Sacré Soirée, La Capotte Percée

Sacré soirée, la capotte percée


L’histoire, objet de ce récit date de quatre ans déjà. Ce récit est cocasse, je l’ai vécu
avec des hauts et des bas, vous comprendrez pourquoi à sa lecture.
Nous sommes Chris et Marie, un couple uni qui fréquente le milieu du libertinage
depuis déjà vingt ans environ. Nous avions, au moment de cette aventure, 51 ans
chacun. Nous sommes échangistes et triolistes. Je précise tout de suite que nous ne
sommes pas exhibitionnistes et que nous éprouvons la plus forte répugnance pour
toute forme de violence ou tout ce qui traite de la notion de « crad ». Nous sommes,
si je puis dire, un couple libertin normal si tant est que ce qualificatif soit adapté à
cet état de chose. Nous trouvons en principe majoritairement beaucoup de plaisirs
dans cette forme de divertissements et pratiquons aussi bien en club qu’à l’occasion
de rencontres dites privées organisées spécialement pour cela. Mon mari, je le
reconnais, est un expert dans l’organisation de ces rencontres. Il sait parfaitement
organiser le contact s’il s’agit d’une nouvelle rencontre dans le cadre d’un trio
notamment. Pour une soirée privée entre couples, il saura mettre la pointe
d’attention nécessaire dans le choix d’une mélodie particulière ou sur le type de
breuvage particulièrement adapté à un plat particulier.
Je précise que je ne pratique pas la bisexualité, je n’y trouve aucun plaisir. Les
quelques tentatives que j’ai bien voulu exécuter ne m’ont procuré aucune sensation
agréable, je considère pour ma part cette pratique atypique. Je ne porte par contre
aucun jugement sur les personnes adeptes de ces plaisirs. Mon mari est dans le
même état que moi. J’ajoute d’ailleurs que le fait de ne pas pratiquer la bisexualité a
parfois limité nos occasions d’échanges, en club notamment, nous avons parfois
éprouvé une certaine forme de frustration nous estimant catalogués au rang des
attardés sur les pratiques libertines.


Pour achever notre présentation et permettre aux lecteurs d’apprécier, voici les
données statistiques me concernant 1,63m, 56kg, 90d, blonde allant sur le blanc,
totalement épilée depuis une quinzaine d’années ; Je n’aime pas dutout la pilosité
chez l’individu. Ces données me concernant n’ont pas fondamentalement évolué
depuis cette aventure si ce n’est, je dois l’avouer, une ride de plus au moins.
Mon mari est un peu plus imposant avec son 1,83m, ses 92kg, qui témoignent d’un
passé de rugbyman au grand cœur et qui par ses occupations extra-
professionnelles se maintient physiquement en forme. C’est un blond aux yeux
bleus, le critère qui m’a amené à le détourner de ses conquêtes antérieures voilà
bientôt trente ans.
Notre aventure a été imaginée au cours d’un repas organisé chez nous au début de
l’année 2001 et auquel nous avions notamment invité un couple de nos amis
libertins rencontrés plusieurs années plus tôt et qui comme nous savent rester en
toutes circonstances très naturels. Deux autres couples libertins étaient présents ce
soir-là et j’avoue que je m’étais laissée séduire peut être par un peu trop de
Gewurztraminer en accompagnement des entrées.
Nos amis se prénomment Patou pour elle et Dominique ou Domi pour lui. Ils ont
exactement notre age.
Patou est elle plutôt potelée avec ses 78 kg pour 1,65m, mais je dirai que cela lui va
bien car elle est très bonne vivante, pas du tout complexée, très naturelle tout en
sachant être très élégante grâce aux soins apportés à son esthétique comme à ses
tenues vestimentaires recherchées. Elle est blonde avec des cheveux teints sur le
blanc, mi longs.
Domi, lui mesure 1,80m, pour 80kg environ avec des cheveux grisonnants.
Patou est toujours partante ! C’est pour cela d’ailleurs que Domi lui laisse le soin de
conduire les principaux éléments de leur vie familiale à l’exception des voitures.
A
l’écouter, en effet, ce sont chaque fois les obstacles à priori fixes qui se déplacent
vers son auto. Sans rougir, Patou vous regarde droit dans les yeux pour vous
confirmer que la dernière fois, cette bordure en béton n’existait pas malgré son état
flagrant de décrépitude avancé ! En fait, Patou est toujours une étape devant et se
révèle donc très distraite sur l’instant présent.
Ce soir-là, nous sommes en début d’année, les hommes sont très bavards sur
l’augmentation des tarifs, des nouvelles charges et impôts annoncés par le
gouvernement. Ils établissent également des pronostics avertis sur les vainqueurs
probables de la célèbre course automobile du Paris Dakar.
Ils se sont d’ailleurs organisés pour être proches nous laissant la possibilité de
discuter autour de nos centres d’intérêt. Une fois les thèmes sur les s
éliminés, la coiffure de la fille de l’une d’entre nous, les frais de portable prohibitifs
du fils de l’autre, notre conversation dévie et s’oriente sur nos intérêts respectifs
pour le milieu libertin dans lequel nous évoluons, nos expériences passées, nos
envies à venir, tout cela dans un esprit très agréable.
Au cours de cette conversation, je me hasarde dans une confidence auprès de mes
trois amies, nos hommes ne risquant pas d’entendre, tant leur conversation est
animée.
- Parmi les expériences vécues, je n’ai jamais eu l’occasion de rencontrer un garçon
de couleur, on entend de tout là dessus, je pense qu’il y a plus de fantasme que de
réalité ! Avez vous de votre coté essayé ?
- Bien sûr , répond sur le champ Patou, nous avons eu plusieurs fois une expérience
avec un garçon d’origine africaine, aussi noir qu’une paire de chaussures cirées
sortant de leur boîte d’emballage. Il a trois ou quatre ans de moins que nous, il
habite près de Toulon, il est très agréable et je ne comprends pas d’ailleurs qu’il
soit célibataire! Il s’appelle Mickel, je présume que c’est son véritable prénom, ses
parents me semble-t-il ont promené ou vécu dans les pays anglo-saxons.
C’est un
garçon très charmant ! Je te rassure, il est né en France et fait de la comptabilité je
crois. Ne l’as - tu jamais rencontré ?
- Non !dois - je répondre, et entre nous, Patou, est ce vrai que ces garçons sont si
différents de nos hommes en amour et coquinerie ?
