Laure (Épisode 10) Au Supermarché

Un matin, au camping, Mon épouse Laure me demanda d’aller faire les courses avec elle… Elle ôta son bikini et, sur sa nudité, mit une petite robe courte et légère à bretelles, très décolletée dans le dos, de couleur bouton d’or et une large ceinture. Dans la voiture elle remontait suffisamment la robe pour offrir son pubis à mon regard… A l’intérieur du supermarché, au contraire, elle évitait de se baisser trop ou de s’agenouiller de peur de créer une émeute, mais gardait une posture fière, poitrine dressée, épaules en arrière, mamelons durcis. Beaucoup de paires d’yeux d’hommes, sous le regard désapprobateur d’épouses jalouses ou choquées, la suivaient, imaginant facilement son corps nu. Mais elle faisait mine de les ignorer tous. Ce qui leur était à peine caché, c’est ce magnifique corps bronzé, sans marques de maillot, qu’elle exposait avec nous, tous les après-midi, sur une plage naturiste. Pendant la queue aux caisses, près de nos caddies et au milieu de la foule compacte des vacanciers sur plusieurs files côte à côte , je m’installai juste devant elle, les doigts de ma main droite caressant subtilement cette chatte lubrifiée, certainement plus par désir qu’à cause la pénétration au camping déjà lointaine…Je ne pensais pas qu’une femme, aussi excitée soit-elle, puisse mouiller à ce point… à un moment j’ai même eu l’impression qu’elle éjaculait sa mouille tiède dans mes doigts. Je sus plus tard la cause de cette lubrification intense : Elle me dit qu’elle avait senti, dans la queue des clients, derrière elle, petit à petit, le sexe d’un homme, tendu sous un short fin, s’appliquer sur le haut de ses fesses en remuant légèrement, ce qui l’avait tout d’abord beaucoup intimidée...Mais après tout ne l’avait-elle pas désiré inconsciemment en exposant son corps si peu recouvert. Chaque fois qu’elle avançait d’un pas le bâton dressé lui plaquait les reins avec plus d’assurance, elle sentit même les testicules entre ses petites miches tant la pression devenait de plus en plus forte.

Elle répondit en collant ses fesses contre les cuisses de l’homme qui plaqua la main quelques secondes sur son ventre pour la serrer contre lui et affirmer ses intentions. Il était là pour elle, sans chariot ni provisions dans les bras. Elle regrettait son petit mètre cinquante de poupée gracile, si au moins elle avait pensé à chausser des talons hauts : cela aurait permis à l’audacieux géant inconnu d’épouser la raie de ses fesses. Elle laissa faire avec plaisir, d’autant que les caresses discrètes que je lui prodiguais lui faisait onduler le bassin, répondant à l’invite de l’homme de façon non ambiguë. Elle porta le bras qu’elle avait contre les présentoirs du supermarché à sa hanche, et haletante , rougissante, profitant d’un pas en avant de la cohue plaça sa main tremblante sur le phallus de l’inconnu. Le short large était de jersey fin , un peu comme sa robe et elle sentit la chaleur du membre, de belle taille à travers le vêtement… Remontant discrètement son coude, elle trouva l’élastique de la taille et sa main s’engouffra alors dans le short, saisissant l’imposant cierge dont le gland perlait déjà, pour descendre malaxer les testicules...Il ne portait pas de slip. Elle imaginait un colosse de race noire, dont elle sentait déjà la transpiration forte L’homme se tenait serré contre elle, pour éviter les regards des clients, et sa main passa sous le coude de ce bras levé pour sa caresse et discrètement glissa sous le tissu du décolleté dorsal et enveloppa un sein de mon épouse dans sa paume, à même la peau, il s’amusa une bonne minute du mamelon durcit de l’objet de son désir , ce type de bout de sein qu’il avait sûrement repéré sous la robe avant de suivre Laure, n’est pas très répandu. Puis se ressaisissant, craignant sans doute les curieux, la retira pour la poser sur une hanche qui ondulait, au rythme de la musique d’ambiance du supermarché. Il a bien fait comme cela deux ou trois mètres, à petits pas, collé derrière Laure, le long des gondoles de vins apéritifs, sentant la main de la petite femme dont il ne voyait pas le visage lui caresser le pénis qui devenait de plus en plus chaud et dur.
