Les Nouvelles Aventures De Nathalie D. ( Part 3 )

LES NOUVELLES AVENTURES DE NATHALIE D. ( Part 3 )

Vingt minutes viennent de s’écouler. L’homme quitta les toilettes en claquant les fesses de Nathalie. Depuis un bon quart d’heure, la vulgaire suceuse était penchée sur le lavabo où elle se frottait énergiquement les dents avec un doigt … Viendra-t-elle à bout de cette odeur ? Elle le pensa, oui… Enfin, pour rassurer son ego et ne pas passer pour une salope, « Mèche brune » décida de masquer sa bouche corrompue avec une épaisse couche de rouge à lèvres.

10 Heure du matin ! Le temps semblait figé !… Depuis cet aparté dans les toilettes, Nathalie avait toujours l’esprit léger. Elle avait du mal à se concentrer sur son logiciel et ses luxurieuses pensées lui faisaient commettre pas mal de sottise que « son » chef de service se retenait de sanctionner. « Mèche brune » était l’intouchable du bureau et mieux valait ne pas sous-entendre qu’elle était meilleure suceuse que bosseuse...
Ivre de désir, comme commander par une force mystérieuse, elle se leva... Elle quitta son bureau et disparu dans le couloir… Surprise par la lumière du jour, elle se dirigeait vers le hangar… Elle avait chaud, elle pressait le pas et ce que ne lui avait pas fait ce routier, elle le réclamait… Plus fort que la raison, elle désirait être pénétrée sauvagement !!! Un pieu bien dur et férocement bandé, elle le voulait dans son sexe, maintenant !
Malheureusement, elle eut beau tourner dans tous les sens, derrière les camions… Personne n’habitait les lieux ! Deux semis étaient là, stationnés, dont celui qui est en panne. De temps en temps, il y en avait bien un qui restait caché dans un coin, mais la grosse brune eu beau fouiller dans les moindres recoins à la recherche d’un homme : elle n’en trouva point !
Où étaient-ils tous passés ? Ça lui donnait plus qu’envie de voter « oui » au prochain referendum, au moins, avec les polonais, ils seraient au boulot et payé deux fois moins ! Par conséquent, elle allait pouvoir se rendre plus souvent chez le coiffeur et s’en doute, investir dans un studio en bord de mer…
Bref ! Allait-elle être obligé de se doigter ? Ôter sa culotte et monter dans l'un des camions ?… Comme poussée par le diable, le vice, elle se dirigea vers le bahut en rade et monta.

Elle prit place sur le vieux cuir du siège passager et chercha en vain la veilleuse. De là où elle siégeait, elle dominait tout le parking avec l’assurance que personne ne la percevrait dans la peine ombre… Elle passa sa main entre les cuisses et consciente que le temps lui était compté, elle dégrafa sa ceinture et baissa son Jean’s jusqu’à mi-cuisses. Elle en profita pour se doigter sans ménagement, la sueur commençait à perler sur son front, alors, elle décida de se hisser dans la couchette arrière, avant de refermer les rideaux. Calée dans l’inconfortable couchette, elle immobilisa l’une de ses jambes dans une sorte d’étrier et sans préliminaire, elle commença à se doigter en contemplant tous les posters de la cabine. Des nus à profusions, bien proportionnés devant lesquels elle imaginait le propriétaire du camion entrain de se masturber. Était-elle un fantasme pour les employés de son père ? Elle eut une amorce de réponse en repensant à la douce sensation de la sève giclant au fond de sa gorge. Elle se caressait en regardant les corps parfaits et elle se surprit à avoir du plaisir… Elle saisis son mouchoir et jugula une coulé de liqueur qui failli bien tâcher la couchette… Avec circonspection, elle mis le morceau de papier à l’écart et continua de se toucher…
Soudain, la porte du camion se déverrouilla sèchement, virilement… Nathalie s’immobilisa… Elle ne reconnu pas l’homme à travers le faible entrebâillement du rideau… Mais soudainement, horreur !!! Les doigts de « Mèche brune « se remirent en branlent sur ses grandes lèvres… La mâchoire fermement contractée, ses doigts s’imprégnaient de liqueur obscène… Elle ne pouvait s’empêcher de risquer d’être découverte… Discrètement, le sexe envahi par une délicieuse chaleur, elle essaya de récupérer son mouchoir de dentelle, mais elle ne le retrouva point. Elle se trouva idiote à rester là, immobile, les cuisses grandes ouvertes, les joues rougit par la honte et les doigts baignant dans sa crème comme une vulgaire pucelle de banlieue.