- Là, Marie, je peux te dire que leur réputation n’est pas une simple rumeur, si tu
voyais la puissance de ce garçon, son endurance, sa vigueur, mais aussi sa douceur,
c’est incroyable ! Nous l’avions rencontré dans un club à La Garde, et à la fin de la
soirée, nous avions convenu d’une rencontre à trois à la maison pour la semaine
suivante. Je dois t’avouer que j’ai été servie ! J’avais dû rester au lit une partie de la
journée du lendemain ! Nous avons des photos Marie si tu veux et même une vidéo
faite par Domi. Attends, tu vas voir, on va le lui demander!
- Non, non, Patou, c’est simplement par curiosité que j’ai posé cette question. J’ai
en effet depuis longtemps un vieux fantasme sur une rencontre avec un homme
noir.
- Attends, Marie, je pose la question à Domi.
- Domi, s’il te plait, quelques secondes, avons - nous toujours des contacts avec
Mickel, as - tu de ses nouvelles ?
- Bien sûr, il nous a envoyé un mail pour nous souhaiter la bonne année, il espère
que l’on se rencontrera bientôt. Il doit paraît - il venir chez nous à Brignoles pour
son boulot plusieurs jours durant. J’ai répondu à ses vœux et lui ai proposé de venir
dormir à la maison pour lui éviter trop de trajets.
- Merci Domi lance Patou, puis, de façon plus discrète à mon intention et avec la
complicité de nos deux autres amies :
- Marie, tu vas voir, nous allons organiser quelque chose, nous allons reprendre
contact avec Mickel, je te tiendrai au courant ! Je te préviens, Marie, s’il accepte, sois
en forme ! Tu verras, cela n’a rien à voir avec ce que tu connais déjà.
C’est une
grosse expérience!
Patou est tout le temps ainsi, pleine d’énergie, de projets, elle donne envie de tout
entreprendre…… !
Notre soirée se poursuit normalement, les deux autres couples présents sont en
réalité des débutants en matière de libertinage, ils sont sympathiques mais
ment un peu réservés. Chris, après le dessert et le champagne, sort quelques
alcools, installe une musique de circonstance et nous nous amusons ainsi jusqu’à
trois heures du matin où l’alcool, la musique et les câlins, le tout additionné d’un
excellent feu de cheminée nous ont conduit tous les huit dans un état de nudité
presque parfaite.
Un seul couple a voulu, malgré notre insistance, repartir après un bon café, le reste
de l’équipe s ‘est plongé immédiatement dans un profond sommeil réparateur.

Quatre jours plus tard, un appel téléphonique de Patou en début de soirée.
- Marie, comment vas - tu ? Tu te souviens, samedi dernier, nous avons discuté de
notre copain noir, Mickel ! Domi l’a contacté dès Dimanche et hier soir, nous l’avons
eu au téléphone ! Il est ravi à l’idée de passer une soirée avec nous, je lui ai parlé de
toi, sa voix, je te promets, Marie, a changé dès que je lui ai fait part de ce projet !

Entre nous, je reconnais là très bien Patou qui use de sa technique de « force de
vente ». Je lui réponds donc :
- Patou, c’est vraiment très sympathique, nous pourrions organiser cela à la maison
! Si Mickel et vous, êtes d’accord, je te propose d’organiser dans neuf jours, le
samedi soir. La maison sera vide, les s partent en vacances de Février, l’un à
Paris chez un copain qu’il fréquente tous les étés en vacances ? notre fille va
travailler ses révisions et se faire dorloter par sa grand mère, c’est plus facile avec
elle depuis qu’elle a son permis de conduire et sa petite voiture à laquelle nous
n’avons pas, à l’exception de son papa chéri, comme elle dit, le droit de toucher. Je
demande à Chris d’organiser tout cela, tu connais son sens du détail, je ne travaille
ni la veille le Vendredi, ni le Lundi suivant, ce devrait être bien.
- Donne nos coordonnées à Mickel, il viendra directement de la Toulon par
l’autoroute, Chris lui enverra le plan pour venir chez nous, vous viendrez de
Brignoles à votre guise, tout le monde dormira à la maison.
- Dis Marie, c’est le moment des soldes, il faut en profiter pour trouver quelques
habits coquins afin de séduire nos trois hommes! Ah, j’y pense, Marie, Domi
amènera sa caméra, Chris prendra les photos.


Notre discussion S’arrête là, Chris est d’accord pour tout organiser, la cuisine sera
simple avec un foie gras que j’ai préparé au mois de décembre, un plateau de fruits
de mer, une viande rôtie accompagnée de quelques légumes,avec salade, fromage
et desserts variés pour la nuit, sans oublier l’accompagnement de vins et spiritueux.

La veille du jour convenu, je vais chez le coiffeur et l’esthéticienne pour me faire une
beauté, mon épilation complète est parfaite. J’en profite pour effec quelques
achats vestimentaires de détail ! Chris achève l’acquisition des consommables pour
le repas. La journée du samedi est consacrée à la préparation de la maison,
nettoyage des chambres des s dont celle de notre fils, préparée pour Mickel,
l’espace séjour salle à manger de 40 mètres carrés est finement nettoyé par Chris et
agencé. Il dispose en angle la Méridienne et un canapé, dépose des matelas de
mousse de dix centimètres d’épaisseur qu’il recouvre de tapis épais, le tout sorti de
fourreaux ou de malles. Quelques poufs sont également remis au jour. La table
basse est rangée à côté de la bibliothèque, éclairages indirects et lampes à lumière
diffuse sont efficacement disposées, la cheminée est préparée avec suffisamment de
bois pour nourrir un feu durant dix jours. Le meuble TV est tourné pour donner une
vision vers l’espace aménagé car Domi apprécie un bon film X durant nos
amusements. Sur un guéridon, disposé à côté, Chris y dépose une boite en racines
de cade avec discrètement, à l’intérieur les préservatifs. Des serviettes sont
dissimulées dans le bas du meuble TV de même que quelques godemichés dont les
piles de certains sont remplacées. Je souris car c’est le travail de Chris mais je ne
peux m’empêcher de lui « casser les pieds » en vérifiant s’il n’a rien oublié !.
Une fois l’espace séjour achevé, c’est au tour de la salle à manger, la table est
dressée, nous dînerons aux chandelles, la desserte est en place, tout est fin prêt.
