Ahlem Ou Le Rêve De Mes Nuits ! Épisode 6 Et Fin

Salut mon "gros cochon"

Si tu monte un bordel je viens bosser pour toi! hihihihihi

J'y pense là, c'est peut être un fantasme où il serait plus juste de dire que ce serai une bonne expérience (pour moi) de jouer à la "pute" (j'aime pas ce mot, je préfère "fille de joie") Donc je disais jouer à la fille de joie pour un salaire!

C'est une idée qui est entrain de faire son chemin!

Où va-t-elle me mener? Mystère et boule de gomme!

Bref, je vivrais peut être ça avec, plutôt, en compagnie d'Ahlem! Qui sais?

Non! là je suis entrain de rêver et de m'exciter toute seule comme une débile ! C'est ta faute! Me parler de "bordel" de "mur avec des trous" et tout le reste et tu veux que je m'excite pas et que je dérive?

Ben t'as reussi ton coup!

Ah se faire prendre par un inconnu! Et pour de l'argent!

Espérant qu'on ne tombe pas sur la brigade des moeurs! Surtout avec la chance que j'ai!

Mais je t'assure cette idée est vraiment entrain de faire son chemin!

Ah! je te hais! tu me pousses à avoir des idées hors normes! J'aime et j'aime pas!

Allez calmons nous! Et essayons de penser à autre chose!

Au cul d'Ahlem, aux bites, à l'aspect de cet homme! TU vois c'est déjà reparti!

Allez moi aller faire dodo!

A+

14/09

Comme d’habitude, si on ne se voit pas, on se téléphone pour demander comment qu’on va… Donc, vendredi soir, j’ai téléphoné à Ahlem, et je lui ai proposé de se faire un bowling le lendemain. Et bien entendu, elle s’est empressée d’accepter. Rendez-vous à 21h30 chez moi.

A 21h30 tapante on sonne à la porte, et sans mystère je « découvre » Ahlem derrière la porte.

Je dis découvre car j’ai eu un « choc » en voyant sa tenue.

Non pas qu’elle soit choquante, non ! Mais il n’y avait rien d’extra dans ses vêtements : Jean, un simple pull noir et pour couronné le tout des tennis.



-Rentre, rentre ! Dis-ai-je, Tu vas sortir comme ça ?

-Oui ! Pourquoi ?

-On va s’amuser ! On ne va pas à un enterrement ! (bon aux enterrements chez nous, on n’y va pas comme ça mais c’est pas loin)

Je la tire par la main vers ma chambre la pousse vers mon lit, ouvre mon armoire.

-Voyons voir ! … Ca ! Ca ! Et ça feront l’affaire !

Et je jette les affaires à ses cotés. Une jupe, une mini jupe pour être exact, plissée marron, un chemisier en soie (excusez du peu, j’en ai un et je lui offre ! (Pour mettre) et des fines chaussures à petits talons noirs.

-Allez change-toi le temps que je me fasse une petite beauté !

Pour ma part j’ai vêtu une mini jupe écossaise, un décolleté (pas trop plongeant) blanc et des chaussures à talon couleur crème.

Après m’être discrètement maquillé (rouge à lèvre, fond de teint, khol) juste ce qu’il faut, je rejoints Ahlem qui était là à s’admirer face au miroir.

-Voilà ! T’es plus belle comme ça !

-T’as un bon goût !

-Merci !

-Mais j’ai comme l’impression d’être comme une pétasse !

-T’as une image très restreinte des femmes aguichantes ! Je t’explique notre soirée : on y va pas pour draguer, juste pour faire monter la pression !

-Et si on nous accoste ?

-On décidera sur place !

Bien entendu essaye de t’imaginer tout ce dialogue en arabe, avec quelques propos salés comme par exemple « on ne vas pas pour se faire draguer » dans le texte original devient « on ne va pas pour faire les putes »

Bref, à 22h moins cinq (ça fait 21h55) disons à 22h on quitte la maison (j’allais dire bras dessus bras dessous) et on se dirige vers notre bowling.

Il fallais s’y attendre, samedi soir il était plein à craquer. Bon je m’y attendais et je l’espérais un peu aussi.

-Il est trop plein ! Dit Ahlem

-Et alors ! Viens, on va s’inscrire et on attendra notre tour !

Donc ceci fait, on nous dit qu’il faudra attendre une petite heure.
Qu’importe ! On se dirige vers le bar, on prend une table sur le coté et on commande. Pour moi ma boisson favorite : un gin tonique, et pour Ahlem un coca light.

Je lui glisse discrètement dans l’oreille d’y verser une dose de whisky. Il me fait un petit clin d’œil et un charmant petit sourire !

Dix minutes plus tard, il revient avec notre commande, je paye et lui dis un grand merci avec un regard de complice.

