Terma 87 : Ma Femme Russe Et Son Employée De Compagnie (1) :
Ce que je vais vous conter ne ma été avoué par ma femme et son employée de compagnie quaprès menaces et confrontations de ma part, et seulement six mois après ces évènements et en exigeant le maximum de détails. Une erreur de notre employée mavait mise la puce à loreille. Mais je vais vous le raconter non pas comme un aveu des deux femmes mais à ma manière, telle que je lai compris et deviné en ajoutant certains détails quelles nont pas osées me dire.
Je me nomme Tarik, 45 ans, marié depuis presque 20 ans à Tania, 35 ans, Russe et nous avons eu deux s Ahmed-Boris, 19 ans et Macha, 17 ans. Jai vécu depuis lâge de 20 ans en Russie pour terminer mes études et je me suis marié et vécu. Il y a 5 ans, je suis retourné dans mon pays où on ma donné un travail de chef de projet. Ma femme ma suivi mais nos deux s sont gardés en Russie par leur grand-mère afin de terminer leurs études. On nous a donné une grande maison avec plusieurs chambres et un vaste jardin avec des arbres et un local pour jardinier. Jai engagé deux femmes de ménage pour aider mon épouse à la maison et un vieux jardinier qui travaillait la journée et aussi parfois pour les achats de provisions. Mon travail me tient beaucoup de temps, souvent la nuit aux chantiers et parfois des missions de plusieurs jours loin de chez moi. Cest pourquoi, afin de rassurer mon épouse, jai choisi et fais loger avec elle la plus âgée des deux femmes de ménage, âgée de plus de 40 ans et sans s, ainsi jétais tranquille. Ce que je ne savais pas, cest que cette employée, célibataire, était très portée sur le sexe masculin et avait un amant. Et quelle le recevait, en cachette, chaque nuit, pour baiser presque jusquà laube, dans la loge vide du jardinier. Ma femme nen savait rien. Mais cette employée était assez vicieuse pour penser à exciter sa patronne, souvent délaissée par moi, et essayer de la faire tomber dans le piège sexuel. Ainsi, profitant de lamitié qui sétait liée entre elles, elle lui faisait souvent des confidences, parfois intimes entre femmes.
Seulement, dès le lendemain, quant lemployée sexcusait longuement de son, soi disant, audace calculé de la veille, ma femme hésita dabord puis, excitée, elle donna enfin la permission dutiliser la loge du jardin mais sous conditions strictes de discrétions et de silence. Et le lendemain, laventure commença. En effet, la nuit suivante, lemployée baisa, comme dhabitude dans le local du jardin. Vicieuse et ayant complètement étudié ma femme, elle savait quelle ne résistera pas longtemps à venir espionner la loge. Donc, elle laissa la lumière et même la porte de la loge, légèrement entrouverte. Elle avait eu raison car, après une demi - heure dhésitation, ma femme se glissa dans le jardin et alla espionner les ébats du couple, nu, en train de baiser. Ce fut un choc sexuel pour elle. Sa main alla directement au creux de son bas ventre vers sa chatte. Car ce qui la intéressée le plus, ce fut la vue du grand zeb de lhomme. Il était brun, gros, très long et épais et gonflé à fond. Lhomme, brun aussi et très poilu partout, de dos de poitrine et de cuisses, avait donc une carrure affolante de virilité. Son zeb était au moins deux fois plus gros et plus long que celui de son mari. Et elle en eu envie tout de suite, de le toucher, de le sucer et de lenfoncer dans sa chatte qui explosa immédiatement. Sa mouille remplit son slip et coula entre ses cuisses. Elle haletait au rythme des vas et viens du couple et sa main sétait égarée dans sa chatte en écartant son slip mouillé. Elle les observa un long moment en se branlant la chatte et le clitoris et soufflait tellement fort que lemployée, sous son homme, et jetant un il discret vers la porte, se confirma que sa patronne les espionnait et que lhameçon sexuel lavait harponnée. Discrètement elle informa son amant et tous les deux se montrèrent à fond et firent un cinéma complet à ma femme pour lexciter au maximum.
Les deux femmes sobservèrent et lemployée, comme la veille, avait apporté le slip pollué de son amant et le lavait exprès dans lévier devant sa patronne. Cette provocation ne sembla pas toucher ma femme qui, au contraire observait avec intérêt ce vêtement sexuel masculin, sachant que cétait celui du gros zeb quelle avait observée et désirée. Le souvenir de son espionnage aidant, elle ne put sempêcher de mettre sa main dans son bas ventre et appuyer sa chatte qui recommençait à lexciter. Lemployée, sachant une victoire complète, sapprocha alors de ma femme et dautorité, et sans réaction de sa patronne, lui releva sa robe de nuit et laida à ôter son slip rose mouillé. Lemployée, se mettant à genoux, plongea sa bouche dans la chatte palpitante de ma femme. Ainsi, elle lui lécha et suça la chatte et plongeait sa langue à lintérieur, et ma femme debout, la tête penchée en arrière, et les yeux fermés, goutait ce plaisir, en soufflant, gémissant et haletant de plus en plus. Puis, appuyant son derrière contre la table et écartant encore plus ses cuisses, elle appuyait la tête de lemployée contre son bas ventre à chaque choc de jouissance. Enfin, son second orgasme arriva et elle cria son plaisir en se collant encore mieux à la tête de son employée. Enfin la femme de ménage se releva, le visage inondé de la mouille de sa patronne. Elle souriait largement sachant que sa victoire était presque complète. Elle se promit que dès ce soir, elle complètera sa victoire en offrant à son amant la chatte de sa patronne. Ma femme remercia son employée du plaisir reçu et lui promit de continuer mais dans la discrétion. Puis elles se douchèrent et mutuellement, elles se nettoyèrent, devenues complices totales de leurs chattes.