Pour ma part, le repas est très simple à préparer.
Il est midi trente, nous déjeunons en amoureux mais vite fait et sobre, je parts faire
une grande sieste.
Je suis réveillée de mon profond sommeil par le téléphone qui insiste. Je trouve
enfin le combiné , c’est Patou au bout du fil.
- Allo, Marie, je t’appelle, comment s’habille t’on ce soir ?
- Si tu veux bien, pour le repas, nous nous habillons sexy. Sur ma parure rouge et
mes bas résille noirs avec jarretelles, je mettrai une mini jupe plissée et un
chemisier vaporeux en soie légère. À la fin du repas, par contre juste avant les
desserts, je te propose que nous allions nous changer. Pour ma part, je garderai les
dessous et j’enfilerai une super mini jupe noire résille extensible et un simple
dessus en nylon transparent brodé que Cris m’a acheté hier au soir. Il s’agit d’un
simple cache cœur qui descend jusqu’aux fesses, aux longueurs inégales.
- D’accord, je m’habille en conséquences, nous serons chez nous vers 19heures.
Je me lève, il est déjà 16h30’, je ne pensais pas avoir autant dormi. Une bonne
douche, rene par un bon café me remet en forme. Chris, qui entre temps a tout
remis en ordre dans les toilettes, les deux salle de bains est au garage avec ses
bricolages habituels. Je pense que s’il s’y était pris plus tôt, il aurait pu nous
construire un hélicoptère. Je ne sais toutefois pas s’il volerait. J’appelle Chris, le
secoue un peu :
- Ton vin est-il prêt, va t’habiller, il est 17heures. Dans deux heures tout le monde
est là et tu t’amuses ! Augmente le chauffage, allume ton feu. As - tu prévu de
l’encens ?
Pour moi en effet, la pression monte ! Pour Chris, l’important est d’être prêt le
moment venu, ni après, ni avant ! Il abandonne tout, se précipite dans une salle de
bains et en ressort, propre, rasé de prés parfumé de façon exagérée, habillé de
façon impeccable . Chris reçoit toujours en cravate, c’est paraît - il lié à son
éducation : sans commentaire !
Il s’exécute pour les chauffages ! la température devient très vite plus qu’agréable.
Dans le même temps, je me coiffe, me maquille de façon exagérée, puisque, c’est
paraît - il un des points faibles de Mickel et m’habille. Il est déjà 18h30’, la nuit est
bien tombée, je n’ai pas vu la journée passer mais je suis en forme.
A 18h45’, la sonnette du portail retentit, avant que je n’ai pu dire bonjour , une voix
que je reconnais aussitôt « c’est nous » je reconnais Patou. J’ouvre, tandis que Chris
va les accueillir pour les aider à garer la voiture.
Au même moment, le téléphone sonne à nouveau, c’est Mickel qui arrive par
l’autoroute, il vient de passer le péage, il veut connaître la direction à prendre pour
venir chez nous. Après avoir enregistré la marque et la couleur de sa voiture, je le
rassure, Chris va aller le chercher, c’est plus simple.
Les évènements se précipitent, j’espère que nous n’avons rien oublié.
Patou et Domi arrivent ! Patou est magnifique dans sa fourrure type renard. Elle
arrive avec une valise remplie pour un voyage de dix jours, Domi, élégant suit avec
du champagne et son matériel pour filmer. Je leur explique que Mickel est dans le
quartier et à l’arrivée de Chris, je l’expédie le récupérer.
Patou et Domi s’installent, se défont de leurs vestes, Patou rejoint la chambre
d’amis pour défaire la valise et sortir les vêtements de la nuit. Pour l’instant, elle a
une mini jupe fendue sur un côté qui compte tenu de la dimension de son fessier
est ouverte en permanence laissant supposer une absence de culotte. Domi installe
son matériel et signale qu’il fait très chaud dans la pièce de vie pour la soirée.
Quinze minutes plus tard peut être j’entrevois les phares des voitures qui pénètrent
chez nous, la soirée va pouvoir bientôt commencer. Chris et Mickel arrivent, Patou
se précipite pour les accueillir, elle veut jouer la « public relation » Une bouffée de
chaleur m’envahit, au fond, cette soirée a été conçue à ma demande, comment cela
va t’il se passer ?
J’entends Patou qui salue Mickel puis Chris en chef de maison le fait entrer. Ah, oui,
Patou avait raison, il s’agit d’un « vrai noir », couleur ébène luisant. Il n’a en effet
aucun cheveu sur sa tête, ce qui rend son crâne brillant. Il est très bien proportionné
et sourit déjà. Il arrive avec un joli bouquet de fleurs qu’il me tend en même temps
qu’il m’embrasse, je reste un instant figée sur place. Il me tend un petit paquet ainsi
qu’à Patou. À l’ouverture, il s’agit de petits colliers ras de cou avec des scènes
érotiques tirées du kamasoutra.Nous le remercions, je lui fais découvrir les lieux,
Chris transporte son sac de sport et lui indique sa chambre. Domi les suit pour
discuter un peu. Avant de se mettre à table, j’installe le bouquet dans la salle à
manger pendant que nos trois Messieurs découvrent un instant les collections de
modèles réduits de chris. Mickel paraît décontracté, il a conservé une seule chemise
blanche ample et un pantalon gris clair, j’observe qu’il n’est pas insensible à nos
tenues vestimentaires féminines. Nous passons à table, je m’installe entre Mickel et
Domi, Patou est de l’autre côté de Mickel avec Chris à ses cotés.
Pendant que Domi allume les chandelles Chris nous sert l’apéritif, l’apéritif, les
conversations s’engagent, Chris assure le service avec Domi comme sommelier.
Tous ces vins, ainsi que la chaleur ambiante me montent un peu à la tête, je
comprends qu’il en est de même pour Patou qui a le verbe un peu haut et qui se
révèle encore plus enthousiaste.
Le repas est agréable, Chris a éteint une partie des lumières pour laisser aux
chandelles tout leur effet. Mickel est agréable dans ses conversations, il rit souvent,
Patou lui demande son age, 48 ans mais il insiste aussi en expliquant que cela
change tous les jours, il aime les bons vins à priori.
