Un Papillon Rose Lilas Épisode 1

Le grosson à New York...


Elton, déjà adulte, élevé par une mère qui l´adorait, peut-être trop. Elle le gardait perpétuellement collé contre elle et ne le lâchait que pour lui permettre d´aller à l´école. Son père mourut lorsqu´il avait seize ans. Sur le plan financier, il les laissait dans une situation convenable mais sa mère était très ébranlée. Le jeune garçon évoquait ce qu´aurait dû être cette vie animée et brillante comme une comedie à grand spectacle. C´était un garçon de tempérament moderé, qui jouait à la récréation, travaillait à l´étude, écoutant en classe, dormant bien, mangeant bien. Lui semblait un acte précieux de sa beauté qui le réhaussait d´estime vis-a-vis de lui même, c´était comme l´initiation au monde. Son père l´avait préparé à vivre dans ce cadre faustueux et même un peu théâtral dont il avait le goût et qu´Elton ne connaîtra jamais puisque son père se suicida juste au moment où l´adolescent s´apprêtait à faire son entré en scène. Sa vie et son univers prestigieux n´était plus que ruines. Il avait appris un rôle qu´il ne jouerait jamais. Il avait été eduqué pour une vie qu´il ne connaîtra pas. Quand quelqu´un parlait de son père, Elton restait silencieux, trop éprouvé depuis deux semaines par les évenements qui venaient de bouleverser son existence. Il était incapable de trouver des arguments pour défendre la memoire de son père. Bien evidement, jamais il n´avait souhaité une telle tragedie. Il n´était pas encore parvenue à comprendre comment tout son univers avait pu s´écrouler aussi vite. Cela paraissait impossible, inconcevable. Il aimait énormement son père. Elle gemissait :


- C´est toi qui vas t´occuper de maman, maintenant, il va falloir que tu sois un grand, un grand monsieur.


De telles paroles avaient de quoi effrayer un de son âge. L´intimité excessive de sa mère était déjà oppressante du vivant de son père mais, maintenant, ça risquait d´empirer. Ca ne manquait pas, elle avait peur du futur.

Elton detestait ses façons étouffantes. Elle ne cessait de le questionner, pas moyen d´échapper à sa mère, impossible. Il ne pouvait même pas se branler furtivement, enfermé dans les toilettes d´école avec un vieux dépliant central d´un magasine " Play-Boy ". Les images érotiques ou carrément pornographiques issues de la lecture en cachette de nombreuses revues très suggestives hantaient son esprit nuit et jour.

Quand Elton attrapa ses seize ans, il avait l´oeil sur une fille nommée Julie. Il la devisait seule, sur le chemin de retour, elle marchait tranquilement en rentrant chez elle après sa journée d'école. Elle souriait car elle aimait marcher dans l'air vif de l'hiver qui rougissait la peau délicate de son joli visage. C'était une belle jeune fille de 16 ans dont tous les garçons rêvaient. Il faut dire que c'était une grande beauté avec ses grands yeux noirs ornés de jolis sourcils lui donnant un petit air étonné et ingénu, sa jolie peau blanche si fine qu'on l'eut crue translucide, et sa merveilleuse et épaisse chevelure brune. Ses cheveux étaient si fins qu'ils semblaient être de soie, mais si drus que l'épaisseur de l'ensemble était extraordinaire. Elle les portait naturellement très longs, et ils descendaient jusqu'à ses petites fesses rondes, où ils s'arrêtaient dans un surcroit d'épaisseur, en belles boucles sauvages, terminant en apothéose les longues ondulations satinées qui couraient sur ses épaules et le long de son dos. Julie, d'origine italienne, menue et mince, était d'une finesse et d'une délicatesse extrême, elle avait aussi une grâce infinie qui aurait pu passer pour de la préciosité si elle n'avait été parfaitement naturelle. Pensant qu´après tout l´on ne risquait rien, Elton se promit de faire la demande quand l´occasion s´en offrirait, mais chaque fois qu´elle s´offrit, la peur de ne point trouver les mots convenables lui collait les lèvres. Elton ne pouvait décrire la sensation qu'il éprouvait. Tout son être était empreint d'une folle émotion.
Il sentait battre son coeur à se rompre.

