L'Hôpital

J'ai subi une opération de l'appendice lorsque j'avais 23 ans.. J'étais jeune et beau..lol..euh, je le suis encore.. ( na! çà fait du bien..) Bon, j'étais très mince..,ce qui mettait encore plus en valeur mon infirmité. Elle était de la taille de ma cuisse et parraissait aussi grosse quelle une fois excité.. Nu, je faisait vraiment peur.. genre araignée, crabe ou Xmen.
Arrivé la veille de l'opération vers 18h, j'ai pris possession de ma chambre et me suis couché..avec un bon bouquin..
Vers 20h, arrivent deux infirmières, ou aides soignantes, une de mon age et l'autre d'environ 50... elles tombaient mal.
J'étais allongé sur le dos. Mes jambes étaient repliées. Une légère excitation m'animait. Le drap faisait tente avec mes genoux... sauf que trois têtes pointaient en dessous. J'ai vite changé de position, de sorte qu'elles n'ont vu que du feu.. me mettant de côté.. jambes toujours pliées.
La plus ancienne des soignantes s'assoie à côté de moi et pose ses outils où je reconnais un rasoir... je comprend.. faut que je prenne les devants.. Je leur dis alors que je suis confus de devoir m'exhiber dans cet état..elles sourient.,mais ne me comprennent pas. Je leur dis alors que j'étais affublé d'une particularité et que j'étais un peu excité. Chez moi, il me faut du temps pour retomber. Mon pénis n'était pas vraiment dur et dressé, je n'aurais pu le câcher.. mais il se présentait déjà dans toute ses proportions.
Très professionnelles, elles m'ont dit qu'elles étaient habituées et que cela ne leur posait pas de pb..
J'ai moi même lentement relevé le drap.. A la vue de mon gland la plus jeune des deux restée debout s'est raidie.. a reculé, est sortie.. laissant seule sa collègue, toujours assise.
J'en étais encore à la moitiée découverte lorsqu"elle s'est levée. Elle ne quittait pas mon sexe des yeux.
Elle m'a fixé du regard, et m'a dit très gentillement qu'elle reviendrait lorsque je me serais calmé.

Je lui ai demandé 1/4h..
Elle a un peu discuté avec moi. Me demandant si j'avais beaucoup d'aventures, si elle fonctionnait normalement. Le tout sur un ton très soft, médical..
Elle est revenue avec une autre collègue.
Très professionnelle encore, elle m'a rasé le pubis tandis que je tenais de côté mon pénis encore à mi cuisse.
Elle m'a vu encore grandir, au rythme des battements de mon coeur. . Devenue dure, elle était maintenant dressée et mes deux mains la plaquaient contre ma jambe.L'aide soignante restée debout affectait un regard indifférent, mais profitait du spectacle. Elle était rouge pivoine, elle virait au pourpre.
La raseuse, en première ligne, me détaillait de temps en temps, s'affairant sur mon pubis. Elle l'avait vu se dresser petit à petit jusqu'à arriver au niveau de son visage.. Elle sont reparties dans un concert d'amabilité. Sourirs et regards en coin. Professionnelles tout de même.
J'ai bien dormi.. Le reste, c'est le brouillard.. Réveil, transporté, pas de petit déjeuner, nettoyé, brouillard...
Réveil, gueule de bois, brouillard encore.
Faim, mal. Dormir..
Beaucoup de monde venait me voir, s'occupaient de moi.. Franchement, ça c'est du service public! mon pansement a été vérifié au moins 10 fois par jour.. souvent des gens différents.. ils avaient toujours le prétexte soit de me déplacer de mon lit, soit de nettoyer la plaie ou le pansement, le compte goutte...
Le lendemain soir, ça commençait à aller mieux. Mais encore mal.
Le surlendemain, l'aide soigante qui m'a rasé le premier jour est revenue discuter avec moi de mon départ. C'était ma dernière nuit.
Elle était très franche, avec cet aspect toujours détaché et peu pudique qu'ont les gens qui travaillent dans ces services médicaux.
Elle m'avoua que c'était la première fois que mon cas se présentait dans le service et que j'étais devenu l'attraction des employés.. même des non soignants..lol..
Deux médecins m'avaient osculté endormi.