A un moment même, se rendant compte que le vêtement de l’homme était de coupe ample, elle lâcha le sexe pour le reprendre de la même main, mais par en dessous, l’introduisant dans une jambe du short, très élastique, côté gondole du magasin toujours pour la discrétion .Elle osa ainsi sortir discrètement l’engin tout entier. gros et gonflé de désir, couilles comprises… Elle avait là en main un phallus qui lui sembla gigantesque et qui palpitait entre ses doigts. Il fallait aller plus loin, d’autant que la caisse était encore à cinq bons mètres. Son désir augmentant elle tordit la longue verge vers le bas pour l’ajuster entre ses fesses à travers sa robe. L’homme était beaucoup trop grand et le gland restait encore un peu au dessus du bas de la robe… Mais il commença à fléchir les jambes, le bout de son sexe souleva la robe de coton fin, se mit en contact avec la peau des petites fesses, glissant dans la raie du fait de sa propre lubrification… Laure, au paroxysme de sa libido, se dressa sur la pointe des pieds, comme pour regarder par dessus mon épaule, mais, peine perdue : le sexe arrivait bien au haut de ses cuisses, mais dans cette position de gland dirigé vers le sol n’atteignait que le bas sa vulve offerte, s’y lubrifiait suffisamment, mais la cible n’était pas atteinte et toute introduction semblait impossible… A cet instant je croyais que Laure se caressait par derrière, n’osant pas contrarier ma main ; j’étais loin de me douter, malgré mon imagination débordante en matière de sexe, qu’un phallus étranger était aux portes de son minou, là , presque au contact de mes doigts. Comme pour se faire pardonner de ne pouvoir accueillir l’homme dans son ventre, les mollets contractés pour garder sa position, elle comprima plusieurs fois le pénis fébrile entre ses cuisses chaudes, le guidant toujours tête en bas de ses petits doigts fébriles. De sa main libre elle s’accrocha à mon épaule pour se grandir encore… Elle sentait le gland dur battre à l’entrée de son vagin, à n’en point douter l’homme se masturbait entre ses cuisses, et entre ses grandes lèvres prenant au passage un peu de l’intense lubrification de la vulve dégoulinante… Le gros membre glissait maintenant facilement, frottant toujours au passage la raie des fesses, l’anus , le bas de la vulve et le haut des cuisses à l’endroit où elles rejoignent le périnée, créant ainsi une sorte de fourreau douillet et bien graissé dans lequel il simulait discrètement un coït, toujours en cadence avec la musique d’ambiance… Elle serra ainsi les cuisses chaque fois que le phallus était avancé.
