Madame Gerda Aide La Belle Denisa

Femmes de Roumanie – histoire réelle racontée par une dame

Denisa R. avait déjà 24 ans et n'avait toujours pas couché avec des hommes. C'était une brune à peau très blanche; elle était grande et bien roulee, avec un gros cul et de gros seins. Au collège, ses camarades l'enviaient pour son corps magnifique et se moquaient d'elle et l'appelaient «la sectaire». Denisa n'allait pas à la discothèque, ne buvait pas, ne portait pas de minijupe, pas de maquillage. Mais personne ne savait que Denisa se masturbait secrètement.

Après son retour de la fac, elle s’enfermait dans sa chambre et, assise nue sur le lit devant le miroir du vieux placard de sa grand-mère elle écartait les jambes et regardait son corps parfait avec plaisir, puis caressait lentement son sexe avec ses doigts jusqu'à l'orgasme. Mais cette pratique catalysait en elle une névrose devenue agaçante. Et elle savait que cela ne pouvait plus faire ainsi: elle devait être touchée par quelqu'un d'autre.

Mais les hommes – pour elle - étaient détestables... et elle pensait de plus en plus... à une autre femme. Une femme qui puisse garder le secret, une femme pour lui bien embrasser son sexe... profondément et sans honte.
Une femme pour goûter aux secrets du plaisir ...

En mai une nouvelle voisine apparut dans l'immeuble, juste dans l'appartement d'à cote, mur en mur. C'était Madame Gerda, une enseignante de chimie, divorcée, d'environ 40 ans. C'était une étrange femme maigre, avec des cheveux teints en rouge et des lunettes avec de nombreuses dioptries. Elle était d’origine Allemande et avait une expression toujours surprise et un nez en bec d'aigle. Pas belle du tout.

Puis un matin, Denisa a eu une révélation sur la sexualité de sa voisine.
Elle était sur le balcon quand elle l'a vue dans l'allée. Elle venait accompagnée d'une fille de maximum 20 ans.
Puis, après un quart d'heure, à travers le mur... des gémissements de femme ont commencé à clairement se faire entendre.

Denisa fut prise de longs frissons de plaisir suffoquant. Elle colla l'oreille au mur et entendit clairement la voix suppliante et rauque de sa voisine.
"Oh... ahh. chérie... lèche-moi... ta bouche...oooh... ta bouche... oooh... oui, oui, oui..."
Les sons sexuels d'à cote durèrent environ une heure, pendant laquelle Denisa, collée au mur, se masturba sans cesse. À la fin, les gémissements se sont arrêtés et elle entendit des rires féminins.
Au bout d'une demi-heure, elle entendit la porte, et dans la cage d'escalier, elle entendit les talons de la fille en train de descendre. Elle regarda avec impatience par la fenêtre et vit le partenaire de sa voisine marchant rapidement dans l'allée, le visage très rouge.
Denisa haletait. Elle avait été le témoin d'une rencontre sexuelle entre une femme mûre et une jeune fille.

Pendant des jours, Denisa s'attarda à la maison le matin, espérant follement qu'elle allait à nouveau écouter une telle orgie. Les sons du plaisir féminin resonnaient dans sa tete... elle devint obsédée par ça. Puis, peu à peu, une idée folle explosa en Denisa . Si la voisine était lesbienne, il pourrait attirer son attention sur elle... afin de lui céder en arrivant se faire masturber et lécher par une femme. Pour apaiser ses énormes tensions sexuelles. Elle avait honte de ces songes. Mais les songes étaient là, brulants et devorants.

Un jour, vers midi, Denisa arriva à faire connaissance avec cette étrange enseignante. La femme l'étudia avec curiosité.
«Alors vous êtes ma voisine? Je vous invite pour un café, mademoiselle. Vous venez?”
Elle avait accepté, même si elle n'aurait pas dû. La femme était obsédée. Qui sait dans quelle expérience elle était en train de s'embarquer?

Le petit studio de la voisine était propre, même s'il avait une odeur étrange, douceâtre et suffocante, et sexuelle… comme s'il n'avait pas été aère depuis longtemps. Un canapé, deux fauteuils.


Denisa s'était assise sur le canapé, terriblement troublée, son cœur battant douloureusement dans sa poitrine et avec des "papillons" palpitant dans son estomac.

Elle portait une robe rouge qui dévoilait ses genoux ronds blancs et ses sandales romaines plates, d'où ses orteils sortaient, séduisants, avec des ongles vernis en rose. Elle avait également soignent ses talons qui étaient roses et veloutés.
L'enseignante, Madame Gerda, sirotait son café et Denisa remarqua que la femme regardait fixement ses pieds nus. sans gene, comme un homme trouble par un désir, et Denisa réalisa qu'elle était violemment excitée par le fait qu elle était l objet sexuel de cette femme.

Elle commença à trembler et pouvait à peine tenir la tasse dans sa main.

L’enseignante d’abord fit une conversation banale... en lui parlant sur l'éducation d'aujourd'hui… mais Denisa ne comprenait rien. Tout ce qu'elle savait c'était comment, clairement, la voisine lui regardait ses pieds nus, sans gêne.

