Notre Jeune Voisin

Nous habitons dans un lotissement avec des maisons jumelles. Depuis plusieurs jours en fin de soirée je constate comme une ombre derrière la fenêtre de la salle de bain, je pense à des reflets de feuillages.
Un soir, après avoir rentré ma voiture au garage, je fais le tour du bâtiment et aperçois une silhouette. Intrigué je m’approche discrètement et surprends mon jeune voisin le nez au carreau en train de se masturber. Mon épouse est en train de se doucher, il se rince l’œil et profite de ce moment érotique. C’est un garçon de 18 ans à peine, en me voyant il prend peur, je le rassure. Il me promet tout tremblant de ne plus recommencer. Je lui dis qu’il n’y a pas de mal et que je ne peux le blâmer car moi aussi j’aurais bien aimé avoir une telle occasion.
J’en parle à mon épouse qui me dit d’un un air coquin « j’aimerais bien faire un petit jeu. Un soir je me coucherai et ferai semblant de dormir, arrange ça avec lui ».
Le lendemain je me débrouille pour le croiser et tout en parlant de tout et de rien je lui demande s’il veut venir ce soir regarder un match à la télé, sans hésitation il accepte. Durant le repas, je me mets d’accord avec mon épouse.
Le foot terminé je lui fais signe de me suivre et surtout de ne pas faire de bruit. J‘ouvre la porte de la chambre, il est tout rouge et un peu déconcerté. En face de lui son espoir le plus secret, cette femme qu’il a espionné mainte fois endormie sans défense. Je le fais approcher, « tu peux y aller elle dort, elle a pris un somnifère, vas-y tire le drap ». Peu à peu il découvre ce corps à demi nu, ces formes tant rêvées là tout près juste sous ses yeux.
Elle est sur le dos, la chemise de nuit légèrement ouverte, il la regarde, je le sens hésitant, « continue ! », il semble très embarrassé. Je l’aide, lui prends la main et la pose juste au dessus des genoux, il n’ose rien faire. J’insiste, alors il pousse lentement le tissu et peu à peu le bas du ventre se découvre.

Il tremble mais bientôt le pubis commence à son tour d’apparaître, alors sa respiration devient encore plus saccadée, plus forte et d’un geste fébrile, il caresse maladroitement cette toison soyeuse qu’il a tant de fois aperçue et désirée.
Je le laisse apprécier cet instant et en attendant j’entrouvre les cuisses de mon épouse pour lui permettre de découvrir le fruit défendu. Il me regarde, je lui fais signe de continuer. Il introduit sa main dans l’entrejambe, glisse entre les lèvres et atteint le puits du désir. Il se tourne vers moi, je hoche la tête en signe d’approbation.
Timidement il pénètre l’intimité, enfonce un doigt, fait quelques allers-retours. Je pense qu’elle doit être pas mal excitée car ça clapote. Petit à petit après plusieurs va-et-vient ses doigts disparaissent dans cette vulve ouverte luisante qui ne cesse de l’appeler, de l’attirer. Sans se rendre compte il passe et repasse sur le clitoris qui grossit, intrigué il appuie davantage et avec son pouce le masturbe plus hardiment. Mon épouse malgré sa simulation ne peut retenir quelques gémissements
Son pantalon commence à sérieusement le coincer, une bosse trahit sa forte excitation. A ce moment là je défais un à un les boutons de la chemise de nuit et l’ouvre en grand laissant apparaître son buste voluptueux que je caresse avec plaisir, me délecte de cette peau si lisse, si douce au toucher.
Je laisse la place à mon jeune conquérant. Tout d’abord il l’effleure et peu à peu devient plus insistant et s’attarde sur les pointes qui dardent. Il les serre, les tire et les fait tournoyer. Il est très excité, il se penche et vient les sucer, les happer, les mordiller. Elle gémit encore. Il respire fort par saccades, « tu peux défaire ton pantalon ! ». Alors son membre jaillit, long, dur, brillant, il le frotte sur l’opulente poitrine, puis caresse les tétons qui durcissent au contact de son gland qui gonfle, devient de plus en plus sensible. Il ne tient plus, se raidit, pousse un petit râle, c’est l’extase, l’élixir jaillit en une salve glorieuse.

Après un petit moment, il referme son pantalon et encore tout bouleversé me remercie, je suis heureux pour lui. Il se retourne une dernière fois pour contempler ce corps dénudé qui lui a donné tant de plaisir.
En moi c’est un feu absolument intenable, toute cette ambiance érotique nous a excités au plus au point. Ma chérie le regard amoureux me tend les bras, je m’étends sur elle, elle me sourit légèrement, je la pénètre avec rage, nos respirations s’accélèrent, nos corps brûlants s’unissent, nous jouissons et j’explose au plus profond de sa grotte d’amour

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