Ils paraitrait même qu'ils ont souri en annonçant qu'elle était en parfait état de fonctionnement. J'espère qu'ils n'ont pas pris de photos..
Elle s'en alla, comme elle était venue, sans un regard.. presque froide.
Vers 20 h arriva la plus jeune des deux.. celle qui s'était enfuie au début de mon séjour et qui n'est jamais plus revenue..
Souriante, elle me dit qu'elle était de service et que je n'avais qu'à appeler si j'avais un pb. J'ai bien regardé ses yeux.. A aucun moment, elle n'a détaché son regard des plis que faisaient mes draps.. Ses yeux parcouraient mon lit.. On aurait dit qu'elle s'attendait à ce que qq chose se voie ou dépasse..
Elle hésita, fit mine de repartir, revint vers moi et pris mon plateau.. J'étais de dos alors et ne pouvais la regarder sans me retourner.
Mon pénis, après qq jours d'inactivité.. (euh, je suis aussi gourmant.. désolé.. euh..on va dire au moins une fois par jour.. tranquille quoi..,mais longtemps..je préfère les longs préliminaires.. et puis, c'est important..)
Elle est restée environ cinq ou six longues secondes derrière moi.. silence, rien faire, regarder, pas bouger. J'ai commencé à me retourner, pour briser le silence..,je l'ai vue, elle me regardait.. sa bouche était entrouverte. Ses yeux écarquillés..,elle avait deviné ce qui se cachait sous les draps..
Mon membre était accroché sur mon entre jambe, toujours mes lanières..,elles ne me quittent jamais. Une plus longue à la base.. elle permet de diriger l'ensemble du côté gauche.. serrée juste ce qu'il faut pour ne pas tomber.. l'autre juste avant le genou.. et autour de la cuisse seulement.. en cas de panique, dès que mon gland arrive à mi cuisse, je l'engage dedans.. Elle est calée lorsqu'elle arrive enfin au genou..
Mais revenons à nos moutons...
Elle reprit ses esprits.. Cela avait duré une quinzaine de secondes en tout..silence.. on tourne.
C'est moi qui ai engagé la conversation..
Je lui ai demandé si je ne lui avait pas fait trop peur la première fois.
.je lui ai dit que j'étais au courant que le bruit avait fait tout l'hôpital.
Elle s'est mise à rire..ses joues étaient rouges.,elle n'attendait que ça. Que j'aborde le sujet..
Je lui ai demandé si elle m'avait vu lorsque j'étais endormi. Elle n'était pas de service depuis la première nuit. Je lui ai proposé de regarder. Tout simplement. Il m'arrive depuis toujours d'avoir des filles qui sortent avec moi simplement pour se rincer l'oeil. Une bête de foire..
Elle aquiesca. J'ai relevé mes draps.. Elle regardait la porte.. peur que qq un entre..
Ses yeux se sont de nouveau fixés sur mon entre jambe. Elle s'exclama.. c'est trop pour un seul homme..je vous ai imaginé depuis trois jours mais pas à ce point. Je la voyait plus fine et moins longue.. elle s'était enfuie le premier jour dès la première vision de mon sexe et n'avait pas pu le détailler.
Elle se pinçait les lèvres, était nerveuse.. Elle me dit qu'elle allait repasserer et s'en fût en s'excusant de partir..Raison de service.
Je l'ai attendu toute la soirée.. minuit.. rien.. J'ai sombré.. révé..
Dans un demi sommeil, j'ai senti une présence.. je n'ai pas bougé. Une main s'était posé sur mon pied et renontait mon mollet. Dans une demi pénombre j'ai aperçu une silouhette... facilement reconnaisable... C'était elle. Il était 3H du mat.
Elle se pencha sur moi et me dit de ne pas faire de bruit, de rester allongé sur le côté. Sa main s'était directement arrêtée sur mon pénis nu et elle le tenait fermement. Elle s'est allongé face à moi.. Sa main ne m'a pas laché. J'étais au repos. Surpris endormi.
Sa main s'est agitée lentement sur moi.
Elle ne parlait plus et j'entendais son souffle déjà court trahissant son excitation.
J'étais contre elle. Elle a glissé mon bout dans sa blouse, au niveau de son nombril. J'ai senti la chaleur de sa peau. Elle me carressait toujours lentement. J'ai grandi sur son ventre.
Arrivé au niveau de ses seins, ses deux mains ne pouvaient plus me contenir.
Dans son cou, j'ai poussé sur mes fesses et suis ressorti par le col de sa blouse. J'étais sur son ventre, du nombril à son menton. Elle me carressait avec sa joue. Léchait aussi..je l'ai imité.. euh..,il arrive qu'une première expérience bi (mais à deux) tentent mes partenaires..
Nous nous retrouvons face à face, allongés, moi dans sa blouse boutonnée, entre ses seins, à embrasser mon sexe tous les deux, le lécher.. euh, pas de fellations classiques, trop gros.. à mon grand regrêt.
Elle s'est mise à devenir folle. Faisait du bruit en s'agitant sur le lit.. Elle me sentait contre elle, dur et chaud. Sa bouche essayait de me prendre. Très excitée, trop excitée. Sur sa blouse, elle parcourait des deux mains ma longueur, elles de rejoignaient au centre. Je n'ai pu me contenir très longtemps..
je suis venu.. tout simplement comme cela arrive après tant d'abstinance.. trop vite, trop fort, trop longtemps.
J'ai souvent l'impression de me vider.. et de ne pas pouvoir m'arrêter. De longues et nombreuses contractions me parcourent..toutes fournies..,Peut être que la quantité est proportionnelle à la chose. Je n'en sais rien.. j'ai toujours connu ça.. je ne peux comparer qu'avec ce que j'ai vu dans des films pornos, de petites éjaculations de quelques gouttes, au mieux deux ou trois jets fournis.. Il m'est arrivé de remplir plus un demi verre après une semaine d'abstinence. Lors de certaines relations, il m'arrive d'avoir 10 à 12 longues contactions qui me libèrent en flots. La surprise de mes partenaires se mêle souvent à la panique. Ca fuit littéralement. Elles ne savent plus quoi faire, évitent de s'en mettre partout, certaines n'aiment pas ça et s'écartent ou repoussent mon sexe. Elles s'exclament souvent.. m'encouragent des fois. Une m'a même demandé un jour si c'était du sperme...
L'étreinte,les mouvements saccadés de mon infirmière, ses petits mots d'encouragement qu'elle m'a glissé dans l'oreille.. j'ai craqué.. Je n'ai pu m'arrêter. Elle a gémi lorsqu'on a vu mon sperme gicler devant nos yeux dans ses cheveux.. sur nos visages.. Elle gémissait assez fort..,comme pour accompagner ma jouissance. Elle sentait gonfler mon membre entre ses seins, sur son ventre. Elle sentait mon sperme innonder sa blouse son visage et ses cheveux. On entendait mes éjaculations s'écraser sur elle et éclabousser partout. Elle abandonna l'idée de s'en sortir propre. C'est incroyable chuchota elle. Tu est trop en tout. Vas y, donne moi tout.. encore... encore.. merci..oui..encore.. s'il te plait.. encore... pour moi..
Je crois que c'est ces petits mots qui m'ont excité au plus haut point..
Je m'arrange toujours pour éviter d'en prendre trop sur moi... lol..