Il lui aurait bien proposé de sortir, mais comment faire ? Sa mère ne l´avait laissé aucune liberté. Il en était réduit à saisir les occasions là où elles se trouvaient. Il était indiscutablement le garçon le plus mignon de l´école et Julie ne repoussa pas ses avances. Ils profitaient de la coupure du déjeuner pour se livrer à des séances de pelotage poussé dans la salle de sciences. Il la dévore des yeux : ses fesses qui bougent quand elle marche. Julie avait des seins arrogants qu´il adorait caresser. Il savourait la douceur et l´innocence de cette bouche juvenile, en échange, elle le massait jusqu´à l´orgasme au-dessous d´un tas de kleenex. Un jour, après plusieurs mois de ces activités, elle soupira:

- Je crois que je t´aime Elton.

Cela voulait-il dire qu´elle allait enfin se laisser faire ?

- Je crois que moi aussi, répondit Elton, plein d´espoir.

Il lui avait enlevé corsage puis soutien-gorge et, maintenant, il s´affairait les yeux avec passion. Lorsque la jupe tomba, elle s´empressa de dire :

- Je ne l´ai jamais fait, et toi ?

- Non, répondit-il en la débarrassant de sa culotte avant qu´elle ne change d´avis.

Elle frissonna.

-Oh !... déshabille-toi aussi.


Elle lui souriait, sa malice et gentillesse, la pure ligne de ses jambes et le charme de l´indecence. Enfin elle lui suggérait, plus qu´un personnage des mille et une nuits métamorphosant une jeune fille qu´aurait fait une incarnation du désir dévergondé. Il avait à la longue le sentiment d´un jeune garçon heureux, possédant la jeunesse et la beauté. Elton ne parlait plus ils se regardaient, un désir suprême faisait frissonner leurs lèvres séches, et mollement, sans effort, leurs doigts se confondirent. Enfin elle est là; ce trésor que l´on a tant cherché, lá devant lui, elle brille, elle étincelle. Cependant on doute encore, on n´osait y croire, on en restait abloui, comme si l´on sortait des ténebres à la lumière, et en achevant ces mots.
Il se passa la main sur le visage. Au ton de sa voix, Il sentit que l'excitation montait. Elle n´eut pas besoin de lui demander deux fois. Il était tellement excité qu´il pensa éjaculer avant d´avoir pénétrer. Il bassa son pantalon et déboutonna sa chemise. Ni l´un ni l´autre n´entendit le principal entrer, suivi de deux couple de parents à qui il faisait visiter l´établissement. Il avait subi force remontrances lorsque sa mère arriva, les lèvres pincées par la fureur. Elton était pâle et il fit d´une main un signe d´impuissance. Il n´avait plus la force de parler.... Elle eut une explication avec le principal, puis sa mère ramena Elton à la maison sans lui décocher une parole. Elton alla se réfugier dans sa chambre. Jamais il n´avait vu sa mère dans une colère pareille. Son insensibilité, sa torpeur morale avaient fait des progrès qui l´étonnait, comme si ses nerfs noyés de morphine ne sentaient plus rien. Il se déshabilla et se coucha dans le petit lit. Puis il pensait à Julie. Il laissa ses mains s´aventurer sous les draps et jouer avec son érection. Puis d´une vive masturbation il jouie et quelques minutes plus tard il était déjà endormi.

Jamais Elton n´a été normal. Il a toujours eu quelque chose de bizarre. La télé, le ciné, ça ne l´intéressait pas. Et même quand il a cessé d´être un gamin, c´était pareil à apprécier les situations insolites à deux, sources d'émotions inhabituelles. Elton ne put résister à leur demander comment ils en étaient venu à "libertiner" et comment s'était déroulé leur première expérience. Après l´ennui de cette déception, son coeur de nouveau resta vide, et alors la série des mêmes journées recommença. Mais le cercle d´amitié dont il était le centre peu à peu s´élargit autour de lui, et cette auréole qu´il avait s´écartant de sa figure s´etala plus au loin, pour illuminer d´autres rêves. Il aimait aussi les sujets à polemiques, quand sa mère lui disait, ne faites pas ça ou n´y allez pas, et bien lui, il aimait justement le faire.


