et lui a répondu:

"Mais oui, ma chérie ... ici, c’est une communauté, ils partagent tout ... pour mon bonheur !"

Valérie lui a sourit : "Pas étonnant que tu sois si fatiguée !"

Valérie m’a dit qu'elle était sous le choc en rentrant à l'hôtel. Elle a dit qu'elle n’arrivait pas à penser à ce que sa mère pouvait accepter de ces gars. En arrivant à son hôtel, elle a retrouvé son chéri qui l’attendait devant l’entrée. Il l’a prise dans ses bras et elle a senti qu'il bandait déjà pour elle. 

"J'ai pu me libérer plus tôt, j’avais tellement envie de toi, de ta chatte brûlante."

Il a joint le geste à la parole, glissant sa main sous sa courte jupe, pour empoigner sa chatte. Instantanément, une pulsion sauvage a enflammé sa chatte et elle a entraîné son étalon à l’intérieur. Valérie m’a dit qu'il était insatiable, mais qu’elle aussi. Ils ont fait l’amour toute la nuit, entrecoupé de courtes pauses.

Profitant d’une pause, Valérie a demandé à son homme de lui parler du bracelet de cheville. Pour l’essentiel, son discours ne différait pas beaucoup de celui du chéri de sa mère. Sauf pour une chose. Elle appartenait au clan, c’est sûr, mais le droit de cuissage ne s’exerçait qu’à l’intérieur de l’appartement que sa mère lui avait montré. C’était la tanière du chef du clan, et c’était lui qui exigeait des femmes qu’elles se soumettent au droit de cuissage. Et c’est sa mère qui leur demandait d’aller là-bas. Personne ne l’y obligeait.

Pour l’essentiel des vacances, ils ont passé plus de temps à baiser qu'à explorer l'île. Valérie disposait de la chambre, sa mère étant souvent absente, occupée ailleurs. Valérie à découvert qu’elle pouvait passer beaucoup de temps à sucer, à caresser, sans qu’il y ait nécessairement de pénétration. En plus, elle s’est rendue compte qu’elle aimait autant être active que passive. Choyée, dorlotée, comblée, Valérie s’est posée la question, savoir si elle rentrerait sur le continent à la fin des vacances, ou si elle changeait de vie.

Pour tout savoir de la vie du clan, elle a déclaré à son amant qu’elle se croyait prête à passer le test ultime, et qu’elle désirait être conduite à l’appartement sur le vieux port. Il a eu l’air un peu étonné, mais n’a pas fait de commentaires.
Ils se sont habillés et ils se sont dirigés vers l’appartement. Arrivés devant la porte, son amant noir a toqué et a ouvert la porte sans attendre de réponse. Il s’est effacé et elle est entrée, clignant des yeux pour s’habi à la pénombre. Le vieil homme était assis sur sa chaise, entièrement nu.

Elle restait là, les bras ballants, alors son jeune amant a mis la main sur ses reins et l’a poussée en avant. Le vieil homme lui a fait signe de sucer sa bite, et elle s’est agenouillée sans faire de manières. Rapidement, elle s’est aperçue qu’il était encore bien vert, et remarquablement bien équipé. Encore mieux que son jeune amant. Elle l’a sucé et léché longtemps, espérant le faire venir. Mais un anneau à la base de sa bite l’empêchait de gaspiller son précieux nectar.

Au bout d’un long moment, alors que Valérie commençait à se fatiguer, le vieux a émit un son guttural, et son jeune amant l’a aidé à se relever et à s’installer à califourchon sur les genoux du vieillard. Chevauchant le vieux, face à lui, elle s’est empalée doucement sur l’énorme bite qui se dressait vers le ciel. Sûrement que le vieux, en voyant que Valérie se livrait doucement, ça ne lui a pas plu. Il a saisi Valérie par les hanches, pour l’empaler d’un geste rageur, qui l’a fait crier.

Ensuite, le vieux l’a empoignée par les fesses pour l’aider à rebondir sur sa bite dressée. Elle a joui plusieurs fois. Haletante, pantelante, gémissante et geignante, elle s’est effondrée, le front contre l’épaule du vieux, épuisée. Alors, il l’a libérée, en émettant un commentaire désobligeant sur les performances de la mère et de la fille. La chatte dévastée, les lèvres tuméfiées, Valérie a eu du mal à retourner jusqu’à l’hôtel, et son chéri la soutenait.

Valérie m’a raconté qu’une nuit, sa mère avait surgi dans la chambre, au beau milieu de la nuit, légèrement pompette, Elle était accompagnée de deux jeunes noirs, son chéri et un gars qu’elle ne connaissait pas. Valérie était dans son lit avec son amant, et sa mère s’était couchée dans l’autre lit avec les deux gars. Tout le monde était entièrement nu.

Sa mère et ses deux amants ont commencé à s’embrasser et se tripoter, ce qui a excité le chéri de Valérie qui voulait la baiser. Mais Valérie l’a empêché, parce que c'était trop bizarre d'avoir des relations sexuelles avec sa mère à côté.

Ils avaient éteint la lumière, mais un peu de clarté venant de l’extérieur permettait de distinguer les formes. Bientôt, les gémissements de sa mère se sont accentués, et Valérie l’a vue, dans le contre-jour, agenouillée sur le lit, entre ses deux partenaires, suçant l’un pendant que l’autre la baisait en levrette. Au bout d’un moment, les hommes ont échangé leurs places. Valérie, éberluée par le sans-gêne et la débauche de sa mère, les regardait œuvrer.

Son chéri, la voyant fascinée par le spectacle, l’a installée à quatre pattes, face à eux, et l’a prise en levrette. À ce moment-là, le téléphone a sonné. C’était son mari, qui se trompait dans le décalage horaire, et qui l’appelait en pleine nuit pour avoir de ses nouvelles. Elle a dû discuter avec son mari pendant que son chéri lui tambourinait la chatte, à lui hacher la voix, et que sa mère faisait des vocalises sur l’autre lit.

Valérie s’était installée, la joue contre le matelas, la main par-dessus le combiné téléphonique, avec un oreiller sur la tête pour masquer le son. Mais son mari, pas dupe, voulait savoir «c’est quoi, ces bruits?». Elle a dû inventer un balourd avec une comédie musicale que les deux femmes regardaient à la télé. Son mari a raccroché juste à temps car son amant était en train de finir et voulait jouir dans sa bouche.

Voilà pour l'essentiel, c’est l'histoire que m’a contée Valérie. J’ai préféré édulcorer certains passages scabreux qui n’apportaient rien de plus à cette histoire.

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