Leslie Nr76 : Histoires Libertines - Beau Père

Leslie NR76 – Nouveaux récits
Histoires libertines - Beau père

Je m’appelle Emmanuelle, je suis fille unique et je vis avec ma mère et son compagnon dans un hôtel particulier du seizième arrondissement à Paris, une des propriétés de la famille de ma mère ayant réussie dans le domaine de l’industrie, ma mère ne travaille pas et vit de la fortune familiale.
Ma mère est une très belle femme avec une libido débordante, ce qui fait que trompant mon père souvent et ouvertement, il la quitta et divorça alors que je n’avais que trois ans, je sais aujourd’hui qu’il a refait sa vie et vit en Argentine, je ne l’ai jamais connu.
De son côté ma mère a pris son dernier amant comme compagnon, il s’est installé à la maison et m’a quasiment élevé, c’est pour cela que je le considère comme mon beau père.
Depuis que j’ai l’âge de comprendre les choses, je sais qu’ensemble ils forment un couple libertin et échangiste, ils ne s’en cachent pas et reçoivent du monde à la maison pour des soirée où je ne suis pas conviée. De plus ils ont aussi chacun de leur côté des aventures en dehors de leur couple, apparemment de vivre ainsi leur convient très bien.
A l’aise financièrement je n’ai jamais eu de problème d’argent, tant pour me m’acheter des
Fringues à la mode, que pour me faire plaisir en m’offrant de la lingerie. Ce qui fait que je suis très bien équipée en ce qui concerne les sous-vêtements, mais aussi les petits gadgets personnels que j’ai et qui me servent lors de mes plaisirs solitaires.

Ma mère, Céline, est brune comme moi et d’un physique assez semblable au mien, nous sommes plutôt minces, voire menue pour moi, mais avec des formes féminines qui font de nous de jolis brins de femmes ! D’ailleurs souvent quand nous faisons les boutiques ensemble elle passe pour ma sœur ainée.
Elle a en revanche la prestance de la femme d’affaire, assurée, qui me manque encore, s’habillant de façon coquette et sexy, elle ne laisse pas indifférente ceux ou celles qui croisent son chemin,
Julien est bel homme, svelte au physique entretenu par des séances en salle, ses cheveux châtain clair aux jolis reflets blonds et ses yeux marrons, s’accordent à lui donner une beauté envoutante.

Son regard profond est à la fois doux et pénétrant.
J’ai donc grandi entourer de ma mère, libertine et volage et de cet homme, beau et ténébreux et aujourd’hui à dix-neuf ans je me sens vraiment libre et heureuse.

Je me souviendrai toujours de ce vendredi après-midi où rentrant à la maison plus tôt que prévu, n’ayant pas cours du fait de l’absence d’un professeur, je m’étais réfugier dans ma chambre pour étudier et faire mes devoirs, quand soudain je fus dérangée pas des gémissements venant du bureau de ma mère…
En arrivant près de la pièce, je m’aperçus que la porte était restée entrouverte, alors en faisant le moins de bruit possible et discrètement j’ai regardé à l’intérieur.
Ce que je découvris sans me surprendre me figea et il me fallut un instant pour que je prenne conscience de ce que je voyais.
Ma mère était là dans son bureau, complètement nue à quatre pattes, en train de se faire baiser par derrière par Julien debout habillé derrière ma mère, le pantalon et le slip à ses chevilles.
- Tu aimes ça te faire enculer, dis-le que tu aimes sentir ma queue bien au fond de ton trou du cul !
- Oh oui, c’est tellement bon ! En plus elle est grosse comme je les aime, continue comme ça !
Et tout ça avec des cris de jouissance.
Mais ce qui m’a le plus surprise c’est quand Julien après avoir jouit dans le cul de ma mère s’est retiré et retourné, j’ai alors vu ce ses énorme, long et épais, ce membre dont parlait ma mère peu de temps auparavant.
Rapidement en silence je suis retournée dans ma chambre, quelque peu chamboulée de ce que je venais de voir.
Ce n’est que le lendemain matin en prenant mon petit déjeuner que je me suis vraiment rendu compte que Julien me regardait d’une étrange façon, et je me suis même posé la question de savoir s’il m’avait vu dans l’entrebâillement de la porte ou s’il avait des vues sur moi depuis déjà quelques temps…
Les jours suivant je fus constamment troublé par le regard pénétrant que Julien portait sur moi chaque fois que nous étions réunis, même en présence de ma mère, et mes pensées et mes rêves n’arrangeaient rien au trouble qui m’envahissait.


