Chapitre 20 : Relation Avec Jean Bisexuel Actif Et Candauliste.

Traversée du désert affectif et sexuel. (4/4).
A la fin du chapitre 19, c’est la fin de l’histoire avec Mireille, enfin pas tout à fait, car elle va me harceler pendant six mois. Cette femme est vraiment folle, souffre de troubles psychologiques graves…
Pendant cette période, c’est le calme plat, peu de sorties, pas de relation. Cette liaison m’a beaucoup marqué, je ne suis pas ressorti indemne de celle-ci, je vais avoir quarante-cinq ans, je suis toujours seul, après le décès de Marie, je ne suis pas heureux.
Pendant neuf mois, j’ai de nouveau recours aux plaisirs solitaires, beaucoup de pénétrations bien virulentes, mais il me manque les mouvements de va-et-vient. Et puis, et puis en manque de sexe, il me faut trouver rapidement un partenaire très actif.
Je trouve un homme de 67 ans, les échanges par mails me conviennent bien, il est bisexuel, très actif, directif, il est marié, avec un long passé d’échangisme et de triolisme, c’est un gros traiteur Rouennais à la retraite venu dans notre région en bord de mer.
Nous convenons d’un rendez-vous un soir, le jeudi 20 septembre 2001, j’ai 45 ans, et lui 67, peu importe, j’ai très envie…
Le lieu de la rencontre, c’est un parking, près du golf, endroit réputé comme lieu de drague pour gays et couples exhibionistes, mais ce soir-là, il y a une énorme tempête, des vents de 110 km/heure, et des pluies diluviennes, j’hésite, je n’ai pas de nouvelle de Jean, je me prépare, je mets un string, j’aime être en string quand je rencontre des hommes, j’ai de belles fesses, et cela les met en valeur.
J’arrive sur le parking, déjà quelques voitures sont présentes, puis comme prévu par Jean, une petite camionnette blanche est stationnée devant le début du petit bois. Je m’arrête à côté, la pluie ne me permet pas d’apercevoir le conducteur, j’attends que la pluie cesse, mais j’éprouve tellement de sensations que je me décide de sortir et de monter dans sa voiture, mais il pleut tellement, que cela suffit pour être trempé.


