Mardi 14 Mai 1991 - Une Drôle De Surprise

Dans le cadre de mes fonctions, comme vous avez pu le constater j’étais appelé à beaucoup me déplacer, venant de Bourges pour me rendre à La Rochelle, mon itinéraire m’amenait à passer par Poitiers. C’était l’occasion rêvée de revoir Madeleine. La veille je l’appelais sur son numéro perso, lui racontant mon périple.
Après un moment d’hésitation, pendant lequel je me suis traité d’imbécile ayant phantasmé sur ce qui c’était passé. Madeleine reprit en me demandant : « T’arrêtes tu à Poitiers, … enfin as-tu envisagé de coucher ici, …»
Intérieurement : « Voilà autre chose, … j’avais plus ou moins pensé à un éventuel coucher dans cette ville, … mais tout compte fait cela était dans les choses faisables »
Moi : « Effectivement, … c’était une solution que j’avais envisagée, … »
Madeleine : « Parfait, … À ton arrivée à l’agence, je pourrais te faire visiter nos installations, … puis nous déciderons de la suite du programme, en ce qui concerne les prochaines formations, … ».
Moi : « Pour moi c’est parfait »
Le mardi fin d’après-midi j’arrivais à l’agence où travaillait Madeleine. Elle vint me chercher à l’accueil et je pus voir qu’elle était vêtue d’un tailleur bleu clair, jupe droite et petite veste bien ajustée, sur des formes qui paraissaient intéressantes. Elle m’expliqua qu’elle était la numéro deux dans l’agence, mais que le responsable couvrait plusieurs agences dans la région et n’était là de fait, en général, qu’un jour par semaine. Après ce premier contact dans son bureau et le café habituel, elle me proposa d’aller voir la salle de réunions/projections où s’élaborait, entre autres, les schémas des stages de formations dans sa spécialité.
Pour ma part, j’en avais rien à foutre, de sa salle de projection, c’était les mêmes ou pratiquement les mêmes dans toutes les différentes agences, mais courtoisie oblige, je me pliais à cette visite. Le seul intérêt de cette visite c’est qu’elle me précédait que je pouvais ainsi me régaler de sa silhouette, c’était agréable.

Nous entrâmes dans cette salle, Madeleine me précédant, et à l’intérieur, la porte à peine fermée, nous étions presque l’un à coté de l’autre, elle se retourna et se collant à moi et dit ; « Embrasses moi, … embrasses moi, … » et ses bras autour de mon cou, ses lèvres arrivèrent sur les miennes.
Surprise certes, mais pas d’hésitation, … nos lèvres se joignirent et s’ouvrirent légèrement sa langue cherchant le contact avec la mienne. Langue curieuse, caressant, enveloppante et surtout, ce baiser était accompagné d’un corps se collant au mien. Sentant cela, par réaction, je l’avais également enlacé étroitement ? Cette partie agréable, de lèche museau, fort agréable, dura un certain. Puis soudain, elle s’arrêta et Madeleine se laissa glisser le long de moi et s’accroupit doucement. Arrivé à hauteur, elle défit ceinture, braguette et fit glisser le pantalon, mon équipement était toujours dans mon caleçon, et en regardant la chose enfermée, alors que déjà, je bandais dur, elle passa le plat de la main dessus comme pour en apprécier la longueur, puis la saisissant du bout des doigts la palpa comme pour en apprécier la dureté. Et semblant être satisfaite de son examen rapide descendit le caleçon pour laisser apparaître ma bite qui se dressait fièrement, faisant honneur à son propriétaire. Elle la reprit et d’une large langue en parcourut toute la longueur, puis du bout des lèvres elle entreprit de sucer le gland tout en le titillant du bout de la langue. Enfin satisfaite de l’effet produit, j’avais l’impression que ma bite allait éclater, elle la prit en bouche et tout en la caressant du bout des doigts elle commença à me pomper avec énergie. Il lui fallut peu de temps pour que je sente le plaisir m’envahir et sentant que je ne pourrais tenir encore très longtemps, je la prévins par un « attention » qui n’eut de résultat que de lui faire augmenter la cadence et l’énergie qu’elle déployait. Et ce qui devait arriver, arriva, un premier jet partit, ce qui lui fit serrer les dents et les lèvres, cette pression supplémentaire entraina un deuxième jet, certainement plus faible, mais qui me vida.