Chris et Domi changent les assiettes des coquillages et du temps qu’ils sont à la
cuisine pour préparer le plat suivant, je sents le genou de Mickel qui effleure ma
jambe. Au sursaut de Patou, je comprends qu’il fait de même auprès d’elle. Je
ressents tout d’un coup sa main qui se balade sur mon bas résille pour remonter
vers ma cuisse, il a une bonne poigne.
Nos hommes reviennent, le repas se poursuit….Quelques allusions coquines sont
abordées. Mickel a essayé à deux ou trois reprises de toucher ma culotte, il n’y est
pas véritablement arrivé, il essaie de me faire écarter les jambes, Chris s’est rendu
compte du petit jeu, il est vrai que le chauffage est efficace, j’ai chaud et je trouve
Mickel de mieux en mieux.
Le fromage- salade terminé, Patou se tourne vers moi et me fait signe, je
comprends qu’il est temps d’aller se changer. Je me lève et me rends compte que
mickel a décroché une jarretelle de mes bas résille, je répare le tout et rejoints
Patou dans notre chambre. Nous nous changeons, autant dire que nous devenons
au niveau de l’habillement transparentes !
Patou a du mal à fixer son soutien gorge et malgré mon aide décide de
l’abandonner Là.
J’entends que la musique a été changée par Chris, je suppose, qu’elle est un peu
plus forte. Un petit passage dans la salle de bains pour le maquillage et les parfums,
nous redescendons toutes les deux vers nos trois hommes dont mon noir.
À notre arrivée un peu déhanchées, ils ne peuvent s’empêcher de clamer leur
surprise. Mickel applaudit même. Nous les embrassons tous les trois. Chris qui a
disposé des gâteaux et des fruits sur la table ouvre une bouteille de champagne,
nous trinquons puis rejoignons le devant de la cheminée.
Chris a mis une musique basée sur des succès très rythmés avec une insistance sur
le « passé », Jonnhy, Claude François, Eddy, puis de plus récentes, Tout le monde se
trémousse, cela facilite la digestion, une odeur de café envahit la pièce, Chris nous a
prévu ce remontant pour la nuit.
Le café est servi, chacun vient à tour de rôle l’absorber, les uns l’aimant bouillant ou
presque, les autres, le préfèrent quasiment froid.
Cette bonne séance de danse nous a dégourdi les jambes tout en remplissant nos
têtes de musique rythmée à puissance malgré tout limitée. Trois quart d’heure peut
être de ce rythme nous ont permis d’échanger des mots, des regards. Chris a fini
enfin par enlever sa cravate.
Une petite pause s’impose. Les uns récupèrent des poufs, les autres, le coin de la
cheminée ; Une pause pipi est techniquement indispensable, il faut éliminer !
J’observe Mickel qui discute avec Chris, il est agréable ce garçon mais franchement
très noir ! Vais je vraiment pouvoir être attirée par lui, je m’en inquiète un peu. Je
regrette presque à cet instant, d’être allée si loin. Je décide dans ma tête de gérer la
situation de la façon suivante : Si j’éprouve une réelle difficulté pour aller auprès de
lui, je fermerai les yeux. Pourtant ce garçon dégage un flux de sympathie, une
certaine attraction.
Tout en discutant, Chris renforce la puissance de feu de la cheminée. Patou revient
de se refaire une beauté, Domi propose à chacun une boisson ! Il connaît mes
faiblesses dans ces moments : Gin- orange, je comprends à l’odeur du breuvage
qu’il a eu la main lourde sur le Gin mais j’en suis quelque part au fond de moi ravie,
cela m’aidera peut être à me laisser plus facilement aller vers ce garçon de couleur.
J’observe, en passant, que Mickel n’est pas ment plus sage que moi. Il opte
pour un Whisky additionné d’eau qu’à priori un Irlandais ne consomme que le jour
où il vient de gagner au loto national.
Patou quant à elle, je la connais, réclame sa Marie brizard, bien douce et sirupeuse.
Nos hommes se débrouillent.
Nous trinquons et buvons de bon cœur. Patou, toujours optimiste ne peut
s’empêcher de déclarer : Super soirée !!!
Ce moment d’entracte conduit nos hommes aux histoires et jeux grivois :
Chris nous propose de répéter rapidement plusieurs fois :
° Trois fûts, trois caisses, la main entre les caisses, le doigt dans le trou du fût ! ou
alors
° Arnouille se grattait les coudes sur le trottoir ; Sur le trottoir, Arnouille se grattait
les coudes.
Essayez à votre tour, vous comprendrez bien vite la tournure des affirmations (Les
termes sont réels, je les ai réclamés à Chris pour ce récit ! Il en rigole toujours)
ment, ce type de récit finit de « briser la glace » et Mickel se tord de rire sur
son pouf, tellement, lui comme les autres commettent des lapsus sur ces
répétitions.

Ce moment de franche rigolade a ment une fin ! Chris se dirige vers la chaîne
stéréophonique et lance un CD basé sur se slows et des danses rapprochées ; il
arrête certaines lumières, allume quelques bougies et chandelles pour parfaire le
caractère feutré et doux de l’ambiance, il embrase cinq ou six cubes et bâtonnets
d’encens disposés un peu partout.
À ce moment, Mickel se lève et vient m’inviter. J’en suis au point zéro de mon
aventure. Le Gin- orange m’a chauffé la tête, je ne recule pas mais j’ai réellement
l’impression d’entamer une expérience plus forte, que je risque de ne pas pouvoir
supporter jusqu’au bout. Tant pis !
Mickel me prend la main et m’extirpe de mon pouf. Nous nous mettons à danser.
Pour trouver le rythme, il me tient les hanches et j’obéis à ses cadences ! Ensuite, il
m’attire contre lui, maintenant une main sur le creux de mes reins et l’autre sur mes
épaules. Je trouve qu’il serre beaucoup, je ferme les yeux, la danse continue !
Mickel approche son visage près du mien, il me félicite discrètement pour la
cadence et notre harmonie dans cette danse. Flattée, je me colle machinalement un
peu plus à lui, je n’ai toujours pas réouvert les yeux, il me fait des bisous dans le
cou. J’ai chaud, à cause de l’alcool, de la température de la pièce et du contact avec
mon noir.
