Le Père Noël Est Un Libertin

Les fêtes de fin d’années se suivent et se ressemblent… Pour ma part, mon unique famille avait la préférence de mon cœur. J’avais décidé de passer les fêtes de fin d’année chez ma fille. Célibataire et moi divorcée, nous faisions la paire. Alors, avec qui d’autres passer le réveillon de noël, si ce n’est Marion ?


La semaine qui précédait les festivités ne fut pas de tout repos. Mon agent immobilier reprenait enfin contact avec sa cliente pour me signaler quelques opportunités du côté de Pontarlier et, mon éditeur numérique m’annonçait à demi-mot, la sortie imminente de mon premier livre.


Bref, c’est avec l’esprit bien embarrassé de question que je suis arrivée le mercredi après-midi à Thonon. Chez Marion, j’ai retrouvé la délicieuse chaleur d’un feu de bois et la douce sérénité des maisons de pierre. Cette ambiance qui vous suggère la sécurité. La soirée du réveillon allait être simple : ma fille et moi en tête-à-tête, la remise des cadeaux, puis un film pour tenir jusqu’à une ou deux heures du matin : c’était tout simple.


Vers les dix-huit heures, après une bonne douche et des discrétions par milliers pour nous dissimuler respectivement nos tenues de soirée, Marion et moi, nous retrouvions dans le salon. Elle s’était habillée moins coquine que moi ! Pour ma part, je n’avais pas cherchée à être extravagante : une petite jupe noire fendue sur le coté et des bas, un chemisier blanc et des escarpins à talons hauts. Quelques bijoux pour couronner le tout, plus fantaisistes qu’élégant et, un superbe collier de perles qui avait toujours fait sourciller ma « petite ».


Tout au long de la soirée, nous recevions quelques appels, nous en passions aussi et j’apprenais avec surprise que l’un des amis de ma fille, avait réussie à fausser compagnie à sa femme pour permettre à Marion de faire le tour des discothèques. Ce charmant jeune homme devait passer vers une heure et ma fille m’invitait gentiment mais, bien entendu, je déclinais son offre en sachant très bien qu’ils comptaient tous deux sur mon absence pour profiter l’un de l’autre.




Sur le coup des minuits, nous nous offrions nos cadeaux et sans rien dire, chacune de nous avait une pensée pour tous ces noëls passés et un homme, le même : Ma fille pensait à son père, mon ex-mari ! Ensuite, un déluge de bon sentiment submergea les rancoeurs et mille et une pensées furent envoyées à des amis.


Alors que j’offrais à ma fille un chèque à quatre zéros et… un collier de perles, je découvrais pour moi, deux cadeaux : une montre et un coffret d’eau de toilette. À cet instant, je repensais à tous les cadeaux que nous nous étions offerts au fil des années : l’excitation était bien au rendez-vous.


La soirée tombait un peu en intensité et vers les minuit et demie, le portable de Marion se manifestait : son ami lui donnait RDV au parc de la source et bien que Daniel ne soit pas réellement son petit ami, je vis rougir ma fille et exprimé des émotions qui affirmaient ses sentiments amoureux.


Quelques minutes plus tard, après mille et une excuses, Marion me laissa seule dans sa grande maison. J’avoue que sur l’instant, j’ai un peu râlé : ma fille m’invitait et me délaissait, mais vite, je me raisonnais en me disant que c’était la vie, sa vie ! Je pris le programme télé, une autre coupe de champagne et allai m’installer dans le canapé devant le DVD que Marion m’avait loué : 8 Femmes.

Trois heures du matin !!! Alors que je m’étais un peu assoupie sur le grand canapé, quelqu’un me fit frissonner en sonnant à la porte ! J’esquissai un sourire en pensant découvrir le retour de ma fille, mais en ouvrant sur la nuit glaciale, fiction et réalité firent place au surnaturel et une silhouette rouge s’imposa à mon regard. C’était le père noël !!! J’éclatai de rire et me sentis de suite rassurée. Il se portait bien celui-là !


- C’est très drôle ! Beau déguisement ! C’est à quel propos ?


Il resta silencieux. Précipitamment, il fouilla dans l’une de ses poches pour… sortir un carnet.
Je le regardais du bonnet à la barbe, en passant par son gros ventre et son pantalon bouffant style jeune adolescent. C’était une vraie réussite, un grimage parfait et la plus belle représentation de Santa Clauss qu’il m’ait été donné de voir. On aurait dit le vrai père noël !


