Maîtresse Patricia: Le Donjon.

Le lendemain matin en me levant je suis impatient, je repense à ses propos: "demain tu es à moi pour toute la journée".
Je remet son collant dans une des poches de ma veste avant d'aller me laver.
Peu après treize heure je reçois un SMS, c'est Patricia,il n'y a que quelques mots: "ne fais pas attendre ta maîtresse esclave!"

heureusement je suis seul,car même si ma compagne ne s'occupe pas de mon téléphone j'aurai du mal à lui expliquer le message si elle venait à le voir.

Je pars donc de chez moi plus tôt que prévu,tant mieux, plus vite arrivé, plus vite à ses pieds me dis je.
Arrivé devant la grande maison je sonne,je suis étonné de voir "maîtresse Patricia" en personne m'ouvrir,vêtue d'une sorte de grande robe de chambre noire en soie.
Instinctivement je m'agenouille dans le petit escalier devant la porte, "relève toi, quelqu'un pourrait te voir! "Me dit elle avec autorité,puis, me tendant une clé, elle ajoute: "vas attendre ta maitresse devant son trône",et me laisse la pour partir vers son bureau.

En me dirigeant vers la "salle du trône" je suis déjà excité, après avoir ouvert la grosse porte je vais me placer à genoux devant le trône.
Plusieurs minutes passent quand j'entend soudain des bruits de talons dans le couloir,mon coeur bat fort,elle ouvre la porte puis la referme avant de tourner la clé dans la serrure, elle "m'enferme" avec elle!

Elle arrive rapidement devant moi, une cravache à la main,dont elle vient placer l'extrémité sous mon menton.
"Regarde moi!"ordonne t-elle.
Levant les yeux,je la voit s'abaisser vers moi pour me gifler, "je t'ai laissé un cadeau pour toute une nuit et tu ne me remercie pas?
-pardon madame, merci madame répondis je tout de suite.
-je t'ai déjà dis que je ne pardonne jamais!je puni!, rends le moi et amènes ça ici! "ordonne t-elle en désignant le carcan.

Je sors le collant de ma poche et lui tend,elle s'en saisit puis le jette négligemment au sol.


Pendant qu'elle prend place dans son trône,je cherche le carcan qu'elle me fais installer juste devant les petites marches puis m'envoie chercher une espèce de trépied dont le haut est garni de fourrure.

De son index elle me fait maintenant signe de venir à ses pieds,"youpi!"me dis je intérieurement.
Elle entrouvre légèrement sa "robe de chambre", je peux voir qu'elle porte des bottes hautes sur un pantalon de cuir, c'est très excitant.
"Lèche mes bottes comme un chien!",me dis t-elle en faisant claquer sa cravache sur le côté du trône.

Je commence donc à littéralement lui lécher les bottes, et, même si la situation est excitante, je préférerais, et de loin, lécher ses pieds nus.
très vite elle m'ordonne de lui enlever ses bottes, ce que je fais avec grand plaisir.
Elle ne porte ni bas,ni collants et l'odeur du cuir se mêle à la délicate odeur de ses pieds,je suis très excité.

A peine ai je retiré ses bottes, elle se lève,"viens ici!"me dit elle tout en désignant le carcan de son index.Je me place devant,elle l'ouvre en deux et me dit alors en souriant: "j'ai la punition idéale pour toi! Aller, mets ta tête et tes mains la dedans!"
j'obéi, elle replace la partie supérieure et enclenche un verrou manuel, je suis son prisonnier!

Elle me fait avancer jusqu'au trépied qu'elle cale devant les marches puis elle va s'assoir, s'allume une cigarette, sort son téléphone et, tout en me regardant d'un air satisfait, elle étend ses jambes jusqu'au trépied, ses chevilles reposent sur la fourrure,ses pieds sont à quelques centimètres de mon visage sans que je puisse les toucher,effectivement,elle sait comment me punir!

Grâce à une pendule située derrière le trône je sais que près d'un quart d'heure est déjà passé depuis qu'elle m'a "emprisonné",de temps en temps elle passe un pied par dessus l'autre ou remue légèrement ses orteils.
De ma position je peux à peine sentir son odeur, je me contente de regarder ses divins pieds avec envie.

levant soudain les yeux de son portable elle me dit doucement: "tu aimerais pouvoir les lécher hein?
-Oui madame
-tu crois que tu le mérite?
-je ne sais pas madame, c'est vous qui décidez"lui dis je avec espoir.
Elle bouge alors ses pieds simplement pour croiser ses chevilles dans l'autre sens puis se replonge dans l'écran de son portable.

Une dizaine de minutes passent encore sans un mot ni un regard de sa part, puis elle finit par poser son téléphone, elle se rallume une cigarette et, tout en levant ses jambes, elle s'enfonce un peu plus dans son trône.
Quand elle repose ses chevilles sur la fourrure ses pieds se retrouvent collés sur mon visage.
"Ha enfin" me dis intérieurement, mais surtout "merci madame"lui dis je de vive voix.
Elle passe ses pieds partout sur mon visage, n'ayant pas reçu d'ordre, je ne fais rien si ce n'est les sentir le plus possible.
A ce moment elle me dit: "ta punition est levée, je t'autorise à embrasser et lécher mes pieds!
-merci madame! " répondis je avec reconnaissance.

Enfin! Je couvre ses pieds de baisers, je lui lèche des talons aux orteils, je passe ma langue entre ses doigts, parfois elle me les rentre dans la bouche, parfois elle me présente le dessus de ses pieds pour que je les couvrent de baisers également, c'est le paradis pour moi!
Elle s'amuse aussi à reculer ses pieds brutalement afin qu'ils soient hors de mon atteinte, je me sens alors comme un chien tenu en laisse qui ne pourrait pas atteindre sa gamelle!
Elle sait comment me rendre dingue!

