Surprise

Bonjour,

Après un mois d’aout magnifique ou chaque nuit furent torrides, le froid s’installe et notre libido s’assagit.
Samantha n’est pas en forme, elle fait la tête, elle pense. Je ne connais pas la raison de sa mauvaise humeur, cela passera bien.
Je m’installe devant la télé, elle me rejoint et se colle à moi.
-Mon chérie ?
-Oui ma puce ?
-Je suis embêté !
-Je sais, je le vois bien ! Mais que se passe-t-il ?
-Tu m’offres à Laurent ou à Eric et j’y prends beaucoup de plaisir. Mais toi tu n’as rien !
- Comment ça ? Je t’ai toi et j’y prends du plaisir moi aussi !
-Non ce n’est pas ça tu n’as pas de femme à baisé !
-Ahhh ! Et bien c’est vrai que j’aimerais bien mais ce n’est pas facile à trouver sur le site !
-Ah bon ? Bon ben moi je veux te trouver une femme, donne-moi le mot de passe !
Sur ces mots elle part sur l’ordi et se connecte. Une demi-heure plus tard j’entends les touches du clavier qui crépitent, cela me sort du film, je me retourne. Elle est attentive, elle sourit. Je ne vais pas la dérangé.
Son portable sonne, elle se précipite et décroche
-Allo, Bonjour Jean-Philippe……..
Tien je ne connais pas. Elle s’enferme dans la cuisine le reste de la conversation m’est interdite.
Je croyais qu’elle voulait une fille et bien dommage.
Un quart d’heure plus tard elle ressort sourire aux lèvres, au moins elle a le moral remonté.
-Mon amour Samedi nous recevons quelqu’un
-Ah ! Et qui ?
- Tu ne connais pas
-Oui un certain Jean-Philippe
C’est ironique, mais je me sens un peu vexé quand même. Elle ne me répond pas et s’éloigne d’un pas léger.
Le samedi arrive, c’est moi qui suis en petite forme, je traine des pieds. Vers 19h30, Samantha sort de la salle de bain, elle est très belle, habillée avec classe. C’est un ministre que l’on reçoit ? Ou quoi ?
Elle se fâche et me pousse à la douche.

Je prends mon temps je ne suis pas motivé. La sonnette retentie, j’écoute, pas un bruit, j’espère qui ne lui a pas sauté dessus tout de suite…
….Je me dépêche, m’essuies, m’habille, tiens elle m’a préparé une chemise.Ca doit être réellement un mec de la haute.
Je sors me dirige vers le salon et là surprise je tombe nez à nez avec une jolie petite brune aux yeux bleus, cheveux court
-Bonjour Nicolas, je suis Kate ! Tu ne m’a pas menti Samantha il est charmant.
Je suis interloqué et bafouille :
-Bonjour Kate, je suis enchanté
-Je te présente Jean Philippe mon mari
-Enchanté !
-Moi de même !
Samantha reviens de la cuisine avec un sourire qui en dit long. Elle sert un verre à nos convives.
Notre salon est agencé en « L »un canapé deux places face à la porte et un canapé lit trois places en perpendiculaire face à la télévision.
Je m’installe sur le deux places pour laisser libre le plus grand à nos invités.
Kate tout naturellement viens s’asseoir à côté de moi, Samantha et Jean-Philippe prennent l’autre.
La conversation nous permet de nous découvrir dans nos univers. Les regards se mêlent et brillent.
Un deuxième verre la température augmente les sujets dévies sur nos pratiques nos limites sexuelles.
Kate se redresse et enlève sa veste, prétexte qu’il fait chaud. Je découvre un très joli décolleté, Bien qu’elle n’ait pas une poitrine énorme.
Samantha me fixe du regard ! Jalousie ?
Non incitation à la chasse, elle me désigne ma proie. Kate a capté et me pose la main sur les genoux, se couche sur moi pour exploser de rire. Elle cherche le contact, mais ne reste pas trop longtemps, juste assez pour moi de voir un peu plus, de humer son parfum.
GRRRRRRRRR !!!!! Ca y est je suis raide comme un bambou !!!!!!
Samantha se redresse attire Jean-Philippe vers la cuisine. (Merde ! je l’avais oublié lui)
Kate ne tiens plus en place, elle se tourne vers moi s’assied en tailleur sur le canapé.