Nous restâmes quelques instants ainsi et enfin, elle se releva lentement pour mettre ses bras autour de mon cou et se coller contre moi. J’en fis autant, jusqu’à ce que le calme revienne. Après l’avoir serré dans mes bras, je m’efforçais de remonter sa jupe, ce qui entraina : « Qu’est-ce que tu fais, … »
Moi : « Je remonte ta jupe, … »
Madeleine : « Tu es fou, … pourquoi, … »
Moi : « Pour te rendre ta politesse, … » en même temps je continuais l’œuvre entreprise
Madeleine : « Non, … tu ne peux pas faire ça, … tu oublies où nous sommes, … »
Sa volonté de m’empêcher de continuer diminuait, je persévérais et sans m’empêcher, elle se laissait faire. Enfin la jupe devint une grosse ceinture et nous avions atteint la table de conférence où elle se laissa pousser avec une très faible résistance. Là, je pus voir que si ses jambes étaient gainées de bas dim up et le triangle, bien taillé, de sa fourrure était couvert, non pas d’une petite culotte « habituelle », mais par une espèce de triangle blanc, genre cache sexe, en dentelle, qui me permettait de m’assurer que c’était une véritable blonde, qui était maintenu par un fin ruban élastique.
Je m’empressais d’enlever ce cache sec et découvrais la fourrure de ma partenaire. Si elle formait un joli triangle au-dessus de son minou, elle était grandement fournie, et n’avait certainement jamais connu une quelconque coupe. Alors me glissant entre ses jambes que j’avais écartées doucement, ainsi, ouverte, offerte, je m’approchais de sa grotte d’amour et reniflais son odeur, l’odeur de sa chatte humide, et me décidais à aller gouter à la source, ce jus odorant. D’abord du bout de la langue je parcourais le sillon de ses grosses lèvres gonflées, le nez dans sa toison. A peine effleurée, un gros soupire et un : « Oh, … oui,… », alors ma langue s’aventura plus avant dans ce minou qui se laissa investir, encouragé par des soupirs de plaisir et une respiration un peu plus saccadée. En même temps que ma langue investissait sa chatte, deux doigts curieux s’enfoncèrent gentiment au plus profond de ce minou, instantanément apprécié par : « Ouiii, … encore, … oui, … » et cette jolie femme se laissa aller sur la table, ouverte, offerte aux caresses que je lui prodiguais et dont les mains, au début, posées sur la table, maintenant avaient ouverts sa petite veste et s’occupaient activement de ses seins.
