Pour Toi Ma Belle

Tu t'es assise dans un fauteuil confortable à un 1 mètre du lit sur lequel je m'étends.

Tu m'as promis de ne pas bouger et moi de ne pas te toucher.

Déjà je suis fébrile et tu as accepté avec une petite moue que je te passe des menottes aux mains, après encore t'avoir rassurée que je ne te toucherais pas.

Tu es habillée et tu attends.

Je me couche sur le lit, en face de toi, calé sur des coussins.

L'idée du fantasme que je t'offre gonfle déjà mon sexe qui me fait mal sous mon jeans. Doucement, je promène mes mains sur la bosse qui déforme mon entrejambe.

Les massages continuent et tu vois mes mains qui frottent langoureusement mon sexe tendu sous le tissu.

Je ne dis rien mais le plaisir commence déjà à m'envahir.

Tu bouges légèrement les mains pour mieux t'asseoir dans le fauteuil et celles-ci, entravées par le métal brillant, attisent encore mon excitation.

Tu la lis dans mes yeux et quelques frissons commencent à te parcourir.

Maladroitement, je déboutonne le haut de mon jeans et ouvre la tirette tout en continuant à me caresser doucement mais avec plus de fermeté.

Mons sexe est gonflé en dessous du tissu de mon slip gris Calvin Klein.

Tu aimes la toile tendue qui en souligne la forme, ce sexe gonflé de plaisir que tu n'as pas encore vu.

Après avoir rapidement retiré mon pantalon, je passe ma main sous l'élastique et tu vois sur mon visage une lueur de satisfaction, tu ne peux plus cacher ton trouble.

Mes jambes écartées, mes caresses se précisent et tu vois soudain le gland gonflé et bleu qui s'est libéré de l'étoffe devenue inutile.

Bientôt, ma main droite caresse mon entrejambe et descend doucement entre mes fesses pour rejoindre les poils soyeux qui entourent mon trou secret.

La caresse est insupportable et le sexe dans ma main gauche grandit encore, le gland bleu démesuré.



Mes doigts vont rejoindre ma bouche pour recueillir la salive qui accompagne le premier doigt, timide, à l'entrée de mon anus.

Mes jambes se sont encore écartées et ton regard fixe y plonge, accompagné d'une respiration qui s'est imperceptiblement accélérée.

Un deuxième doigt à rejoint mon petit orifice, mon souffle devient plus court.

Mes doigts bougent doucement entourés d'une paroi de velours.

Ce jeu continue et mon regard s'absente.

Brusquement, je retire ma main.

Ton étonnement se trahi sur ton visage teinté de déception.

Ma main libre s'empare alors d'un petit tube de vaseline que j'ouvre doucement et puis repars à la recherche d'un autre objet.

C'est un magnifique gode, véritable sexe somptueux, que je commence à enduire doucement tout en continuant de ma main gauche de légers mouvements de va et vient.

J'amène le gland de latex devant mon anus luisant et commence doucement à le frotter contre les parois qui s'écartent très légèrement.

Le passage est trop étroit et je dois continuer à le frotter longtemps et langoureusement avant que mes chairs s'apprivoisent.

D'un mouvement un peu plus soutenu, je force la première barrière. Une petite grimace se fige sur mon visage et j'arrête tout mouvement.

Ma position, que tu trouverais obscène, te fascine et tu n'arrives plus à contrôler les vagues de chaleurs qui remontent entre tes cuisses.

Sans t'en rendre compte, le métal de tes menottes a légèrement tinté, trahissant le mouvement de tes mains vers ton entrejambe.

Cette vision ravive mes sens et j'augmente doucement la pression sur le gode qui gagne quelques millimètres aux tréfonds de mes chairs.

Le mouvement de ma main sur ma colonne rigide a repris.

Une goutte brillante est apparue sur le bout du gland gonflé de plaisir.

Bientôt le sexe entier est absorbé entre mes jambes.


La main libérée se saisi de mes couilles gonflées.

Mon regard s'éclipse déjà dans le vague et je ne peux m'empêcher de lâcher quelques grognements sourds.

Le mouvement de ma main s'accélère sur ma hampe.

Ton regard qui passait de mon visage au gode est maintenant figé sue mon gland.

Tu sais que la jouissance est proche et tu as envie de la savourer pour libérer cette attente.

Enfin, un jet blanc puissant et saccadé s'échappe dans un soubresaut incontrôlé de plaisir.


Doucement, je me lève, me lave et me rhabille.

Le visage rempli de bonheur, je te laisse pantelante.

Je te glisse la clef des menottes inutiles et m'éclipse en refermant doucement la porte.

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