Mickel s’en rend compte, il tente une caresse sur mes fesses, je me laisse faire ; Son
autre main est prés de ma nuque, il presse ma tête contre sa poitrine, la musique
est toujours agréable. Sa main gauche tripote mes fesses, je n’ai pas grand chose à
cet endroit, le string et la jupe résille. Il a passé sa main au dessous du petit
chemisier. Franchement, il est bien parfumé, je craignais une odeur de mâle trop
forte. L’encens également agrémente très bien l’ambiance. Je comprends que Mickel
veut attirer ma bouche contre la sienne, j’ai toujours les yeux fermés et nous
dansons.
Nos bouches se collent, j’ai à peine le temps de faire le baiser que sa langue, longue
et épaisse est au fond de ma bouche. Ses lèvres sont épaisses et larges,
franchement, il « bécaute » bien. Sa main baladeuse est passée derrière la jupe,
s’agissant d’une jupe extensible, il essaie de la faire descendre ;Finalement, je retire
ma bouche, et ouvre les yeux ! Je découvre la noirceur de Mickel, mais au fond, peu
importe sa peau. J’enlève ma jupe, il insiste pour ôter mon espèce de cache cœur,
j’obtempère.
Très galant, Mickel récupère mes vêtements et va les déposer sur une chaise. Il
enlève également sa chemise, récupère nos deux verres sur le guéridon, me tend le
mien, nous buvons ensembles.
Je peux voir durant cet intermède que Patou danse en sandwich entre Chris et Domi.
Patou a également ses fesses bien rembourrées à l’air.
Une cassette sans son passe sur l’écran TV, je la reconnais immédiatement, il s’agit
du « canapé rouge ». Une fois débarrassés de nos deux verres, Mickel m’étreint à
nouveau et à l’oreille, m’avoue :
- Chérie, tu es bandante comme cela, bas résille noir, string, porte jarretelles et
soutien gorge rouge, c’est un vrai cadeau que tu me fais.
Nous reprenons nos baisers bouche à bouche, tout en dansant, il n’est pas trop
velu sur le torse, j’ai horreur des torses trop fournis. Je lui caresse son crâne rasé,
comme si j’y cherchais quelque chose.. Il me caresse plus librement les fesses et le
dos. Tiens, il défait mon soutien gorge. J’avoue que cette scène me plait ! je
commence à réaliser que mon sexe devient humide. J’ai un sursaut, c’est Domi, qui
au regard de la scène, n’a pas pu s’empêcher de venir me caresser les fesses. Quel
coquin ! Finalement, il n’insiste pas. Je commence à sentir une rondeur dans le
pantalon de Mickel, il doit bander ! il me retourne et m’attirant contre lui, me palpe
les seins qu’il pince à merveille. Nous ne dansons plus mais la musique est
formidable.
Je sents maintenant, nettement bien entre mes fesses le sexe de Mickel, il a l’air
imposant. Sa main droite me masse le ventre puis descend en circonférences vers
mon intimité. Sa main passe au dessous de mon string, Mickel constate que je
mouille abondamment et ne peut s’empêcher de me confier à l’oreille.
- Salope, chérie, la fontaine coule !
Dans ces moments, j’aime les mots crus et ces quelques paroles accentuent mon
désir.
J’attire son oreille près de ma bouche et lui murmure :
- Je vais guider ta main afin que tu masturbes correctement le mont de vénus,
j’aime beaucoup jouir ainsi une première fois !
J’en profite pour retirer rapidement mon string après avoir dégrafé les quatre
jarretelles. Je prends la main de Mickel et la guide d’abord, il comprend vite le
bougre, il est doux mais efficace. Devant mes yeux, Patou est à genoux entrain de
faire une fellation à Chris tandis que Domi essaie de lui introduire un godemiché.
Il ne me faut pas plus de trois minutes pour qu’une première jouissance
m’envahisse le corps. J’ai juste le temps de m’accrocher à nouveau à la bouche
épaisse de Mickel pour éviter d’alerter trop bruyamment le reste de la pièce.
Je reprends mes esprits, Mickel me complimente sur mon épilation et me demande
l’autorisation de regarder. Après mon accord, il me dirige vers un pouf, je m’y
assieds, il écarte mes cuisses, contemple, s’agenouille, passe sa langue épaisse sur
mon sexe tout mouillé à trois ou quatre reprises. C’est, je l’avoue, génial !
Décidément, ce garçon a de l’expérience en amour. Il se relève et vient « bécauter »
ma bouche, sa langue est vive et profonde, sa salive est d’un goût bizarre. Il
m’avoue à l’oreille :
- Chérie, notre amour est ainsi soudé !

À mon tour, toujours assise sur le pouf, j’attire Mickel à moi. Je palpe son sexe qui
est manifestement en érection. Je défais la ceinture et la braguette de son pantalon.
J’ouvre dicrètement ! Je découvre un engin tout noir qui émerge maintenant du
pantalon, enfin libéré. Mickel n’a pas véritablement de slip, simplement un string
avec seulement un anneau comme support de son sexe. Ce sexe est hors normes ! Il
doit bien faire au minimum vingt centimètres de long, mais le plus impressionnant
se situe au niveau du diamètre. On ne voit, à mon sens, cela que dans les films. De
plus, ce sexe est tout noir ! Je saurai ensuite, de la bouche de Mickel, qu’en
érection, son sexe fait cinq centimètres de diamètre et vingt deux centimètres de
long.
Je suis stupéfaite, Mickel le réalise et là debout, me demande :
- Alors , comment le trouves tu, chérie ?
Je ne peux que répondre :
- Je ne savais pas que cela pouvait exister.
- Les dames me font chaque fois la même remarque !
- Retire ton pantalon, s’il te plait, je vais pouvoir toucher.
Mickel s’exécute et au moment de poser son pantalon, sort quelques préservatifs de
sa poche, les pose sur le guéridon et m’annonce :
- Ce sera pour tout à l’heure.
- Tu sais, chris a tout prévu, là dans la petite boite.
- Je comprends que tout a été organisé mais ceux là sont fantaisie, parfumés, avec
des rugosités qui peuvent t’aider à jouir plus facilement, paraît il !
- Bien, nous verrons cela après, fais moi voir ce sexe !
Mickel s’approche, sa verge, je le confirme, est énorme avec deux boules que l’on
appelle testicules ou couilles selon l’usage elles aussi hors gabarit et tout cela noir,
noir . J’approche mes mains pour toucher et à ma plus grande satisfaction découvre
toute une zone sans aucun poil. Je m’attendais à rencontrer des poils crépus,
bouclés, serrés, il n’y a rien. J’interpelle Mickel :
- Tu n’as donc, toi aussi aucun poil sur le sexe ?