Après avoir bu une bonne gorgée de son verre, qu’elle a faillit recracher, elle me dit :

-Bah ! Ils se sont trompés de verre ! Il y a du whisky !

-Tais-toi alors ! T’as un whisky coca pour le prix d’un coca ! Bois et pas de vague !

-Mais !

-La ferme et bois !

Ah si elle savait !

Bien entendu, je ne te parle pas de ses regards qui se retournaient à montre rentrée au bowling, ni ses petits sifflements alors qu’on prenait place au bar, bien qu’on étais pas habillé avec extravagance. C’est sûr ! La vision d’une mini jupe excite toujours ses pauvres mecs.

On sirotait nos verre en rigolant doucement, sans trop d’éclats, en parlant de tout et de rien, en blaguant… Et voilà que nos verres se sont vidés, je fais un signe au serveur en lui disant :

-La même chose Please !

Passons !

Je fini mon deuxième verre et le préposé me fait signe de venir prendre possession d’une piste.

-Allez ! C’est à nous.

-Je fini mon verre.

-Prends le avec toi !

Après être passé récupérer les chaussures de jeu, nous avons pris la direction de la piste n°2, celle qui nous a été attribué. Et ainsi débuta la partie de « brise quilles » (c’est pas mal comme adjectif ! Non ?). A ma cinquième lancée J’ai réussi un Strik et donc de joie j’ai fais un saut sur place. A mon retour, Ahlem me tira la manche et me chuchota :

-T’as pas de slip ?

Avec un sourire aux lèvres :

-Ca se vois ?

-Quand t’as sauté, oui !

-Sache ma chère, lui ai-je dis avec un grand sourire, j’en porte jamais quand je suis en jupe !

Et je me retourne m’asseoir.
Perplexe, je la vois pensive alors qu’elle choisi sa boule et le jeu reprend son cours normal.

A moitié du jeu, la piste N°1 a été occupé par de jeunes garçons, la vingtaine, qui ne manquaient pas de nous reluquer chaque fois qu’une de nous lancé la boule. A notre retour à notre écran de contrôle, ils ne manquaient pas de siffler ou de faire de petits commentaires.

Le plus courageux d’entre eux a osé venir choisir une boule parmi celles que nous avions.

Je ne sais pas ce qu’il m’a pris à ce moment là, peut être, les deux verres que j’avais rajoutés (toujours du gin), mais chaque fois qu’Ahlem et moi nous, nous croisions je lui caressais les fesses. Au début elle a eu un sursaut, puis je crois qu’elle avait compris où je voulais en venir, vu que les garçons avaient les yeux grand ouverts.

-Tu les excites ? me demanda-t-elle.

-Je veux qu’ils bavent et c’est un super moyen de les repousser.

Elle hocha la tête en signe d’accord. Nous prenions toujours un grand plaisir à lancer et je crois qu’à chaque fois que c’étais mon tour, un grand silence se faisait chez nos voisins.

Arrivée au bout de notre jeu, nous avons remis les chaussures.

-Un petit verre pour la route ? Lui demande ai-je

-Non ! J’en ai ma dose ! Rentrons tu veux ?

-Tu passe la nuit chez moi, n’est ce pas ?

-C’est prévu !

-Heureusement qu’il y a du monde autour de nous car je t’aurai roulé une pelle !

Sur ce nous sommes rentré, précipitamment, à mon appartement. En route elle me demanda :

-Ca fais longtemps que tu ne porte plus de culotte sous tes jupes ?

-Ca te travaille ? Oh oui ! ça dois bien faire deux ans !

-Comment que tu te sens ?

-Libre ! ! Et c’est surtout agréable de sentir de l’air entre tes jambes ! Et savoir qu’on peut te prendre comme ça c’est excitant, même après tout ce temps !

Arrivé à la maison, nous n’avions juste eu le temps de claquer la porte qu’Ahlem m’embrassa avec une telle intensité.


-Tu m’as excitée. Je suis trempée comme une huître. Dit-elle en me pinçant les fesses.

Enlacées, nous reculâmes en direction du salon, et sur le 1er fauteuil rencontré, nous nous affalions comme deux sacs de ciments (beau le descriptif ! Non ?)

A toi d’imaginer la suite des événements ! Je dois dire qu’effectivement Ahlem était trompée entre ses cuisses.

Je ne sais plus comment nous nous sommes débarrassés de nos vêtements, mais j’ai jamais, ou très rarement ressenti une telle jouissance dans ma jouissance !

Epuisées, après le plaisir et surtout après l’effets de l’alcool, nous nous dirigeâmes vers mon lit où nous nous écroulâmes de fatigue.

Je crois que ce matin j’ai vécu le plus beau et le plus lumineux réveil de ma courte vie ! Mais il y en aura d’autres. Où ? Quand ? et avec qui ? ça je sais pas ! Mais il y en aura c’est sûr d’autres aussi beaux matins !

A+

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