Elle est restée environ une heure avec moi.. nous avons chuchoté... Je l'ai caressé à mon tour. Mais je crois que son plus grand plaisir était de me prendre dans ses bras, de me sentir posé sur elle, lourd et dur.
Nous avons aussi un peu discuté..
Elle m'a avoué que ses collègues de service m'avait surnommé
"le fémur", et plein d'autres noms circulaient.. mais cela restait gentil. Une curiosité s'était emparé des gens. Même des hommes étaient venus me voir, des blacks. Beaucoup de femmes en parlaient et j'étais devenu un sujet de conversation.
Elle m'avoua aussi qu'elle ne pensait qu'à ce moment depuis notre première rencontre.. Elle avait beaucoup fantasmé pendant son absence, n'attendant que le jour où elle reprendrait son service..et de nuit. Espérant que je n'étais pas déjà reparti... qu'elle aurait eu le culot dans ce cas trouver mon n° de tel avec mon dossier médical.. Depuis longtemps, elle fantasmait sur les gros pénis. Elle avait vu des images ou des films, avait essayé des godes plus ou moins épais.
Elle s'était imaginé pouvoir faire l'amour avec moi mais s'était révisée en me voyant entièrement.
Elle avait alors échafaudé tout le sénario de notre scène amoureuse. Très calculatrice, elle avait prévu tous les gestes qu'elle avait executé. Mon explosion finale excepté. Mon lit était tout trempé. Trop pour y prêter de l'attention.. c'était fait.
Elle m'a dit qu'elle ne m'oubliera jamais, que je n'en parles à personne. Que j'allais devenir pour elle l'essence de la masculinité, la référence à partir de laquelle elle allait dorénavant se baser. L'étalon.. la bête de foire toujours..
Je lui ai laissé mon adresse. J'ai déménagé 6 mois plus tard.. Elle est peut être toujours à l'hôpital de Bondy.. elle remplace sans doute sa collègue de 50 ans partie à la retraite ... Celle qui était la plus blasée de toutes les employés du service.
Peut être l'est elle aussi aujourd'hui..

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