Mon Premier Travail 02

La réserve

Je fus surpris qu’arrivé devant la machine à café, il n’y eu personne
Pascale me demanda ce que je voulais boire, c’est vrai que j’avais soif avec toutes ces émotions et il faisait si chaud.
Après nous être désaltérés, elle me dit : viens, suis moi, je vais te montrer quelque chose !
Elle s’arrêta devant la porte de la pièce où j’avais été chercher les blouses avec Cécile.
Elle aussi avait la clé, que voulait-elle me montrer ?
Elle poussa la porte sur la pièce noire qu’elle referma sur nous et j’entendis la clé tourner dans la serrure.
Nous étions tous les deux dans le noir et je ne pouvais rien voir, seulement écouter et sentir.
Le silence était pesant dans cette pièce puis elle me dit :
Je t’ai vu tout à l’heure tu regardais ma culotte, maintenant, si tu veux tu peux la toucher ?
J’étais loin de me douter de ce stratagème pour en arriver là.
Je sentais Pascale s’approcher de moi, je sentais son parfum et ses mains se coller sur mon corps.
Une de ses mains pris la mienne et elle la mit entre ses cuisses.
Tu la sens ma petite culotte elle est trempée, tu me fais mouiller comme une fontaine !
J’avais une super trique et j’aurais tiré n’importe quoi n’importe où.
J’entendis des rires non loin de nous dans la pièce, on n’était pas seuls. Pascale se recula brusquement.
Le noir rendait la situation angoissante mais terriblement excitante.
Une autre dit : Nous avons une tradition ici avec chaque homme qui vient travailler !
Une voix dit : Oui c’est comme un bizutage, mais ne t’inquiète pas, tu sauras peut être nous reconnaître !
A la voix je crus reconnaître Cécile qui m’avait déjà bien chauffé dans cette même pièce.
Instinctivement je me dirigeais vers l’interrupteur pour le manœuvrer, merde pas de lumière.
La situation m’avait fais complètement débander
Ah, ah, on ne peut s’échapper, mais tu dois reconnaître au moins trois des filles qui sont présentes ! dit une autre voix.


Je sentis une main parcourir mon dos et une autre main sur une de mes jambes, combien étaient-elles dans cette pièce, je me rappelais la phrase de Michelle concernant la pause, peut être était-elle là.
Résumons : Pascale (sûr), Cécile à cause la voix, peut être Michelle, ou encore Emilie, ou bien Mélanie, dur, dur !
Soudain un corps nu se frotta au mien, mes mains le parcourait, comme un fou je caressais une poitrine d’une fille que je ne connaissais pas et que je ne voyais pas, elle vint se plaquer sur moi et je sens sa bouche qui cherche mes lèvres, je plonge mes mains dans sa chevelure et là je peux dire sans me tromper qu’il s’agit d’Emilie, rassuré je lui roule une pelle et elle me réponds avec une langue virevoltante.
Une de mes mains descends le long de son corps et caresse ses fesses, s’introduit entre ses deux globes doux et cherche le petit trou.
Je lui murmure à l’oreille: c’est toi Emilie ? Je t’ai reconnue
Alors que mon doigt s’introduit dans sa fente ruisselante, elle me répond en gémissant de plaisir : oui comment tu sais ?
Alors que nous sommes debout et enlacés tous les deux, je sens une main habile passer sous ma blouse pour ôter la ceinture de mon jean qui bientôt se retrouve sur mes baskets.
Je sens des mains sur mon corps sans savoir à qui elles sont, une de ses mains s’est posée sur la bosse de mon slip car mon sexe bande comme un cerf, on me masse, on me caresse, on me lèche, je sens autour de moi que ça bouge, les filles s’activent, je ne sais pas ce qui se passe, on me force à m’asseoir par terre, en fait, elles ont tout prévu car je sens un matelas posé sur le sol, on m’y allonge, mon slip est retiré et mon sexe se retrouve à l’ai libre.
Je ne vois toujours rien comme un aveugle je tâte, je palpe, pétris des corps et je sens une main qui reprends mon sexe, des mains prennent ma main pour se poser sur un sexe bien fourni.
Une bouche vient d’engloutir ma queue dressée comme un étendard, ma main va à la recherche de la tête de celle qui s’active sur mon gland bien gluant depuis l’excitation du matin.

