Initiation Au Sauna Épisode 2

J'avais quinze jours devant moi, quinze jours où j'avais bien l'intention de continuer mon exploration du sauna. Pour bien comprendre, c'était à la fin des années soixante dix. Le Sida n'était pas encore présent, tout au moins dans nos esprits. On pouvait baiser sans capote avec des partenaires multiples, recevoir leur sperme dans l'anus, se sentir dégoulinant de foutre - une sensation qui me mettait dans tous mes états pour l'image obscène donnée aux autres - avec pour seul risque les habituelles maladies vénériennes. Bien entendu, aujourd'hui, de telles pratiques relèveraient du suicide et de l'inconscience meurtrière pour ses partenaires de sexe.

Le lendemain je suis reparti au sauna dès le milieu de l'après-midi. Suivant une session de formation, j'avais trouvé un prétexte quelconque pour m'absenter dès le midi. Le désir d'y retourner était trop fort, trop impérieux. Il me faisait comme une boule dure au niveau du bas ventre. Et toujours, mon anus qui battait littéralement la chamade. J'avais envie d'être pris à nouveau, d'être sodomisé bien profondément par plusieurs partenaires. La veille, quatre inconnus avaient investi mon cul, ils m'avaient fait jouir comme jamais. Je voulais retrouver ce plaisir et surtout redécouvrir ce bonheur de m'offrir à des hommes avides d'un petit cul. J'avais bien l'intention de dépasser le nombre de quatre amants en moi, je voulais être pantelant, épuisé par une baise totale en écumant les lieux jusqu'à la fermeture, jusqu'à 23h.

Avec, toutefois, toujours la même trouille au creux du ventre. D'hétéro, je passais d'un coup au statut d'homo et la simple idée me faisait quand même peur. L'idée d'être simplement bisexuel ne m'avait pas effleuré une seule minute. Quoi qu'il en soit, quelques heures plus tôt, je m'étais réveillé avec qu'une seule idée fixe : Aller au sauna. En dégustant le petit déjeuner copieux de l'hôtel que je m'étais fait servir dans ma chambre, nu, je ressentais pleinement mon cul.

Il avait été bien ouvert la veille par pas moins de 4 queues qui avaient projeté leur jute au fond de mon cul. Je percevais une légère douleur diffuse mais elle n'était pas du tout désagréable. Bien au contraire. Elle me rappelait mon initiation, mon dépucelage, le fait d'avoir été sodomisé. Ma nuit avait été agitée. J'avais encore en moi les images du sauna. Je me repassais le film de mon après-midi et soirée. Je me revoyais en train de sucer une queue en 69 dans la backroom tout en me faisant enculer ou coincé debout entre les deux hommes dans le fond de la salle obscure.

Dès 16h, je poussais la porte du sauna. Rouge d'excitation et de timidité, je prenais à nouveau un ticket. Le type me donna la serviette et le collier avec la clé du casier dans le vestiaire. J'étais déjà moins hésitant, j'avais l'avantage sur la veille de connaître en partie les locaux et surtout de mieux connaître les us et coutumes de ce lieu de plaisir. Je me déshabillais totalement. Une fois nu, je réussissais maladroitement à nouer la mince serviette blanche autour de mes hanches. Je l'appréciais cette serviette, elle me donnait un nouveau statut. J'étais comme un explorateur du sexe. J'étais comme dans un film, et surtout l'acteur principal. De timide dans la vie, avec ce mince linge blanc ceint autour de ma taille, je devenais un autre personnage, presque décomplexé et en tout cas prêt à tenter des expériences sexuelles que j'aurais été bien incapable d'assumer en dehors du sauna. En tout cas pour l'instant. Je découvrais une autre forme de sexualité, qui je dois l'avouer, me séduisais totalement. D'actif avec une fille, je devenais complètement passif avec les hommes.

