Collection Escorte-Girl. La Jolie Petite Japonaise. Saison I (1/3)

Ce texte se déroulera en deux saisons de trois chapitres.
Voici cette première saison.

Hanabi, c’est mon nom !
Mon nom d’escorte, situation que j’ai acceptée il y a depuis deux ans.
Escorte à Paris, Tokyo j’y suis allée le mois dernier, voyage payé par un de mes clients.
Il m’avait fait venir au Novotel parisien et comme mes prestations avait été à la hauteur, nous sommes restés en contact.
Dans sa chambre de son hôtel comme chez lui à Tokyo, j’ai eu l’impression de me retrouver chez mes parents à Paris plus précisément rue de Liège là où de nombreux Japonais se sont regroupés à leur arrivée avant ma naissance.

Maman est restée dans son pays du moins dans sa tête, elle reste en kimono tout le temps et dort avec papa sur une natte avec un morceau de bois sous la tête.
Pourquoi avaient-ils émigré, je l’ignore, ils sont muets sur le sujet.

Comment suis-je devenue escorte ?
C’est mon oncle le frère de papa qui m’a plongé dans ce milieu où je dois le dire, je me débrouille très bien, mais en grande partie grâce à lui.
Aiko, mon père m’a présenté un homme ayant une vague ressemblance avec lui.
La soixantaine, les cheveux blancs, une prestance supérieure à celle de papa.

• Chie, c’est Fujiko, mon frère ainé.
• Bonjour Chie, je suis content de te connaître, ton père lorsqu’il me téléphone me donne des nouvelles de ma nièce, fort brillante en langue de surcroit.
• Oui, je parle Français bien sûr, anglais couramment, russe et j’ai commencé le mandarin !
À oui, Italien aussi, je me destine à devenir traductrice pour une société d’édition.
• Si c’est ce que tu veux, j’aurais peut-être l’opportunité de t’aider.
• Merci Tonton, tu me permets de te dire Tonton !
• Tonton, Fujiko, peu importe, le principal, c’est que je puisse t’aider.
Aiko, tu permets que j’emmène Chie manger au restaurant, je voudrais approfondir ses talents.


• Chie est majeur, ici en France, les femmes sont libres.

Quand je vois, maman, je me demande si au fond de lui, il croit en ce qu’il dit, maman est si réservé et ignore un mot de Français, même, merci.

• Je veux bien Fujiko, si tu m’aides à monter un projet, aller dîner avec toi sera un plaisir.

C’est ainsi qu’il m’a amené dans un des Japonais du coin.
Dès que nous sommes entrés, tous les serveurs se sont mis presque à quatre pattes jusqu’à l’arrivée de la directrice qui s’est mise, elle aussi en quatre pour nous satisfaire.
Nous avons devisé de choses et d’autres sans pour autant approfondir le mystère de cet homme énigmatique.

• Chie, ton idée de faire des traductions peut être une bonne couverture pour ce que je vais te proposer.
• Que devrais-je faire si c’est une couverture, j’aurais un autre emploi ?
• Veux-tu végéter comme tes parents ou veux-tu, vu ta beauté devenir la reine d’un certain milieu.
• Tu m’intrigues Fujiko !
• C’est bien quand nous sommes en public je préfère que tu m’appelles par mon nom que tonton.
Je sens que tu es une jeune fille moderne et directe, j’aimerais que tu deviennes escorte.
• Tu veux que je devienne une pute, je sais ce qu’est une escorte.
• C’est vrai, il t’arrivera de coucher avec tes clients, mais des fois tu te contenteras de prendre leur fric simplement pour te montrer avec eux dans des soirées ou des restaurants.
Cela à travers le monde entier.
• Mais je suis vierge !
• Vierge à 22 ans, ça s’arrange facilement.

