Histoire D'Un Loft (Épisode 1)

Nous sommes en 2011 et je m’appelle Vida.
Je n’ai plus qu’une porte à franchir et je serais enfin sur ce plateau tant convoité. J’entends déjà les cris des spectateurs, des techniciens courent dans tous les sens et des projecteurs sont propulsés au plafond à la même vitesse que l’adrénaline contenue dans mon corps . Cette fois, on y est ! Plus qu’un pas en avant et certainement plus question de reculer. Pourtant rien n’est fait, et tout est à commencer. la production a été très claire quant à mon rôle :

- On t’engage, mais tu dois faire de l’audimat. Si cette dernière chute, tu fais tes bagages et tu sors illico.

Cette phrase prononcée dans la matinée était assez limpide. Fallait pas me faire un dessin, j’avais clairement compris leurs intentions. Ces mots ne cessaient de résonner dans ma tête et je me les répétaient bien malgré moi. S’en ai suivi le règlement du jeu. Ils n’avaient rien oublié les salopards. Comment bien se faire du fric sur notre dos en dix leçons. Ah, mais c’est qu’ils avaient bien peaufiner leur bouquin. Quoiqu’il en soit, durant ces cinq heures non stop, enfermés dans des cabines à la manière d’un peep show, afin de ne pas voir à l’avance les visages des concurrents, on a du se taper les alinéas des paragraphes comprenant les clauses machin truc où il ne faillait surtout pas oublier de se référer au point 5236 écrit en caractère 2, loupe non fournie. Mais bon, fallait pas oublier pourquoi on était là : Un million d’Euro promis au gagnant et une Ferrari prêtée gracieusement pendant un an tout frais compris. Y’a de quoi encourager un homme tout de même. Alors que le gong de départ devrait retentir d’ici quelques minutes, je repense à tout ce qui m’a amené ici : les premiers castings aux questions ultra personnelles - désireux de préserver votre vie privée s’abstenir -. S’en ai suivit une dizaine d’éliminatoires pour en arriver là où je suis. Mais faut bien avouer que c’est la dernière qui a fait la différence.

Aussitôt rentré une voix crachait à travers un haut parleur mes premiers ordres :

- Déshabille toi …
- Pardon, vous devez faire erreur je viens pour la dernière éliminatoire du jeu …
- Déshabille toi …
- Mais enfin, puisque je vous dit que ..
- Déshabille toi …

Conscient que c’était l’épreuve ultime qui me donnerait le droit d’obtenir mon ticket final je me pliai à leur exigences. J’ai retiré ma chemise, mon jeans … et je me suis retrouvé en caleçon moulant devant l’œil admiratif d’une caméra pivotante qui semblait zoomer sur la protubérance de mon caleçon

- Ca vous va comme ça ? lançais-je
- Déshabille toi …
- Mais c’est pas vrai, vous voulez quand même pas que j’enlève …
- Déshabille toi …
- D’accord, j’ai compris

C’est ainsi que j’ai enlevé, non sans une certaine gêne, le dernier tissu qui recouvrait mon intimité. La seule porte contenue dans cette pièce hormis celle de l’entrée s’ouvrit alors mécaniquement. J’ai pénétré alors, non sans une certaine inquiétude, dans la seconde pièce pourvue cette fois-ci de deux caméras et d’une vitre sans teinte. La voix retentait à nouveau dans cette pièce

- Tourne toi …

Je m’exécutais cette fois sans objection. J’ai pivoté lentement sur moi même pour me retrouver à nouveau face à la vitre.

- Branle toi …
- Quoi ?
- Branle toi …
- Vous me dégoûtez !
- Branle toi …
- Ok, ça va, ça va j’ai compris.

J’ai pris légèrement en main ma verge ramollie par la situation et j’ai commencé à exécuter un mouvement d’avant en arrière à un rythme excessivement bas.

- Continue, plus vite !