Et cest ainsi que lhomme baisa ma femme pendant plus de deux heures et par trois fois, pour la rassasier de son gros zeb. La première, celle de la connaissance des deux sexes, continua jusquà faire jouir ma femme par trois ou quatre orgasmes presque à la suite. Puis quant le sperme arriva, lhomme sortit son zeb et éjacula plusieurs fois sur les poils de la chatte et sur le ventre de ma femme, étourdie par les jouissances. A ce moment, lemployée qui était restée assise tout le temps sur une chaise et se branlait la chatte silencieusement, sapprocha avec le slip de lhomme et essuya avec toutes les traces de sperme sur ma femme et sur le zeb de lamant. Elle veut en récupérer le maximum pour exciter encore, plus tard, ma femme, le cas échéant. Puis lhomme savança, les cuisses écartées, sur la poitrine de ma femme et se branla le zeb entre les seins de ma femme. Puis, savançant encore, il enfonça son zeb dans la bouche de ma femme qui accepta avec plaisir de le sucer. Après un moment, son zeb se regonfla à fond et devint aussi dur quauparavant. Lhomme avait encore envie de ma femme et de sa chatte brulante de désir longtemps inassouvi. Alors il se recula et reprit place entre les cuisses écartée de ma femme, puis il replongea son zeb dans la chatte ouverte, palpitante et brulante, pour une deuxième baise. Elle sera aussi acharnée et bruyante que la précédente et donna à la femme encore plus de trois abondants et bruyants orgasmes pratiquement continus, vu que les jouissances étaient permanente pour mon épouse étourdie de plaisir. Ensuite, quant le sperme arriva pour la seconde fois, lhomme ressortit son zeb encore une fois, savança sur la poitrine de ma femme tout en se branlant manuellement et sapprochant du visage de sa proie il éjacula par trois jets puissants, chauds et visqueux. Une bonne quantité de sperme pénétra la bouche ouverte de ma femme, alors elle réussi à en avaler une bonne partie. Lemployée, encore une fois, essaya de récupérer avec le slip de lhomme, le maximum de sperme possible, sur la poitrine de ma femme et son visage. Elle souriait et jeta quelques clins dil à ma femme qui avait la bouche encore ouverte et les yeux éblouis de jouissances. Ensuite, ils se reposèrent un moment et lemployée en profita pour sucer et branler la bite de son amant et complice, et rapidement elle le fit réagir et se gonfler de nouveau puis se durcir à fond. Lhomme, dans la force de lâge, et excité par cette épouse étrangère, qui soffrait à lui et sans retenue, avait encore et encore envie delle pour lui prouver la force du mâle viril, au gros zeb puissant et inépuisable. Mais, lemployée qui attendait depuis le début son tour et se branlait la chatte, le poussa pour sallonger sur le dos et elle sassit sur son zeb debout, vertical, comme un mât de cocagne. Elle enfonça sa chatte sur le zeb qui la pénétra jusquaux couilles et commença à se branler avec en se tortillant furieusement. Ma femme, à coté, et qui était revenue de son éblouissement regardait la scène avec intérêt. Malgré ses deux baises et le sperme qui la inondée, elle était encore sensible de la chatte et la vue du gros zeb qui entrait et sortait de la chatte de lemployée retenait encore une fois son regard et son désir. Elle se souleva un sur les coudes et se rendit compte enfin, pour la première fois quelle était totalement aussi nue que les deux autres. Dabord cela lui donna un petit choc de honte, vite évacué, alors elle se reprit et acceptant avec délices et plaisir sexuel sa totale nudité. Elle toucha sa chatte mouillé et ouverte et plongea sa main à lintérieur pour flatter son clitoris. Le désir remonta en elle petit à petit, elle se rappela encore quelle avait été baisée par deux fois et quelle avait eu plusieurs orgasmes. Mais voir son employée danser sur le gros zeb de lhomme, bien observé et qui entait et sortait de façon provocante, elle eu un second choc de désir et denvie brutal. Alors, sans réfléchir et sans hésiter, elle poussa son employée pour la détacher du zeb de lhomme et immédiatement elle prit sa place sur lhomme en enfonçant son gros zeb dans sa propre chatte affolée. Puis, elle commença, comme le faisait son employée, à danser sur le zeb et à se contusionner avec jouissances. Lemployée, privée de zeb, et ne pouvant refuser à sa patronne son plaisir, le remplaça par sa main pour se branler et finir son orgasme personnel. Lhomme, surpris, laissa ma femme se baiser à son aise. Elle réussit à se faire plusieurs orgasmes dans cette position. Mais quant il commença à ressentir les démangeaisons de ses couilles et de son bas ventre, il prit la situation en mains et repoussa ma femme. Puis, se