Je dois vous préciser, et vous comprendrez qu’ayant été élevé entre deux être à la sexualité débordante, que c’est très jeune que je me suis penchée et intéressée aux choses du sexe.
Je n’avais jamais vu avant ce fameux vendredi mes parents faire l’amour et surtout de la façon comme ils le faisaient quand je les ai surpris.
Mais bien avant alors que j’étais encore très jeune, un soir en boîte de nuit un garçon m’a dragué, et dehors dans un endroit sombre, il m’a demandé de le sucer. Ce soir-là, ce fut une véritable découverte, je me suis rendu compte que j’adorais la sensation de la chair masculine s’engouffrant dans ma bouche et le goût du sperme se déversant au fond de ma gorge, et surtout de savoir le pouvoir que j’avais en faisant des fellations pendant qu’ils gémissaient sous l’action de mes lèvres.
Je suis devenue une experte dans cette pratique, je suis devenue une vraie suceuse de bites et puis j’ai pris encore plus de plaisir quand, plus tard et plus dévergondée, j’ai sucé en me faisant mâter dans les endroits les plus improbables où aussi sachant que l’on pouvait me surprendre en train de sucer un mec.
Mais je refusais farouchement d’aller plus loin, enfin pendant quelques temps, ce qui fait qu’à cet instant avec Julien, cela faisait longtemps que je n’étais plus vierge et des deux autres orifices que ma bouche, alors si l’occasion se présentait avec lui aurais-je la force de me refuser à lui et son joli membre qui me faisait tant fantasmer…

Un jour où j’étais seule dans la maison en train de réviser mes cours, j’entendis sonner à la porte d’entrée. Comme j’étais seule à la maison je ne portais qu’un simple tee-shirt sur ma peau nue et un petit string qui cachait qu’une infime partie de ma nudité…
Dans réfléchir, je suis allé ouvrir et je me suis retrouvée devant Julien attendant sur le pas de la porte. Lorsque j’ai vu son regard qui m’a paru encore plus intéressé que toutes les autres fois et je fus troublée, d’autant plus que je constatais qu’il avait sonné alors qu’il avait la clé de la maison dans sa main.
Il était clair qu’il voulait s’assurer de ma présence dans la maison.
Sans même dire un mot, il s’est approché et m’a pris dans ses bras, puis il m’a pris la main pour me conduire dans le bureau de ma mère.
A peine entrée il m’a fait m’asseoir sur le petit canapé et, après m’avoir apporté une boisson il s’est positionné debout en face de moi.
Des frissons parcoururent mon corps depuis mes reins jusque dans mon ventre et irradiant de légères décharges électriques jusqu’à mon clitoris, le fin tissu de mon tee-shirt ne cachait plus les pointes érigées de mes seins.
Comme je l’ai dit mes seins, assez menus mais bien formés, n’étaient pas très différents de ceux de ma mère, mais étant plus jeune qu’elle, ils étaient certainement plus fermes, puisque je venais tout juste d’avoir dix-neuf ans et ce moment j’ai constaté qu’ils étaient un peu plus gonflés que d’habitude…
Il s’est approché et un instant plus tard je me suis retrouvée seins nus et Julien à commencer à les caresser, je me surpris à jouir de ses caresses en mouillant abondamment mon string

Les doigts d’une de ses mains ne cessaient de tournoyer autour d’un de mes mamelons, pendant que l’autre main descendait lentement le long de mon ventre.
J’avais l’impression, à cet instant, que mon être entier était transporté vers une jouissance encore inconnue pour moi, j’étais en train de basculer le charme de mon beau père et je me suis dit qu’il aurait pu faire ce qu’il voulait de moi !
Et puis il s’est brutalement écarté de moi et il eut alors un regard qui me fit presque peur. Il semblait captivé par la vue de mes jeunes seins, mais j’étais moi-même dévorée de désir !
Puis je suis venue à sa demande m’asseoir sur ses genoux.
En m’asseyant, je sentais contre mes cuisses dénudées les muscles fermes de ses cuisses à travers le tissu de son pantalon. Cette sensation me fit fondre doucement.
Je me mis à penser alors que dans la tenue dans laquelle j’étais, s’il voulait me violer maintenant, personne n’aurait pu l’empêcher !
Il n’était plus question que je n’aille au bout de ce qui allait se passer, j’en avais trop envie, alors comme accélérer les choses, je relevais un peu mon bassin et fis glisser mon string le long de mes jambes et le laissais tomber à mes pieds, juste un petit bout d’étoffe humectée de mon désir que je ne contrôlai plus.