Il eut sa première relation homo avec son collègue de salle de classe Jerry. Un jour ils sont remontés dans la chambre et ils avaient passé la soirée à discuter de mille choses en écoutant des disques. Il était trop tard pour essayer de jouer et ils ont restés très tard dans la nuit à fumer, à parler de musique et à refaire le monde. Parmi les sujets abordés en fin de soirée, il y avait l'homosexualité. A ce moment là. En tout cas pas pour Elton, même s´il était un peu troublé, Jerry ayant déjà eu beaucoup de jeux sexuels très poussés avec d'autres garçons. Toutes ces envies et ces craintes l'agitaient beaucoup. Et puis, Elton devait bien reconnaître que la chaleur et la présence de son copain à ses côtés le troublait de plus en plus. Mais que faire ? Le temps passant, il bandait de plus en plus fort. La proximité de ce corps , de sa chaleur, de son odeur l`attirait irrésistiblement. Il en éprouvait un trouble un peu écoeurant, quelque chose d'un peu chavirant pour le ventre, mais qui en même temps l'excitait violemment. Mais Elton avait peur que sa mère les surprennent. En se tortillant comme le petit animal surexcité qu´il était, Elton se désabille puis il est en slip ; quand Jerry voit son gros sexe (le grosson). C'était fait assez instinctivement, il lui regardait fixement, en soupirant, et Jerry l'a complimenté sur la grosseur de sa queue, il lui dit " tu as une grosse et longue queue;" Elton lui ai dit que s'il voulait qu´il la prenne... Pure vantardise adolescente! En même temps, Elton lui ai caressé la bitte, lui saisit le membre, et ils se sont masturbés mutuellement. Avec leurs langues ils se caressaient la peau, sucaient les lobes des oreilles, le cou, les tétons, le ventre, puis, Elton qui n'avait jamais fait cela, maintenant Jerry lui caressait le sexe avec sa langue lui faisait des va et vient qui gonflent son pénis en érection et commenca une felation; en même temps qu´ il lui faisait une branlette; il le decalottait j usqu'aux boules ; il le branla, lui lécha le gland, l'enfonça jusque au fond de la gorge, le suçait goulûment...


- Mmmmf.... hennn... hennnn ... aaAAAH! ... mmm ... AAAH!

Ensuite, Elton l´avait mis en levrette, les fesses vers lui, naturellement, et son ami Jerry commenca, malgré lui, à respirer par saccades. C'était très troublant et il se sentait délicieusement salope. Elton ne savait pas dire cela autrement, c'est vraiment ce qu´il se sentait être. Il avait envie de baiser, de frotter son petit cul contre sa bite, de se trémousser comme une chienne pour l'exciter. Jerry l'avais senti (le grosson) immédiatement contre son cul, mais sa pression n'avait aucun sens:

- D... doucement.. s.. s'il vous plait.

C'était trop gros, trop sec, et il était mal placé pour lui. il ne sais pas s'il avait poussé fort ou pas, mais il avait crié "aïe" très fort, assez pour qu'il arrête sa poussée. Jerry avait couché instantanément sur le flanc, avec une douleur centrale lancinante. Le muscle anal tendu et sans ménagement. Elton était resté cinq bonnes minutes à lui masser les fesses, et Jerry lui ai demandé d'être vraiment doux, et d'arrêter en cas de douleur. Et puis, il placa sa queue à nouveau. Jerry avait senti pour la première fois son anus s'ouvrir, et ça lui semblait sans fin. Jerry ne voyais rien, la pénétration a dure très longtemps, il avait un peu perdu la notion du temps, il respirait fort lui aussi, l´ami avait carrément des gémissements impossibles à contrôler. Elton lui tenait les hanches, et ça continuait à entrer et puis, il avait touché le fond de son cul, Jerry avait répété "doucement" plusieurs fois, et qu´il avait senti qu'il avait tout entré.