Je commençais par un premier tour de piste, je repérais les endroits stratégiques que je n'avais pas totalement mémorisés en raison des niveaux différents, du dédale dans ce véritable labyrinthe. Il y avait le jaccusi avec son eau bouillonnante, la piscine, les cabines, objets de désir avec leurs portes ouvertes donnant sur des corps allongés, en attente d'un éventuel amant, ou portes fermées avec des gémissements à l'intérieur qui me faisait frémir de désir.
Des types se caressaient et s'enculaient manifestement avec force et je n'en revenais pas encore d'autant de liberté. Il y avait tous ces types qui passaient et repassaient ou qui se positionnaient en attente le long des murs, en train de mater ce qui se passait. Je suis resté ainsi à regarder dans une des cabines, où la porte était restée ouverte, un jeune gars comme moi se faisait caresser par un homme d'une soixantaine d'années. Le jeune était en extase tant les effleurements prodigués semblaient délicieux. L'homme l'a caressé longuement, embrassé sa peau millimètre par millimètre, il l'a ouvert avec science, mêlant sa langue avec ses doigts, préparant le sphincter à s'ouvrir sur son sexe. Puis il l'a pénétré, en levrette. Son sexe est entré doucement, lentement, jusqu'à la garde. En même temps qu'il le sodomisait avec art, il caressait la poitrine du garçon, son ventre, son sexe, ses couilles. Le visage du jeune homme était extatique. J'en étais littéralement fasciné. Et jaloux. Je voulais connaître ce plaisir prodigué par des caresses douces. Je n'ai jamais apprécié les étreintes trop viriles, sans douceur.

Je suis reparti dans mon exploration. J'ai bien mémorisé le sauna et le hammam avant de repartir vers le jaccusi situé à quelques mètres de la petite piscine. Je m'y suis glissé dedans. L'eau était chaude, les bouillonnements de l'eau caressaient mes fesses, mon sexe, mes couilles. Un homme d'une trentaine d'années aux cheveux noirs est venu me rejoindre. Il m'a regardé en souriant. Puis j'ai senti un pied me frôler l'intérieur de ma cuisse. Je n'ai pas bougé, au contraire, étirant mon corps pour que ses doigts de pied puissent glisser jusqu'aux testicules. Satisfait, il est venu me rejoindre. Il m'a embrassé d'emblée. Nos corps se sont enlacés. C'était bon ce contact dans l'eau. J'ai pris son sexe dans mes mains, flattant son membre et ses couilles. Il m'a invité à le suivre dans une des cabines. Trop heureux, je l'ai suivi. Je savais que l'allais me faire sodomiser et cette perspective m'enchantait.
J'étais d'ailleurs venu pour ça. J'avais bien l'intention de me faire prendre par le maximum de partenaires dans l'anonymat le plus total. J'aimais trop cette sensation d'offrir mon cul à de multiples queues qui m'investissaient, d'être en attente, le cul ouvert, de la queue qui allait me pénétrer jusqu'au plus profond de moi. J'avais trop connu l'abstinence pour ne pas en profiter. J'étais devenu en vingt quatre heures un véritable addict à l'enculade profonde. Pour bien comprendre cet état d'esprit, j'étais dans la vie un jeune homme réservé, timide. Et tout d'un coup, je découvrais qu'au sauna mon corps suscitait l'intérêt concupiscent des hommes plus âgés. Que mes petites fesses suscitaient leur désir de m'enfiler profondément. Qu'il me suffisait d'accepter leurs avances pour être sodomisé quasiment autant que je le voulais. Et peut-être même plus. Je voulais savoir de quoi j'étais capable, connaître ma capacité à recevoir des queues en moi. Ces nouvelles perspectives m'enthousiasmaient littéralement. Je me sentais une vraie salope exhibitionniste et ce pouvoir de séduction en tant que chair fraîche m'enivrait totalement. Je découvrais un nouvel aspect de ma personnalité. Totalement actif avec les filles, je ne souhaitais qu'être passif avec les hommes. Je leur offrais mon corps, mon cul. Je découvrais sans le savoir le côté "gang bang", le plaisir de comptabiliser le maximum de partenaires. Style une queue dans le cul, une dans la bouche et deux dans les mains. Dans la backroom, j'avais l'impression de jouer dans un film, je m'observais, je n'en revenais pas d'aller aussi loin, d'oser autant de plans qu'il y a peu j'aurais jugé comme étant salace sinon totalement vicieux. Il y avait aussi le coté obscène des possessions, des enculades qui me séduisait, être un autre dans cet antre obscure. S'offrir en repliant sur soi ses cuisses son anus ouvert aux regards des autres était proprement sublime. S'offrir, à quatre pattes, en levrette, la tête bien calée entre les bras sur le matelas de skaï humide, était pour moi, un plaisir psychologique proprement libérateur.
Et je ne parle pas de mon bonheur de sentir le gland s'enfoncer lentement en moi aux yeux de tous.

