Choses Toutes Simples

On est arrivé hier, après une longue route, dans ce petit mas perdu au milieu du Luberon. Nous aimons cette région et spécialement cette petite maison de pierre entourée de champs de lavande. Ce matin, nous sommes allés à ces extraordinaires marchés provençaux, déambulant d’un artisan à l’autre au milieu d’échoppes chantantes de couleurs.

Il fait bon. Nous avons réservé une terrasse et choisi une table à côté de la rivière. Les plats provençaux aux arômes subtils d’herbes ont été engloutis dans la bonne humeur, accompagnés d’un rosé frais. Ces petits rosés un peu insignifiants quand on les ramène chez soi après les vacances, mais qui se boivent si bien ici que sans s’en rendre compte, nous finissons déjà la deuxième bouteille.

Isabelle est bien, détendue, heureuse.

Ce matin, pour me faire plaisir, elle a enfilé une petite jupe blanche Armani que nous avons acheté à Milan l’année passée.

Elle est très courte et Isa n’a pas osé mettre de string. Mais je sais que c’est une belle culotte de dentelle et je guette le moment où elle étendra les jambes pour les exposer au soleil.

Malheureusement, l’endroit ne s’y prête pas.

Cette attente me frustre un peu. En même temps, l’envie d’elle commence à monter.

Elle me sourit de l’autre côté de la table et voit dans mes yeux brillants le bonheur qu’elle me rend. Elle a une légère blouse moulante qui, sur ses superbes formes, attise mon regard.

Le léger tissu élastique se moule autour de sa poitrine pleine et ronde. Ses seins que j’ai si souvent emprisonnés de mes mains, sont doux et fermes à la fois. Mes yeux les devinent nus et libres, tout contre ce léger tee-shirt. Au milieu de toutes les tables où les gens parlent et rient, elle sent mon désir monter. Je vois que ça ne la rend pas indifférente non plus.

Petit à petit, je distingue les pointes de ses seins qui tendent le tissu. Je vois les auréoles brunes durcir en même temps qu’un léger trouble qui s’empare de son visage.

C’est une nuance si légère que personne autour de nous ne pourrait s’en rendre compte.


- Pousse un peu la chaise, me dit-elle.


J’écarte la chaise à côté de moi et elle y pose ses pieds en décroisant les jambes.

Sa courte jupe s’est relevée et j’aperçois son entre-jambe.

Mon regard s’insinue entre ses cuisses magnifiques. Je ne peux toujours rien faire mais je vois la tache sombre de ses poils à travers le tissu délicat et translucide de sa culotte.


- Ecarte encore tes jambes.


D’un regard circulaire, elle s’assure que personne ne peut la voir et écarte légèrement ses grandes jambes. J’adore voir ses cuisses pleines et musclées. Je jurerais qu’elle ondule le bassin par moment et qu’elle pousse en avant son sexe comme si je devais y poser ma bouche.

Elle sait qu’elle est inaccessible et cela l’excite autant que moi.

Je me rapproche un peu d’elle et doucement, je lui chuchote :


- J’aimerais que tu retire ta culotte.

- …

- S’il te plait !

- Non, pas ici.


Je regrette tout de suite d’en avoir parlé car, car le charme s’est rompu. Le garçon arrive bientôt et c’est frustré et un peu fâché contre moi-même que nous regagnons la voiture.


Isa s’en est rendu compte aussi. Nous roulons doucement sur les petites routes désertes.


- Tu as envie de moi ? lui dis-je.

- Oui.


Je profite d’un changement de vitesse pour prendre sa main droite et la poser sur la bosse de mon short. Malgré la fin un peu abrupte de notre repas, je bande toujours.


- Caresse-moi.


Doucement, elle commence à frotter le tissu et essaye de dégager la tige durcie. De ses longs doigts habiles, elle arrive à la redresser et à l’entourer. J’écarte au maximum mes jambes et avance le bassin pour lui faciliter la tâche.

Maintenant elle imprime un mouvement de va et viens dont l’ampleur est limitée par la toile de mon short.



- Sors-le.


Isa se penche vers moi et de ses mains habiles, dégrafe l’attache de mon short.


- Passe le dans la fente de mon slip.