J’augmentais donc le rythme à une cadence beaucoup plus élevée. Mon sexe commençait à se tendre et je trouvais un coté assez excitant à la situation.
Après tout, c’est ce qu’il voulait comme nouveau concept pour ce jeu : du sexe à gogo. Il nous avait clairement prévenu dès les cinquièmes éliminatoires. Ma main tirait et écrasait de plus en plus vite mon sexe dressé. Conscient que je devais me distinguer par rapport à ceux et celles qui allaient me suivre, j’ai craché dans la paume de ma main une bonne quantité de salive, afin de permettre à celle-ci de coulisser au mieux le long de ma verge. Mon membre était au garde à vous. Il pointait fièrement à l’horizontal en direction du miroir.

- Tourne toi de 90° sur la droite !

Je m’exécutais à nouveau devinant exactement ce qu’ils voulaient voir : la longueur de mon sexe offert à leurs yeux… … Je sors de mes pensées par un vacarme soudain. Ça y est, l’émission commence. On entend le générique sortir des multiples téléviseurs disposés de ci de là. J’en ai une dans ma loge d’où je pourrais suivre le début de cette saga. J’imagine que mes camarades doivent disposer des mêmes faveurs que moi. L’animateur arrive en trottinant sur le plateau le bras levé à la manière d’un gladiateur sortant victorieux d’une lutte impitoyable contre un terrible lion. Le parallèle est trop évident : Bienvenue dans l’arène moderne.
Le public se calme peu à peu et l’animateur Taldicast Nimajneb (encore un pseudo à la con) zappé comme un pingouin fait monter la pression dans le public. Très vite il en arrive à citer les règles du jeu :

six garçons et six filles seront enfermées dans un loft pour une durée de trois mois … et blablabla et blablabla … ils seront filmés par 3258 caméras et 16235 micros … et blablabla et balblabla … il y aura un éliminé toutes les semaines …. Le gagnant sera celui qui restera en dernier …

Je me surprends à me marrer tout seul dans ma loge devant tant de conneries. Soyons clair ce jeu n’a plus rien à voir avec la toute première émission diffusée il y a 10 ans de cela. Je vais vous les dire moi les vrais règles.
Celles qu’ont a reçu à la production : un maximum de baise dans toute les pièces et dans toutes les positions. Et pas question de ramollir, on est là pour offrir du spectacle. Pendant que Taldicast énonce les règles je replonge dans le déroulement de ma dernière éliminatoire : le jury semblait satisfait de ma petite branlette. Le haut parleur crachait à nouveau :

- Entre dans la nouvelle pièce sans un mot ! Compris, aucun son ne doit sortir de ta bouche tant que tu seras dans cette pièce. Un cadeau t’attend, tu comprendras très vite ce que tu dois en faire. Quand la porte rouge s’ouvrira, tu partiras toujours sans un mot.

