Coquineries (1)

Lorsque cette aventure ou ces aventures me sont arrivées j'atais loin de supposer qu'elles dureraient une dizaines d'années.
En effet, à cette époque, je fus muté dans une ville où nombre de sociétés d'assurances y étaient implantées,
j'étais responsable sécurité dans un grnd hypermarché local et mon statut m'obligeait à porter secours à toutes personnes "clientes" ou non de l'hyper, que ce soit ds l'hyper lui-même à défaut de la galerie marchande où étaient situées une quarantaine de magasins.
Un jour, je fus appellé à intervenir avec mon équipe securité 1er secours auprès d'une employée d'un magasin de chaussures qui venait de tomber dans les "pommes". Cette personne d'une trentaine d'années était jolie et très sexy. Avec mes collègues, je demandais son transport vers l'arrière magasin aux fins d'examiner quelque peu son état, sa collègue m'accompagnait et était verte de peur. Je la rassurais lui indiquant qu'elle faisait un malaise et qu'elle allait revenir à elle si on lui donnait un verre d'eau et du sucre, la soupconnant être en hypoglicémie, ce qui était manifestement le cas.
La voyant revenir à elle après quelques instants de "coma", je l'informais de la venue d'une ambulance d'urgence afin de pallier à toutes éventualités surprenantes et dont je ne voulais être en aucun cas tributaire ayant appris par un heureux hasard que cette personne était mère de 2 s et qu'elle se privait de nourriture pour les élever dans un droit chemin.
La tenue sexy qu'elle avait permettait de voir la douceur de ses seins donc de sa poitrine ferme. Pour des raisons toutes évidentes de sécurité je dus déboutonner sa robe ou blouse très courte pour la faire respirer et ai constaté cette délicieuse poitrine très avenante pour y déposer un baiser, chose que je ne pus faire en présence de personnes (collègues et amie de la victime).
La voyant revenir en meilleure forme, j'optais pour la faire conduire chez elle et demandais à sa collègue de finie sa journée de vendeuse avec quelques heures en sus jusqu'au rétablissement de sa responsable de magasin.


N'ayant personne pour la reconduire chez elle, je pris l'initiative de m'en charger et ai ainsi connue involontairement son adresse et sa voisine en même temps à qui j'ai fait part de son état de faiblesse, tout en recommandant de faire venir le docteur de famille. Ce dernier lui donne huit jours d'arrêt.
Constatant par l'intermédiaire de ses collègues et artisans du secteur ses dificultés, je fus en mesure de mettre en place un soutien psychologique et d'entr'aide pour la seconder et surtout lui apporter un bien-être notamment vis à vis de ses deux s.
cela dura pendant quelques mois où je fis tout pour lui rendre la vie meilleure.
je vous donnerais la suite très prochainement
a bientot
aalain

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