Fuji Hama

Je suis seule chez moi et j’ai envie de faire l’amour, de sentir le sexe dur d’un homme en moi. Je me décide à sortir, pour ce faire, je passe une mini jupe moulante et un chemisier dont je ne boutonne qu’un cran. Rien de plus, rien de moins.

J’arrive au Fuji Hama, c’est une boîte de nuit qui se dit bon chic bon genre, mais tout de même assez chaude, puisqu’elle met à disposition des clients des petits salons privés à louer. Le videur me regarde de haut en bas d’un regard appréciateur.
- L’entrée c’est combien ?
- Gratuit pour toi mon chou.
Je m’avance, il me caresse les fesses au passage, et je pénètre dans l’univers exalté du monde de la nuit.

Je me place au milieu de la piste et me met à onduler au rythme de la musique, je sens déjà plusieurs regards masculins posés sur moi. Ma mini jupe me colle à la peau. L’une de mes mains effleure ma poitrine de temps à autre et joue avec le petit bouton qui dissimule ma poitrine. Deux garçons s’avancent vers moi, ce sont visiblement des amis, et parlent de moi en approchant. Ils dansent autour de moi comme des vautours survolant une proie. L’un d’eux vient se coller à moi et je commence à me frotter contre lui, je sens son sexe qui commence à gonfler, je souris. Il me dit qu’il s’appelle Etienne et qu’il me trouve vraiment sexy et séduisante. Ses mains se posent sur ma taille et me caressent les fesses. Il me retourne et écarte les jambes de manière à coller son sexe face à ma chatte. Pendant ce temps, ces mains pénètrent sous ma jupe et découvrent que je ne porte rien. Je sens son sexe durcir un peu plus sous son pantalon. Cela m’excite, je mouille. Le regard étonné de son ami n’échappe pas à l’autre, il s’approche et se colle à moi de l’autre côté. Je suis dissimulée au reste de la salle, il place lui aussi ses mains sous ma jupe. Je mouille de plus en plus.

- Un salon privé pour nous trois cela te dirait, nous payons, énonça l’autre garçon.


- Si je ne paye rien allons-y, dis-je en lui caressant l’entre jambe.
Il se dirige vers l’entrée et en revient avec une clé. Nous le suivons jusqu'à une petite pièce rouge avec un lit en son centre. Il referme derrière nous. Etienne s’assoit sur une chaise qui se trouve dans un coin de la pièce, j’en conclu que ce sera l’autre qui va commencer. Justement, il s’approche de moi et me retire violement ma chemisette dont le bouton craque dévoilant ainsi ma poitrine à ses yeux brillants d’excitation. Il m’allonge sur le lit en me maintenant les poignets au dessus de ma tête d’une seule main tandis que l’autre se saisit de l’un de mes seins qu’il porte à sa bouche et se met à mordiller l’un de mes tétons. Je gémis de plaisir.

A l’autre bout de la pièce j’aperçois Etienne qui s’approche, une paire de menotte accrochée à une chaîne dans ses mains. Il me passe les menottes aux poignets et fixe la chaîne aux barreaux du lit. Je n’ai plus aucun moyen de me détacher. J’ai un peu peur, je suis à leur mercie. L’autre garçon se dévêtit devant moi et dévoile un puissant sexe raidi d’excitation. Il me retire ma mini jupe et se colle contre moi. Son sexe raidi contre mes hanches tandis que l’un de ses doigts me pénètre, puis un deuxième, puis un troisième, puis un quatrième. Je gémis de plaisir. Il glisse son pénis en moi, délicatement, et effectue un petit mouvement de va et vient, puis se retire. Il me retourne et je sens son gros sexe lubrifié me pénétrer violemment par l’anus. Je crie de douleur et lui gémit de plaisir. Il commence à aller et venir en moi de plus en plus vite. La douleur diminue et je commence à crier de plaisir. Il se met à rire.
- C’est bon hein ma salope !
Il continue de plus en plus vite et de plus en plus violemment, je jouie et l’encourage à continuer. C’est si bon de se faire enculer. Il jouit et se retire. Là Etienne dont le sexe était tout bleui d’excitation m’encule à son tour, plus violemment encore.
- Oui, oh oui, vas-y continue, oui… je lui crie.

Il me met à quatre pâtes et continue à m’enculer violemment. Là l’autre garçon se place en dessous et tout deux me recouchent, la double pénétration que je subis me fait jouir encore plus fort et je crie en conséquence de plaisir. Ils jouissent presque en même temps et vont se rhabiller.
- Merci ma belle pour ce petit moment bien agréable, déclare Etienne avant de sortir de la pièce avec son ami.

Je reste seule dans la pièce, menottée au lit. Là j’entend la voie d’un autre homme qui entre dans la pièce. Ils se dévêtit et m’encule. Et ainsi de suite, je vois défiler (ou plutôt j’entend et sens) comme cela une vingtaine d’hommes. A chaque fois je jouie de plaisir, c’est si bon de se faire prendre et d’ignorer par qui. C’est terriblement excitant. Au bout de longues minutes, mes geôliers réapparaissent et me libèrent.
Etienne se vide à nouveau en moi en pénétrant cette fois-ci par le vagin. Tandis que l’autre éjaculait dans ma bouche.
- Tu peux partir maintenant petite salope. On a bien baisé et les autres aussi. Tu reviendras nous voir ?
- Bien sûr, je leur réponds.

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