Punition Erotique Sous Un Escalier

Un samedi gris et pluvieux en direction d’un fameux café de Lyon.
A mesure que je m’approche de ce lieu de rendez-vous, une angoisse sourde m’étreint. Je me demande quelles forces mystérieuses guident mes pas. Perdu dans mes interrogations et sans vraiment m’en rendre compte, je pousse la porte et scrute la foule qui est dense en cette fin d’après-midi. Je la vois immédiatement. Elle a posé ostensiblement sur la table, le magazine féminin qui devait me servir à la reconnaître. Je m’approche. Arrivé à sa hauteur, je balbutie un timide

« Bonjour, je suis Jérôme »

et elle m’invite d’un geste à m’asseoir. Pendant que nous débitons à tour de rôle quelques banalités d’usage, je me remémore l’annonce que j’ai passée sur quelques sites

« Jeune chef d’entreprise cherche femme soumise pour jeux… »

Nous nous étions fixés rendez-vous après quelques échanges de messages électroniques.Au bout d’une dizaine de minutes, elle prononce quelques mots qui me sortent brusquement de ma léthargie

« J’ai scrupuleusement suivi vos instructions ».

Je finis de reprendre contact avec le monde réel en la dévisageant. Visage banal, cependant mis subtilement en valeur par un maquillage léger. Yeux d’un marron profond. Cheveux blonds sagement ordonnés. Je lui demande d’ôter son manteau qu’elle avait gardé sur elle malgré l’atmosphère chaude et embuée du café. Elle est habillée d’une veste de tailleur foncée sous laquelle on aperçoit un chemisier clair. La table cachant ses jambes, je ne peux pas pousser mes investigations plus avant pour l’instant. Reprenant enfin totalement la direction de notre rencontre, je lui ordonne fermement d’ouvrir sa veste et de défaire quelques boutons de son chemisier afin que je puisse m’assurer par moi-même qu’elle disait vrai. Ses gestes mal assurés trahissent un trouble intérieur mais elle ne se défile pas à mon ordre de telle sorte que je découvre les prémisses d’une lingerie noire.

Cette impression première est tout à fait confirmée quand elle se penche vers moi : un regard en sa direction aura suffit pour qu’elle anticipe l’ordre qui allait venir. Par l’entrebâillement ainsi formé, je vois le haut d’un bustier dont les bonnets contiennent une poitrine que je devine plutôt avantageuse. M’ayant demandé la permission de me quitter pour quelques instants, je la regarde s’éloigner. De taille moyenne, elle est par contre parfaitement proportionnée. Sa jupe lui arrive juste au dessus du genou mais le styliste a pris soin d’y adjoindre une fente sur le côté qui permet à tout un chacun de discerner parfaitement une jambe longiligne, recouverte ce jour d’un voile noir. Même en me contorsionnant sur la banquette que j’occupe, je ne peux identifier si cette seconde peau laisse libre la zone située en haut des cuisses. Aucune marque ne me permet non plus de savoir ce qu’elle porte sous cette jupe qui, décidément, cache bien des mystères.A peine revenue, je l’interroge

« Bas ou collants ? ».

Elle m’avoue sans détour porter des bas auto fixant. Dans toute autre situation, sa réponse m’aurait tout à fait satisfait mais je m’efforce de la tancer vertement. Je luis impose ensuite de décrire avec précision la pièce de lingerie qu’elle porte en complément de son bustier. Elle s’empresse de détailler une culotte en soie coordonnée, échancrée mais relativement couvrante, Je lui fais mille reproches encore pour ce choix, sans me préoccuper que les personnes attablées près de nous commencent à prêter l’oreille à notre conversation. Elle tente de se justifier, ce qui ne fait qu’empirer ma colère. Je coupe court à la discussion en lui lançant

« Venez ! Vous allez être punie ! ».

Nous sortons.Conscient que le succès de cette rencontre se joue à ce moment précis, j’avise rapidement une de ces lourdes portes en bois qui barrent l’accès aux immeubles bourgeois lyonnais. Un couple de personnes âgées vient de sortir et je bloque discrètement la porte avant de pénétrer sous le porche.
Nous attendons silencieusement quelques minutes avant de pouvoir accéder à une cage d’escalier en profitant du va et vient des occupants des lieux. Je repère très rapidement un local sous l’escalier qui fera parfaitement l’affaire. Faiblement éclairé par un ouverture grillagée sur la porte, il sert habituellement à entreposer les poussettes et vélos.