- Ooooh.. mmmm... noon... Aahhh...

Elton soupirait comme après un coup au tennis, et il a commencé ses allers et venues, doucement, puis un peu plus rapidement.

- Aaahh... oui... Ah... mmmmh... Oui!... Oui!... Oui!...

Sa grosse bite lui gênait mais lui chauffait à la fois. C'était une sensation nouvelle, Jerry avait l'anus tout chaud, il le sentait, à cause du frottement, mais il ne pensait pas. Il ne comprenait pas la sensation. Ça a duré des heures, ils se sont sodomisés l'un l'autre, et Jerry avait découvert des positions et des plaisirs nouveaux. Notamment lorsqu´ il s´était assis sur lui, et que tout est rentré! Il avait eu l'impression qu'elle lui rentrait dans les intestins, et il croit, il avait eu un orgasme. Après s'être assis sur lui, c'était un vrai bonheur! Aucune douleur, cette grosse verge longue en son ami pour son bonheur...


Il paraissait se délecter de l´aventure. Il était dans ces premières experiences:

- Tiens, essaie ça ! Dit Jerry en lui passant une autre sorte de cigare.

Elton avait à peine tiré une minuscule bouffée et lui arracha le cigare en demandant:

- C´est de herbe ? Laisse-moi goûter,

Son collègue plissa les yeux et, de nouveau, tire sur la cigarette. Cette fois, il parvint à ne pas s´, avala la fumée, la garda un moment dans ses poumons, puis souffla triomphalement.

- T´apprends vite, murmura Jerry.

- Evidement ! Vous avez autre chose à essayer ? Ses yeux étincelaient.

Ensuite Elton retourna à réalité. " Ma mère me a ! Elle me a." C´est sûr pour la première fois.

Elton (le Grosson) pouvait avoir une érection rien qu'en voyant un visage agréable. Il ne pourrait pas s'en passer. " Les hommes m'attirent pas ", il a bien comme beaucoup d'autres joué à touche quéquette pendant son adolescence mais ça n'a jamais été bien loin. Pourtant….

Chose curieuse : le peu de charité de cet homme le fit passablement douter de l`existence de Dieu, alors que les « valeurs » inculquées en son nom ne cessent de gouverner sa vie. C`est en réalisant cela qu´il a appris une nouvelle chose encore : on peut être fidèle à ses volontés malgré soi. Dès lors se pose pour lui sans cesse la même question : quel est le vrai courage ? Etre fidèle à sa réelle situation ou ne pas l`être ? That is the question. Il eut une idée maligne....sa cruelle vengeance contre tous les gens que traversent son chemin de crimes ..... et qu´il aurait faite son apprentissage dans le monde du crime partageant la vue avec des hommes si rudes et si brutaux que la propre police. Elton avoua quelle fût agité de tremblements nerveux, et étouffa même quelques sanglots à l'évocation de certains souvenirs a savoir qu´il était cherché pour repondre de ses crimes étant pratiqués contre les banques... Ils étaient la fameuse bande des tueurs fous qui pillaient les banques et ne laissaient personne de vivant après leur passage.