C’est sur ces paroles qu’une nouvelle porte s’est ouverte automatiquement. J’y suis entré avec curiosité, le membre toujours tendu par mes caresses. C’est ainsi que j’ai découvert avec excitation mon magnifique cadeau : Une table était placée au milieu de la pièce avec au dessus une jeune fille qui se penchait cul en avant vers moi et seins contre table. La seule chose que je pouvais voir d’elle était ce magnifique postérieur ferme et rond, ce dos parfait et cette chevelure blonde qui lui arrivait juste en dessous des épaules et fixée en queue de cheval. J’ai avancé en silence, ma verge palpitait dans l’air émue par cette vision féerique. Je ne savais pas trop ce que je pouvais faire ou pas, mais je me rappelais que la voix m’avait dit que je comprendrais. Ainsi j’ai décidé de passer à l’action. Si j’avais mal compris ce serait de leur faute à eux. J’ai mis ma main sur la colonne vertébrale de la jeune fille et j’ai descendu le long de celle-ci jusqu’à la raie de ses fesses. Le frisson qui lui parcourait le dos m’incitait à poursuivre. Ma main glissait rapidement le long de sa fente intime qui semblait douce et accueillante. Quelques petits frottements ont tôt fait de la rendre plus mouillée et mes doigts se sont très vite infiltrés entre ses grandes lèvres humides.
Comme c’était bon. L’excitation de la situation se complétait par le fait que je ne pouvait émettre aucun son.
Ça en était trop, j’ai placé mes mains sur chacune des fesses respectives de la jeune fille et j’ai plongé mon membre dans sa chatte trempée. C’était vraiment trop bon, cette sensation de douceur m’envahissait. Elle m’accueillait dans son beau nid douillet et ma bitte se sentait bien en elle. J’étais vraiment au fond, et la seule chose que j’ai entendu était un petit « oh » qu’elle n’a pu s’empêcher de retenir. J’ai très vite compris qu’elle non plus ne m’adresserait pas un mot. Mais après tout, on était pas là pour faire connaissance. J’ai commencé mon mouvement d’allée et venue en elle, j’étais vraiment au paradis. Mon membre coulissait au plus profond de son ravin d’amour, je rentrais et sortais de son con tout doucement, je veillais à ce que ses lèvres entourent mon sexe avec délicatesse. De légers mouvements de son bassin dans ma direction m’indiquaient qu’elle désirait un peu plus de consistance dans mon travail. Le rythme de mes pénétrations redoublaient ainsi, alors que de son coté, elle avait agrippée les bords de la table de ses mains pour pousser encore plus à fond son con sur ma verge.
Quelle diablesse cette fille, elle en venait presque à s’empaler d’elle même sur mon pieu de chair. Ses seins frottaient contre le bois de la table au même rythme que son cul montait vers moi pour permettre à sa chatte de s’enfoncer sur ma tige. Son corps semblait former une vague par l’ondulation qui partait de sa tête, remontait le long de son dos avant de s’achever par son magnifique postérieur. La vision de ma verge disparaissant à chacun de mes coups de bassin dans ce con brûlant augmentait encore mon envie d’elle. Je me suis retiré alors et je l’ai retourné sur la table, fesses contre bois. J’avais enfin face à moi celle que je tringlais depuis quelques minutes déjà. Son visage était fin, les lèvres pulpeuses, ses yeux bleues me scrutaient avec interrogations. Ses seins étaient très volumineux et d’une rondeur assez admirable. Je l’ai ai pris dans mes mains et j’ai commencé à jouer avec. Ma langue à très rapidement trouvé la direction de ses tétons tendus au maximum par l’excitation. Alors que je gratifiais cette magnifique poitrine de multiples coups de langue, j’ai senti ses deux jambes passer derrière mon postérieur, m’agripper et me tirer vers elle. Ma verge a plongé à nouveau dans son sexe ouvert et la pénétration a pu recommencer. Le bruit de nos sexes en fusion résonnaient à travers toutes la pièce et comblait le silence à défaut de nos voix. Elle m’attirait de plus en plus fort en elle, sa bouche voulait prononcer des mots mais elle se gardait bien de les dire, ne m’adressant que quelques onomatopées pour me confier à quel point elle passait un moment merveilleux. Ses seins toujours dans mes mains se gonflaient de désir et elle semblait apprécier la passion que je mettait dans mon labeur. Je me suis alors décidé à retirer mes mains de son buste pour pouvoir contempler dans toute leur grâce les deux mamelons qui dansaient d’un sens à l’autre.
Le spectacle était absolument radieux : la vison de ces seins ballottant dans tous les sens se complétait d’une vue plongeante en direction de sa belle chatte qui accueillait mon organe reproducteur. Voir ma bitte qui coulissait à vive allure dans ce beau con redoublais mon plaisir. Je l’ai pistonné de plus belle, plongeant de toute ma longueur dans cette grotte au milles trésors pour en ressortir complètement inondé de sa mouille. Elle me regardait avec toujours plus d’envie et semblait au bord de l’orgasme. Mes allées et venues se sont fait plus lentes à l’approche de mon éjaculation et c’est à ce moment, qu’elle a joui de tout son corps dans un cri qui m’a enfin permis d’entendre un échantillon de sa voix aiguë. Elle s’est ensuite retirée, m’a poussé un peu et a penchée sa jolie bouche pulpeuse vers ma verge à l’orée de l’explosion. Elle a sorti sa langue, l’a posée sur mon gland, en a dessiné le contour avant d’aspirer doucement ma queue dans sa gorge. Arrivée à la base de mon pénis, elle à suçoter légèrement tout en malaxant mes couilles de ses doigts agiles. Je n’en pouvais plus et j’ai envoyé dans son œsophage toute ma semence dans de longs jets puissants et rapides. Elle semblait apprécier mon offrande et s’est délectée de l’ensemble du contenu.
Toujours sans un mot, elle s’est levée et s’est dirigée vers une porte verte qui s’est ouverte automatiquement. Pour ma part, comme convenue, la porte rouge s’est ouverte et je suis sorti. Dans la pièce mes vêtements m’attendaient sur un tabouret et un haut parleur m’a permis d’apprécier une dernière fois la voix qui me disait :

- Merci, vous serez très prochainement mis au courant de votre sélection ou non, au revoir Et voilà comment j’ai été sélectionné, ma prestation a du satisfaire ces membres du jury.

