Livraison Lascive À Domicile

Yoanfrank et moi vivons dans la ville de Kristiansand, en Norvège, à quelque quatre cent kilomètres d’Oslo. Nous nous sommes connus il y a environ cinq ans. Nous étions tous deux employés dans une grande entreprise norvégienne. Notre travail consistait à encastrer des pierres précieuses sur des anneaux de bagues destinées à la vente dans toute l’Europe. Nous voyions défiler chaque jour dans nos mains une richesse incalculable dont nous ne tirions nullement les fruits. Un maigre salaire nous récompensait de notre tâche répétitive et lassante en fin de chaque mois. Après quelques années de loyaux services dans cette entreprise, Yoanfrank me fît une proposition étrange mais plus intéressante que notre gagne-pain quotidien, financièrement parlant. Il s’agissait de monter ensemble une affaire d’un genre très particulier qui pouvait, selon Yoan, nous permettre de vivre plus aisément tout en travaillant moins. Yoanfrank est ce que l’on appelle familièrement une force de la nature, grand, brun aux yeux bleus, courageux et bâti comme un viking. Pour ma part, je m’appelle Riel, je viens de célébrer mes 25 printemps, je suis blonde platine, les yeux vert émeraude, de petite taille pour une norvégienne,1m60 à peine, et un sex-appeal qui laisse rarement les hommes indifférents. Lassé de son travail d’ouvrier, Yoanfrank me soumettait donc son idée que je trouvais au premier abord plutôt lubrique.

« Que penses-tu de ceci Riel ? De vieux bourgeois nantis en manque de sensations fortes sont prêts à payer le prix fort pour mater des couples s’exhiber devant eux. Avec ton charme naturel, nous pourrions facilement trouver des clients, je serais ton partenaire et je te protégerai en cas de problème. J’ai réfléchi à la question, il y a très peu de risques et je sais qu’il y a une clientèle importante entre Kristiansand et Oslo. »

J’étais d’abord sidérée par la proposition de Yoan, je n’ai pas donné de réponse hâtive et l’idée, que je trouvais assez séduisante, à fait son chemin dans mon esprit.

Finalement, j’étais prête à tenter cette l’aventure peu banale. Yoanfrank se chargea au début de trouver des clients. Pour cela, il traînait les clubs de golf, les clubs de bridge et les boites de nuits pour vieux riches. Je le suivais quelquefois, pour que les gens me remarquent dans un premier temps. J’usais et abusais alors de mes charmes pour attirer les proies dans mes filets. Un soir, nous attrapions notre première proie : un homme d’environ soixante à soixante-dix ans, en mal de sexe, et très seul dans sa grande maison de maître, située en plein cœur de la ville. Nous avions fixé un rendez-vous à son domicile pour le lendemain, ainsi qu’un tarif plutôt juteux et les règles du jeu à respecter : on ne touche qu’avec les yeux. Le lendemain soir, nous arrivions à l’heure prévue au domicile en question. La nuit était glaciale, les lumières devant la luxueuse bâtisse éclairaient un magnifique parc enneigé. Yoanfrank m’ouvrait la portière de la voiture, je descendais. Avant que les réjouissances n’aient véritablement commencé, je me sentais déjà à mon aise dans mon tout nouveau rôle de femme fatale et lubrique. Je portais un long manteau de fourrure noire, des bas de soie noirs et des escarpins très sexy. Le client attendait sur le pallier de l’immense porte de la demeure.

« entrez, je vous prie, si vous voulez bien me suivre jusqu’au patio d’hiver » Nous lui emboîtions le pas, puis nous arrivions dans un patio cossu au mobilier baroque. Yoanfrank se chargea avant toute chose d’encaisser l’argent, puis introduisit un disque de son cru dans le lecteur qui se trouvait encastré dans un gigantesque meuble sculpté. Il invitait l’homme à s’installer confortablement avant de s’approcher de moi par derrière. J’étais tournée face à notre client, à un mètre de distance. Yoanfrank commença à faire glisser mon manteau de fourrure le long de mes épaules, au rythme de l’air de musique classique, adagio, qui accompagnait notre exhibition. Je me sentais toujours à mon aise et l’excitation grandissait en moi.
Je me laissais déshabiller par mon amant, lascive, sous les yeux de cet homme qui s’embuaient au fil des secondes. Yoan ôta entièrement mon manteau, je portais un bustier transparent orné de motifs géométriques bleus et noirs, au travers duquel on pouvait facilement deviner ma belle poitrine nue, je portais aussi une petite culotte blanche à dentelles et des bas de soie noirs. Je caressais ma peau diaphane, j’introduisais une main dans ma culotte, je me sentais électrisée par la vue de cet homme qui s’adonnait devant nous au vice du voyeurisme. Toujours posté derrière moi, mon amant dégageait un à un mes effets, mon bustier d’abord, offrant mes seins haut perchés au regard de l’homme qui commençait à se masturber, puis ma petite culotte qu’il fît ensuite glisser doucement pour laisser apparaître mon sexe. Je sentais contre mes fesses la bosse qui se formait sous le pantalon de Yoan. Je voulais voir aussi cet homme, devant moi, fondre de plaisir. Je portais mes yeux sur son sexe imposant qu’il astiquait habilement, contrôlant le rythme de son plaisir. Je passais le bout de ma langue sur mes lèvres, telle une femme fatale, je caressais mes seins, mon ventre et me frottais sur le chibre de mon partenaire. Je cambrais ingénieusement mes reins pour offrir à notre voyeur un bel angle de vue sur mon clitoris mouillé que je faisais rouler savamment sous mon majeur. Soudain, l’homme s’adressait à Yoanfrank :

« pénétrez-la je vous pris, faites-la jouir devant moi »

A ce moment là, j’ai eu très envie de jouir sous les coups de queue de mon homme. Yoan me contraignait à m’approcher plus prêt encore du veil homme. Je m’appuyais sur les accoudoirs du fauteuil dans lequel il était confortablement installé, positionnant mes seins à quelques centimètres seulement de son visage. Yoan se défît de ses effets, agrippa mes hanches de ses immenses mains et pénétra mon intimité avec sa queue plus que jamais raidie. Je comprenais alors que, pour lui aussi, cette situation nouvelle lui procurer une excitation décuplée.
Ces coups de butoirs, d’abord lents et profonds s’intensifiaient ensuite. Cambrée et toujours accrochée au dessus du fauteuil, mes seins se balançaient maintenant à quelques millimètres du visage du viel homme qui semblait vivre pleinement la scène. Par moments, sous un coup de reins plus fort, mes seins allaient cogner contre le visage de l’homme qui suffoquait de bonheur, tout comme nous. Je me sentais venir.

« oui, je viens… AaHhhhmmm…mmrrRrr…Ouiiiiiiiii, maintenant… »

Le foutre de mon amant inondait mon intimité. L’homme, dans un râle profond, éjaculait dans ses mains avant de lécher son foutre, les yeux mi-clos, le corps avachi. Après quelques minutes, le vieux bourgeois, très courtoisement nous conduisait dans une salle de bain privée où nous pouvions faire un peu de toilette avant de repartir. Il nous raccompagnait à la porte tout en nous remerciant de notre prestation. Nous quittions l’enceinte de la propriété.

« Tes impressions, très chère. Seras-tu encore ma partenaire dans l’avenir ? » - « Riche, désirée, libre de travailler quand je veux. OK partenaire ! , Ce sera avec moi ! »

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