La Soumission D'Erika

J’ai fait connaissance d’érika en lisant une petite annonce. Une femme cherchait à correspondre avec des personnes aimant le sexe. Je lui ai écrit et nous avons rapidement trouvé des sujets communs. Elle avait envie de raconter ses fantasmes sans avoir un sentiment de culpabilité ou de honte. Au début, elle m’avoua qu’elle aurait préféré dialoguer avec une femme. Elle avait peur qu’un homme se moque d’elle. Je lui fis comprendre qu’au contraire, je serai plus attentif à suivre ses fantasmes car dans notre échange hétéro, la compétition ne pouvait avoir lieu.

C’était une femme marié de 52 ans et avec de grands s partis du nid depuis un bout de temps. Elle ne travaillait pas. Son mari, représentant, ne rentrait pas toujours le soir et elle passait de grands moment seule. Son mari devait avoir une maîtresse (pensait-elle) car ils ne faisaient pas souvent l’amour ensemble (pas assez à son goût) et elle connaissait rarement le vrai plaisir avec lui. Elle se rattrapait toute seule. Son grand fils, un moment en stage au Canada, lui avait offert un ordinateur pour entrer en contact avec elle facilement. Il l’avait initier à Internet, au chat et au courrier électronique. Erika avait découvert les sites porno et se connectait tous les jours dessus, et parfois la nuit quand elle était seule. C’est là qu’elle se caressait et jouissait le plus intensément.

A force de discussion, je compris qu’elle avait un penchant pour le SM. Mais elle ne savait pas de quel côté, elle penchait. Je lui proposais d’essayer les deux avec moi. Après un temps de réflexion d’une semaine sans contact, elle m’écrivit qu’elle acceptait à deux conditions : Que cela aille doucement avec la possibilité de pouvoir dire non parfois et que je commence par la dominer car elle ne savait pas quoi faire. Je lui avais proposé de devenir d’abord Maîtresse.

Nous commençâmes le jour même.

Je lui demandais de retirer sa culotte et de ne plus en mettre.

De sortir immédiatement faire des courses en ville en mettant une robe parmi ses plus courtes. Le soir, elle devait me faire le récit détaillé de son obéissance. Son récit fut plein de bonheur. D’abord, elle avait eu le sentiment que tout le monde pouvait voir qu’elle ne portait pas de culotte puis habituée, elle avait profité de sa nouvelle liberté. Ayant pris le bus, elle fut même frôlée par un homme et sentit son corps plus près du sien durant un instant : un instant de fusion furtive avec un autre homme.

Dans les jours et les semaines qui suivirent, elle dut prendre l’habitude de se dévêtir complètement chaque fois que son mari passait la porte et de faire son ménage, de manger et de surfer toute nue. Puis je lui demandais de sortir et d’aller acheter une gamelle, un collier et une laisse de chien. Elle prit alors l’habitude de mettre son collier et sa laisse quand elle était seule et de manger dans sa gamelle, à 4 pattes en écartant les fesses. Nous avions décidés de nous retrouver sur un chat tous les soirs et nous jouissions chacun derrière notre clavier que ce qu’elle me racontait et vivait. Elle jouissait presque chaque fois en direct après un ordre que je lui donnais. Elle dut, un jour où elle était en retard sur le chat, sortir dans la rue et aller faire ses courses uniquement habillée e son manteau et avec son collier au cou.

Elle m’avoua avoir eu honte mais avoir sentit de la mouille couler le long de ses cuisses pendant le trajet à pied.

Elle devait me raconter, chaque fois qu’elle faisait l’amour avec son mari. Je lui ordonnais de ne jamais se refuser mais de se laver toujours ensuite.

Dernièrement, je lui ai demandé de choisir deux objets de forme allongée. Un devait être d’un usage courant et l’autre devait appartenir à son mari.

Elle choisit le manche amovible d’un ustensile de cuisine et un tournevis à poignet fine. Avec ses deux objets, elle découvrit la sodomie et la masturbation avec objet.
Le tournevis servait à emplir son petit cul étroit et le manche à combler sa chatte. Elle passe désormais ses journées avec son cul et sa chatte pleins de bonheurs. Elle est même déjà sortie une fois avec ses godes dans la rue.

Dans une prochaine étape va consister à lui faire découvrir le plaisir les pinces à linge ou autre sur ses tétons et sur ses lèvres vaginales. Elle a envie d’essayer aussi les jeux d’urine.

Une chose est certaine, elle n’a pas eu encore envie d’être la Maîtresse. Le jeu peut s’inverser dès qu’elle le voudra.

Nous avons échanger quelques photos mais nous ne nous sommes jamais vus ni rencontrés. Un jour peut être mais ce n’est pas sûr.

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