- Non, je me suis offert hier, spécialement à ton intention, une épilation complète.
Patou m’a dit au téléphone que tu n’aimais pas les poils, j’en ai tiré les
conséquences. La seule difficulté a consisté à trouver un institut acceptant ce genre
de travail. J’ai bien cru que je ne trouverais pas !
- C’est fantastique, dois je avouer !
- Attends, chérie, nous allons à nouveau remplir nos verres avant d’aller plus loin.
J’avoue qu’au stade où l’on en est, il peut me proposer ce qu’il veut, je le suivrai les
yeux fermés. Mickel assure donc le service, nous buvons encore, Chris est entrain
de prendre Patou en levrette, elle réalise maintenant une bonne pipe à son mari.
- Viens par ici me demande Mickel en m’attirant sur le tapis devant la méridienne.
- Attends, je prends une serviette, c’est plus hygiénique.
- Nous nous asseyons et nous enlaçons dans un grand baiser d’amour profond.
J’avoue que l’alcool m’a totalement libérée. Je caresse ce sexe, cette hampe que j’ai
décalottée, Mickel gémit un peu, puis :
- J’aimerais un gros câlin sur mon sexe !
- J’ai bien compris, dois je lui préciser à l’oreille, je peux, si tu le souhaites, te faire
une pipe complète ! Je peux la faire sans préservatif, tu peux éjaculer dans ma
bouche mais, je n’avale rien et vais me rincer la bouche aussitôt après. Je n’ai qu’un
seul doute, ton sexe entrera t’il dans ma bouche ?
- Tu sais, j’ai pu vérifier que les femmes, vous avez une bouche aussi élastique que
votre vagin !
Je m’installe à genou à côté de lui, caresse de mes mains ses deux belles et grosses
couilles, j’y passe la langue tandis que d’une main, je finis de bien décalotter cette
imposante queue. Mickel a conservé son string avec son anneau. Je lui ôte le tout et
enfile cette stalagmite chaude dans ma bouche, d’abord très peu, puis qu’avec ma
langue, j’excite le méat . Le parfum de ce sexe est singulier mais agréable. Mon
excitation fait des effets, cette hampe est sous l’emprise de convulsions, à priori,
Mickel apprécie. J’enfonce un peu plus ma bouche sur cette raideur chaude et
active. Mickel s’agite, il palpe mes fesses, il m’attire à lui, me tripotte le sexe, je me
concentre sur cette pipe car j’ai la prétention et la fierté de bien la réaliser. Tout
d’un coup, une lumière blanche me trouble, Domi est entrain de filmer, il a eu le
temps d’observer la scène qui lui paraît suffisamment érotique pour réaliser un
reportage. Je n’arrête surtout pas car je connais la direction de l’objectif de la
caméra. La séance reportage terminée, l’ambiance tamisée revient, Mickel est de
plus en plus agité, son sexe de plus en plus dur, gros et convulsé. Il gémit, il avoue
à mots à peine compréhensibles que la rencontre valait le déplacement, il se tord
dans tous les sens !
C’est là que je dois être appliquée dans ma fellation, maintenir le rythme pour
procurer à ce noir de Mickel, une jouissance extrême. Ma bouche paraît en feu,
tellement l’engin qu’elle pompe est géant. Je caresse à nouveau les testicules lisses
de mickel, ses propos tout autant inaudibles deviennent plus forts, son corps se
tend.
J’ai juste le temps de comprendre,
- C’est bon !
Je reçois, en pleine bouche, plusieurs énormes giclées de sperme ! Il n’avait pas dû
éjaculer depuis au moins un mois, il n’arrête plus. Ma bouche ne peut tout contenir,
je laisse s’écouler cette semence chaude et fade. Mickel tient maintenant ma tête
entre ses mains pour pouvoir maintenir le contact de ma bouche avec son sexe. À
tâtons, je saisis la serviette pour éponger cette semence. J’essuie ma bouche,
j’éponge de mon mieux ce sexe gluant. Mickel est en extase, il ne bouge plus, il a
l’air rassasié. Je le secoue pour l’inviter à se nettoyer à la salle de bains. Je reprends
moi aussi mes esprits !
Patou est en pleine montée de jouissance, elle est accrochée au rebord de la
bibliothèque, penchée vers l’avant, Chris est entrain de la prendre en levrette, Domi
filme la scène.
Mickel et moi allons nous nettoyer dans la salle de bains du bas, pour moi, ce
sera d’abord un bain de bouche complet avec produit antiseptique du temps que
Mickel est sous la douche. Je regarde, il a beau frotter, tout reste noir.
À mon tour, j’ôte porte - jarretelles et bas résille et me soumets à une douche
rapide qui a pour effet de m’enlever toute trace de transpiration.
Mickel m’attend, je constate, à la lumière intense que son sexe demeure
imposant et encore tout rigide. Il me répond :
- Je peux rester en érection très longtemps, c’est ce que vous Mesdames, appréciez
le plus. Je reconnais que de ce côté - là, la nature m’a gâté. Tu verras tout à l’heure
ce que cela veut dire…. Marie, maquille toi de façon exagérée, j’adore cela !
Du temps que j’obtempère, il me passe du rouge à lèvres sur la pointe des seins et,
avec le crayon de maquillage,dessine un cœur sur mon bas ventre. Un hurlement
nous parvient de la salle de séjour.
- Tiens, c’est Patou s’exclame Mickel, elle a pris son compte.
Nous revenons vers le séjour et croisons Patou, totalement nue qui va également se
laver.
À ma vue, elle ne peut s’empêcher de déclarer :
- Oh putain, marie, qu’est qu’ils m’ont mis, ton mari est en forme, j’ai joui comme
jamais. Je me lave et je recommence, c’est trop bon, qu’est ce qu’on s’éclate ce soir.
Puis, se tournant vers notre invité de couleur.
- Alors, Mickel, elle pompe bien Marie ! Tu ne regrettes pas d’être venu à ce que je
vois.
- Soirée bien commencée Patou, il n’est qu’un peu plus de minuit, la nuit est à nous
pour la suite ! En tout cas, merci pour l’invitation.
Nous arrivons à l’espace séjour, Domi et Chris sont en plein rangement, ils
récupèrent des verres vides sur les meubles, rangent les poufs, les coussins,
remettent de l’encens en combustion, du bois au feu et déclarent qu’ils ont faim.