Soudain, l’homme quitta étonnamment la cabine après avoir pris une pochette contenant ses disques…
Alors que la porte se referma sèchement sur son plaisir, elle resta immobile, pétrifiée à l’idée d’avoir été devinée dégoulinante…

Elle attendit dix minutes avant de se rhabiller et quitter le camion. Dégourdie, elle s’en alla vers l’arrière du hangar et, revint comme si de rien n’était. Elle reconnu le vieux Gustave avec sa pochette de disques, elle lui fit la bise et comme si de rien n’était, elle lui souhaita bonne après-midi.

Le souvenir de ces moments d’égarement hanta l’esprit de « Mèche brune » de la fin de matinée jusqu’à, dans sa petite auto qui la ramenait chez elle. Elle était heureuse, un magnifique soleil brillait malgré une température proche de 20°. Elle allait pouvoir essayer son nouveau maillot, celui qu’elle allait mettre pour ses vacances de printemps en Espagne.
Quand elle tourna dans sa rue, elle repensa une dernière fois à sa matinée de débauche, avant de ralentir…
Sur la gauche, elle croisa le regard d’un jeune homme, ils se rivèrent comme s’ils se connaissaient… Les secondes s’écoulèrent au rythme des minutes… Étais-ce un fan qui avait réussi à dénicher son adresse ? Elle le décrivit ou plutôt… le nargua avec cette suffisance naturelle, des pieds à la tête, puis sa braguette, avant de ralentir sèchement pour aborder la petite allée qui menait jusqu’à devant sa porte de garage. Nathalie jeta un rapide coup d’œil dans son rétro intérieur pour… se recoiffer, puis, pour constater l’absence de son fan ! Elle se précipita hors de sa voiture, mais il fallut bien se rendre compte que la personne ne l’avait pas attendu !

Cet admirateur surprise la perturba le temps de se mettre à son aise… Elle ôta son chemisier est resta en soutien gorge dans la maison pour aller déguster la part de pizza qu’elle s’était coupée la veille.
Elle prit une douche, se lava les dents avant d’enfiler son maillot deux pièces, afin de profiter du troisième jour de beau temps… Avec impatiente, Nathalie se pressa dehors avec sa serviette.
Le week-end dernier, Alain avait installé le salon de jardin et… la chaise longue… Calmement installer, elle mit ses lunettes noires de star et profitait de la douceur des rayons pour fantasmer, sans se douter qu’a quelques mètres de là…

(D’un lecteur anonyme : revu et corrigé !) Le printemps, le retour des beaux jours, du soleil et des jupes courtes. J’ai la chance d’habiter la maison en face d’une brune un peu forte qui, malgré son côté cliché, m’a toujours excité...
Toute la journée, j’ai été tourmenté par ses formes et ses cheveux… Un jour, un voisin m’avait dit qu’elle pratiquait le naturisme dans son petit jardin derrière chez elle, mais je savais bien que les températures de mars ne se prêtaient pas à ce genre d’exhibition.
Ce samedi après-midi là, en l’absence de ma copine et trop tourmenté par le sexe, j’ai franchi le pas et ai tenté l’aventure…
Pour ne pas éveiller les soupçons, je remontais la rue, avant… de la redescendre. Arrivé à proximité de la maison de Nathalie, je me dirigeais derrière le compteur EDF et me faufilais entre un vieux mur et une espèce de vieux grillage rouillé... À couvert, je longeais la haie de thuya en laissant mon regard chercher une présence , mais rien à signaler… Le cœur plein de panique, j’arrivais au bout de la haie. J’essayais de l’observer derrière cette « barrière » verte, mais rien. Si !!! J’aperçois un parasol et un fauteuil de jardin. Le fauteuil est occupé : c'est bien elle !!! Mes yeux sont éblouis, elle est en maillot de bain, un deux pièces qui ne cachent pas grand-chose !!! Elle est immobile sur le dos et je n'en peux plus… Mm… Ses seins et ses jambes légèrement écartées me font découvrir son bas de maillot…
Mon esprit m’imagine avec elle où plutôt entre ses cuisses… Je bande comme le jeune mâle que je suis… Je glisse une main dans ma braguette et dégaine mon pieu pour me branler… Je regarde ma voisine, cette créature du diable, ses seins énormes et ronds… Je descends mon regard et mes yeux se posent sur l'entre jambe… Oh !!! Comme dans un livre, elle écarte sensuellement les cuisses… D'avantage… Hum… Je vais jouir !!! J’accélère mon va et viens sur ma trique, je n’y tiens plus et largue mon jus dans la haie… Je me retiens de crier… Oh Nathalie… Je jouis pour toi… Je remonte mon short, alors qu’elle décide de se tourner sur le ventre… Vidé, je presse le pas sur le chemin du retour, heureux du plaisir vécu avec Nathalie, ma voisine ! Quelle nana !!!