Encouragé, mes lèvres, ma langue et mes doigts jouaient avec sa chatte, la prenant, l’abandonnant, la reprenant, … le tout accompagné par des soupirs et des encouragements : « Oui, … c’est bon, … ne t’arrêtes, … oui, … prends moi, … je savais, … c’est bon, … continues, … je vais jouir, … OOOHHHH, … OUIIIIIIIIII, … ne t’arrêtes, … OUIIIII, … » Tout son corps se tendit dans un spasme brutal et ses cuisses se refermèrent sur ma tête, ce qui n’empêchait pas mes doigts de continuer leur œuvre jusqu’à entendre : « Arrêtes, … je ne peux plus, … arrêtes, … » Ce que je fis. Enfin, elle se redressa et se laissa glisser de la table, debout, … trois mouvements de hanches et sa jupe avait repris sa place, elle vint contre moi, alors, je relevais la main qui s’était occupé de son minou et la regardant bien en face, je me mis à sucer le majeur, cela fait elle prit ma main et suça l’index avant de coller ses lèvres contre les miennes avec un : « Embrasses moi, … je veux sentir tes lèvres, … » Elle referma sa petite veste et je m’apprêtais à partir, quand elle me dit : « Tu pourrais me rendre ma petite culotte, … »
Moi : « Oui, … contre une touffe de ta jolie fourrure, … bien choisie, … »
Madeleine : « Tu plaisantes, …je ne peux pas me promener comme ça, … »
Moi : « Tu sais avec ou sans ça ne se voit pas, … je pense même que tu vas apprécier, … »
Madeleine : « Il est complètement fou, … soit gentil, …»
Moi : « Si tu n’as pas d’autres projets, … je t’invite à diner, … et on verra à ce moment, …»
Madeleine : « Tu es un ignoble maître chanteur, … d’accord, … Pour le diner, … tu as déjà ta chambre, … »
Moi : « Non, … mais j’ai réservé par téléphone, … »
Madeleine : « Bon, … il faut que je m’organise, … tu m’attendras à l’accueil, … vers 20,00 h … »
Et nous nous dirigeâmes vers son bureau, où là, on parla travail, entre autres des rapports sur la dernière formation, … et je quittais pour mon hôtel, sans oublier de lui demander si elle se sentait bien dans sa nouvelle tenue.
Le lancer d’un document fut la réponse.
A 20,00 heures, j ‘étais à l’entrée de l’hôtel et je reconnus sa voiture quand elle arriva. Le temps que j’arrive au parking, elle était descendu de sa voiture, ce n’était plus le strict tailleur, mais une large jupe d’un gris soutenu et un genre de blazer dans les mêmes tons fermé sur un corsage fin blanc : « Attends, … Je prends mes affaires, ... » me dit-elle
Un peu surpris, elle ouvrit le coffre de sa voiture et en sortit une petite valise à roulettes. : « C’est ce que j’utilise en déplacement, … pour m’absenter, j’ai dit chez moi que je devais être à Angoulême demain matin, … » et nous partîmes vers la chambre. Arrivé, elle posa sa valise et alors que je voulais lui souhaiter la bienvenue par un baiser : « Non, … pas maintenant, … j’ai faim, … après, tout ce que tu voudras, … » donc direction le restaurant ou j’avais réservé une table dans un coin tranquille. Le début du repas se passa sans problème et au dessert, Madeleine ouvrit son sac à main et là sortant une enveloppe en me la tendant dit : « C’est ce que tu voulais, … » un peu surpris j’ouvris l’enveloppe et à l’intérieur une grosse pincée de poils blonds. Je devinais d’où ils venaient, mais je reniflais discrètement l’odeur, … Je la remerciais chaleureusement et lui dis : « Je n’ai pas sur moi ta petite culotte, mais, … » elle me coupa en disant : « Tu peux la garder, … je ne pense pas en avoir besoin, … (et avec un petit sourire) je vais suivre ton conseil, … » La fin du repas fut nettement plus « amoureux », elle mit un pied contre le mien, on se caressa les mains et la voyant « en forme », je lui dis : « Tu devrais ouvrir ta veste, … il fait chaud, …» et elle avec un sourire: « Seulement la veste, … »
Moi : « Tu ouvres la veste, … ce qui permet de voir le décolleté, … et d’apprécier, ce qu’il laisse deviner, … »