Puis dans ce bref mouvement, je fis frotter mes petites fesses contre lui, je sentis un instant une forme ferme entre ses jambes. J’étais désormais cul nu et pour qu’il puisse accomplir son désir, il me suffisait de me pencher en avant afin qu’il puisse glisser facilement ses doigts dans la raie de mes fesses.
Il n’a pas tardé à approcher sa main de ma raie et alors qu’il hésitait, je lui dis :
- Ne te gêne pas, tu peux y aller doucement.
Aussitôt son majeur a d’abord frôlé ma rosette ce qui m’a fait légèrement sursauter, comme si j’avais reçu une légère décharge électrique, mais c’est plutôt un frisson de tout mon corps qui s’en est suivit lorsqu’il a commencé à doucement masser mon anus. Il fallait que je lui montre mon envie alors je me suis levée pour me mettre à genoux sur la banquette, ma tête posée entre ses cuisses, indécemment offerte, en lui disant :
- Comme ça se sera beaucoup mieux !
Dans cette posture mes fesses relevées et entièrement nues, mon anus s’offrait à lui.

Il passa devant moi et se penchant en avant il alla de la main chercher mon cul pour qu’enfin son majeur me doigte l’anus, alors je relevais la tête, il était positionné de tel façon que je n’eus pas de mal à ouvrir sa braguette et mes doigts, non sans mal, ont dégagés son sexe gonflé. La hampe de chair libérée demandait que cette libération pour se tendre tout près de mon visage.
Devant ce sexe magnifique qui s’offrait à ma bouche, mon passé récent de petite suceuse refit surface, et j’ai aussitôt embouché la verge de Julien et retrouvé immédiatement les sensations des folles expériences passées.
Il a été surpris par la vitesse avec laquelle je le suçai, appliquée à le remercier des douces sensations qu’il offrait à mon anus.

D’une main il s’occupait de mon cul et de l’autre il caressait délicatement mes cheveux.
Ce n’était pas la première fois que l’on me doigtait l’anus, mais je ne voulais pas qu’il jouisse dans ma bouche, alors j’ai laissé sa verge en lui disant :
- Si tu veux, tu peux me faire ce que tu fais régulièrement à ma mère !
J’ai vu dans ses yeux qu’il avait compris et savait que je les avais surpris, alors il me prit le bras pour m’accompagner afin que je me positionne à genoux sur le tapis, tel qu’il le voulait et dans la position dans laquelle il avait pris ma mère, et puis tout alla très vite.
Il n’a pas fallu longtemps pour qu’il frotte son membre contre ma raie et qu’il me pénètre alors que je ne m’y attendais pas, en tout cas pas si vite. J’ai brusquement mordu mes lèvres car la douleur était cette fois bien réelle. Il m’enculait à sec sans plus de cérémonie.
Bientôt il me tritura la poitrine avec une ardeur sauvage et, alors qu’il me sodomisait comme un forcené, il se mit à rugir et à dire des mots qui me rappelaient ceux qu’il avait dit à ma mère quand il la sodomisait…
Puis il me demanda :
- Dis-moi que tu aimes te faire enculer par ton beau-père et que tu aimes sentir son gros sexe profondément en toi ! Dis-moi qu’aucun homme ne t’a jamais enculé avant moi !
Je n’avais pas à jouer la comédie car la douleur première sans disparaître se mêlait à une jouissance exquise à sentir cette belle bite coulisser dans mon trou du cul !
- J’aime ça ! C’est la première fois que je me fais enculer par un homme.
Quand je me suis effondrée, épuisée par la souffrance et la jouissance.
Les jours suivants furent pour des moments de plaisir et de débauche, dès que nous étions seuls, il venait dans ma chambre ou me coinçait dans un coin de la maison et me sodomisait, parfois il me faisait simplement l’amour.
Cette aventure a durer quelque temps, puis il a certainement trouvé une autre jeune fille car il a cessé de venir me voir et puis je suis partie faire mes études dans une autre ville…

A suivre…

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