Peu à peu changeant toujours d´adresse il s´y était parfaitement adapté. Il avait été très vite distingué par ses partenaires, car il avait non seulement toutes les qualités requises pour faire un chef, mais il était en outre doté de ce sixième sens qui lui fit gagner beaucoup d´argent et le gratifait de sortir réussi. Ses partenaires de crimes ne l´aimaient pas, ils le respectaient et l´admiraient. Elton était de ces hommes qui en imposent. Mais ce qu´il avait de frappant dans son allure et dans son expression était si étrange qu´il ne ressemblait à personne et se différenciait totalement de tous ses amis... Elton était le genre de bel homme bien dans son corps bien dans sa peau qui fait tourner la tête de ses partenaires. Il s`habillait bien, savait se tenir à table, ne dépassait jamais sa dose limite d`alcool, fume un peu mais pas trop. Cette vie qu´il avait donc déliberement choisie et ce sentiment de plenitude à se sentir son propre maître en suivant la voie et sa tendance pour la violence. Presque parfait ! Il était toujours souriant mais ça cache un caractère de perverse d´un fugitif de la justice... Elton ne fut pas le seul à être condamné s´obligeant à entrer ensuite dans la clandestinidade. D´autres de ses amis vicieux qui faisait partie de sa bande furent détenus. Elton avait parlé d´un ton grave et solennel pour calmer sa mère. Mais les journaux avaient publié qu´Elton était un assassin sans scrupule et sans coeur et, que ses actions étaient d´une affroyable brutalité. A les lire, sa mère s´était demandé comment il arrivait à survivre, si jeune dans un milieu aussi hostile et pourquoi avait- il choisit ça comme forme de vie. Elton se confessa à sa mère:

- Je n´avais pas conscience que mes actes avaient besoin de justification... Je ne souhaitais pas déclencher une panique. La panique doit être évitée à tout prix. Parce qu´il n´y vraiment rien à crainde.

- Vu ta situation, j´ai du mal à comprendre tes raisons...


Mais soudain, deux jours avant la date prévue pour le départ à New York, le rêve se transforme en cachemar. Sa mère vient de refermer avec difficulté une valise, se redresse, elle la soulève, la soupese comme un poid lourd. Elle pousse alors un crie aigu. Elton s´en inquiète.


- Oh ! Mon Dieu !

- Qu´est-ce qui se passe ?


- J´ai une douleur dans le dos, explique d´une voix oppréssée sa mère.


Elle s´asseoit sur le bord du lit, le soufle coupé. son visage a blêmi. Elle semble prête à s´évanouir.


- Comment as-tu pu te faire aussi mal ?

- Je ne sais pas mais je souffre le martyre. J´ai l´impression d´avoir la colonne vertébrale brisée. Dit-elle.


Un moment plus tard la voiture était garée dehors. A son arrivée, le médecin diagnostique le glissement d´un disque intervertebral et il l´ordonna un repos complet d´au moins six semaines. A son arrivée, il avait tenté de lui inculquer le sentiment de la gravité de sa situation, sa mère tentait de se redresser dans son lit pour l´acueillir, mais ce simple geste lui arrache un gémissement.


- Tu dois partir, insiste la mère d´une voix faible. Elton retient le souffle.

- Vous êtes adorable maman. Les circonstances étant ce qu´elles sont, nous devons nos tenir separés pour quelque temps. J´ai pas arreté d´y penser, mais plus j´y pense, et plus je suis persuadé que c´est mon destin, et j´ai pris ma décision... Il est temps d´y aller. Je te promets que je rentrerais à n´importe quel prix !

- Je t´en prie pour toi !

- D´accord.

- Il faut que je te demande de faire une chose. Sois prudent ! Tu as ton passaport ?

- Bien sûr, l´avion décolle démain a 7hs. On se reverra !



Cette proposition, il en avait conscience, serait pour sa mère une occasion de rompre avec sa monotonie de son existence. Il croit lire dans ses yeux une muette supplication, mais l´angoisse qu´elle ressentait à l´idée des rangers qui le quêttaient... Elton se sentit comme au bord d´un précipice. Le matin suivant, retenant ses larmes, il dit au revoir à sa mère. Elle avait le curieux sentiment d´abandonner la sécurité pour le danger, mais elle ne pouvait jamais lui exprimer cela clairement. Une voiture l´émmena à l´aeroport où il devrait prendre l´avion. Il n'aurait jamais pensé s'ennuyer dans la vie. Il a toujours eu un naturel curieux, il voulait tout connaître, tout voir du Monde. Découvrir le monde vaut mieux que rester, il trouveras toutes les choses qu'ici on ne voit pas, toute une ville qui s'endort la nuit dans la lumière...


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