Une petite hésitation et elle défit le boutonnage et ouvrit sa veste, qui laissa apparaître un très sage décolleté : « Ça te va, … »
Moi voulant la pousser un peu: « hum, … peux mieux faire, …on a du mal à deviner, … » Elle défit un autre bouton, ce qui permettait d’avoir une meilleure vue sur le profond sillon de sa gorge et moi : « C’est bien ce que je pensais, … de belles choses à ne pas cacher, …j’ai hâte de les gouter, … »
Madeleine : « On a finit, … on pourrait quitter la table, … »
Moi : « Vos désirs sont des ordres, ma chère, … »
On quitta la salle à manger, mais au lieu d’aller vers les chambres, Madeleine se dirigea, non, nous dirigea vers la sortie : « On va prendre un peu l’air, … » et nous voilà parti vers le parking, en fait direction de sa voiture. Arrivé là, elle mit ses bras autour de mon cou : « Embrasses moi, … »
Et se collant à moi, alors que nos lèvres se rencontraient, son bassin se mit en mouvement en se frottant au mien et tout s’accéléra : « Caresses moi, … »
Moi : « On pourrait aller dans la chambre, … »
Madeleine : « Non, … caressez moi, … » c’était ce que je faisais, mais ce n’était pas tout a fait cela qu’elle désirait et elle me prit la main et prenant deux doigts les lécha puis les suça et continua en disant : « Je n’ai rien en dessous,… caresses moi, … » C’était clair, effectivement, rapidement je remontais la jupe et je glissais une main entre ses cuisses ouvertes et lui caresser, avec application le minou mais elle voulait plus : « Viens, … tes doigts, … prends moi, … tu m’as excitée, … rentres, … calmes moi, …je veux te sentir, … » et le compas de ses jambes s’ouvrant un peu plus tandis que son basin s’avançait à l’encontre de mes doigts. La masturbant avec énergie, il ne fallut pas longtemps pour la faire atteindre l’orgasme : « Oui, … continues, … plus vite, … j’aime, … je vais jouir, … OUIIIIIII, … OUIIIIIIIII, …. » en serrant les cuisses, elle eut un sympathique orgasme et se cramponna à moi, pour récupérer son souffle. Enfin appuyant ses lèvres sur les miennes, elle murmura : « J’ai aimé, … j’ai eu beaucoup de plaisir, …viens, … on va dans la chambre, … je vais bien m’occuper de toi, … allez viens, … » Donc direction de la chambre. Entrée, une petite partie de lèche museau et la dame demande à se retirer cinq minutes dans la salle de bains, y étant passé avant son arrivée, je lui laisse la place me déshabille, on ne sait jamais, ... vu ce qu’il c’était passé il y aura peut-être urgence !
Largement dépassées les cinq minutes, Madeleine sortit de la salle de bains, et cela valait l’attente. Ses cheveux dénouées tombaient suer ses épaules et elle était vêtue, non dévêtue d’une nuisette qui ne cachait presque rien de son anatomie. En effet, ses seins, un peu lourds, mais biens ronds étaient tenus dans un soutien gorge qui ne cachait que leurs tétons qui semblaient vouloir percer la faible dentelle noire et le tout soutenait un joli tissu absolument transparent qui lui arrivait au ras de la touffe. Elle était désirable à souhait, ce qui se traduisit automatiquement par une réaction sur mon anatomie, pas très brillante certes, et dont elle s’aperçut en tirant brutalement le drap qui recouvrait ma nudité, et qui ne pouvait la satisfaire, à cause de ce qu’elle lui avait fait subir quelques heures avant. Et prenant la chose en main elle dit : « Ne t’inquiète pas mon chéri, … je vais m’en occuper, … » du bout des doigts puis à petits coups de langue bien placés, ma bite commença à reprendre vie, elle la pris en bouche : « J’aime te sentir durcir dans ma bouche, …tu aimes que je te suces, … » et avec une douce énergie elle commença à me pomper, il lui fallu peu de temps, pour que « popol » me fasse honneur. Alors sans hésiter elle m’enjamba et vint se planter sur mon pieu : « J’aime te sentir rentrer, … tu vas