Doucement, elle écarte la braguette et y glisse mon membre tendu. Ensuite, elle referme mon short en laissant un passage pour mon sexe. Je ne lâche pas la route du regard et mon sexe gonflé par le désir se dresse entre mes jambes.

Je sens ses doigts chauds qui s’enroulent autour de lui et sa main a repris le mouvement tout en l’amplifiant. Son visage est tendu et elle guette mes traits qui se concentrent sur mon plaisir.


- Retire ta culotte. Sans me lâcher.


Isabelle s’exécute de son autre main en se soulevant tant bien que mal pour retirer le léger tissu que je devine humide.


- Fais-la moi sentir.


Tout en continuant à conduire, la main gauche agrippée à mon membre durci, elle me tend sous mon nez sa culotte imprégnée de son odeur intime. C’est un moment d’extase et le fait de me concentrer sur la route qui défile maintenant plus doucement donne à cette situation finalement assez banale en soi un caractère érotique extraordinaire.


J’en profite pour glisser ma main droite entre ses cuisses.


- Ecarte tes jambes. Encore plus. Reste comme ça. Pousse ton sexe en avant.


Mes doigts écartent ses lèvres et prennent possession d’un sexe trempé. J’ai l’impression que tout est liquide. Son mouvement s’accélère.


- Prends-le en bouche maintenant.


Isa change de position et je ne peux malheureusement garder ma main entre ses cuisses. Je m’écarte du volant pour laisser de la place à sa tête et elle place ses lèvres autour de mon pieu. Bientôt presque tout mon membre rentre dans sa bouche. J’aime caresser ses cheveux pour lui imprimer la cadence du mouvement. Je ne peux m’empêcher de jeter des regards sur sa croupe que sa petite jupe blanche n’arrive plus à couvrir.
Elle est là, mon sexe enfoncé dans sa bouche, les fesses à l’air, en train de me sucer avidement, sur cette petite route, alors que je roule doucement les fenêtres ouvertes …


C’est terriblement excitant. Je ralentis encore car une voiture va me croiser. Je ne sais si le chauffeur peu deviner ce qui se passe mais sentir mon sexe enfoncé dans la bouche de mon Isa jusqu’à lui toucher le fond de la gorge, ses cuisses nues et trempées près de l’autre portière, me procure un sentiment de bonheur indescriptible.

Mais l’attention que je dois maintenir n’arrive pas à me libérer complètement et je sens que l’orgasme ne viendra pas, même si le plaisir est complètement fou.


- Arrête, je crois que ça n’ira pas. Et toi, tu crois que ça ira ?


Doucement, elle remonte une dernière fois autour de ma hampe en aspirant goulûment mon gland de ses lèvres pulpeuses. Sa langue titille mon prépuce puis elle redescend encore, gloutonne, gourmande.

Enfin, elle se redresse en passant sa langue sur ses lèvres.


Ma main essaye de reprendre possession de son sexe trempé. Toute son entrejambe est moite. Je glisse un doigt entre ses lèvres, puis deux. D’un regard oblique je m’assure qu’un troisième y trouve place. Isabelle resserre alors ses jambes comme un étau autour de ma main. Elle joint aux mouvements des mes doigts de violents mouvements de bassin. Ses yeux se ferment, son corps se tend, se raidit et je la vois partir dans un orgasme fulgurant.


Enfin, elle ouvre de nouveau les yeux.


- Je peux le rentrer ? me dit-elle en parlant de mon sexe toujours raide ? Je m’en occuperai à la maison, mon amour.


Bien que je n’aie pas joui, ce spectacle m’a fasciné et m’a offert presque autant de plaisir, si pas plus. La jouissance en elle-même ne m’apporte pas toujours le plus de sensations, mais toute une mise en scène telle que celle là m’excite tant que même des mois plus tard, j’y pense encore avec délectation.


Je ne peux m’empêcher de sucer mes doigts imprégnés de son jus. Cette odeur me rend fou. Bientôt, le paysage familier des environs du mas se précise. Je n’ai pas oublié sa promesse et cela ravive mes ardeurs.


