Première Expérience De Soumission...

J'étais tentée depuis quelques mois par une relation SM. Je tombai un jour sur une annonce de couple qui recherchait une esclave pour W-E et vacances... Elle spécifiait bien que le couple en question recherchait une femme soumise, et non une amie... C'était tout à fait le fantasme qui me poursuivait...
Je répondis à l'annonce par mail. La réponse m'arriva dans les deux heures. Je devais fournir dans les plus brefs délais des photos de moi, entièrement nue "cul et chatte"... J'étais assez gênée d'envoyer de telles photos à des inconnus, mais en même temps, de plus en plus émoustillée par cette aventure.

Mes photos plurent et rendez-vous fut pris pour le vendredi suivant.
Assez stressée, je sonnai à la porte, une femme vint m'ouvrir. Elle semblait seule. Elle me jaugea des pieds à la tête. Je portais une jupe et un chemisier sur un string et un soutien gorge à simle armature, dévoilant mes seins plantureux. Pour tout bonjour, elle m'ordonna de déboutonner mon chemisier... Son regard et sa main qui se tendait vers mes seins eurent pour effet de m'exciter, ma culotte se mouillant instantanément. Elle malaxa mes seins assez durement, avant de me pincer les tétons à tel point qu'elle m'arracha une grimace de douleur. Elle m'ordonna de passer un collier de cuir, relié à une laisse de métal. Je me trouvais à genoux à ses pieds lorsque je commis l'erreur de lever les yeux vers elle... Aussitôt la gifle retentit, ma joue chauffant par la même occasion... Elle m'exposa ses règles: toujours baisser les yeux, répondre par "oui, maître" ou "oui, maîtresse", ne jamais discuter ses ordres, bref, être une petite pute bien soumise...

Elle s'assit dans le canapé et releva sa jupe en cuir, qu'elle portait sans dessous, puis elle tira violemment sur la laisse, ce qui eut pour effet de me projeter le nez dans son entre-jambe... "Lèche-moi". Je m'appliquai à lécher de mon mieux la chatte de ma maitresse. Soudain, elle me tint par les cheveux et m'enfonça la tête plus avant dans sa chatte, je pouvais à peine respirer mais continuai à lécher.

.. J'éprouvais une excitation grandissante à me trouver ainsi livrée aux fantasmes d'autrui.

Elle sortit un god qui me sembla bien trop large et me renversa en arrière. Je me trouvai sur le dos lorsqu'elle me fit plier les jambes. Elle me présentant le god pour que je le lèche, c'en était un de forme conique, qui s'élargissait au fur et à mesure, à tel point me semblait-il, que j'arriverais à peine à le mettre en bouche... Je n'étais pas du tout préparée à ce qu'elle fit ensuite... Elle cracha sur mon anus, puis, enfonça d'un coup sec le god. Je sentis mon cul se déchirer sous la poussée et je voulus me redresser mais une gifle m'en empêcha. Je criai de douleur.

Elle retira l'objet d'un air satisfait et me le présenta. J'étais horifiée, jamais je n'avais lèché quelque chose qui sortait de mon cul! "Suce-le", dit-elle d'un ton impératif. Elle m'empoigna la tête, me força à l'enfourner et à lécher chaque cm² qui m'avait pénétré. L'odeur de merde me sauta au visage mais je m'exécutai. Elle me l'enfonça de nouveau dans le cul, me demandant d'un voix suave si j'aimais qu'elle me pénètre ainsi. Je répondais par un "oui maîtresse" appliqué. Satisfaite, elle délaissa mon cul lorsqu'elle entendit le buit d'une porte s'entrouvrant.

Un homme, que je supposais être le sien, entra. Il me regarda, offerte, l'anus encore humide de la salive de sa femme, les tétons pointant, les cuisses écartées. Il s'approcha et se déshabilla. Sa femme me guida vers sa queue, m'obligea à l'avaler jusqu'à en avoir des nausées. Lui, gémissait de plaisir, elle semblait jouir de me voir ainsi jusqu'à ce qu'elle me permette de me retirer.

Elle me présenta son cul qu'elle m'ordonna de lécher, pendant que son homme m'enlevait mon string et me pénétrait d'un fort coup de rein. Je ne pus contenir un gémissement de plaisir. Qui fut suivit par autant de soupirs excités que de coups de queue dans ma chatte. Ma maîtresse me fit savoir que vu que j'avais l'air d'apprécier mon traitement, il était temps de passer à la vitesse supérieure.
..

Alors qu'elle me présentait sa chatte à lécher, je compris subitement ce qui allait se passer. Son homme positionna fermement son gland contre mon anus. Lorsqu'elle me tint la bouche collée contre son clitoris, il me pénétra d'un coup sec. Son gland était à peine rentré mais mon cul chauffait déjà... Il n'était pas dans ses plans d'y rentrer en douceur. Je le compris lorsque ma maîtresse lui dit de me déchirer le cul, un autre coup de rein enfonça alors plus profondément sa queue en moi. Ce faisant il me pétrissait les seins, pendant qu'en bonne esclave, je perdais mon visage dans la chatte qui m'était présentée. Par une autre poussée violente, je sentis mon cul s'élargir en ressentant un doux mélange de plaisir et de douleur. Ses couilles étaient enfin en contact avec mes fesses, il commença alors un va-et-vient rapide, pendant que sa femme se redressait et me léchait les seins. La cyprine me dégoulinait le long des cuisses ce qu'elle ne manqua pas de remarquer. Elle recueillit chaque goutte sur ses doigts qu'elle me fit lécher.

Mon maître délaissa mon cul, qui, j'eus l'impression, resta grand ouvert un bon moment... Il plongea dans celui de sa femme qui gémit de plaisir. Après quelques minutes, il me présenta, sur son ordre, sa queue à nettoyer, je dus la lécher jusqu'au couilles et goûter au jus du cul de ma maîtresse. Il recommença alors à l'enculer, par des mouvement de plus en plus rapides... Il m'attrapa par les cheveux pour me coller aux fesses de sa femme, lorsqu'il sortit sa queue et éjacula sur son anus entrouvert... Il m'ordonna de tout lécher. Ma maîtresse attendait cela impatiemment se tortillant en cambrant le dos pour mieux me voir plonger dans son cul et y déloger de longs filets de sperme. Je dus enfoncer ma langue profondément pour nettoyer parfaitement cette fleur entrouverte. Mon maître me fit alors lécher cm après cm sa queue. Cela fait, je pensais que mon travail était terminé mais ma maîtresse m'appela, d'un fauteuil Louis XIV où elle gisait les cuisses ouvertes.
Elle me dit que j'avais été une très bonne fille et que je méritais une récompense. Je compris en quoi elle consistait lorsqu'elle apposa ma bouche sur sa chatte, telle une ventouse et qu'elle me dit "N'en perds pas une goutte". Je sentis alors sa pisse chaude me dégouliner lentement le long de la gorge. Je m'appliquai à n'en pas laisser une once. Ma maîtresse me tenant de toute façon la tête, je n'avais d'autre choix que celui d'avaler. Elle termina cette séance par un long baiser.

Je rêve depuis de renouveler cette expérience et j'attends leur coups de fil impatiemment...

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!