Comédie Romantique

J’aime bien aller au cinéma le matin en pleine semaine dans un grand complexe où je peux choisir n’importe quel film et savoir que je serais presque seul dans une grande salle. Ce matin là, je prenais une place pour un film de comédie romantique comme on aime bien les faire en ce début de siècle. Il n’y a rien de réaliste mais c’est amusant et on ressent des sentiments dont tout le monde rêve sans pouvoir vraiment les toucher du doigt de l’esprit. Le nombre de fois où l’on se dit en sortant de la projection - mais si je pouvais vivre ne serait-ce qu’un moment de la même façon - il suffit parfois d’un déclic et en sortant de la salle de rencontrer celle ou celui qui vous attend, surtout lorsque vous êtes encore totalement imprégné de l’histoire. Un simple frôlement de mains lorsque la personne qui vous précède retient la porte, des regards qui se croisent, un sourire, c’est pour la vie.

J’entrais dans la salle, personne, c’est dans ces moments qu’un frisson d’excitation vous parcourt le corps de penser que vous allez être seul dans une grande pièce, vous vous imprégnez de tout l’espace, le film ne sera que pour vous. Le silence ne vous est pas insupportable, il vous repose et la pénombre vous fait ressentir une douce quiétude. Je me plaçais au centre d’une des rangées de sièges et m’asseyais confortablement. En attendant la première partie publicitaire, je me mis à penser à tous ces moments érotiques que j’avais pu vivre dans une salle de cinéma avec mes précédentes compagnes. Je m’étonnais de penser à cela, sûrement l’impression d’être seul dans ce grand espace. On s’arrangeait toujours pour choisir un film que personne n’allait voir, comme cela on était sûr d’être vraiment seuls. Avec ma dernière on aimait bien ce petit jeu. Nous aurions pu nous retrouver normalement chez elle ou chez moi, mais ça nous excitait de nous retrouver dans un endroit public pour faire l’amour.

Juste lorsque je commençais à ressentir un début d’érection, j’entendis une des portes de la salle s’entrebâiller.

Dans ces cas là, je ne regarde pas la personne qui vient d’entrer, mais lorsque celle-ci atteignit ma rangée, je ne pus m’en empêcher et je vis alors une jeune femme, une jolie petite brune aux cheveux mi-longs qui s’engagea dans ma direction. Pourquoi cette rangée, il devait y avoir au-moins cinq cents places dans cette salle. Elle s’assit à deux sièges de moi. Notre regard se croisèrent rapidement, je crus discerner un petit sourire, elle était vraiment ravissante. Je me replongeais alors, en fermant les yeux, dans mes souvenirs érotiques. L’impression fut amplifiée par la présence de ma voisine qui ne me laissait pas indifférent. A ce moment là, je bandais réellement et j’aurais bien aimé faire plus amples connaissances avec elle, lorsque la lumière se mit à baisser et la projection publicitaire commencer.

La dernière histoire que j’avais eue dans un cinéma remontait à quelques mois. J’étais alors avec une jolie femme, grande, avec des cheveux blonds, longs et bouclés, de superbes yeux bleus dans lesquels on pouvait se noyer dans un désir d’éternité, elle me faisait un effet fou et j’avais toujours envi de faire l’amour avec elle. Une fois assis, nous n’avions pas attendu pour nous embrasser éperdument. Elle était tout autant excitée que moi. Nos langues se mêlaient dans un ballet fougueux et nous émettions de petits soupirs qui nous excitaient encore plus. Cette attraction jubilatoire nous amenait à nous caresser mutuellement le corps. Je commençais toujours par les fesses, j’adorais ces fesses, j’adorais les caresser à travers sa jupe, puis à remonter tout doucement le tissu pour faire augmenter son excitation et ensuite pouvoir ressentir sa peau soyeuse. Je mettais ensuite ma main dans la raie de ses fesses et en écartant le fil de sa petite culotte, je venais toucher son petit trou du cul en tournant délicatement autour de la rondelle. Elle adorait ça et je sentais sa langue s’accélérer dans ma bouche et ces soupirs devenir plus longs. Ensuite en prenant un peu de mouille de sa petite chatte, j’élargissais tout doucement son petit trou par des mouvements circulaires de plus en plus rapides.
Elle cambrait de plus en plus les reins pour me donner son cul et sa main venait caresser mon sexe à travers le pantalon. Elle me disait alors qu‘elle aimait ça et qu’elle en voulait plus quand je lui enfonçais un doigt plus profondément dans l’anus, en poussant un gémissement elle s’attaqua prestement à ma braguette et en fouillant nerveusement mon slip en sortit mon sexe totalement bandé. Elle descendit alors vers lui et commençait à le sucer pendant que je lui fourrais de plus en plus vite mon doigt dans son cul qui était maintenant bien ouvert. Quel moment fabuleux !

Je ne me rendis pas compte que le film avait déjà commencé, tellement perdu dans mes pensées quand je crus entendre à côté de moi des petits soupirs. Je tournais la tête et dans la pénombre, je vis ma voisine qui était entrain de se masturber discrètement. Quel joli spectacle, elle se trémoussait doucement en caressant ses seins à travers son petit chemisier et en ayant une main au niveau de son sexe, les jambes serrées. Je n’en crus pas mes yeux et je la regardais faire. Je trouvais cela très beau et je ne pus m’empêcher de profiter de la scène en sortant mon sexe et en me masturbant également. Je sus que je ne la toucherais pas, elle ne me regardait pas, elle préférait garder les yeux fermés et gémir de plus en plus fort. Elle déboutonna quelques boutons de son chemisier, ce qui découvrit en partie ses seins qui se trouvaient en totale liberté. De beaux petits seins qu’elle caressa de plus en plus fougueusement tout en écartant de plus en plus ses jambes. Elle remonta sa jupe et découvrit son antre sombre qui lui aussi ne possédait pas d’entrave. Décidément, elle n’aimait pas les dessous. Mais tant mieux, c’était encore plus excitant. Je sentais les effluves de son sexe jusqu’à moi et j’aurais adoré lui lécher sa petite chatte pour pouvoir m’en enivrer totalement. Je sentais sa jouissance montée, car ses gémissements devenaient de plus en plus profonds et son corps était parcouru de spasmes rapides et secs.
Son bassin de plus en plus ondulant s’arrêta soudainement dans une cambrure parfaite des reins et je sus qu’elle avait joui. Je me répandis alors et je sentis la chaleur de mon sperme sur ma main. Je n’aurais jamais cru vivre une telle expérience.

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