- Il semblerait que mon Père noël à moi soit muet ?! Qu’est-ce que je peux pour vous ?

- Mais je suis le père noël ! Le - vrai - père noël et j’ai une hote remplie de cadeau pour toi, Sabine !


J’esquissais un autre sourire et le regardais. L’expression de son regard était celui d’un homme fatigué, il avait des poches sous les yeux et le grain de sa peau certifiait qu’il avait au moins une soixantaine d’année ! J’écarquillais les yeux, intérieurement, il devait se gausser de mon étonnement et pas que de ça. J’étais sceptique devant toute cette réalité qui commandait à mon cœur « d’adolescente ».


- Vous savez, je préfère le Christkindle ! C’est plus magique, moins commercial !

- Comment ?!?!

- Il fait froid ! Comme vous le voyez, je suis légèrement vêtue, alors abrégé ! Que voulez-vous ?


Son regard s’illumina et sa malice s’afficha dans ses yeux. À son tour, il me déshabillait du regard et ne manquait pas de s’attarder sur mon collier de perles, à moins que ce ne soit sur les deux monts qui déformaient outrageusement mon chemisier. Il sauta sur place et secoua sa hôte dans le dos.


- Tu t’appelles bien : Sabine Delamontagne ?

- Oui !

- Et tu es écrivain sur le site revebebe ?

- Oui ! Mais vous, qui êtes-vous ?

- Mais tu le sais bien…


L’air frais commença à glacer le haut de mes jambes. Mes cuisses et mon corps tout entier commencèrent à se révolter contre l’agression de l’hiver. Mes pointes se révoltèrent dans mon soutien-gorge et je sentais qu’elles se compromettaient en direction du père noël. Embarrassée, je m’interrogeais pour savoir si tout cela n’était pas simplement qu’un rêve engendré par un abus de boissons alcoolisées et, sans réponse, je consentis à faire entrer l’homme du nord.
Bien au chaud en la demeure, il devint bizarre, étrange… Il déposa sa hote sur le parquet tout en ne manquant pas de se régaler maladroitement de mes jambes gainées de noire jusqu’à la moitié de mes cuisses. Soudain, en croisant mon regard, il marqua un brin de gêne et là, c’est moi qui le laissai dans le corridor. Je l’abandonnai pour aller dans la cuisine me faire un bon café et retrouver mes esprits. Le temps sembla suspendu, un étranger tout de rouge vêtu était chez ma fille et je n’avais pas peur ! Finalement, je revins dans le couloir où l’homme de noël n’y était plus !? En regardant autour de moi, je constatai sur le parquet de l’entrée, une constellation de petites étoiles brillantes qui guidèrent mes pas vers le salon. C’est dans cette grande pièce que j’entendis un bruit et j’hâtai mes pas vers le sapin où mon père noël déposa des joujoux par millier. Une vingtaine de paquets meublaient déjà le pied du sapin, il y avait plus de cadeaux que sa hote pouvait en contenir et peu à peu, une trentaine, une quarantaine de petit présent cachèrent le pied du sapin !!!


- Mais que faites-vous ?! Arrêtez !!! C’est ridicule !!! Vous en avez encore beaucoup ?!

- Il s’agit des présents de tous ceux qui t’aiment, tous tes lecteurs et en particulier, Raymond !


Je commençai à m’inquiéter, le doute s’installa : comment connaissait-il Raymond ?


Avant même que je ne réalise, je retournai dans la cuisine nous verser deux tasses de café et je revins dans le salon. Etrangement, le père noël s’était crispé dans le fauteuil en cuir, il sembla mal à l’aise et je n’arrivai pas à savoir pourquoi ?!


- Vous prendrez bien un café, Père Noël ! Pour vous réchauffer ?!

- Oui, Sabine ! Sans sucre. Je suis au régime !


Intentionnellement penchée en face de lui, je déposai mes deux tasses délicatement sur la table basse, pendant que mon décolleté, plus provocant que jamais, mes seins, accablèrent mon soutien-gorge.
Je savais qu’il se régalait du spectacle que je lui donnais, mais ce soir, j’étais coquine et pas grand-chose ne devrait m’arrêter. Je pris ma tasse, parties m’asseoir sur sa gauche dans le grand canapé. Je pris mes aises, posai mes jambes nues, pliées sur le cuir.