Je sursaute d’un coup, mes pensées m’ont fait oublier que l’émission a déjà débuté depuis de longues minutes maintenant. L’émission bat son plein. Taldicast vient d’achever la présentation de la nouvelle maison. J’ai tout loupé. C’est pas grave j’aurais quelques jours pour découvrir les pièces qui nous attendent. Notre entrée est imminente, Taldicast vient de l’annoncer et lance une page de publicité. On toque à ma loge. Deux belles femmes aux seins dénudés viennent me prendre par le bras, et m’emmènent devant une des entrées du plateau. Mon cœur commence à palpiter, j’entends le public dans un brouhaha de murmures. Les maquilleurs viennent repoudrer le pauvre Taldicast qui sue comme une bête pour son premier direct de l’année. Ça y est, la chaîne vient d’achever son dernier spot publicitaire. Il s’agissait d’un clip pour une marque de coca dans laquelle on voyait une jolie brunette se faire venir avec la bouteille bien insérée dans sa chatte gluante pendant qu’un homme déversait le contenue d’une canette sur ses seins dorés. Eh oui que voulez-vous, c’est ça les temps modernes : malgré l’heure de grande audience qui affichait 21h38 une bouteille explorait avidement le con trempée d’une jolie brunette se miroitait sur des millions de téléviseurs.
Bonjour la France ! Nous y sommes Taldicast énonce le nom des candidats :

- Et maintenant, je vous demande de faire un triomphe pour les nouveaux candidats de cette édition 2011 :

Le public est en extase. Ils ne nous connaissent même pas et ils nous prennent déjà pour des stars. C’est à n’y rien comprendre. Le vacarme est assourdissant et on ne décerne que très difficilement les propos de Taldicast.

- Stéphane, Sophie, Mathos, Asoki, Vida, Sandy, Benjamin, Noala, Fabrizio, Rineka, Arthur et Eva.

Les dés sont jetés et nous traversons avec beaucoup de difficulté la marée humaine du public. Ils sont déchaînés par la découverte de nos visages et semblent atteint d’une euphorie éternelle. Je ne peux m’empêcher de rigoler tout seul par le ridicule de la situation. Cette scène restera à jamais gravée dans ma mémoire : une bande d’ahuris en extase total devant douze guignols sortis de l’anonymat. Après quelques minutes, le calme regagne à nouveau les studios. Taldicast consacre quelques secondes à chacun de nous, de sorte que nos noms soient bien gravés dans la tête du commun des mortels. Ça lui permet aussi d’extirper nos premiers mots devant les yeux critiques de millions de téléspectateurs, confortablement installés derrière leur petit écran, avec à la main un gros paquet de chips, et de l’autre du coca qu’ils s’ingurgitent gaiement dans le gosier, si ce n’est pas ailleurs ! C’est l’occasion pour mettre un nom sur le visage de mes futurs co-locataires. Car pour dire vrai, c’est la première fois que je les regarde au fur et à mesure que le présentateur les interpelle. Stéphane, à les cheveux en bataille, ma première impression est de le qualifier d’artiste. Sophie est assez élégante avec ses lunettes et ses cheveux châtain foncé. Les lunettes de Mathos par contre lui donne un air vachement coincé et intello, ce qui se confirme par ses propos bcbg. Asoki porte très bien le charme oriental. Je ne m’y connais pas dans ces régions, mais elle doit-être Japonaise. Il arrive enfin sur moi, je dois prouver que j’en ai quand même un peu dans la cervelle bien que ce n’est certainement pas ça que vont juger les téléspectateurs dans quelques heures.

- Alors quel effet ça te fait de participer à l’histoire d’un loft ?
- C’est cool !
- Qu’est-ce que tu comptes mettre en œuvre pour parvenir à tes fins ?
- Faire tourner le moteur à plein régime et surtout ne pas décevoir le public !
- Parfait, nous verrons cela.