Entre ses cuisses elle sentait une chaleur immense et déjà des filets de sécrétions sexuelles lui avaient envahi le vagin.
Et soudain, sans comprendre pourquoi elle fait cela, Denisa décida de prendre une initiative. Elle commença, discrètement, à ouvrir et à rapprocher imperceptiblement ses genoux, sous les yeux de l'enseignante, comme une invitation secrète éhontée.
Sentant son slip mouillé par ses sécrétions sexuelles.
Ce qui suivit fut exactement ce qu'elle avait pensé.

Madame Gerda qui avait vu le jeu des genoux de Denisa, laissa le café sur la table, la regardant à travers ses lentilles, tout comme un enseignant sévère. Puis, sans un mot, très calme, elle s'assit sur le tapis devant les pieds nus de Denisa et mit une main sur sa jambe chaude, charnue et soyeuse.
Denisa sursauta comme électrocutée. Et gémit. L'enseignante commença alors à caresser ses mollets avec sa paume, la regardant attentivement. Avec une respiration accelerée.

"Mademoiselle, ça vous dérange? Vous avez des pieds adorables... Et des mollets charnus et soyeux... Vous êtes tellement jolie.
Oh, mais vous avez la chair de poule... Aimeriez-vous que je vous soulage de vos tensions sexuelles, qui, il me semble, sont énormes?..."

Et vite la femme déposa un baiser sur un de ses genoux.

Denisa, en réponse, laissa échapper un autre gémissement et, vaincue par un désir sexuel anormal, poussée par ses besoins sexuels repeimés... s'allongea complètement sur le dos sur le canapé.
Dans l'aine, et dans son périnée quelque chose brulait, vivement. En demandant les caresses.

La dame mure continua à caresser ses chevilles, ses mollets et ses talons soyeux, la regardant attentivement, avec des yeus dilatés. Ensuite, l'enseignante fourra lentement une main indiscrète sous sa robe et Denisa senti immédiatement un doigt mince qui se faufila à côté de la bande de son slip et commença à explorer curieusement sa vulve, et ensuite deux doigts qui commencent à pétrir son clitoris enflé.
Sous la main de l’étrangère, Denisa poussa un petit cri.
La femmei rit doucement.

-Mademoiselle, c est la premiere fois, hein?

Oui. C’était la première fois que le sexe de Denisa était touché par une autre main, à part ses propres mains. Affolée par les caresses de l'enseignante, sous la main de l’inconnue qui lui offrait cette masturbation, comme dans un reve pornp, la belle Denisa fit autre chose: sans invitation, elle leva ses jambes, toute seule, d'une manière qu'elle n'aurait jamais imaginée, aidant sa voisine à la débarrasser de son slip rose.

Puis, dénudée, avec des gémissements de plaisir Denisa plia ses cuisses écartées sur son ventre dans une position parfaitement gynécologique, exposant comme une dépravée son ventre nu, son sexe gonflé et tout à fait vierge, avec des lèvres roses sous le triangle noir de cheveux pubiens frises et courts.

Sans hésiter, l'enseignante passa à la phase deux: elle se penchera vers le ventre exhibé et nu et commença à embrasser avec passion le sexe gonflé et trempé de sécrétions de Denisa, religieusement et sans hâte, la regardant continuellement à travers ses lunettes épaisses.


Denisa cria à nouveau, en ouvrant davantage ses cuisses levées. Le plaisir offert par la bouche chaude dépassait toute imagination.

Puis la femme à lunettes poussa sa langue entre les pétales de chair de sa vulve humide, tout en promenant ses paumes chaudes sur les cuisses de Denisa . Bientôt, la langue de l'enseignante commença un voyage d'escargot humide de la vulve vers l'anus et retour, baignant tout le périné de Denisa avec sa salive abondante. Elle entendit la voix de Gerda.

-Cherie, ta chatte a le gout d un fruit sauvage.

Cette premiere séance de caresses sexuelles c'était trop, beaucoup trop pour une jeune fille aussi hypertendue soumise pour la première fois au cunnilingus féminin.

Le plaisir apporté par la langue éhontée, petite et chaude de l'enseignante monta en elle aussi vite qu'une lave dans un volcani et quand la femme commença à lui masser l'anus, Denisa su qu'aucun effort ne pourra arrêter les spasmes orgasmiques, vers lesquels elle plongeait.

Libérant des cris répétés et inhumains, Denisa, accrochée au canapé avec ses mains. Arquée sous la bouche de Madame Gerda, elle eut un orgasme apocalyptique qui secoua longtemps son périnée.

Quand elle récupéra après le spasmes sauvages et que sa respiration soit revenue, Denisa se rendi compte qu'elle était allongée sur le canapé, sa robe roulée jusqu'à son cou et son ventre nu devant la voisine qu'elle ne connaissait que depuis une heure.
Vidée de toute gêne, ébouriffée, en sueur, et avec une sensation de bonheur total dans le ventre. Quelque chose entre ses cuisses pulsait toujours, comme un signal de ses cellules sexuelles aguichées.