Après une très rapide douche, à leur tour, ils décident de saucissonner avec une
bonne bouteille de vin rouge à la clé. Mickel, par l’odeur alléchée, m’abandonne
pour aller lui aussi se restaurer. Nous sommes toutes et tous nus comme des vers
de terre.
Quelques ripailles plus tard, une bouteille de côtes du Rhône, quelques
sucreries pour achever la collation avec pour certains dont je fais partie, un verre de
champagne en guise de digestif, nous reprenons nos amusements.
Décidément, Mickel tient à moi, il m’att, me serre contre lui et m’entraîne
pour danser. Cette fois ci, le contact est direct dans la mesure où nous sommes nus.
La chaleur de son gros sexe sur mon ventre a vite fait de m’émoustiller à nouveau et
me remet en conditions. Mickel insiste par des mots osés sinon cochons, chuchotés
à mon oreille. Il passe son buste contre mes seins qu’il réveille, les pointes se
tendent.Je sents son sexe pourtant énorme et viril, durcir et se tendre encore plus.
- Je vais te prendre me confie t’il !
Nous nous installons, j’ai un coussin sous les reins et l’autre sous la tête. J’ai
récupéré une nouvelle serviette. Je demande à Mickele d’enfiler un préservatif, dans
ces moments, en effet, les hommes sont plutôt enclins à rechercher le naturel.
- Je vais mettre un présevatif fantaisie, ils m’ont été donnés, il faut en profiter, tu
pourras dire si la sensation est à la hauteur de leurs affirmations.
Mickel enfile sa capote, se couche sur moi et avant de me pénétrer , avec sa verge
m’excite le clitoris. Je sents la pression qui monte vite, je cherche la bouche de
Mickel, mon sexe va être enfilé par une queue de couleur, mon vieux fantasme
caché ! Je crois que je gémis un peu.
Mickel cherche maintenant mon vagin, j’écarte encore plus les cuises pour lui
donner toute la place nécessaire, A petits coups, il entre, son engin prend une place
gigantesque, il n’arrête pas d’entrer, jusqu’où va t’il aller ?
Sa progression ralentit maintenant, il prend une cadence rythmée, c’est fantastique,
il touche le fond de ma paroi vaginale, je perds les pédales, lui aussi gémit, tel une
bête en Ruth. Que c’est bon !j’entre - aperçois une lumière, C’est Domi ou Chris qui
filment. Ensuite, je parts dans une jouissance sans fin, ce gros engin actif dans mon
sexe. J’ai l’impression de n’avoir jamais été remplie de la sorte, Mickel ne baisse pas
le rythme, je jouis une fois, puis deux puis, ….! Peut-être dix fois, je suis en feu,
mon cœur cogne, je suis réveillée de cet état au bout de vingt minutes peut être par
un bruit féroce, Mickel jouit, je sents de la chaleur dans mon ventre, il s’affaisse sur
moi, nous sommes bien, je veux que ce plaisir dure, je chuchote à Mickel de ne pas
bouger. J’entends Patou qui émet des bruits de plaisir.
Nous restons ainsi enlacés peut être cinq minutes, j’embrasse encore Mickel, je le
remercie, je caresse son crâne lisse et noir, franchement, je ne regrette rien !
Mickel se retire progressivement et une fois son sexe sorti, murmure à voix basse :
- Merde !
Je pense qu’il est ennuyé pour savoir où mettre son préservatif, il se penche à
nouveau vers moi et me déclare :
- Le préservatif s’est cassé ! Je te promets, chérie j’ai un test négatif très récent,
excuse moi !
J’avoue que cette soirée est pleine d’intensité et de nouveautés. Ma tête
s’embrouille un peu, finalement, je lui réponds :
- Nous avons réalisé un test la semaine dernière, il est également négatif mais tes
préservatifs jouissifs et gratuits, il te faut les jeter ! Passe moi la serviette s’il te plait
!.
J’ai en effet, une quantité très importante de sperme qui sort de mon vagin , je veux
éviter à tout prix d’en coller sur tous les tapis. Mickel s’essuie et me passe la
serviette, je me lève, Patou est entrain de prendre une double pénétration, elle est
très occupée, nous repartons à la salle de bains, Mickel se confond à nouveau en
excuses mais avoue lui aussi avoir joui de façon intense. Du temps que Patou finit
de se faire remplir de plaisir, nous reprenons avec Mickel un alcool fort.
Il y aura quelques autres amusements moins marquants pour moi, nous allons tous
au lit vers quatre heures du matin, le sommeil est subit, lourd et profond.
La maison se réveille vers 9h30’, Chris, ce petit dormeur a eu le temps de nettoyer
la salle à manger, mettre en route un lave - vaisselle, d’aller chercher avec sa moto,
du pain frais et des croissants et de dresser la table avec tout ce qu’il faut pour un
bon petit déjeuner. Nous revenons sur les amusements de la nuit, tout le monde a
pris du plaisir, Patou est moins en forme, cela s’entend à sa voix.
À 11 heures, tout le monde est parti, Domi nous ayant, entre temps, fait voir ses
prises de vue, parfaitement réussies. Il nous fera des copies, je crois.
Nos invités à peine partis, j’explique à Chris que j’ai besoin de sommeil. Je lui
confirme que Mickel est hors normes et que je risque de finir la journée au lit. Je lui
confie également la mésaventure de la capotte perçée.
- Cela se voit que tu es fatiguée, tu es toute blanche, heureusement, tu ne travailles
pas demain, va au lit, je m’occupe de tout le rangement, m’accorde Chris !
Je ne me fais pas prier, je replonge aussitôt dans un second sommeil, je n’en
ressortirai que vers 16 heures, j’ai la tête qui tourne, je comprends que mon foie
n’est pas habitué à ces mélanges de boissons, il a besoin lui aussi d’un peu de répit.
Chris me signale que nos invités ont téléphoné pour confirmer leur arrivée, notre
fille a appelé car elle a oublié un devoir d’anglais, je n’ai rien entendu.
Je prends de quoi calmer mon mal de tête et aussitôt terminé, j’ai faim. Chris me
prépare un petit repas que je prends devant le feu de cheminée que Chris a rallumé
après avoir tout remis en ordre. Je lis un peu puis retourne au lit, Chris se moque de
moi, m’expliquant que je ne tiens plus le rythme, qu’il ne me faudrait plus autant
me « faire défoncer » à l’avenir….