Je caresse son menton puis ses joues et ses cheveux, qui son coupés très courts, il doit s’agir de Pascale,
J’allais parler pour lui dire que je l’avais reconnue, qu’une langue vient se poser sur mon nez, me lèche le front et s’infiltre dans ma bouche, je touche ses cheveux qui son longs, une coiffure importante comme celle de Cécile, ma main descend plus bas, aucun obstacle pour arrêter ce délire qui m’emporte et je sens que je vais bientôt éclater dans la bouche de la petite Pascale.
Je fais des efforts pour arrêter le flot qui gonfle ma verge et qui va gicler au fond de sa gorge, ma main continue à explorer la croupe de celle que je crois être Cécile, pour en avoir le cœur net, je me rappelle qu’elle portait une petite chaîne autour du cou. Après contrôle je fus rassuré et ma main s’enhardi pour venir la fouiller dans cette chatte imberbe et bien juteuse.
Je profites d’un moment ou je peux reprendre mon souffle pour lui dire que je l’ai reconnu : Comment tu as fais pour savoir me dit-elle ? en même temps je dis aussi : Pascale je t’ai reconnue mais va doucement avec ma queue sinon je vais exploser dans ta gorge ! les autres à ce moment là : ah non alors laisse nous en un peu !
A peine j’eu le temps de parler que je senti sur mon visage deux globes charnus se frotter sur ma tête et une bonne odeur de chatte ruisselante de désir noya littéralement mon nez .
J’entendis Cécile dire : Mimi pousse toi tu prends toute la place ! et j’en déduit immédiatement qu’il s’agissait de Michelle
Je résumais pour matérialiser les filles présentes : Michelle, Cécile, Pascale et Emilie,
Elles devaient être toutes les quatre enfin c’est ce que je pensais.
Le nez perdu dans la chatte de Michelle, j’arrivais à me dégager pour respirer enfin, ma langue se perdait dans ce fruit juteux et je portais une de mes mains libres, (l’autre étant occupée maintenant à fouiller dans l’intimité de Cécile) dans le cul de Michelle qui était tout trempé.