Dans la cabine, porte ouverte, aux yeux de tous ceux qui passaient dans le couloir, l'homme m'enlaça virilement tout en m'embrassant à pleine bouche. C'est son baiser qui m'a fait chavirer. Nus, debouts, serrés fiévreusement l'un contre l'autre, je me suis senti devenir tout chose. Ses mains caressaient tout mon corps, s'attardaient sur mes fesses. Il a vite compris que c'est ce que je préférais tant je remuais mon bassin sous ses paumes bien placées à plat. J'ai gémis quand un doigt se posa sur l'anus et me pénétra. Il me positionna à plat ventre sur le petit matelas recouvert d'une housse en plastique. J'écartais mes bras et mes jambes au maximum, pour bien l'épouser avec mon corps mouillé. La housse en skaï faisait comme une ventouse, mon sexe se plaquait sur cette humidité bien venue. Je cambrais mes fesses pour qu'il puisse me préparer. Il posa sa bouche sur mon anus. Sa caresse m'électrisa, elle me fit frissonner. Il darda sa langue dans l'oeillet pour l'ouvrir. Il l'humecta bien avec sa salive. Son index commença à rentrer doucement avec des mouvements rotatifs. Un deuxième puis un troisième s'enfoncèrent à l'assaut du sphincter, pour bien le détendre. J'avais la tête enfouie dans mon aisselle gauche. Je geignais doucement tout en me laissant faire, cuisses ouvertes. Il jugea que la préparation était suffisante. Il se plaça sur moi, positionnant son gland à l'orée de mon cul. J'en ai frémis de plaisir anticipé. Il allait s'enfoncer en moi... Il m'encula d'un coup. La douleur me vrilla la tête, j'aurais préféré plus de délicatesse. Le souffle coupé, le corps écrasé par mon partenaire, je tentais de reprendre ma respiration. Enfoncé totalement en moi, ses couilles contre l'oeillet, il attendit un peu que je m'habitue à son membre. Puis, il démarra doucement son mouvement de va-et-vient avant d'accélérer. Je le sentais m'envahir totalement, me dilater, et le plaisir succéda à la douleur. Il me souleva pour m'installer à quatre pattes en levrette. Sa pénétration devenait de plus en plus profonde, je m'ouvrais totalement, sa queue frappait ma prostate. Le plaisir était sublime, je ne pouvais plus me retenir. Je me suis mis à gémir sans retenue au rythme de ses coups de butoir. La jouissance a progressé du cul au bas ventre. Mon anus s'est contracté spasmodiquement autour du sexe enfoui en moi, provoquant son éjaculation à grands traits. Les jambes flageolantes, je me suis écroulé sur le matelas avec lui toujours en moi. Nous sommes restés ainsi durant plusieurs minutes, son sexe devenant flacide. Mon partenaire de baise se souleva, posa un baiser léger au creux de ma nuque : "t'as un beau petit cul bien accueillant, on se reverra tout l'heure, j'aimerais bien baiser avec toi dans la backroom, tu sembles plutôt chaud". Il me laissa seul dans la cabine, la porte ouverte, mon cul offert d'où dégoulinait son foutre. Je n'ai pas eu le temps de respirer que déjà un autre homme me rejoignait. Il avait dû nous observer tandis que le premier inconnu m'enculait avec vigueur. Il s'allongea sur moi tout en me pénétrant d'un coup. Sa queue entra en moi sans coup férir, profitant de mon anus dilaté, distendu et lubrifié par le foutre précédent. L'homme dont je ne voyais pas le visage me lima vigoureusement. Son bassin claquait sur mes fesses tandis que le rythme de sa queue provoquait le même bruit mouillé quand je baisais ma copine totalement ouverte. La comparaison m'excita. J'étais devenu femelle, je m'offrais et on me prenait. La seule différence, c'est que là, je me faisais plusieurs partenaires. Just for sex. Je me rendais compte que mes lectures m'avaient marqué. J'avais lu des textes au milieu des années soixante dix sur les homos américains, à New York et San Francisco, qui se faisaient baiser dans les entrepôts abandonnés des deux ports ou au niveau des jetées, des « piers ». L'image que je m'en faisais - internet n'existait pas et il fallait se contenter à l'époque, avant le sida, des seules photos des revues spécialisés - m'avait profondément troublé.