Super ! Là c’est sûr, on a bien vu que j’en avais dans le ciboulot. Il est évident qu’avec le trac ma performance en a été bien altérée. Mais bon, je dois bien avoir l’air con maintenant. Pendant ce temps Taldicast continue les présentations. Sandy est comment dire … très volumineuse. Dire qu’elle a du souffrir dans sa jeunesse du pseudo Sandy kilo ne m’étonnerait qu’à moitié. Mais bon son visage est assez agréable et ses longs cheveux blonds lui vont à ravir. Benjamin à les cheveux en brosse et à une carrure assez impressionnante. Je lui donnerais sans trop savoir pourquoi, le qualificatif de militaire.
Noala est … nom d’un coup de tonnerre ! Noala est celle que j’ai entrepris lors de ma dernière éliminatoire. Ah les salopards, je commence seulement à comprendre le tour qu’ils nous ont joué. Ils ont voulu tester la compatibilité entre les différents candidats. Elle a l’air tout aussi surprise que moi et je me sens devenir tout rouge de gêne face à son regard qui plonge dans le mien. Surtout ne rien dire et ne faire aucune remarque déplacée, faire comme si je ne l’avais jamais vu.
Fabrizio est l’italien typique avec ses cheveux noirs plaqué en arrière et un petit air narquois et sûr de lui. Rineka a de longs cheveux châtains clair et des yeux à faire troubler un chameau. Arthur à un air de con et une voix de fille assez agaçante.
Eva est absolument magnifique dans sa peau noire luisante et tient pour elle un air assez mystérieux qui donne envie d’en savoir un peu plus sur elle. L’émission s’achève rapidement et Taldicast nous envoie faire plus ample connaissance dans notre nouvelle demeure. Dans le salon un magnifique buffet nous attend et c’est dans un ensemble de questions et de rire que nous nous empiffrons. Evidemment le champagne fait partie de la fête et c’est sans modération que nous nous enivrons à grands coups de petites bulles. La nuit est très vite entamée et naturellement c’est avec Noala que je discute en premier. Nous en arrivons très vite à la même conclusion : nous avons été complètement bernés par la production lors de cette dernière éliminatoire, et elle s’est fait avoir au même titre que moi. Un climat de confiance s’installe rapidement, et je lui propose de continuer notre discussion dans la piscine afin de pouvoir être les premiers à profiter de ce gadget de luxe. Elle accepte avec grande joie et après avoir enfilé nos maillots, c’est tête première que nous plongeons dans l’eau tiède de ce grand réceptacle.
Les bulles aidant nous reparlons rapidement de cette fameuse éliminatoire afin de savoir comment l’autre à vécu la situation. En nous remémorant ces premiers ébats sexuels l’excitation monte assez rapidement, et nos bouches ont tôt fait de se trouver l’une l’autre. Nos langues s’entremêlent rapidement et nos mains empruntent le chemin le plus direct en direction de nos corps tremblants. Ma verge déforme instantanément mon caleçon de bain et mes mains se frayent un passage sous chacune des deux pièces qui composent son bikini. Ma main droite s’active sur la fente intime de ma compagne pendant que ma main gauche refait connaissance avec son sein droit imposant. Elle a toujours sa queue de cheval et ses lèvres pulpeuses qui ornent sa bouche m’attirent tels de véritables aimants. Ma main trouve vite les agrafes de son corsage qui valse dans l’eau. Le zoom et le pivot des caméras se lancent dans un concert de bruits mécaniques. Noala me retourne et me plaque contre l’un des bords de la piscine tout en m’embrassant fougueusement. Ses seins se trouvent juste à la superficie de l’eau et se dressent un peu comme pour me défier un peu plus. Sa main plonge dans mon caleçon et agrippe le cadeau tendu que je lui offre.