Maintenant j’ai envie de baiser ! dit tout fort Cécile, la bouche et les mains de l’experte Pascale quittèrent donc mon sexe rendu à la liberté mais pour combien de temps.
Un remue-ménage chez les filles pour sentir maintenant sur mon corps la présence de Cécile qui me chevauche et je sens sa moule qui se rétracte et se serre comme une main autour de ma queue.
En même temps, une sensation agréable parcours ma colonne en feu, une des filles me lèche en même temps et me masse les couilles pendant que j’enfonce mon dard jusqu’à la garde dans le fourreau du contremaître.
C’est de la démence, une pure folie quand une autre vient encore s’installer sur ma bouche les cuisses bien ouvertes afin que ma langue s’introduise au plus profond d’elle-même. Les deux filles qui se font face (Cécile qui me chevauche et Pascale que j’ai reconnue à ses cheveux) se murmurent de tendres propos de gousses.
Où sont Michelle et Emilie, ah oui une me lèche la queue, il en manque une.
Je sens que je vais partir, je vais jaillir comme un geyser, comme le pétrole qui sort du derrick, et je le dis tout fort.
JE VAIS JOUIR ! À ce moment, Cécile est désarçonnée et je sens une bouche avide envelopper mon sexe prêt à jouir, quelques mouvement coordonnés du poignet et de la langue suffise à envoyer de puissants jets de mon sperme qui depuis le matin ne demandait que cela.
Mes jambes se contracte et un spasme me parcours comme si j’étais foudroyé
Je prolifères des propos incohérents : ah bande de salopes, enculées de vraies chiennes en chaleur !
Soudain un ray de lumière parcours la pièce et vient inonder mon visage.
Elles ont pensé à tout même la lampe électrique, je dois pas être le premier à participer à leur petit jeu.
Le rayon de lumière parcours maintenant le sol pour remonter un entre jambe d’une fille qui se tient debout
Son sexe est éclairé et luisant, je ne distingue pas encore son visage, une de ses mains le parcours et écarte les lèvres, sa silhouette me rappelle celle de Cécile et j’ai encore tout bon quand je l’entends dire : qui c’est qui a envie de ma chatte, pour me faire jouir ?
J’allais me proposer quand j’entendis : j’arrive, tu sais bien que je sais y faire avec les filles ! répliqua Pascale
Un halo de lumière les enveloppe maintenant toutes les deux, elle se retrouvent maintenant au sol se dévorant chacune le minou dans un soixante neuf endiablé, les deux corps encastrés son agités et la lumière donne un esthétisme d’une rare beauté.
Nous restons à contempler le spectacle.
Je suis allongé sur le dos et ma tête repose sur la cuisse d’une fille (je ne sais pas qui de Michelle ou Emilie), de voir ce spectacle torride me donne une nouvelle vigueur.
Celle ci ne passe pas inaperçue quand le rayon de lumière parcours la pièce pour découvrir les spectateurs.
Emilie me fait la remarque : Et bien dis donc Patrice on dirais que tu as encore envie ?
Le peu de lumière m’avait permis de voir enfin qui se cachait à mes cotés et qui me caressais en cet instant.
Ma tête reposait sur la cuisse de Michelle qui s’occupait en même temps de la chatte d’Emilie dont la tête était toute proche de ma queue revigorée. (Vous voyez le tableau ?)
Une question se pose, mais qui tient la lampe alors ? je profites du passage de l’éclairagiste pour attr sa jambe et l’attirer vers nous, les autres filles sont mortes de rires et Michelle dit :
La petite Mélanie fait sa timide avec les étrangers mais quand elle connaît on ne peut plus l’arrêter !
Allez viens près de nous, on va te faire du bien ! lui dit à son tour Emilie pendant que les deux autres continuaient leur numéro de chattes en chaleur en gémissant.
Finalement Mélanie vint s’asseoir près de nous sur le matelas et je pris la lampe de sa main pour mieux la voir,
Je n’y avait pas porter une attention particulière mais je sentais en elle un tempérament de feu, je sais pas pourquoi.
Elle était encore habillée de sa blouse rose, mais à peine que je l’eu touchée, qu’elle se jeta sur moi comme une tigresse pour m’embrasser fougueusement sa bouche vint s’écraser sur la mienne et je sentis qu’elle frottais sa culotte trempée contre ma cuisse. Voyant cela, Michelle se dégagea pour mieux s’occuper d’Emilie.
Mélanie était réservée mais cela promettait, en quelque seconde le feu était ranimé et deux mains n’étaient pas suffisantes pour explorer son corps brûlant de désir.
Elle avait conservé son slip et son soutien gorge mais tout cela vola au milieu de la pièce en un éclair.
Je profitais avec la lampe de poche pour regarder les deux couples de filles qui se dévoraient la chatte.