Il s’est levé, m’a aidé à le faire en homme du monde et est sorti avec un geste pour la directrice.
Deux minutes, un taxi de maître arrive, c’est elle qui a dû l’appeler sur un simple geste de sa part.
Là encore aucune adresse, mais le taxi part dans Paris jusqu’au faubourg saint Honoré où il s’arrête devant le Mandarin Oriental.
Il m’aide à descendre et me dirige vers une chambre dépassant tout ce que j’ai pu connaître.

Une suite immense avec une vue à 360 degrés sur la capitale.

• Voici une partie de la vie que je te propose.
Tu rencontreras des clients dans des lieux comme celui-ci.
Déshabille-toi, je vais m’occuper de ton pucelage.
• Mais tu es mon oncle !
• As part toi qui le sais, tu as une chatte qui peut te rapporter une fortune grâce à ta beauté et surtout ton esprit, on sent que tu aimes lire.
• C’est comme ça que je peaufine les langues que je parle.
Livres et films en version originale.

Je vois que sans attendre si je suis d’accord de coucher avec lui, il commence à enlever son costume très ajusté sur lui.

• Fujiko, tu es un...
• Yakusa, je vois que tu connais, mes tatouages me trahissent quand je me mets nu.
Je suis un des plus grands Yakusas du Japon, je règne sur des centaines de salles de machine à sous et autres jeux de hasard.
Ici en France on pourrait dire que je dirige la Française des jeux.
Aller fait comme moi, ôte tes affaires, je veux simplement faire de toi une femme opérationnelle.

Un peu sonner, je comprends mieux pourquoi dans ce resto japonais à deux pas de chez mes parents, nous avons été servis sans payer.
Tonton est une sommité dans son pays et même à l’étranger.
Je fais comme il dit.
Il s’est couché sur le lit, simplement en me voyant me mettre à poil, il commence à bander.

• Même ta verge est tatouée, ça doit faire mal.
• Un yakusa doit savoir encaisser la souffrance.
Si tu te rapproches, tu verras sous les tatouages, des cicatrices reçues quand il y a quelques années avant que j’aie une armée me protégeant, je devais me battre pour atteindre les sommets où je suis arrivé.

Me rapprocher, je le fais, mais une main cachant ma chatte l’autre mes seins.
Je suis sur le lit et comme j’ai peur de sentir ce poignard de chaire en moi, ma main se porte sur sa verge.
Elle grossit encore.

Est-ce pour retarder le moment de me faire déflorer, j’avance ma bouche comme j’ai lu dans certains de mes livres, surtout un en Italien, s’était carrément un livre porno.
Ce jour-là, quand je l’ai pris dans une bibliothèque, j’ai appris et l’Italien et comment une femme satisfait son amant.

Voilà, c’est fait, Fujiko est en moi.
Après une bonne fellation, lui dessous moi dessus, mon hymen a craqué avec une légère douleur.
Comme de rares femmes, comme je l’ai entendu ayant un orgasme dès la première fois.

• Hanabi, ton nom chie, c’est loin d’être vendable pour une escorte.
Hanabi, ça veut dire belle fleur en japonais, une escorte doit toujours savoir anticiper et toi tu as été parfaite jusqu’au moment où tu as décidé que je devais décharger.
Es-tu bien sûr que c’est la première fois que tu faisais l’amour ?

Je lui tape sur la poitrine, comme il me l’a dit, sur son pectoral et sous son tatouage me donnant l’impression que l’œil d’un homme me regarde, une cicatrice sommairement recousue est présente.
Je tombe sur le côté et je joue avec sa verge.

• Dis Tonton, pardon Fujiko, ce serpent tatoué sur ta verge, ça fait mal !
Tu crois que je pourrais me faire tatouer autour de ma chatte que tu viens de faire femme.
• On verra, c’est sûr que les hommes que tu auras comme clients aimeront que tu sois tatouée, surtout les Japonais et j’en connais beaucoup qui pourront t’apporter un maximum de pognon.

Me disant ses mots sans se rendre compte qu’il va prosti sa nièce, il se retourne, mes caresses ayant fait de l’effet il rebande.
Je me laisse une nouvelle fois pénétrée...

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