Nouveau Job Épisode 2

Dès l’heure dite, le chauffeur de mon patron vint sonner à ma porte. Seul.
Je le suivis, pensant trouver monsieur dans la voiture mais… personne. Je n’ose pas poser de questions et la voiture se met en route. Après une demi-heure, on s’arrête, le chauffeur me fait descendre, toujours pas un mot puis m’indique, du doigt, le magasin en face du quel nous sommes. Hésitante, j’entre… un vendeur s’approche :

« Ah ! Enfin ! Monsieur V. m’a averti de votre arrivée ! Venez ma chère nous allons commencer tout de suite ! »

Il me conduit à un espèce de petit salon privé où m’attend déjà une tringle remplis de tailleurs, robes et, surtout, de lingerie. Il y a de tout, corsets, guêpières, soutiens, nuisettes et autres encore. Moi qui n’avait jamais essayé autre chose que les soutiens blancs classiques je me sentais un peu perdue. Mais le vendeur s’occupa de tout.

« Bon tout en premier, nous allons vous déshabiller »

et joignant le geste à la parole, il ouvrit ma veste, défit ma jupe et non content de s’arrêter là il dégraffa mon soutien puis descendit mon slip. J’étais pétrifié, rouge de honte tandis que lui comme si de rien n’était continuait ses commentaires…

« Tout à l’heure, chez l’esthéticienne, Monsieur V. a demandé qu’on vous rase tout cela, ce sera plus agréable au toucher ! »

Tout en disant cela il avait passé sa main tout le long de ma fente, m’écaratant du même coup les jambes. Je me sentais ridicule en tentant de protéger mes seins du regard inquisiteur…. L’essayage proprement dit fut très spécial : tout le temps, le vendeur relevait ma jupe pour voir si cela était facile, écartait mon chemisier, jugeait cette guêpière trop emprisonnante pour mes seins… Tout cela sans cesser de me caresser le bas du ventre ou même de me pincer les têtons… Je commençais, malgré mon inquiètude, à mouiller sévèrement… Le vendeur finit par le remarquer…

« Oh ! Madame mouille bien apparement… Nous allons nous occuper de cela ! »

Et il sortit… il revint avec un grand noir, à peine vêtu d’un jeans à boutons dont l’écartement laissait à penser que ce qu’il cachait devait être énorme… Il avait aussi amené une caméra…

« pour les archives personnelles de Monsieur V.

! »

J’avais à ce moment là, sur moi, une longue robe fourreau très décoltée mais aussi très fendue. Le noir me retourna de profil face à la caméra, dos à lui puis ce mis à me caresser les seins en glissant ses mains dans le décolleté. Puis l’écartant il les dénuda et les montra face à la caméra…. Les abandonnant, il releva ma robe et caressa ma chatte… J’étais tout aussi excitée que morte de peur… je me laissais manipuler comme si j’étais un objet… Le noir pris une chaise, s’y assis, prenant bien soin de défaire son pantalon. Sa queue était énorme, longue, grosse. J’en restais bouche bée. M’attrapant par le bras, il m’attira à lui puis, maintenant ma robe relevée afin que la caméra aie un gros plan de mon derrière, il me pencha jusqu’à ce que ma bouche heurte son membre… Je n’eus aucune hésitation, je commençais à pomper ce dard comme si j’avais fait cela tout ma vie… Il était énorme et entrait à peine dans ma bouche, tout au plus, le gland et un ou deux centimètres de plus… Le vendeur s’approcha avec la caméra et filma tout cela en gros plan rapproché… Puis brusquement le noir me retourna et m’attirant sur lui il me fit asseoir sur sa queue ! Immédiatement une douleur m’ouvrit la chatte, j’ai hurlé mais lui, n’en tenant pas compte commencait déjà à me relever et à me rabaisser en me tenant par les jambes…
La douleur laissa bientôt place à un plaisr fou… cette queue me défonçait littéralement et une caméra filmait tout cela à quelques centimètres du lieu du délit… Je jouis très vite… sans attendre…. Mais le noir n’en avais pas fini avec moi : il me releva, me mit à quatre pattes sur la luxueuse moquette et sans meme me laisser respirer reprit possession de mon vagin… il allait plus vite, plus fort encore… Je sentais un second orgasme se pointer….
A ce moment là j’eus l’impression que sa queue gonflait à l’intérieur de moi…. Il ne lui fallut plus que quelques coups de reins bien rudes pour inonder ma chatte de son sperme épais… je ne pus plus me retenir et jouis ainsi… remplie par le foutre d’un inconnu.
Le noir parti comme si de rien n’était, remontant son pantalon. Le vendeur posa la caméra.

« Si Madame veut bien, nous allons maintenant continuer l’essayage »….

Je repartit de là, avec dans la voiture de quoi remplir une pièce entière de mon appartement. Le chauffeur me conduisit dans un institut de beauté. Sachant par le vendeur, que l’esthéticienne allait vouloir voir ma chatte, je tremblais déjà en pensant à ce liquide qui coulait peu à peu le long de mes jambes… Mais elle ne fit aucune remarque et me rasa consciencieusement sans trop me nettoyer, sans doute pour me garder ainsi remplie.

« A la semaine prochaine madame ».

Visite chez le coiffeur. Je sentais toujours ce sperme qui me coulait du con, je pensais aux inéviatbles taches que cela allait laisser sur ma jupe…. Et, y pensant sans cesse, j’y ajoutais ma propre mouille… Tout cela terminé je fus conduite au bureau de mon patron. Il était à son bureau et sur écan géant, passait le film de mes exploits de ce matin. Il me dit d’approcher, releva ma jupe, et passant un doit dans ma fente, sourit…

« Ca t’a plu ? » J’hochais la tête d’un air penaud…
« Viens me sucer pendant que je regarde la fin ».

Tout de suite à genoux, je le pompais de mon mieux tout en entendant mes gémissements envahir la pièce…. Il me releva et m’indiquant une table de travail il me dit encore

« déshabille toi, sauf les porte jaretelles et couche toi là »… je m’exécutais.

Ainsi mise, mes jambes s'éacartaient naturellement… Il regarda et joua un peu avec les fluides qui séchappaient de moi… puis en se couchant à demi sur moi

« J’aime te voir baisée par un autre ! Et puis ça rend ton con si glissant ! »

Puis me besognant violemment, il commença à raler de plaisir…. Son sperme se mélangea à celui du noir… Je jouis encore, perdant mon souffle…

« Rhabille toi ! Sauf le soutien »

Il me fit visiter l’entreprise.
Tout le monde pouvait voir la large aréole qui se dessinait sur ma jupe courte, le sperme coulait en flot abondant jusqu’à mes pieds en longues trainées blanchâtres, mes seins nus sous un chemisier à peine blanc… J’étais la pute du patron, tout le monde le savait. Un seul service semblait le passionner : celui des commerciaux, « ses garçons » disait il.

« Tu apprendras à les connaître mieux ».

La journée se termina ainsi, je fus raccopagnée à mon appartement par le chauffeur, toujours muet. Après un bain chaud, dans une salle de bain avec une grande baie vitrée, je m’endormis, nue sur l’immense lit préparé pour moi…

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