Elle sentit quelques spasmes rapides de la verge bandée entre ses fesses, puis un torrent chaud inonda sa raie puis le bas de son pubis, arrosant au passage mes doigts, pour s’écouler ensuite le long de ses cuisses… Déçue de ne pas profiter elle aussi du plaisir, et cette position sur la pointe des pieds étant intenable, ses mollets à la limite de la crampe, profitant d’un pas en avant de la file d’attente , elle se remit sur les talons et laissa reprendre au phallus sa place dans le short., mais sa main le serrant toujours comme pour extirper les dernières gouttes de cette semence mystérieuse et s’en enduire des doigts. La verge devint molle, et resta blottie dans sa main comme un petit oiseau blessé… Elle savait bien que l’inconnu, malgré sa pulsion sauvage n’aurait pas pu s’accroupir davantage, au risque de se ridiculiser, ou même d’avoir des ennuis…Ce qu’il avait réussi là était déjà un exploit. Elle pensa avec regrets que si elle avait eu affaire à un homme de petite taille, dans ces mêmes conditions mais avec des talons hauts, sans doute aurait-elle pu l’accueillir dans sa cible brûlante sans plus de problèmes, et plus discrètement peut-être. La longueur de sa petite robe ne nécessitait pas qu’on la relève beaucoup et un simple basculement discret du bassin vers l’arrière, facile à réaliser quand on porte des chaussures hautes, aurait mis son ouverture dans une position optimale pour une intromission en règle ; mais était-ce bien raisonnable ? De toute façon, l’occasion ne se représenterait jamais. Le plaisir mêlé à la gêne, teintée de honte, d’un acte sexuel en public, même discret procurent un état proche de l’étourdissement. Laure sentait le sang bouillonner dans ses tempes, elle n’osait regarder personne, les yeux fixés sur le luminaire indiquant le numéro de la caisse, de peur que les badauds découvrent que la main de l’homme qui la précédait soulevait discrètement sa robe pour glisser ses doigts dans son minou crémeux, tandis qu’elle prodiguait des caresses au sexe soulagé de l’autre qui la suivait…Si un homme l’avait remarquée à ce point, il se peut que tous les clients aient les yeux rivés sur elle… Peut-être que dix, trente où même cent verges étaient là, autour d’elle, tendues pour elle…Elle profita de ce que je replace mes deux mains sur la poignée du caddie pour lâcher la verge molle et prendre la main de l’homme pour la guider lentement vers son ventre afin qu’il profite encore un peu d’elle et continue les caresses que je venais d’abandonner, il s’en acquitta parfaitement mais toujours avec discrétion, titillant son bouton, enduisant ses doigts de la lubrification de mon épouse mêlée d’un peu de son sperme, pour ensuite les engloutir dans le vagin avide, enfouissant au passage quelques gouttes de sa semence comme pour la féconder.
Elle se remit encore une fois sur la pointe des pieds pour faciliter la tâche de cette main, ma foi experte…Cette nouvelle caresse décidée par elle, empêchait à Laure de se sentir gênée… En effet comment rester bras ballants, l’air de rien devant un homme qui vient de jouir grâce à vous, sur vous, presque en vous… Elle aurait senti cette présence et craint de croiser son regard. La scène aurait dû durer un peu plus, mais c’était à notre tour de passer en caisse. Alors afin de pouvoir déposer le contenu du caddie sur le tapis roulant , elle retira la main de l’inconnu, passa devant moi, et jamais ne tourna la tête pour regarder derrière elle l’homme qui la désirait ainsi. Elle me laissa re-remplir le chariot, le dos toujours tourné aux caisses. Après que j’eus réglé la note, nous nous dirigeâmes vers le parking, sans qu’elle ne se retourne jamais. Une fois installés dans la voiture, elle me conta l’anecdote, et me fit voir les longues traces de sperme déposées sur ses cuisses et jusque sur ses espadrilles, et à aucun moment je n’ai deviné ce qui se passait derrière moi, je croyais que les mouvements divers et la chaleur de mon épouse étaient dus à mes seules caresses, discrètes, mais déjà osées pour le lieu… Et pendant que nous roulions vers le camping, sur une route isolée, elle souleva sa robe dégrafa la bretelle derrière son cou, et retenue par la ceinture de sécurité, entreprit de caresser à la fois ses seins dénudés et sa vulve, les pieds calés au plancher et imprimant à son bassin des mouvements rotatifs jusqu’à atteindre un orgasme sauvage fait de plaintes et de spasmes comme elle n’en a pas souvent… Il était temps : la voiture arrivait à l’entrée du camping, elle rajusta son seul vêtement, et descendant du véhicule, nous sortîmes les provisions comme si de rien n’était. Elle eut seulement à mettre sa robe au lavage, car elle l’avait tachée de mouille et du reste de sperme de l’homme en jouissant dans la voiture, et l’arrière portait des sortes de traces visibles de bave d’escargot laissées par la verge de son inconnu . Laure ne saura jamais à quoi ressemblait l’homme qui lui avait fait constater son désir et avait aspergé copieusement le bas de son minou et ses cuisses d’une bonne dose de foutre tiède.

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