me remplir, … » et elle commence à s’empaler avec régularité sur ma tige bien dressée, d’un geste rapide elle appui sur le clip de sa nuisette et libère ainsi ses seins, qu’elle prend à pleines mains et les malaxe avec force, puis ces hauts et bas cessent er c’est la bassin qui prend la suite se remuant d’avant en arrière, le tout accompagné de longs soupirs de plaisirs et de : « Oh, … c’est bon, … j’aime ça, … » souvent répétés. Soudain, m’abandonnant, elle se laisse aller sur le coté et se mettant en levrette, « Viens prends moi, … je préfère comme ça, … prends moi comme ça, … montes moi, … je veux être ta femelle, …Oui, … » Sans hésiter, je dirige et enfonce ma queue dans sa chatte bien ouverte et toute chaude, le tout accueilli par un : « Oui, viens, … prends moi, … baises moi, … baises moi fort, … fais moi crier de plaisir, … prends mes cheveux, … » Empoignant sa chevelure, je la tirais en arrière, ce qui la fit se tendre et ainsi cambrer ses reins, donc s’offrir encore plus, cette action se traduisit pas : « OOOHHH, … oui, … j’aime te sentir, … oui, … ne ralentis pas, … je sens que ça vient, … OOOOHHHH, … c’est bon, … OUIIIIIII, … OOOOH OUIIII, … » elle venait d’avoir un orgasme assez brutal, mais pour ma part, j’étais cramponné à ses hanches et je continuais à la ramoner sérieusement, car avec ce qu’elle m’avait pompé quelques heures avant, je sentais le plaisir monter dans mes reins mais rien ne sortait, cela m’arrivait quelques fois et je devenais une véritable machine à baiser. Quant à elle, son orgasme passé, elle s’était décontracté et : « Arrêtes, … je ne peux plus, … Oh, tu exagères, … arrêtes, … arrêtes, …non, … continues, … brute, … oui, encore, … fais moi jouir, … OOOOHHH, … ne t’arrêts pas, … OOOOHHHH, … OUIIIII, … OUIII, … » mon plaisir était enfin arrivé et je venais de me vider dans sa chatte au moment où elle avait un nouvel gentil orgasme, … et je m’écroulais sur puis à coté d’elle. Enlacé l’un et l’autre, nous endormîmes jusqu’au matin, enfin jusqu’à ce que je me lève vers 6,00 h. et me dirigeais vers la salle de bains, pour y prendre une douche, quand Madeleine arriva et décida de prendre la douche avec moi, … Chacun savonnant l’autre, puis le rinçant et enfin le séchant, ce qui devait arriver arriva, nous retrouvâmes au lit où elle s’était allongée avant d’ouvrir le compas de ses jambes avec un « Viens, …je vois que t’’en as envie, … moi aussi, … » Je me glissais sur elle, mais dans sa position, j’allais, enfin, pouvoir gouter à ses seins et apprécier leur qualité. En fait ils étaient bien ronds, un peu lourd, mais bien plein avec une large aréole et des tétons « bandant » durs. On pouvait les prendre et el sucer à envie, ce qu’elle sembla apprécier : « Oui, … suces les, … têtes moi, …Oh, …j’aime quand tu les aspires, … j’aime que tu les mordilles, … oui, … encore, … » mais elle décida d’arrêter les jeux de bouche pour s’emparer de mon engin et le guider vers et dans sa grotte d’amour. « Oui, … prends moi, … j’en ai encore envie, … j’aime te sentir sur moi, … » et écartant encore les cuisses : « Regardes,… je m’ouvre à toi, … prends moi, … baises moi, … baise moi fort, … je suis là pou ça, … oui, … continues, … je sens que ça viens, … OUIIIII, … encore, … ne t’arrêtes pas, … OOOOHHHH, … OUIIIIIII, … OUIIII, … » j’avais tenu jusqu’au bout, mais ces derniers mots, cramponnés à elle, m’avaient fait me vider dans sa chatte accueillante. Puis chacun reprenant son souffle et ses esprits, se rhabilla. Enfin présentables, nous partîmes prendre le petit déjeuner avant de nous séparer. Je la raccompagnais à sa voiture et avant de prendre le volant, elle vint vers moi, un léger baiser sur les lèvres : « Préviens moi la prochaine fois que tu passes dans la région, … » et elle partit.

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