Pour bien comprendre mon état d'esprit, j'avais refusé lors des dernières vacances les avances d'un homme. Je m'en étais profondément voulu. Et plus les mois passaient, plus je m'imaginais ce que j'avais raté. Je me rendais compte aussi que j'avais de plus en plus envie de faire l'amour avec un homme, que j'avais envie d'être sodomisé. Ce désir devenu était de plus en plus violent, de plus en plus impérieux. Il s'imposait au niveau du ventre, au point de me faire mal. Au point qu'il m'avait amené à oser rentrer dans le sauna. Pour me faire baiser. Et là, par magie, dans le plus strict anonymat, je pouvais me donner à d'autres. Je me rendais compte aussi que j'aimais plus que tout avoir le sexe d'un homme en moi. J'aimais le sentir m'investir, écarter mes chairs, me combler. J'aimais cette blessure, cette brûlure quand le sexe force le passage du sphincter, quand d'un coup, il glisse dans le rectum. J'aimais plus que tout ces va-et-vient, rapides ou lents, dans mon fourreau d'amour. J'aimais être baisé, être enculé le plus profondément possible. J'aimais recevoir le foutre de mes partenaires en moi, j'aimais sentir le sperme dégouliner de mon cul. Bref, j'aimais ce pouvoir de changer de personnalité, d'être le temps de longues heures dans le sauna une véritable petite salope. Voilà ce que je ressentais tandis que le type m'enfilait. J'avais le pouvoir de faire jouir les hommes. L'homme sortit sa queue et éjacula sur mes fesses. Je fus surpris par la chaleur de son sperme. Goujat, il s'en alla sans même me dire un mot. Je me levais pour fermer la porte de la cabine. J'avais besoin de me reposer. J'ai dû dormir durant près de vingt minutes. Le temps de reprendre des forces. Je sentais mon anus encore entrouvert et surtout palpitant de désirs inassouvis. Je percevais aussi une légère douleur sourde mais qui n'était pas du tout désagréable. Bien au contraire, elle me rappelait physiquement l'enculade de mes deux récents partenaires. Les reins et les fesses poisseuses de sperme, je me dirigeais vers les douches pour me nettoyer. Des hommes se savonnaient. Je fis de même. Pas gêné, je pris soin de me laver l'anus, pour le rendre désirable, en me pénétrant avec les doigts savonnés. Des regards se posèrent sur moi et j'imaginais aisément que mon petit trou devait encore porter la marque des deux queues qui m'avaient sodomisé.

La porte du hammam était près des douches. Je me décidais à y aller. Je poussais la porte et comme la veille je fus surpris par la bouffée de chaleur humide qui enveloppa tout mon corps. C'était trop bon, pleinement sensuel. J'allais vers le fond, près de la petite fontaine d'eau froide. Mes yeux essayaient de s'habi au mur de vapeur qui envahissait la pièce. Sur les banquettes de faïence blanche des hommes se suçaient ou s'embrassaient. J'entendais des gémissements sur un des cotés de la pièce mais je n'apercevais pas leurs auteurs. En les entendant, ma queue a repris de la vigueur. Je me suis allongé sur la banquette de faïence, cuisses écartées, sexe offert. Un homme manifestement quinquagénaire, plutôt bien de son physique, avec son sexe en parfaite érection, émergea des volutes de vapeur devant moi. Je ne pus résister. Je me soulevais pour m'asseoir et je flattais son membre de tout son long avec mes mains réunies. Il se pencha sur moi pour m'embrasser et me rendre la pareille. Comme la veille, le baiser de ce type me fit chavirer, me rendit tout chose. Je découvrais qu'un homme pouvait faire ce qu'il voulait de moi en m'embrassant à pleine bouche, langoureusement. En plus, ses mains avaient glissé sous mes fesses tandis que ses doigts me pénétraient facilement. Sur la banquette de faïence blanche, il me replia sur moi-même, cuisses contre mon torse, le cul bien offert. Il m'encula d'un coup. Bien au fond, ses couilles bien plaquées contre l'iris distendu, il entama un long va et vient, accélérant, ralentissant ses coups de butoir. Je perdais pied. En même temps, je percevais plusieurs types qui s'étaient rapprochés autour de nous. Il s'arrêta, et bien au fond de moi, il me souleva sur sa pine, debout. Pour moi, jeune minou, c'était extraordinairement obscène comme position. J'étais empalé sur la queue d'un type devant plusieurs mecs dans la chaleur humide d'un hammam Après quelques minutes dans cette position, fatigante pour lui mais terriblement excitante pour moi, il me positionna à quatre pattes sur le carrelage. Il m'encula avec force durant de longues minutes tandis que je prenais en bouche et en mains les queues qui se présentaient à moi. Un type se glissa sous moi pour nous lécher moi et mon amant. D'un coup, un de mes fantasmes qui faisait le plaisir de mes rêves, se réalisait. Le quinquagénaire se déversa en moi, en plusieurs longs jets qui frappèrent ma prostate. A peine retiré, un autre se glissa à l'intérieur de mon cul accueillant tandis que les queues face à moi m'éjaculaient sur le visage. Dans le hammam, je fus enculé successivement par cinq hommes. J'étais couvert de foutre, le visage dégoulinant de sperme. C'est un grand black qui m'acheva. Avec sa longue queue bien large, j'ai eu le sentiment d'être ouvert en deux. Ce fut douloureux dans les premiers instants mais diablement bon par la suite. Mon fourreau annal s'habituant progressivement à bien envelopper la totalité de son sexe. J'étais tellement surpris de l'accueillir intégralement en moi, que je vérifiais que ses couilles étaient bien plaquées contre mon anus complètement distendu. Je commençais à demander grâce quand il m'offrit quelques instants de répit. Il me proposa de continuer à baiser dans la backroom. J'acceptais. Avec le hammam, c'était mon lieu de prédilection avec le couloir menant à la salle vidéo.

