Laure (Épisode 7) Piscine Et Anniversaire

Un soir lors d’un bain de minuit dans notre piscine, nous étions tous quatre dans l’eau fraîche : Laure, mon épouse, le couple de nos amis Pierre et Joëlle. Nous avions tous pied, l’eau arrivant à la poitrine des femmes . Je me plaçai derrière Joëlle, prenant ses seins frais entres mes mains, appliqua ma verge prête entre ses fesses… Elle se mit à balancer le bassin, tournant sa tête pour m’embrasser goulûment… Pierre prit alors la même position derrière Laure, mais celle-ci guida directement le phallus dans sa chatte… Elle donnait à son bas ventre des mouvements d’avant en arrière pendant que Pierre maintenait sa taille. Je lâchai Joëlle et m’approchai. Laure me saisit derrière une cuisse, et plongeant sa tête sous l’eau, prit mon sexe en bouche. Elle le suça une dizaine de seconde, puis releva la tête pour respirer hors de l’eau… Elle agrippait mes testicules craignant que je ne recule, puis se mit à nouveau en apnée pour continuer sa succion merveilleuse… Le manège se répéta plusieurs fois, elle caressait mes couilles sans discontinuer.. Lorsque je sentis mon ventre prêt à cracher sa lave, j’attendis précisément une prise en bouche pour lâcher ma semence dans sa gorge… Pierre faisait de même dans son vagin… Laure se releva, et m’embrassa me rendant au passage la liqueur que je venais de lui offrir. Plus tard je pris Joëlle, calmement, dans l’eau, pendant que les deux autres s’égayaient dans l’herbe : Pierre mangeait goulûment la chatte de ma femme allongée sur lui, lui arrachant plaintes et rires. A force de caresses, Laure réussit à faire se dresser à nouveau le sexe de l’homme, puis l’estimant assez raide, l’engouffra dans sa gorge, pour à force d’obstination recevoir une nouvelle fois du sperme dans son gosier… Ayant joui auparavant, elle laissa Pierre , le corps mort et pénis définitivement mou, pour nous rejoindre dans la piscine. J’étais en train de jouir dans le ventre de son amie, quand elle plaqua sa bouche sur la mienne pour y régurgiter un sperme tiède qui n’était plus le mien.

Moi qui n’avais jamais avalé de sperme, j’en dégustai le même soir deux différents. Heureusement que l’ambiance y était, car à vrai dire, je n’en ai pas apprécié le goût.

Nous fêtions, un soir d’automne, l’anniversaire de Laure à la maison. Elle venait d’avoir trente six ans et restait toujours aussi attirante. Nous n’étions que quatre, y compris Joëlle et Pierre. Au moment du gâteau d’anniversaire au chocolat, comme nous n’avions pas prévu de bougies en assez grand nombre, il me vint une idée : Pourquoi ne pas remplacer les bougies par nos verges. J’expliquai la façon de procéder en m’exécutant au fur et à mesure… Je mis une seule bougie sur le gâteau et l’allumai. Puis laissant Laure face à la pâtisserie, baissai le pantalon qu’elle portait ce jour-là, ainsi que sa petite culotte. Faisant de même avec mes propres vêtements, e je me plaçai derrière elle. Et tandis qu’elle se tenait debout au sol, appuyant ses deux mains sur le bord de la nappe, j’introduisis mon phallus dans son minou en comptant à haute voix « un ! », puis un deuxième coup « deux ! », ainsi de suite jusqu’à trente six. Tous reprenaient en chœur le comptage à chaque coup de ma bougie. Après le décompte, Laure souffla la bougie tandis que nous applaudissions. Pierre vint alors et ralluma la petite bougie du gâteau. Il dénuda complètement Laure et répéta l’opération de la même façon tout en pétrissant son ventre et ses seins. Puis elle but d’un trait une coupe de champagne frais sous les vivats, et nous trinquâmes tous à sa bonne santé… Joëlle nous fit remarquer qu’elle avait eu trente cinq ans le mois précédent et qu’elle n’avait pas eu droit aux mêmes bougies. Nous recommençâmes l’opération avec elle, Pierre le premier en prenant soin de nous arrêter à trente cinq chaque fois… Puis les deux femmes étant nues, nous échangions nos partenaires après avoir légèrement tartiné leurs poitrines du chocolat du gâteau ; Et, tout en léchant ces seins au goût sucré, nous les prîmes cette fois sans compter pour que nos bougies laissent dans leurs entrailles la crème blanche que nous leur dédiions… Les femmes enduisirent à leur tour, de chocolat, nos verges fatiguées et les sucèrent jusqu’à ce qu’elles retrouvent une bonne rigidité.
Constatant que les deux verges qui lui avaient fait sa fête étaient de nouveau dressées, Laure demanda à Joëlle de l’aider à débarrasser les couverts. Puis elle s’allongea nue sur le dos en travers de la table et demanda aux deux hommes de se placer à genou de chaque côté d’elle. Elle prit un pénis dans chaque main et commença à les caresser et à en soupeser les testicules. Exécutant des contorsions elle prenait en bouche chaque phallus l’un après l’autre. Elle porta les mains à son ventre et nous demanda de se masturber et d’éjaculer sur elle. Ce que nous fîmes… Mais ce n’était pas si simple ; nous venions il y a peu de vider nos bourses ! Laure eut alors l’idée d’introduire doucement un index de chacune de ses mains dans nos anus : Ceci eut pour effet d’activer nos éjaculations dont elle s’enduisit le corps en nous remerciant… Puis les échanges durèrent une partie de la nuit, champagne et sperme coulant encore à flots. A la fin de nos ébats Laure nous annonça qu’elle serait prête une prochaine fois à se faire prendre en sandwich, Pierre derrière dans son petit trou étroit, et moi devant dans sa chatte… La chose ne fut jamais réalisée : nos échanges qui duraient depuis cinq années s’espaçaient de plus en plus, pour bientôt s’arrêter, par simple lassitude

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