La nuit suivante, j’ai été prise de nausées, j’ai rejeté tout le repas et le lendemain,
Chris m’a conduite chez le médecin qui a diagnostiqué, sur mes propos et
affirmations une bonne crise de foie. Un traitement approprié m’est ordonné ainsi
que trois jours de congés maladie.
Heureusement, nos s , même s’ils sont grands sont absents durant deux
semaines, cela va m’aider à me soigner. Je passe le Mardi et le Mercredi, entre le lit
et les fauteuils du séjour, Chris est devenu le chef de la maison, je ne fais plus rien
sinon lire un peu. Malgré les médicaments, je rejette une bonne partie de mon
alimentation, décidément, mon foie !!!
Le Mercredi, en début d’après midi, j’étais entrain de penser à notre soirée, Mickel
avait encore appelé le Mardi soir pour bien nous remercier à nouveau, nous ne lui
avions rien dit sur mon état de santé, je me remémore les moments de jouissance
de cette soirée, me revient alors à l’esprit, l’histoire du préservatif cassé.
Une bouffée de chaleur me traverse le corps.
Et si Mickel m’avait mise enceinte ????
Je n’y crois pas franchement car le gynécologue que je ne consulte plus que deux
fois par an m’a indiqué depuis un an que toute forme de contraception était
désormais inutile. D’ailleurs, lorsque je fais l’amour avec Chris, nous n’utilisons
aucun système contraceptif, ce qui est d’ailleurs franchement plus agréable.
Je réfléchis tout de même que Mickel est bien pourvu en sperme, je me souviens de
la fellation, il est puissant, il n’a que quarante huit ans, bref, je « gamberge ». Je
n’en dis toutefois rien à Chris et le Jeudi matin, je prends tant bien que mal ma
voiture, et vais acheter un test de grossesse à la pharmacie à trois kilomètres de
chez nous.
De retour, j’effectue immédiatement le contrôle qui est sans équivoque : Je suis
enceinte !
Je comprends de suite les nausées, le foie n’y est pour rien ! À chaque début
de grossesse, j’étais ainsi, mais il y a longtemps. Toute Cette histoire pour un
préservatif de mauvaise qualité.
J’appelle Chris à son travail, lui explique que je ne suis pas très bien, il va venir
déjeuner à la maison et restera là l’après midi.
À l’arrivée de Chris, je dois le mettre au courant en prenant les formes
d’usage, ce n’est plus comme lorsque nous avions trente ans.
C’est là où je dis que j’ai la chance d’avoir un mari adorable ! Je lui annonce
que je suis enceinte à 51 ans, que je me suis faite remplir par un noir, il ne trouve
rien de mieux que de me répondre :
- Eh bien, vois tu, tu as là, la preuve que tu es encore toute jeune. Tu dois être ravie
! Je vous ai vu faire par moments avec Mickel, à mon avis tu dois avoir au moins
trois petits noirs dans le ventre !
- Que faut il faire maintenant ? Que j’en aie un ou dix, le résultat est le même.
En cours d’après midi, nous dégageons une stratégie :
° Tout d’abord, il faut prévenir Mickel, c’est lui le responsable, il doit être
informé.
° Ensuite, je dois rapidement consulter un gynécologue.
° Nous arrêterons un ligne de conduite après.
Chris appelle Mickel sur son portable en début d’après midi, lui expliquant
qu’il serait souhaitable qu’il vienne dès ce soir. Mickel nous avouera ensuite qu’il
avait compris que cette rencontre était due au préservatif crevé, il avait imaginé que
nous allions lui annoncer qu’il était séropositif ou quelque chose comme cela.
Mickel arrive vers 19 heures je crois, Chris le met au courant, il reste sans voix.
Chris lui résume la situation :
° Nous allons consulter notre gynécologue dès demain, le rendez vous est pris.
° Si le médecin déconseille cette grossesse, il faut mettre un terme à cette situation.
° Si le médecin estime que l’ peut être viable, c’est à Marie et Mickel de définir
la suite :
Si Marie veut porter cet , elle peut très bien s’arrêter de travailler et vivre une
semaine chez nous et une semaine vers Toulon, nos s sont grands, il n’y a
aucun problème majeur pour que l’on se débrouille, le plus dur sera de leur faire
admettre le principe d’avoir une demi sœur ou un demi frère à priori de couleur.
Chris veut bien être le parrain ! même dans ces moments, il trouve le moyen d’avoir
de l’humour.
Si nous décidons de tout arrêter, le plus tôt est le mieux.

Mickel promet de revenir le lendemain soir.
La consultation du gynécologue est à la fois révélatrice mais les conseils restent
sibyllins.
La grossesse est confirmée, d’ailleurs, j’ai mal aux seins.
Aucun pronostic ne peut être établi avec certitude.
Le vendredi soir, Mickel est de retour, j’ai malgré les médicamments toujours des
vomissements, Mickel ne peut s’engager dans une procédure de parenté sans que la
mère de son vive à ses cotés, il comprend que dans la circonstance cela est
impossible, il connaît une maternité dans la région Toulonnaise dont il assure la
vérification comptable, il a contacté les responsables, il n’y a aucun problème pour
que j’y sois reçue.
La décision était sage car le jour où j’ai été hospitalisée, je comprenais que je me
dirigeais vers un fausse couche,j’ai déjà connu cela.
Sacré Mickel !
Nous avons, à l’issue de cette expérience qui remonte à quatre ans déjà, décidé de
ne rien dire à nos amis Patou et Domi, si cette histoire est publiée, je leur donnerai
les références du site à consulter.
Mickel comme nous a pris quatre ans de plus. Nous le rencontrons toujours, il vient
parfois, lorsque les s ne sont pas là, passer trois ou quatre jours à la maison,
je suis même allée chez lui durant quatre jours, étant seule à la maison, chris étant
en déplacement professionnel, je ne me prive pas de quelques parties de jambes en
l’air, il a toujours autant de tonus. J’impose désormais le choix des préservatifs….

Merci à ceux qui seront allés au bout de cette longue histoire, qui, je le confirme est
authentique. J’ai voulu expliquer aux lecteurs la succession des évènements qui
m’ont malgré ce faux - pas final, procuré beaucoup de plaisirs.

Marie
marie.arg@wanadoo.fr




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