Mélanie me demanda de la prendre en levrette mais j’avais trop envie de goûter à son petit abricot à peine velue qu’une jouvencelle.
Elle écarta bien a fond ses cuisses pour que ma langue la pénètre plus loin encore, je lui titillais son clitoris ce qui lui provoqua quelques gémissement et des soubresauts.
Maintenant baise moi, encule moi ! dit elle sur le point de jouir
Je m’exécutais alors que les autres nous regardaient maintenant regroupées autour de nous deux.
Elle se mit à quatre pattes et je me plaçais bien derrière elle, ma queue bien raide en direction de l’orifice que je venais de sucer abondamment.
Pascale avait pris la lampe et éclairait l’endroit où ma queue pénétrait la chatte sans poil de Mélanie.
En même temps, comme pour lui donner davantage de plaisir, Cécile s’était glissée sous elle et lui léchait la chatte et le clitoris et donnait de temps en temps aussi quelques coups de langue sur ma queue.
Les filles étaient de nouveau excitées comme des chiennes et n’arrêtaient pas se branler en nous regardant.
Emilie me mis un doigt dans ma bouche pour que je goûte son jus puis elle mis son doigt dans sa fente béante.
Mélanie gémissait de plus en plus avec le coup de butoir que je lui donnais et aussi par le plaisir que lui procurait Cécile qui lui fouillait la chatte.
Mélanie avait devant elle les jambes écartées de Cécile et cela l’excitait beaucoup, elle ne put résister longtemps à mettre la tête à l’intérieur de ses cuisses ouvertes et de goûter au nectar qui s’écoulait de sa moule dégoulinante.
Du coté de Michelle, celle-ci avait rejoint Emilie qui se masturbait comme un folle, toutes les deux mirent leur tête près de ma queue toujours bien éclairé par Pascale qui était excitée par la main experte de Cécile décidemment très active.
Michelle et Emilie avaient décidées de s’amuser un peu avec ma queue et sortie celle-ci du fourreau de Mélanie pour se la mettre l’une après l’autre dans la bouche.
En dessous de mon sexe, je pouvais voir le visage de Cécile qui continuait de plus belle et profitant de la libération de la moule pour y mettre son nez et sa langue toute entière.
Les deux complices préparaient maintenant le petit orifice en faisant couler de grands jets de bave dans la raie des fesses de Mélanie, Michelle mouilla son index dans la chatte Emilie puis plaça celui-ci dans la rondelle de Mélanie.
L’index disparu d’un seul coup, quelques mouvements de piston provoqua des ruades de la part de Mélanie qui devenait folle de plaisir, elle gesticulait dans tous les sens et cela n’était pas simple pour la retenir, deux doigts étaient maintenant introduit dans le cul de Mélanie qui réclamait maintenant ma queue
Encule moi Patrice, vas y défonce moi ! Michelle retira ses doigts et les lécha pendant que Emilie dirigeait la queue qu’elle avait entretenue pendant ce temps.
Mon gland buta sur l’orifice qui s’élargit tout seul, sous la pression et bientôt toute ma queue disparue à l’intérieur de Mélanie qui grognait de plaisir.
Ah que c’est bon Patrice, elle est bonne ta queue, ça me fais du bien !
De voir toutes ces filles excitées autour de moi était trop fort et j’étais près à jouir.
Quand Michelle s’en aperçu, elle dégagea mon sexe du cul de Mélanie histoire de calmer la tension mais ne pu s’empêcher de l’enfourner dans sa bouche, puis elle remis ma queue dans le cul dilaté de Mélanie qui balançait ses fesses en arrière pour que je la pénètre bien à fond, c’était divin !
Je ressortais ma bite ultra raide et la re rentrais comme dans du beurre, puis ce fut Cécile qui était en dessous qui voulait participer aussi à « l’enculade-party » je lui fourrais ma queue dans sa bouche, la remettais dans le cul de Mélanie etc.
Je sentais l’orgasme monter et je ne pu contrôler une formidable giclée éclaboussant l’intérieur du cul de Mélanie.
A peine sortie, une autre giclée arrosa la chatte que Cécile butinait toujours.
Mon sperme coulait sur le visage de Cécile et dans ses cheveux, Michelle pris ma queue entre ses lèvres et l’enfourna à fond dans sa bouche pour en extraire les dernières gouttes.
Je ne savais pas quelle heure il pouvait être mais ce que je sais, c’est que le quart d’heure de repos était largement dépassé.
Après avoir repris nos sens, remis un peu d’ordre dans nos affaires, Cécile alluma enfin la lumière.
On avait l’air d’avoir disputer un marathon.
Cécile dit : Je pense que Patrice a réussi son examen d’entrée et qu’il a aussi réussi l’épreuve de reconnaissance !
Maintenant je vous propose d’aller vous doucher pour revenir tout à l’heure à l’atelier !
C’était elle la chef, on devait lui obéir.

A suivre…

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