Ma bouche ne se lasse pas d’avaler sa salive pendant que mes mains s’activent sur les tétons de sa magnifique poitrine. Notre silence de la dernière fois, me pousse à lui proclamer inlassablement combien je la trouve belle et désirable. Sa main s’active sur mon pénis tout en me susurrant à l’oreille qu’elle la veut au garde à vous. Elle constate assez rapidement que mon membre est très obéissant et qu’il est là pour ses moindres désirs. Elle plonge alors sa tête sous l’eau pour enlever mon caleçon et libérer l’organe de ses envies. Je vois ses beaux cheveux blonds flotter à la surface de la piscine et son visage déformé par l’eau se ruer sur mon membre gonflée de désir. Elle le gobe passionnément et commence une fellation sous marine digne de ce que ferais la plus nymphomane de toutes les sirènes. Ses lèvres pulpeuses aspirent parfaitement le contour de ma verge et me gratifie dans la limite de son oxygène possible des allées et venues buccales digne d’une secrétaire présidentielle. N’ayons pas peur des mots : Noala a une vraie bouche à pipe et le plus beau, c’est qu’elle sait s’en servir.
Je sursaute lorsqu’elle émerge à nouveau en surface dans la recherche désespérée d’une bouffée d’air. Elle se colle à moi et nos deux corps mouillés semblent vouloir se fondre l’un dans l’autre. Soucieux de vouloir matérialiser cette impression de fusion, le dos toujours accolé à la paroi de la piscine, je relève légèrement ma partenaire pour pouvoir m’enfoncer bien profondément dans son corps. La gravité terrestre de ma partenaire fortement amoindrie par l’eau, me permet de la monter et descendre au grès de mes envies sur mon pieu de chair avide de profondeur. Elle s’agrippe sur les rebord de la piscine et s’aide de cette manière dans la montée et la descente de son sexe sur mon hippocampe déroulé. A chacun de ses mouvements ses seins disparaissent dans l’eau ou émergent à la surface dans toutes leurs splendeurs. L’eau ruisselante sur sa magnifique poitrine l’embellit encore et complète sa rondeur et sa fermeté par une luisance envoûtante. Ce plaisir des yeux se complète d’une symphonie de cris et de gémissement qui agrémentent d’autant plus cette étreinte aquatique.
Mes deux mains quittent alors ses seins pour venir se placarder contre ses fesses et ainsi la relever. Elle s’agrippe à mon cou et passe ses jambes derrière mes fesses. Toujours ma bitte bien plantée en elle, je traverse le bassin sur toute sa longueur et l’adosse à son tour contre le rebord opposé du bassin. Je peux ainsi mieux entrer et sortir de ce sexe complètement ouvert à mon phallus entrepreneur. Mon assaut continue de plus belle, je la pilonne de toute ma vigueur et de toute mon énergie. Elle a passé ses bras derrière le rebord et mes mains posées sur ses fesses me permettent de la l’attirer plus brutalement sur ma queue. Soudain mon regard est attiré vers l’intérieur du loft. A travers la vitre je vois qu’Arthur à semble-t-il un très bon feeling avec Sandy. Celle-ci complètement nue offre à la vue de tous un amas de chair et de graisse unique en son genre. Jamais je ne m’étais imaginé voir un jour une fille aussi « grosse » en tenue d’Eve. Arthur complètement déshabillé offre un contraste assez saisissant avec la forme de sa partenaire. Ses cheveux plaqués et ses lunettes rondes parfait à merveille la tête d’ahuri qu’il porte sur son corps maigrichon. Sandy lui offre une magnifique branlette espagnole entre ses deux énormes seins. La pauvre petite queue d’Arthur disparaît complètement dans le sillon des deux globes laiteux. Je ne peux m’empêcher de contempler le cul monumental de Sandy qui agenouillée sur le divan nous dévoile deux gros jambons bien fournis. Mine de rien je me surprends à penser qu’il doit être bon d’être logé entre ces deux pièces maîtresse de chair rose.
Noala me tire de mes pensées obscènes en criant très fort sa jouissance. Elle est prise soudainement d’une frénésie absolue et s’active comme une déchaînée sur ma tige d’amour comme animée par de multiples soubresauts. Je suis au bord de l’orgasme mais la belle Noala s’arrête avant. Frustré et voulant absolument achever le travail qui a été commencé, je la retourne et sans la prévenir accole à sa rosette mon sous-marin de chair. Je commence à m’enfoncer doucement et elle a un « oh » de surprise. Pendant ce temps, Sandy, les deux mains posée sur son énorme poitrine active ses deux mamelons dans tous les sens sur la pine du gringalet de service. Il est vraiment au bord de l’extase et semble sur le point de jouir. C’est vraiment amusant de voir cette ondulation qui part du sommet de l’énorme poitrine de Sandy, pour finir en véritables vagues déferlantes sur son ventre graisseux.