« En position ! »

En réponse à cet ordre sans appel, elle se penche en avant, les mains en appui sur un carton qui traînait par là. Je rectifie la position en lui écartant légèrement les pieds. Ses fesses, légèrement plus hautes que son buste, sont maintenant parfaitement mises en valeur et je ne peux pas m’empêcher de prendre quelques secondes pour admirer le tableau. Je commence à caresser ce corps qu’elle m’offre à travers le tissu des vêtements. Elle trésaille un peu, par surprise, à la première claque que je lui applique sur la fesse droite. Puis, sans faiblir, je luis assène des coups réguliers alternant la cible : fesse droite, fesse gauche, fesse droite… Sous ma main, je la sens se décontracter progressivement et subir sa correction avec délectation. Je m’arrête juste pour soulever posément sa jupe et la relever sur sa taille. Sa culotte est bien tendue à cause de la position et j’aperçois à l’entrejambe quelques poils volages aussi blonds que sa chevelure. Je m’applique maintenant à la fesser plus durement et ma main chauffe à mesure où les zones de peau découvertes rosissent. Elle commence à réagir à chaque claque par un petit cri, quelques fois accompagné d’un mouvement de recul qu’elle corrige aussitôt. Elle se penche encore et s’appuie sur son avant bras, laissant ainsi son autre main libre. Alors que je pensais qu’elle allait s’en servir de protection, je la vois la diriger vers son pubis. Je l’arrête dans son geste. Il n’est pas encore temps. Je profite de cette interruption pour baisser jusqu’aux genoux le dernier rempart à son intimité, qu’elle ôte complètement de son propre chef.
Les coups redoublent en intensité et je vois maintenant son postérieur franchement rougir. Seul le bruit répétitif des claques troublent le silence oppressant de l’endroit. A croire que l’immeuble s’est vidé. De sa main libre, elle a commencé à se caresser avec des mouvements circulaires de plus en plus rapides. Sa respiration plus saccadée me laisse penser que son orgasme est proche et je m’efforce de l’accompagner dans sa quête du plaisir en assénant les dernières claques avec la plus grande puissance possible. Un spasme très intense vient secouer son corps et un râle de plaisir ponctue sa masturbation. Essoufflé, je la regarde reprendre ses esprits.

« Merci » me dit elle, en se redressant et en se tournant vers moi.

Sa jupe reste accrochée à ses hanches et je porte mon regard vers sa toison soigneusement taillée qui cache à peine son sexe rougi par les caresses intimes qu’elle s’est prodiguée. Ma partie de contrat est remplie, je sais qu’elle respectera la sienne. Elle s’approche de moi et me pousse vers le mur de telle sorte que je puisse m’y adosser. Elle s’agenouille sur son manteau qu’elle a posé sur le sol et commence à me masturber à travers le pantalon de costume que je porte. Mon sexe n’a pas attendu ses caresses pour être turgescent mais elles renforcent mon érection. Pendant que sa main gauche continue à me procurer un plaisir grandissant, elle défait ma ceinture prestement. Mon pantalon tombe rapidement sur mes chevilles tandis qu’elle ne cesse ses va et vient le long de ma hampe. Sa main droite s’attaque maintenant à mon boxer qui rejoint rapidement le bas de mes jambes. Ses mains courent le long de mon pénis, leurs doigts jouant sur ce clavier sensible une partition délectable. J’ai l’impression qu’elles s’approprient chaque parcelle de sexe afin de lui faire prendre des proportions insoupçonnées. Ma verge se redresse encore lorsqu’elle pose délicatement ses lèvres sur mes bourses et entreprend de les lécher avec sa langue. Maintenant mon sexe d’une main, elle accélère ses mouvements avec sa langue avant de gober entièrement mon dard.
Se servant de sa bouche comme du fourreau vaginal, elle s’amuse à simuler les va et viens de deux sexes unis. Les sensations ressenties sont extrêmes et je ne peux pas m’empêcher de soupirer d’aise à chaque fois que mon sexe est au fond de sa gorge. Tout en continuant ses jeux buccaux, elle a pris mes fesses à pleines mains et me les malaxe fermement avant qu’un doigt inquisiteur n’explore le sillon qui sépare mes deux globes fessiers. Elle ne tarde pas à s’apercevoir que je suis très réceptif à ce type de caresses car son index droit s’invite sans ménagement dans mes tréfonds. Sous l’effet conjugué de cette fellation et de cette sodomie manuelle, mon excitation atteint son paroxysme et je repousse sa tête des deux mains afin de ne pas lui imposer ma jouissance dans sa bouche. Loin de s’écarter, elle continue encore quelques secondes avant que mon sperme ne gicle et ne traduise mon plaisir. En se relevant, son regard croise le mien et j’y lis une satisfaction non feinte. Elle ramasse sa culotte et se tourne étrangement pour la remettre. Je peux ainsi me rendre compte que son postérieur a pris une teinte rouge cramoisi et je culpabilise un peu en repensant à la correction administrée.

« Rassurez-vous, me dit elle en lisant mes pensées, j’ai les onguents adéquats pour effacer rapidement votre hommage».

Je me réajuste enfin pendant qu’elle s’essuie les lèvres et en rehausse la teinte d’un rouge à lèvres d’une couleur très proche de celle de ses fesses. Est-ce une pure coïncidence ? En sortant de notre cagibi, j’entrçois le couple croisé auparavant qui s’éloigne aussi vite que possible. Je me demande s’il nous a espionné. Nous nous rendons compte que le soleil brille maintenant sur Lyon et nous dirigeons nos pas vers une station de taxis toute proche. Elle s’engouffre dans une voiture toujours sans mot dire et me fait un petit signe de la main avant que le véhicule ne démarre. En rentant chez moi de cet après-midi ludique, j’allais recevoir un message sur ma boite aux lettres en précisant que cette fois, c’est elle qui élaborerait le scénario.

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