Dans la backroom, je lui ai offert mon cul, debout, cambré face à un mur. J'ai écarté mes fesses dans une pose obscène, pour dégager l'anus d'où dégoulinait le sperme. Il était grand, immense, avec une longue queue, large et puissante. Il m'a enfilé d'un coup, je l'ai avalé au fond de moi sans problème tant mon cul était lubrifié. Lui aussi s'amusa à me soulever, empalé complètement sur sa queue. Mes fesses sur son ventre, il me soulevait sur toute la longueur de son sexe, jusqu'au gland, puis d'un coup il me laissait retomber surs ses couilles. C'était prodigieux. J'étais en littéralement en transe. Il m'a ensuite placé en levrette sur un des matelas, à côté d'un jeune homme qui se faisait prendre dans la même position par un type plus âgé. Avec le jeune gars, nous nous faisions enculer tandis que nous nous embrassions à pleine bouche. Les hommes dans la backroom se sont rapprochés, ils nous ont entourés. Certains se sont avancés pour nous caresser. D'eux d'entre eux se glissèrent sous nous, en 69, pour sucer nos queues lécher celles qui nous sodomisaient. Je pris en bouche celle du type qui était en dessous de moi. Excité par cette orgie, le black derrière moi avait enfourché ma croupe, me pilonnait le plus vigoureusement possible, telle une pouliche. Epuisé, pantelant, je me suis allongé bien à plat sur le matelas. Mon amant m'a couvert complètement de tout son corps ruisselant de transpiration. C'était agréable de sentir nos deux épidermes humides et moites l'un sur l'autre. Avec une impression de ne plus pouvoir réagir, d'être vraiment possédé totalement. J'ai joui comme jamais, du cul au bas ventre, sans me toucher. Le plaisir est monté, immense, incroyable. Mon anus s'est contracté, offrant à mon partenaire de sexe, des spasmes de plus en plus violents autour de sa queue. Il éjacula longuement, à longs traits. Nous restâmes de longes minutes ainsi. J'étais bien. Lui aussi manifestement. Je sentis son sexe regrossir en moi puis recommencer à glisser en moi, « slide in and slide out », comme disent les Américains. C'était prodigieusement bon. J'appréciais qu'il continue à me transpercer avec sa bite. C'était une bonne conclusion avant de quitter le sauna. Il m'a possédé encore plus longuement. Je croyais être exsangue de sperme mais j'avais tort. Sous ses coups de butoir, il m'a propulsé encore à mille lieux dans le plaisir. Et toujours sous le regard des types qui baisaient dans la backroom. Le black s'est déchaîné, pilonnant mon cul à grands coups de bassin. Telle une poupée de chiffon, mon corps tressautait sous ses assauts puissants et vigoureux jusqu'à l'éjaculation finale. Nous avons joui ensemble. Rassasié, je me suis levé, plutôt chancelant, pour aller me doucher. Incapable, de quitter l'établissement, je suis allé m'étendre dans une cabine, la porte fermée. J'avais besoin de récupérer. Je me suis assoupi durant plus d'une demi-heure. J'étais venu pour me faire enculer, j'avais été exaucé au centuple. Mon cul avait accueilli en cette heure tardive de nombreuses queues. C'était décidé. Je reviendrai le lendemain. Pour connaître d'autres aventures sexuelles avec de parfaits inconnus.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!