L'enseignante lui avait enlevé ses sandales et caressait son pied nu, le regardant avec révérence comme un objet d'art, passant le bout de ses doigts sur le talon fin, sur la plante, sur les ongles nacrés, sur la cheville fine ... Puis elle l'entendit comme dans un rêve sa voix.

"Denisa, chérie, nous devons continuer. Tu es une vraie princesse du plaisir. Tu veux pas que j appelle un garçon? J’aimerais copuler sous tes yeux."

Étourdie par l'orgasme animatique ressenti, Denisa ne pouvait pas répondre. Comblée d’honte, avec son ventre encore pulsant, elle enfila sa culotte, arrangea sa robe et dit à sa voisine qu'elle ne supporte pas les hommes. et donc qu’elle n'insiste pas.

Après la première séance au cours de laquelle sa chatte avait connu les affolantes caresses de la langue et les doigts pervers de Madame Gerda, Denisa eut, pendant environ 10 jours, un état indescriptible. Dans son corps elle avait un mélange étrange de honte accablant et des éclairs viscéraux de plaisir rétrospectif. Elle attendait un signe de la part de la femme.
Mais Madame Gerda ne l'appela pas.
En essayant de se masturber, elle ensuite eut une surprise en réalisant qu'elle ne pouvait plus être se caresser la vulve seule.
Le 14ème jour, elle pouvait plus - un vif désir sexuel la fit chercher Madame Gerda.


La deuxième séance sexuelle fut plus intense et beaucoup plus longue.
La femme l'aavait reçue et l'avait embrassée tendrement.
- Ah, ma puce, c'est bien que tu sois venue... j'ai faim de toi. Tu sais comment je le veux? Je veux que tu te mettes nue sur le fauteuil, les jambes levées sur les bras du fauteuil. Laisse-moi profiter de ton corps parfait.
Étonnée d'elle-même, Denisa se débarrassa vite et sans pudeur de robe et slips et s'assit comme ça, nue et ouverte, sur le fauteuil. Au milieu de la chambre. Des vagues de plaisir lui parcouraient son corps.
Madame Gerda se tourna alors autour du fauteuil sur lequel Denisa était assise, toute nue, la fixant avec des yeux qui brillaient de plaisirs morbides.
-Hé chérie, tu sais que tu es très bien sur mon fauteuil? Nue et offerre, comme une pute?

Ensuite, l'enseignante soumit Denise à des plaisirs atroces, commençant à promener bouche sur son corps, en commençant par le bout de ses orteils jusqu'aux épaules, puis en revenant, mais en évitant constamment la région de son sexe trempe par les sécrétions de plaisir. La bouche humide de la femme touchait sa peau nue, comme un escargot, et comme dans un rêve Denisa pouvait sentir le souffle chaud de la bouche sur son corps, entrelacé avec les attouchements délicats de petites paumes de Gerda.

Madame Gerda savait offrir des plaisirs à une femme.

Sur chacun des seins de Denisa (seins assez gros, avec des mamelons roses et vierges), la bouche de la femme mûre s’attarda, soigneusement caressant les mamelons roses et longs, avec beaucoup de salives, puis la langue a roulé sur chaque aréole.
La nuque posée sur le dossier de son fauteuil, Denisa se mit à gémir fort, de plus en plus fort, secouant la tête, tourmentée par la bouche de la femme qui, lors du trajet sur son corps nu, s'approchait de son ventre brûlant, évitant au dernier moment le contact suprême avec son clitoris palpitant, gonflé par le sang d'un désir indescriptible.
La bouche chaude et éhontée de la femme mûre se promena sur Denisa, de la tete aux pieds... et finalement descendit au ventre, vers les lèvres roses de la vulve gonflée... Denisa poussa un petit cri et arqua son corps d'un grand plaisir, levant ses hanches et écartant ses jambes tendues autant que possible.

Madame Gerda, à genoux devant le fauteuil commença à embrasser son sexe lentement, tandis qu'avec un doigt elle explorait sans vergogne son anus. Puis la langue de la dame glissa profondément dans la fente de chair féminine, au fond de la vulve pleine de fluides de surexcitation. Denisa cria.

- Oaaaaahhh ... Dieu, je meurs!

Ça n'a pas pris longtemps. Les caresses de la langue de Madame Gerda, et un doigt mince presque complètement enfoncé dans son anus, et son clitoris mâchouillé par des lèvres douces, c'était trop.

En cinq minutes dans les viscères de Denisa un orgasme cataclysmique éclata, accompagné des gémissements désespérés de la belle fille.

Apres trente minutes, a son tour, Denisa lécheait avec passion le sexe de madame Gerda qui vida également ses tensions.

Un jour, alors qu elle embrassait sans répit la vulve de Denisa, Madame Gerda demanda à nouveau:
-Denisa ... Chérie ... Si je te le demande ... Tu ne veux pas faire la même chose avec le pénis d'un homme? Je veux voir ça.
Denisa nia.
- Je ne peux pas. Je déteste les hommes, je te l'ai déjà dit.

A SUIVRE

Auteur lucius.ro@gmail.com







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