relevant, il la positionna, à genoux sa tête sur le lit et le cul bien lair. Il lui écarta les cuisses et se mettant entre elles, il empoigna son zeb et le plongea brutalement dans la chatte de ma femme par derrière. Cette nouvelle position et cet enfoncement brutal du gros zeb firent hurler ma femme encore une fois de jouissances. Et lhomme démarra une série de vas et viens vigoureux tout en saccrochant aux hanches de ma femme et tout en caressant de temps en temps ses larges et belles fesses dodues sur lesquelles il donna quelques gentilles tapes de plaisir. Ma femme se plongea encore une fois dans une série dorgasmes continues et gémissait en permanence tout en soulevant son derrière à chaque onde de jouissance. Cette troisième baise dura plus dun quart - dheure sans que lhomme ne fléchisse et quant il arriva à son top, il eu envie déjaculer dans la chatte de la femme tellement elle semblait consentante. Mais il se retira et inonda le cul, les fesses et le dos de ma femme par trois ou quatre éjaculations abondantes de sperme chauds. Et encore une fois, presque automatiquement, lemployée qui observait le couple, sauta sur loccasion pour essuyer, avec le slip de lhomme, le maximum de sperme. Elle savait ce quelle allait en faire demain et les autres jours. Enfin, ma femme rassasiée se laissa choir, le ventre sur le lit et sendormit presque, exténuée de plaisir sexuel. Jamais, dans sa longue vie maritale, elle navait eu autant de plaisirs sexuels et de qualités inédites et de jouissances.
Lacte dadultère, dans sa tête et dans ses fantasmes, a même amplifié ses jouissances et elle décida de ne plus sen priver dorénavant, car il lui donnait beaucoup plus de plaisir que celui, marital, terne et rare. Lemployée nayant pas satisfait sa branle demanda à lhomme de laider en essayant de la baiser mais il préféra lui branler et sucer la chatte longuement et vigoureusement jusquau moment ou elle obtint un grand orgasme fortement mouillé et bruyant. Un quart dheure plus tard, lhomme est parti par la porte extérieure que lemployée ferma derrière lui et les deux femmes retournèrent à la maison pour se doucher et se nettoyer. Il était pratiquement deux heures du matin et quant ma femme se coucha en robe dans son lit, lemployée la rejoignit et, presque dautorité, elle se coucha avec elle. Puis elle se mit à poil et dénuda aussi dautorité ma femme et elles se blottirent toutes nues, lune contre lautre, se donnant quelques caresses et baisers, puis elles sendormirent. Le lendemain, en prenant son petit déjeuner, ma femme nen revenait pas de ce quelle avait osé faire la veille. Elle semblait gênée devant son employée, mais cette dernière, pour la décontracter complètement, alla chercher le slip de lhomme pour lexhiber devant ma femme. Rougissant à lextrême, ma femme reconnut le sperme du gros zeb et les souvenirs nets de lhomme et de leurs ébats remontèrent pour la convaincre que ce fut une réalité. Alors, imitant le gros rire complice de son employée, ma femme se décontracta en gloussant de plaisir. Elles parlèrent de leur nuit et évoquèrent, surtout lemployée, des différentes baises, de leurs positions, des jouissances obtenues et se promirent de continuer dans cette voie, cette nuit. Lemployée savait rester discrète et polie dans son travail dans la maison, mais dès quelle le jugeait utile, et seule avec sa patronne, elle plongeait dans lintimité en paroles, en clins dil et même maintenant, en gestes osés. Elle savait séparer les moments de travail de ceux de l'excitation et du plaisir sexuel, comme une vraie professionnelle.
Et le soir, à lheure prévue, les deux partirent ensemble et pendant que ma femme attendait, nue dans la loge, lemployée alla ouvrir la porte extérieure à lhomme. Puis, ensemble dans la loge, ils se mirent tous à poil et la fête du zeb et des chattes commence. Ainsi et pendant toute la semaine de mon absence, ma femme et son employée se plongèrent dans cette expérience sexuelle à trois et mon épouse se sentait rajeunir dans son corps et son moral, au point que je lai remarqué. Mais je métais trompé de diagnostic à cette époque. Ma femme était tellement rassasiée quelle ne demandait même plus mon zeb quant je restais deux ou trois jours à la maison, généralement pas plus. Elle sinformait au contraire sur mes missions, leurs dates et durées et elle me téléphonait souvent, vers midi ou 15h, pour savoir exactement si je devais revenir. Je croyais que cétait moi qui lintéressait, mais cétait les plaisirs et jouissances de sa chatte et le gros zeb infatigable de leur amant qui étaient ses seuls intérêts à cette époque.
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