Sortis de la voiture, nous nous dirigeons vers la vieille bâtisse de pierre. Elle n’a pas remis sa culotte et la voir marcher devant moi, nue sous sa petite jupe blanche, m’excite au plus haut point. Je devine la raie de ses fesses fermes sous le léger tissu semi-transparent.


Je la pousse tendrement vers la chambre et lui demande de se coucher sur le côté, ses jambes en chien de fusil.


Je me couche derrière elle, mon regard à quelques centimètres de sa magnifique paire de fesses.

Du plat de la main, je commence à masser le lobe supérieur et doucement je les écarte l’une de l’autre. Mon mouvement circulaire bouge l’ensemble de ces chairs et de ce simple massage, j’essaye sans les toucher, d’écarter les grandes lèvres de son sexe. Bientôt, après ces mouvements répétitifs et doux, celles-ci s’écartent doucement et me révèlent ses petites lèvres encore trempées et brillantes de nos récents ébats.

Je suis terriblement excité à la vue de ce coquillage secret qui ondule doucement sous mes caresses. Je me rends compte que celles-ci ne la rendent pas indifférente car, imperceptiblement, elle accompagne mes mouvements d’une légère ondulation du bassin.

Mon regard se pose aussi sur sa corolle et je ne peux m’empêcher d’écarter ses fesses au maximum et me délecter de son joli petit œillet plissé. Lui aussi se rétracte doucement au rythme de mes massages.

Mon regard n’arrive pas à se fixer devant ce spectacle fascinant.

Maintenant son sexe s’ouvre complètement et en me rapprochant un peu plus, dans une odeur enivrante, je peux voir le fond de son vagin.

De ma main libre, j’humecte un de mes doigts et commence à caresser doucement les petites lèvres complètement étalées comme les ailes d’un papillon.

Elles sont d’une douceur extrême. Je suis tellement près de son sexe que naturellement, mes lèvres s’en emparent et ma langue se perd aux tréfonds de mon aimée.

Je me délecte de son jus abondant, suce une à une ses petites lèvres, passe ma langue en remontant sa fente.

Mais de nouveau, l’envie me reprend d’admirer sa croupe tendue vers moi dans une tension impudique.

Bien qu’elle n’apprécie guère cette caresse, mon doigt remonte entre ses fesses vers sa corolle. Je le mouille à nouveau et tourne doucement autour de son anus légèrement entrouvert. Mon doigt, de ses mouvements circulaires, l’effleure de temps en temps et mon Isabelle ne peut réprimer de légères crispations.

Elle sait pourtant l’excitation que ça me procure et me laisse doucement effleurer son œillet.

Sa main a rejoint mon sexe et son mouvement d’abord lent s’accélère au même rythme que ma respiration.


- Arrête, lui dis-je, je n’en peux plus !


Me poussant sur le dos, elle se couche sur moi et s’empale sur mon vit. Mes mains rejoignent ses fesses et un de mes doigts lui masse l’anus.


- Je peux l’enfoncer ?


D’un signe de la tête, les yeux fermés, elle autorise mon index à s’enfoncer en elle. Je le pousse doucement et force son sphincter contracté. Mon doigt est entouré d’une douceur infinie et j’aime masser mon sexe à travers sa fine membrane. Mon doigt est maintenant enfoncé au maximum et je peux sentir toute sa chaleur intime, là tout au fond de son cul.


Quelques secondes plus tard, poussé au bord du gouffre, j’explose en elle. Au même moment, mon doigt enfui dans son conduit de velours ressent une série de secousses trahissant son orgasme violent.






Bien sûr, ce genre d’aventure avec ma compagne n’arrive pas tous les jours. Mais ces moments font partie d’inoubliables expériences que l’on peu vivre de temps à autres, quand les circonstances s’y prêtent. Comme beaucoup d’homme, j’ai toujours eu envie de remplacer mon doigt par mon sexe et le sentir happé dans son cul magnifique, ce qu’elle m’a toujours refusé. Pourtant, avec la ceinture gode que je lui ai achetée, elle ne s’est pas faite prier pour l’essayer ensemble. Je regrette fort de ne pouvoir apprécier cette expérience interdite mais, me direz-vous, je peux en apprécier d’autres.


Vous les filles, qui avez peut-être pu passer le cap, dites-moi comment ça se passe…

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