Sophie, du haut de ses lunettes semble excitée par la situation et dirige machinalement sa main vers la braguette de Fabrizio. Elle en extirpe le membre gonflé à bloc et dirige rapidement sa tête sur la trique que lui présente l’italien. Elle fait vraiment cela avec beaucoup de grâce et de doigté si je puis dire. J’ai juste le temps de voir ses lèvres prendre appui à l’extrémité de son gland avant que ses longs cheveux foncés presque noirs privent mes yeux de cette fellation. La température à monté à l’intérieur et c’est maintenant Asoki qui remonte sa jupe pour dévoiler aux yeux de tous son intimité. La petite coquine n’a pas mis de culotte et dévoile une petite chatte orientale douce et soyeuse surmontée d’une petite toison noire. Sa main gauche à vite fait de rejoindre ses quelques poils foncés qui cèdent le passage à des doigts aux allures souples et agiles. Elle trouve rapidement le chemin de sa petite fente et en ouvrant le sommet de celle-ci de deux doigts, en extirpe son petit bouton d’amour frémissant par l’excitation. Elle tournoie d’abord autour et finie par effec de petits mouvements de rotation à son extrémité. Sa main droite à tôt fait de remonter son chemisier blanc et rejoindre son petit sein droit. Des soupirs s’échappent de sa bouche et, tout en fermant légèrement ses yeux, accentue le mouvement de des doigts sur son bout de chair rose tendu.
Cette vision a pour effet de tendre un peu plus ma verge dans les entrailles de Noala. Je suis maintenant bien planté dans son cul et mes mains rejoignent ses hanches pour l’entreprendre plus facilement encore. Ses seins sont écrasés contre les rebords de la piscine et sa bouche semble ne plus vouloir se refermer. J’entame alors une marche arrière et je ressort entièrement de son petit trou. J’attends quelques secondes et j’entre à nouveau accompagné cette fois-ci d’un peu d’eau. L’intromission n’en est que d’autant plus facilitée et mes allées et venues peuvent se faire beaucoup plus rapidement maintenant. L’accélération est constante et fulgurante. Mes mains attnt ses seins et je plonge littéralement dans son anus dilaté. Ses parois m’enserrent de plus belles et les sensations qui en découlent sont absolument souveraines. Je peux contempler la cambrure de son dos qui se creuse un peu plus à chacun de mes assauts.
Son postérieur s’empale maintenant de lui même et réclame une accélération encore plus prononcée. Je ne me fais pas prier et ma vitesse de pénétration s’exponensifie. L’allure devient phénoménale, j’ai du mal à trouve mon souffle et mon cœur semble vouloir s’échapper de sa carcasse. Enfin mon volcan expulse sa lave au plus profond de ses entrailles. Elle reste empalée sur mon phallus pendant quelques secondes, se retire et plonge deux, puis trois doigts dans son cul afin de le laver avec l’eau de la piscine. Quelques gouttes de mon sperme flotte à la surface de l’eau et incarnent ces derniers témoins de notre baise maritime. Une dernière vision en direction du loft me permet de voir Sandy branler à pleine vapeur de sa main droite la pauvre bitte d’Arthur qui n’en peux plus.
Pendant ce temps, Fabrizio crache son sperme sur le visage de Sophie et à tôt fait de recouvrir ses lunettes du liquide visqueux. Asoki atteint son orgasme toute seule, alors qu’elle en était arrivé au stade ou deux de ses doigts fouillaient avec curiosité la fente serrée de son sexe. Elle a la tête repoussée vers l’arrière, les yeux complètement fermée et a l’air d’avoir pris un pied monumental. C’est ensuite au tour d’Arthur d’envoyer les jets de son foutre sur les gros seins de Sandy devant l’œil amusé des autres occupants du loft. Quelque chose me dit que ces quelques jours vont être très riche en connaissance et que le public ne sera pas déçu du programme qu’on va leur offrir.

Fin de l’épisode 1 …

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