Je vois qu’elle n’a pas de pilosité pas de culotte mais un jolie porte-jarretelle. Le taux d’humidité est élevé à cet endroit.
-Je crois qu’ils sont en train de faire des bêtises à la cuisine
-Si vite ? Je ne pense pas
-Et bien tu connais mal mon Jean-phi, Ah ! Ah ! Ah ! Ah !
-Dois-je considérer cela comme une menace pour ma femme ?
-Détend toi et laissons-les s’amuser un peu, viens !
Elle s’approche de moi et m’embrasse à pleine bouche, nos langues se trouvent.
Je glisse une main vers son entre cuisse, pose un doigt face à la fente trempe et progresse lentement en elle. Une fois au fond mon pouce joue avec son clitoris et j’agite mon doigt. Elle frémit, tremble commence à gémir, se redresse un peu et ouvre ma braguette, extirpe ma queue du boxer. Elle à du mal à le faire tellement je suis dur. Elle me branle avec c’est petites mains. Je recourbe mon doigt au fond de sa chatte pour frotter la paroi. Premier contact elle se secoue comme si elle s’est électrocutée. Le souffle court elle a tout arrêté, me regarde les yeux grands ouverts. J’y retourne, encore une secousse et un cri, elle bascule en appui sur ses bras vers l’arrière en écartant bien les jambes.
J’en profite pour dénudé cette formidable poitrine, caresse ses seins dur. Je reprends mon « doigtage » particulier et tout en lui faisant un clin d’œil, J’appui à nouveau sur sa paroi vaginale mon index et appui mon pouce bien sur le clito.
Ça secoue, elle tremble et hurle comme une folle, elle vient à mon encontre et dans une poussée phénoménale se bloque, grogne, gicle dans ma main et s’écroule en arrière essoufflée les yeux révulsé. Je me retire la bite à l’air, je vais vers la cuisine. Jean-Philippe se redresse à peine d’entre les cuisses de Samantha qui est dans le même état que sa femme. Par contre il a bu la tasse ! J’en ris volontiers avec lui.
Je lui indique les sanitaires tout en portant Samantha de la cuisine vers le salon. Pour la poser sur le canapé.

J-P me rejoint à la cuisine. Je suis en train de me laver les mains.
Nous nous asseyons je ressers à boire, Il est impatient de savoir pourquoi sa femme s’est exprimé aussi fort et ce que nous avons fait. Je lui détaille la scène et ce qui s’est passé. Un bruit nous sort de nos bavardages. Il y a de l’activité dans le salon.
Nous finissons en deux trois mouvements, nos verres et notre curiosité nous amène face à un spectacle magnifique.
Le canapé est déplié et nos deux jouisseuses se nettoient communément du plaisir prix une heure plus tôt. Elles sont entièrement nues.
Nous admirons leurs jeux de langues et de mains pendant de longues minutes nous avons une trique d’enfer. Samantha est de dos à la porte, son dos frissonne, elle a senti ma présence. Elle se retourne :
-Alors Messieurs vous n’en avez pas marre d’attendre ? Foutez vous à poil on à besoin de queues !
Sans se faire attendre, nos vêtements sont tous au sol, les tigresses se sont positionnées. Je suis sûr que le chasseur ce n’est plus moi, Kate dévore ma trique des yeux. Je pose un genou m’approche, elle est à quatre pattes elle progresse, puis elle se jette sur moi me choppe les couilles et enfonce ma tige dans sa bouche jusqu’à l’avaler. Jean-Philippe quant à lui c’est fait cueillir au pied du lit, Samantha est assise au bord, accrochée à ses fesses. Il lui bourre littéralement la bouche.
Elles se déchainent si bien que nous jouissons au fond de leur gorge en même temps, nous nous écroulons sur le lit à coté l’un de l’autre. Les tigresses ne nous lâche pas elles nous chevauchent et frottent leurs clitoris à nos queues qui ramollissent.
Cette étrange sensation de sentir son gland sucer par les lèvres vaginales d’une femme qui ondule. Voir ses seins se dandiner, leurs regards profonds et coquins. Sentir le liquide chaud de ces femelles en rut couler sur nos couilles. Tout ceci nous a vite remis sur pied.
Elles se frottent en cadence et commencent à souffler court .
Elles échanges des baisés très vulgaire sortant la langue à outrance.
Kate glisse une main entre mon pubis et ma queue. Elle appui sur son clito, je suis trempe, Elle augmente l’ampleur et d’un seul coup se plante sur ma tige. Elle jouit immobile, seule sa chatte se contracte. Je tourne la tête, Samantha se fais pénétrer en levrette.
Maintenant que j’y suis j’y reste je prends Kate dans mes bras et la retourne sur le dos, toujours planté en elle. Je l’att sous les genoux relève ses jambes m’assied planté au fond, ses jambes glissent sur mes bras, je la saisi par les hanches. Je commence à la pistonner, je varie le rythme. Dés fois, seulement le gland, puis suivi de profondes pénétrations. A côté ce n’est que grognements et claquements, le lit bouge énormément. J’augmente la cadence, voir la queue de Jean-Philippe défoncé la chatte de ma femme m’excite. Je m’allonge sur elle, lui att les fesses et la soulève vers moi pour pouvoir la prendre bien en profondeur. Elle se cramponne à mon dos me mord le coup.
-Vas-y Nicolas, je veux sentir ta jouissance couler au fond de moi, car ta femme va bien se faire remplir elle aussi et j’aime ça tout comme elle
Ses mots heurtent nos esprit, un, deux, trois aller-retour extrêmement violents et je décharge au fond de sa chatte. Elle hurle et jouis simultanément.
Nos conjoints Juste à côté finissent eux aussi de ce vider l’un dedans et l’autre sur. Tout le monde s’écroule.
Au bout de quelques minutes, Je me lève pour aller chercher de quoi nous rafraichir.
Après s’être rhabillé et suite à de chaleureuse embrassade, nos nouveaux amis ont pris congé.
Nous nous sommes promis de nous revoir. Faisant le point avec ma belle sur cette soirée, c’est « le retour de flamme ! » qui nous accompagnera jusqu’au sommeil.

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