Je voyais dans son regard qu’il attendait mon aval, que je lui exprime ma chaleur pour qu’il passe à l’action, alors je préférai parler et tester son self-contrôle. Plus les minutes passèrent et plus je me fis coquine : jusqu’à quand allait-il tenir ? Son regard commença à croiser le mien, il détailla mon visage, mes marques de fatigue due au manque de sommeil ou à l’alcool… Ensuite, il prit de l’assurance, ses désirs le poussèrent à glisser son regard sur mon décolleté. Je le découvris, hésitant, il avait peur que je le gronde, alors il se rassura en buvant une gorgée à sa tasse.

Pour ma part, mon plan sexuel était de plus en plus inévitable et, coquine, je sentais de plus en plus ma poitrine souffrir d’un manque de maltraitance. L’idée de défaire deux boutons m’obséda, j’avais envie, mais… je n’osais pas ! J’étais encore trop inhibée. Mon indécision sembla l’avoir refroidi, ses yeux se posèrent sur mes mains, il devait chercher mon alliance… Il « dévora » mes longs doigts sur… la tasse, en fantasmant probablement sur eux. Pour le ramener à la réalité, je me redressai, assise sur le canapé, je ramenai légèrement les épaules en arrière pour captiver son regard.

Je me levai sur mes escarpins, me penchai en avant pour me dévoiler une nouvelle fois et récupérer les tasses, avant de m’éloigner en devinant son regard sur mon déhanché. À mon retour, voyant qu’il ne prenait aucune initiative, je décidais de ranger diverse chose çà et là. Je ne manquai pas de m’exhiber pour le provoquer et amorcer sa virilité qui demeurait en berne. Entre deux regards sur ma poitrine, il me posa des questions sur cette maison qui n’était pas la mienne et moi, je ne manquai pas de lui répondre en prenant des poses pleines d’ambiguïtés.

À un instant, lassée de tout ce non-dit ; le cœur volontaire, je retournai vers le canapé :


- Ne restez pas dans ce fauteuil, venez avec moi dans le canapé, vous verrez, il est bien plus confortable.


Je m’asseyais bien au milieu, croisai les jambes et lui se décida finalement à venir me rejoindre. Il renversa la tête en arrière et ne prit pas garde au mas qui déformait son pantalon. Il tourna la tête de mon coté et la posa délicatement sur mon épaule. Ça me faisait bizarre, je ne me rappelais pas d’avoir eu autant d’intimité avec une personne deux fois trentenaire. Immédiatement, je me relevai et me postai devant lui ! Je commençai à déboutonner mon chemisier… que je lui envoyai vicieusement à la figure. Ses yeux furent captivés par l’essentiel : la taille de mes bonnets D ! Avec un léger sourire, je commençai à les caresser en le regardant avec autorité. Lascivement, je commençais à bouger des hanches, lui, était paralysé, il ne bougeait plus ! Son visage commença à arborer les couleurs de son costume. Pendant cinq minutes, je me suis dandinée lascivement en caressant mon ventre, en exhibant mes atouts et particulièrement mes fesses que je ne lui laissais pas le temps de voir. Je pressais ma poitrine entre mes doigts et je me sentis moi-même devenir écarlate. Quand j’ai commencé à manifester le désir d’ôter mon soutien-gorge, il posa ses mains sur ses genoux, puis il commença à pétrir son entre cuisses, à se frotter, ce qui suscita un sourire de ma part. Je gardai mon soutien-gorge, puis recommençai à caresser mon corps et à me dandiner comme une adolescente de dix-huit ans. À cet instant, j’aurais aimé que plusieurs mains s’occupent de mon soutien-gorge, qu’on le distende, que des doigts virils s’impatientent et me l’arrachent avec une animosité très virile. Qu’on me soupèse, presse mes seins, qu’on en morde les bouts ; qu’un doigt s’introduise dans ma petite chatte ou dans ma bouche, alors que j’aurai sucé quelques-unes de ses phalanges qui me seraient offertes. Pendant que je me déhanchai de manière impudique, mon esprit s’emballa sur la route de la perversité, je rêvai d’être bousculé sur le sol, qu’ils ne me ménagent surtout pas, l’un d’eux aurait relevé mes jambes pour s’introduire dans mon con, pendant que soumise et… docile, j’aurai accepté n’importe laquelle des perches de chairs qui se seraient présentées.

