J'Ai Trompé Ma Femme

Je n’ai jamais eu à me plaindre de ma situation conjugale. Je suis heureux depuis plus de 6 ans avec Bénédicte, mon épouse, qui m’a donné un fils. Elle m’offre une vie sexuelle très satisfaisante, et pourtant…

Je n’ai vécu que des relations hétérosexuelles, mais au fond de moi, j’ai souvent eu des pulsions homo. En croisant un couple gay, je me suis parfois interrogé. Quand je sodomise Bénédicte et qu’elle en retire une grande jouissance je me dis : "Et pourquoi pas moi ?" Il y a quelques mois, je me suis mis à surfer sur Internet. Le hasard et la curiosité aidant, je suis entré en contact avec Marc. Nous avons échangé. J’ai petit à petit révélé mes pulsions. Il s’est montré très compréhensif, me décrivant lui-même son parcours initiatique. Il s’est rendu si convaincant que j’ai accepté de le rencontrer. Il y a 3 mois, je me suis rendu à Paris pour raisons professionnelles. J’en ai profité pour rencontrer Marc le midi. C’est un homme grand, fort et très élégant. Il s’est révélé encore plus doux et plus compréhensif que sur Internet. Il m’a fait comprendre que j’étais plutôt un homo passif. Qu’il ne fallait pas brusquer les choses mais qu’il était prêt à m’aider le jour où… Au moment de nous quitter, il m’a caressé la main. Cela m’a procuré un frisson inhabituel.


Tout cela a tourné dans ma tête et j’ai fini par craquer. J’ai contacté Marc pour lui dire que j’étais prêt et que je devais passer 2 jours à Paris. Le soir convenu je frappai à sa porte. Il me fit entrer et avancer vers le salon. Et là, je découvris trois hommes assis nus sur le canapé. J’esquissai un mouvement de recul, allant demander des explications à Marc. Il me mit un enregistreur sous le nez en disant :

-"J’ai enregistré notre conversation au restaurant et j’ai tous nos échanges Internet. Si tu veux, on peut en parler à Bénédicte."

Bien sûr je n’y tenais pas. Me sentant implicitement acquiescer, Marc m'ordonna vigoureusement de me mettre à poil.

J’allais refuser mais Marc me remontra l’enregistreur. Je me déshabillai ainsi devant les quatre hommes. Une fois nu, Marc me fit tourner sur moi-même pour m’offrir entièrement aux regards. "Joli petit cul !" S’exclama Henry, l’homme au milieu de la banquette. D’une certaine façon, j’étais fier de ce compliment. Marc s’approcha de moi. Il mit sa main gauche derrière ma nuque. Il plaqua ses lèvres sur les miennes et m’embrassa vigoureusement. C’était mon premier baisé avec un homme. Sa langue me pénétrait profondément. Je m’abandonnai à ses caresses, moi qui suis plutôt actif avec une femme. Continuant de m’embrasser, Marc me caressa les fesses avec son autre main. Doucement, je me mis à bander. Marc se recula et en conclut que c'était un bon début. Henry m’interpella pour que j'aille le sucer. Un peu choqué, je revis l’enregistreur et je m’approchai de lui. M’agenouillant, je saisis son pénis et me le mis maladroitement en bouche. Je fis des mouvements essayant d’imiter les femmes qui m’avaient pris en bouche par le passé. Je n’étais visiblement pas très performant car Henry me saisit la tête à pleines mains et il m’imprima de vigoureux mouvements envoyant son sexe cogner au fond de ma gorge. Je commençai à me faire à la chose, essayant de m’appliquer quand Rachid, assis à la droite d’Henry, se leva. Quelques instant plus tard, je sentis mes fesses s'écarter avant qu'un produit ne soit appliqué sur mon anus. Je serrai aussitôt les cuisses. Rachid me les écarta encore et je sentis son sexe appuyer sur ma rondelle. Je voulus crier non, mais Henry me serra encore plus fort et m’envoya son sexe encore plus profond. Le sexe de Rachid dilata mon anus et commença à me pénétrer. Je voulus crier de douleur mais rien à faire avec la queue d’Henry dans la bouche. Rachid s’enfonçant, la douleur s’atténua. Et puis il se mit à faire des va-et-vient. Au bout d’un moment un certain plaisir me gagna. Je m’abandonnai à Henry qui disposa de ma bouche et à Rachid qui disposa de mon cul.



Le réveil fut brutal. Je ne perçut pas la queue d’Henry se gonfler et il m’envoya ses saccades de sperme dans la gorge. Je voulus me dégager mais le : "Avale tout, petite salope !" d’Henry me remis à ma place. Et j’avalai tout consciencieusement.
Henry se dégagea et Maurice, un superbe black, pris sa place dans ma bouche. Sa queue de grande dimension me força à l’ouvrir plus large que pour Henry. Pendant que je besognais Maurice, je sentis la queue de Rachid se dilater et ce dernier se soulager dans mes entrailles. À peine se retira-t-il que les mains de Marc me saisissaient fortement par les hanches et que sa queue frottait ma rondelle. Mon anus dilaté laissa celle-ci passer sans aucune douleur. Les mains chaudes de Marc me faisaient de l’effet comme au restaurant. Ses poussées violentes (et violantes) me comblaient. À tel point que je ressentis du plaisir. Marc avait raison : j’étais fait pour être passif. La jouissance me transporta dans un état second. Je ne savais plus qui était dans ma bouche. Qui était dans mon cul. Juste quand Maurice me sodomisa ; je sentis alors mon anus se dilater comme s’il allait exploser. Mais mon plaisir fut ensuite à la hauteur. Ce fut un véritable festival. J’étais leur chose. J’étais à l’entière disposition de Marc, Rachid, Maurice et Henry pour satisfaire tous leurs désirs. Le mien aussi car j’étais dans un état euphorique, jusqu’au moment où je me suis endormi, ivre de fatigue et de plaisir.


Quand je me suis réveillé au petit matin, j’étais pelotonné dans les bras puissants de Marc. Comme une femme dans ceux de son amant. Marc me sourit amicalement ou plutôt amoureusement et m’embrassa comme la veille. Il me fit rouler sur le dos. Il glissa un coussin sous mes reins. Il me releva les jambes sur ses épaules. Mon cul ainsi offert, il n’eut aucun mal à me pénétrer, même si mon anus se souvenait de notre folle nuit de baise. Marc me souriait pendant ses délicats va-et-vient au fond de mes entrailles.
Il avait l’air heureux et je l’étais aussi de le voir ainsi face à face pendant qu’il me prenait. Soudain il se raidit, son visage exprima la jouissance et je sentis les saccades de sperme m’envahir. Et il s’écroula sur moi. Je n’avais pas joui mais c’était mieux encore d’avoir vu le visage d’un homme prendre son plaisir en moi. Quand je suis parti, Marc m’a embrassé délicatement. Il m’a donné la cassette de l’enregistreur en me disant :

-"Elle est vide et je n’ai rien conservé de nos échanges sur Internet. Si tu souhaites revenir, ce sera sans contrainte."

Et je suis parti. Il n’y a plus de contrainte mais j’ai envie de revoir Marc et de revivre des moments intenses avec lui. D’une certaine façon je suis amoureux de lui, même si je continue d’aimer Bénédicte. Je dois retourner à Paris dans 15 jours. Je ne sais pas encore si je dois (ou si je vais) en profiter pour revoir Marc.

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