Nathalie avait légèrement sommeillé et elle fut réveiller par un petit bruit, une sorte de gémissement… Elle tendit la main vers sa montre et regarda l’heure.
Avec courage, le corps luisant de sueur, elle se leva et rentra à l’intérieur de sa maison.
Il lui restait une petite demi-heure pour prendre une douche, répondre à un ou deux messages, avant d’aller terminer sa journée.
Après s’être épongée le corps, elle monta dans sa chambre, ôta son maillot et alluma son ordinateur. Elle récupéra ses messages sur sa bal électronique en espérant que ses fans lui ai écrit par millier. Il y avait un message de Sabine, une quinquagénaire avait qui elle écrivait le récit de la présente journée et qui attendait après son texte afin de le publier.
Soudain, un icône en bas à droite se dressa pour l’inviter à une conversation audio. La personne se déclina : AZF ! Elle réfléchit, voyait encore l’homme en bas de chez elle. Elle refusa cette fois-ci le dialogue pour préférer écrire...

- Bonjour ! Vous ne me parlez plus ?
- Bonjour ! J'étais occupée !
- As-tu lu les mails que je t'ai envoyés ? Il semblerait que "non" !?
- Si…
- Mmm... Tu as aimé... Ma petite garce... Qu'est-ce qui t'a le plus excitée dans ce petit clip ? C’est de voir ma queue de 24 cm ou mes couilles pleines de jus ?
- Euh… Mmm… le foutre… Ils devaient être une centaine à se vider sur elle !!!
- Ne fais pas ta précieuse ! Dis les mots comme ils te viennent ! C’est une putain ! Tu mériterais le même sort que cette garce ! N'est-ce pas ? Douche de sperme sur la gueule et dans tes cheveux...
- Non ! Non ! C'est trop humiliant !!!
- Tu as l'âme d'une petite putain, Nathalie et je suis certains qu’en réalité, le foutre chaud ne te fait pas peur !? Tu es une grosse salope ! Une pompe à foutre !!!
- Oh non ! Cessez !!! Je vais déconnecter !
- Cette après-midi, tu recevras un SMS : il faudrait que tu voies ça !
- Voir quoi ? Vous n’avez pas mon numéro de portable !
- À bientôt, Nathalie et… bonne route !

Nathalie n’eut pas le temps d’écrire qu’il y eut une déconnexion. Étrange ! Les doigts crispés sur la souris, elle mira l’écran durant dix secondes. Elle regardait le petit clip, certes, il n’y avait pas cent hommes, mais un bon nombre. Beaucoup ! Nathalie se remémorait toutes ses expériences plurielles, mais rapidement, elle se raisonna pour ne pas aller s’allonger cuisses ouvertes.
Sous la douche, elle frisonna de trouble et… de plaisir. Il semblait bien la connaître !? Tout savoir sur elle !
La Bluffait-il avec le SMS ?

Fin de la troisième partie…

Sabine DELAMONTAGNE
Sabine.delamontagne@laposte.net
Avec les adorables participations de « Mèche Brune »

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