Mais pour le moment, j’étais devant lui à me prélasser, je dégrafai mon soutien-gorge et mes seins le clouèrent dans le canapé. Ses doigts se posèrent sur ma jupe qui se retrouva rapidement à mes chevilles, sur mes escarpins. Il caressa mes bas, effleurait mes jarretelles, il semblait que c’était la première fois qu’il voyait ce petit bout de dentelle noire !!! Je lui défendis de caresser mes seins et m’en occupai moi-même. Il enleva son pantalon, m’exhiba un sexe de taille impressionnante, mais bien trop moue à mon goût !!! Mes doigts descendirent sur mon string, alors qu’il astiquait à pleine main son morceau de chair tout flasque.

À son tour, il se leva, mes yeux n’avaient pas d’autres intérêts que pour cette verge à laquelle je promettais un quart d’heure inoubliable. Je levais la jambe et posais mon escarpin sur le canapé, le dessus de ma cuisse à hauteur de sa verge, il vint frotter son gland et plus précisément son frein sur mon bas : quelques gouttes de semence vinrent perler sur le tissu. Allaient-elles glisser le long de ma cuisse ou s’imprégner dans le nylon ? En fin de compte, mon index parti à la poursuite de toutes les petites gouttes pour éviter de tacher le tapis. Il n’avait jamais été aussi près de moi : je sentis son souffle sur mon visage, voyais le grain de sa peau et le constat qu’il ne portait aucuns postiches. Je posais ma main dans son dos : il paraissait réellement gros mon père noël à moi !!! Peu à peu, sa verge commença à prendre des proportions plus salivantes et d’ailleurs, mon intimité s’inondait de plaisir en se délectant du membre qui prenait vie. Nous nous tournions l’un en face de l’autre et nous serrions. Ses mains se posèrent sur mes fesses, ses doigts s’emmêlèrent dans mon porte jarretelles, tandis que je sentais sa verge durcir contre mon ventre.

Je repris place dans le canapé :


- Ne bouge pas, reste debout et regarde-moi, je vais te les vider tes hotes père noël !!!


Il commença à s’astiquer devant moi pendant que j’écartais mon string pour me toucher. Déjà, il perdait patience tout en continuant de grossir.


- Sabine ! Sexuellement, c’est la nuit la plus difficile de l’année !!! Mais je ne m’en plains pas ! À chaque fois, c’est pareil, toutes ces femmes qui fantasment sur moi et, qui veulent que je les honore ! C’est plus de mon âge !

- Je suis en quelle position sur ta liste ?

- Sur toute la planète, j’ai vingt-cinq super coups et je me dois d’assurer pour ma sixième reprise.


J’étais ravie ! Mon index s’activa de plus bel sur mon bourgeon bien enflé et cette vision sur mon intimité plu bien à mon étalon. Soudain, il tapa du poing contre son bois d’une bonne trentaine de centimètres !?


- J’en peux plus Sabine, il faut que je te donne ton dernier cadeau ! Ma tournée n’est pas terminée et tu me fais perdre du temps !!!

- Patiente Monsieur Noël ! C’est aussi noël pour moi !


Maintenant, il était bien dur, prêt à être consommé sans modération. Je dirigeai mon pied gauche chaussé vers sa verge, je la plaquai contre son ventre, avant de la faire sauter sur le cuir de mes escarpins. Je reposai ma jambe et lui exhiba largement, sans timidité, mon intimité. Il vint frotter sa verge sur mes bas, baiser mes cuisses, avant d’empoigner mes deux chevilles. Il me hissa en l’air, me fit glisser dans le canapé et, il referma mes jambes sur sa verge pour commencer à s’y ébrouer.

Il écarta mes jambes et plongea sa bouche entre mes cuisses pour venir lécher ma petite chatte. Incertain au début, je le forçai un peu, avant d’écarter mon string. Rapidement, sa langue s’infiltra au plus profond de moi. Il me fouilla avec une voracité qui devint peu à peu violente.