Je n'ai pas fait attention à l'heure mais quel que soit le temps passé j'aurais toujours trouvé ça trop court quand elle décida de se lever pour me "délivrer".
Après m'avoir demandé de remettre le trépied et le carcan en place, elle m'ordonne de lui remettre ses bottes et me demande sans transition de me déshabiller.

Je suis un peu gêné, j'hésite,"dépêche toi d'obéir et remet toi à genoux!"me dit elle d'un ton énervé.

Pendant que je me déshabille elle enlève sa "robe de chambre", je m'aperçoit que son pantalon de cuir est ouvert à l'entrejambe,laissant apparaître son sexe rasé et ses belles grosses cuisses, c'est trop excitant, je "bande comme un taureau".
Elle porte également un haut en cuir ouvert sur le nombril, il est très moulant, ses gros seins y sont compressés et je peux même voir ses tétons pointer au travers, quelle déesse! Une véritable dominatrice, comme dans mes rêves les plus fous.

Une fois nu et à genoux comme elle me l'a ordonné, je la regarde se diriger vers ses "accessoires", elle y prend deux paires de menottes et une laisse, elle me tend une des paires et m'ordonne de la passer à mes chevilles, j'acquiesce et la remercie tout en obéissant,elle passe la deuxième paire à mes poignets, puis la laisse à mon cou,elle me regarde d'un air sévère, je la remercie, elle écrase alors mon sexe en érection sous une de ses bottes en rigolant,puis, elle se tourne et tire brutalement sur la laisse,"allez viens esclave!"me dit elle tout en se mettant en marche.

Je la suit à quatre pattes jusqu'à la cage qu'elle ouvre, elle m'ordonne d'y rentrer tout en laissant tomber la laisse, je m'y "installe", elle la referme puis la verrouille à l'aide de cliquets accessibles seulement depuis l'extérieur.
Je ne sais pas encore ce qu'elle compte faire mais je trouve la situation très excitante.

Elle me demande de lui redonner la poignée de la laisse à travers les barreaux,au milieu de la cage.
À peine l'a t-elle en main qu'elle tire violemment dessus,m'obligeant à me tendre pour coller mon visage aux barreaux du dessus.

"Tire ta langue esclave!"me dit elle soudainement.
Elle laisse alors tomber un crachat sur ma langue en me demandant de l'avaler et tout de suite après, me crache fort en plein visage car je ne l'avais pas remerciée.Je la remercierai ensuite entre chaque crachat jusqu'à ce qu'elle décide de grimper sur la cage.


Elle s'y accroupit,son sexe et son anus son sous mes yeux, ou plutôt au dessus, quelle vision de rêve!
Elle m'ordonne alors de ramasser une gamelle pour chien en inox se trouvant dans la cage et de la tenir contre moi, puis, tirant sur la laisse à l'extrême elle me dit: "ouvre bien ta bouche tu vas avoir l'honneur de goûter un des fluides divins de ta maîtresse!"
Je la remercie, je suis impatient, c'est au delà de toutes mes espérances.

Elle écarte alors ses grosses lèvres tombantes de ses doigts et commence à m'uriner au visage, quel pied!!
j'essaie d'en avaler un maximum, évidement j'en ai partout, je dégouline de son "champagne", mais quel délice!

Elle a fini, elle écarte les jambes pour me regarder et m'ordonne de boire ce qui a coulé dans la gamelle, je ne me fais pas prier,c'est trop excitant!
Elle colle alors ses fesses contre la cage tout en tirant la laisse en me disant: "tu as le droit de nettoyer avec ta langue et de te masturber!"
Je suis aux anges! Je lui lèche le sexe frénétiquement tout en me masturbant, j'aspire chaque goutte d'urine,très vite c'est un goût de cyprine que j'ai en bouche,je ne tarde pas à éjaculer,à ce moment elle coupe court et descend de la cage.

Tout en ouvrant la cage, elle me montre un petit réduit à la droite du trône,"tu as tout ce qu'il faut pour t'essuyer et pour nettoyer la dedans!quand tu as fini, tu referme derrière toi et tu viens me voir dans mon bureau" me dit elle avant de jeter la clé des menottes au sol, remettre sa robe de chambre et de s'en aller sans un regard.

Après m'être détaché et essuyé l'urine et le sperme sur mon corps, je nettoie le sol, puis,les menottes, la laisse,et la gamelle dans un petit lavabo présent dans le réduit, "décidément tout est prévu" me dis je.

Une fois le ménage terminé je la rejoins à son bureau.en arrivant devant la porte il me semble entendre une dispute et Mathilde sort alors rapidement me regardant d'un air bizarre,sans me dire bonjour,je ne savais pas qu'elle était là, je suis étonné.
Patricia me fais signe d'entrer, elle est de nouveau habillée de manière "classique".

Elle me dit que je peux garder la clé de la "salle du trône",de cette façon je pourrais aller l'y attendre quand elle le décidera et conclut en me disant que je pouvais rentrer chez moi.
encore halluciné de cet après midi, je rentrais rapidement me laver avant que ma compagne ne rentre.
Les semaines qui suivirent se ressemblaient,parfois des journées entières sans la voir, parfois des après midi entiers à ses ordres en passant par les petits moments furtifs après ou pendant le déjeuner pour lui embrasser ou lui masser les pieds, jusqu'à un matin qui allait rendre la situation encore plus excitante.

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