J’ôtais mon string, nous nous fiction et rapidement, je me retournais pour cambrer mes reins vers son visage. Il me revisita avec sa langue et sa pointe agile me fit gémir un ton au-dessus. Chaque râle était une annonce, je l’entendais qui se régalait de mon suc qui dégoulinait sur sa langue. Je bougeais les fesses en rythme, cambrait le derrière pour l’inviter à s’attarder, alors que je priais pour que ma fille n’entre pas à l’improviste. Elle m’aurait découverte, moi, sa mère en position très délicate, mais au présent, j’étais prête et, je poussai un long cri, avant que mon corps tout entier se révolte comme une mer en colère. Ouvertement, je jouis et ne retins pas mes hurlements de plaisir, je posai mes mains sur mes fesses et m’écartelai aux supplices de la langue de mon boulimique de noël.

Il vint s’asseoir à mes cotés, je replaçai mon collier, mis une pince dans mes cheveux et je me penchai sur son mas pour le lécher avec délicatesse. Il posa sa main derrière ma nuque, il caressa mes cheveux pendant que je commençai à avaler sa queue tout entière. Je le léchai sur toutes la longueur et quand il essaya de prendre mes seins, sa queue trop raide me fuyait subitement d’entre les lèvres. Je me levai en face de lui et me baissai en avant, droite sur mes jambes en noirs et ma bouche avala son pieux. Mes seins pendirent vulgairement, se balancèrent, se bousculèrent ; le père noël les saisit avec ses mains calleuses et je frissonnai de plaisir. Mon intimité baignait dans la jouissance. Dans quelques minutes, j’allais humer le vice et ruisseler entre les cuisses. Mais déjà, alors que je régalai ma langue sur le gros pieu et, malgré la chaleur qui habilla la pièce, je sentis le frais voyager dans la raie de mes fesses et tiédir mon sexe ouvert. Gloutonne, ma bouche devint de plus en plus vorace, féroce, au point de susciter la douleur dans les gémissements de mon gros Monsieur.


Assis sur le canapé, je vins m’exhiber dos à lui et présentai mes grandes lèvres dégoulinantes d’humeur sur son gland. Je pris à pleine main son membre et força son pieu dans mon orifice, avant de glisser doucement jusqu’à la garde de sa gaule. J’allais venais sur lui pendant qu’il empoignait mes seins, mais rapidement, le plaisir fut si bon pour lui qu’il me lâcha. Il commença à prendre le relais et à pilonner mon orifice, mes seins se mirent à battre dans tous les sens au point de générer une certaine gène. Soudain, une sonnerie de portable retentit : ça ne pouvait être que celui du père noël. Pendant qu’il s’interrogea sur l’opportunité de répondre, je regardai vers l’entrée pour me rassurer. Mes doigts caressèrent fermement ses bourses encombrées. Il voulut que je me retire et il m’ordonna de me coucher sur le dos, en long sur le canapé. Il vint caler son épaisse verge entre mes gros seins et commença à s’astiquer comme si je n’existai plus. J’enveloppai facilement toute sa verge entre mes sphères chaudes, humides et rassurantes ; il commença à se déhancher sans politesse. Soudain, il jouit bruyamment et expulsa une salve de semence qui fondis sur ma gorge, il releva immédiatement sa trique pour l’ébranler sauvagement et gicler une nouvelle fois, une seconde et éclabousser par deux fois mon visage. Pendant qu’il se finit entre mes seins, je garde les yeux clos et n’ose pas les rouvrir. Je sens la semence baigner sur l’une de mes paupières et un autre trait maquiller mes lèvres. L’idée de la déguster avec ma langue m’effleure l’esprit, mais je n’ose pas : il est vieux ! Je ne bouge pas. Je ressens le jus de noël couler sur mes joues en direction de mes oreilles, mais aussi, une purée fétide se précipiter du front vers mes cheveux. Le visage figé, je passe un doigt sur ma paupière, ouvre enfin les yeux pour constater que le père noël s’est relevé. Je passe le dos de ma main sur ma bouche, ma paume sur le front pour préserver ma coiffure et soupir...


- Sabine : je vous laisse nettoyer, ma tournée n’est pas terminée ! Il faut que je reparte !

- Mais…

- À l’année prochaine !

- À bientôt !


Quelques dizaines de secondes plus tard, avec sa hote, il fuit vers la sortie et dans la foulée, je me dépêchai d’arranger la maison, me douchai, afin d’aller au lit avant le retour de Marion.



FIN.


Bisous


A bientôt

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