Je découvre pour la première fois Jean, casquette vissée sur la tête, lunettes, moustaches épaisses, j’ai beaucoup de mal à l’imaginer en libertin.
Il ressemble à un papy tranquille, rapide conversation, très rapide, lui aussi semble pressé…
- Bon, assez parlé, mets-toi à poil…Me dit-il d’un ton très directif.
Je m’exécute très rapidement, mais avec mes vêtements mouillés dans l’habitacle restreint, ce n’est pas simple, je reste en string mais…
- Tu as un beau cul, mais retire-moi ton string, je te veux à poil…
Il tire sèchement sur mon mini string. Il prend tout aussi sèchement en main mon sexe, qui bande bien excité par la situation, je suis entièrement à poil dans une camionnette d’un presque inconnu, cela fait cinq à six minutes seulement que je suis rentré dans sa voiture…
Et cela m’excite, il commence à me sucer, il me pompe bien, puis me demande de me lever légèrement du siège de sa voiture, pas facile comme position…Il me pompe la bite, et il veut me mettre un doigt dans le cul…Je le regarde surpris…
- Et alors, t’es bien venu pour te faire enculer ?
L’habitacle est exiguë, et surtout je suis grand, mais je m’exécute, je sens un premier doigt me pénétrer sans ménagement, pendant qu’il recommence à me sucer et à me branler avec son autre main. Le papy n’a pas l’air, mais il doué, j’ai commencé à gémir en soulevant le ventre au rythme imprimé par le gros doigt expert, que Jean fait bien tournoyer dans ma plus profonde intimité. Cela fait lentement monter le plaisir jusqu’à la pointe de jouissance.
Voyant que je suis à la limite de l’éjaculation, Jean arrête sa fellation, retire son doigt sans douceur et me demande de le sucer. Il ouvre son pantalon et descend son slip. Le monsieur est bien armé, un gros sexe bien épais, bon diamètre, il bande bien…
- Voyons si tu es aussi doué que tu as pu me l’écrire !!!
Je prends son sexe et commence à le lécher et à le sucer. Il a l'air de bien apprécié et est de plus en plus excité.
Je sors sa bite de ma bouche pour bien le branler, il a vraiment un gros sexe, pas très long mais le diamètre est impressionnant. Puis je recommence à le sucer en faisant aller le plus loin possible sa bite dans ma gorge. Je me régale. Et puis Jean me dit de façon directive…
- On passe à l’arrière, j’ai trop envie de t’enculer !!!
- Mais il pleut…
Effectivement, la tempête est toujours présente, et il pleut des cordes, je suis à poil, je descends de la camionnette, pour monter à l’arrière du fourgon, il y a de l’outillage mais aussi une sorte de matelas, à deux à l’arrière, c’est pas évident.
Jean est trempé aussi, il se déshabille, il est un peu bedonnant, c’est un homme de 67 ans !!!
Mais j’ai très envie, nous trouvons enfin une position plus favorable, mais toujours très inconfortable, je suis à quatre pattes, Jean commence à bien me lécher le cul, j’adore me faire lécher le cul, quelle sensation, il y a bien longtemps que cela ne m’était arrivé, je savoure ce moment, et pour une fois avec sa langue il y a de la douceur dans cette brute.
Sa langue est très talentueuse, mais en même temps il entreprend de me gifler les couilles et la bite, il me fait mal, mais il me fait tellement de bien avec sa langue, que je ne dis rien.
Sa langue s’attarde sur mon anus. Je gémis déjà, quand il me pénètre avec ses doigts.
J’ai l’impression de couler comme une vraie fontaine sous la langue et les doigts de Jean. Il explore toujours profondément mon orifice dans une ambiance particulière, la pluie redoublant de vigueur en venant frapper sur la carrosserie de la camionnette.
Cela couvre le bruit de mes râles et de mes cris de plaisirs. Puis il glisse sa queue entre mes fesses. Dès que je sens son gland presser mon anus, je n’ai qu’à m’y enfoncer lentement dessus. Je suis déjà au bord de l’orgasme et fait tout mon possible pour le contenir, voulant profiter encore de ce délicieux moment.
Je suis déchaîné, hors de moi. Jean, se lâche, me défonce violement, me frappe les fesses, accélère le mouvement, il me fait mal, il me tire les tétons au moment de jouir, et son orgasme déclenche le mien.
Je ne peux m’empêcher de crier tellement c’est fort et violent. Je sens son jus bien chaud couler en moi et c’est bon… Tous les muscles de mon corps sont tétanisés.
Mais très vite, je me retourne, je lui demande sa queue…
- T’es vraiment une belle salope, j’ai encore jamais enculé quelqu’un comme ça !!!
- Ta queue, j’ai envie de ta queue !!!
- Tu ne vas pas…
Je me positionne au niveau de sa bite, que j’avale et entame « une pipe » à grand coup de langue comme pour le remercier...
- Mais c’est crade, elle sort de ton cul !!!
- Oui et alors…C’est bon c’est un cocktail explosif, ton sperme et l’odeur mon cul, j’adore !!!
- Tu es une belle pute, toi… Tu as pourtant l’air sérieux, qui peut imaginer cela ?
Et oui, qui peut imaginer que je me conduis comme cela, je suis maintenant un dirigeant d’une entreprise de 155 personnes, très respecté, ne lâchant jamais rien pour obtenir des contrats, mais je suis tellement triste et seul que j’ai ce besoin, je pense de me faire peur, rendez-vous avec des inconnus et surtout relations sans protection qui sont plutôt suicidaires.
Je ne maitrise pas mes pulsions sexuelles, mes envies subites. Le seul moyen pour moi, c’est de faire l’amour à tout prix avec n’importe qui…
Après cette première rencontre avec Jean, sans tendresse, caresse, ou même un baiser dans le cou…C’est le sexe pour le sexe, mais il m’avait prévenu, il cherchait un vide-couille. Il fut étonné de rencontrer quelqu’un de « très respectable », c’est son expression, qui puisse se donner de cette façon.
Nous nous revoyons deux fois encore, sur le même parking, dans les mêmes conditions, mais sans la tempête, et de nouveau il me défonce bien le cul comme j’aime…
Mais il me parle, encore de son long passé d’échangisme et de triolisme, que sa femme apprécie toujours le sexe, elle a 65 ans, elle est atteinte d’un début de la maladie d’Alzheimer, elle est au début de cette foutue maladie, son intérêt sexuel persiste, il a même constaté que celui-ci peut augmenter graduellement, mais ce qui est désagréable pour lui, le conjoint, elle peut oublier l’étreinte sexuelle pratiquée quelques minutes auparavant.

Donc, il me propose d’avoir une relation avec son épouse devant lui, il m’assure que c’est encore une belle femme, bien soignée, c’est d’après lui, une belle mamie.
Après quelques hésitations, l’expérience peut, je pense être intéressante, cela pourrait être la première fois que je baise une femme devant son mari, moi qui ai tant offert Marie, ma Marie, qui appréciait tant baiser devant moi.
Rendez-vous est pris un dimanche matin, le 14 octobre 2001, pour être précis, à leur domicile, une maison bourgeoise avec un beau parc dans le quartier résidentielle de notre ville. Jean m’accueille, nous nous dirigeons dans une chambre d’ami, son épouse Sylvette est allongée sur le lit. Sylvette est encore une très belle femme, sincèrement, elle ne fait pas son âge, elle a du faire tourner bien des têtes quand elle était plus jeune, et faire des heureux lors de leurs soirées échangistes ou triolistes…
Elle a un joli regard, et un beau sourire, Jean fait les présentations d’une voix douce, il n’est plus aussi directif que lors de nos trois précédentes rencontres. Sylvette semble ravie du cadeau offert par son mari qui me demande de bien vouloir me mettre nu, lui-même retire aussi ses vêtements et se positionne dans un fauteuil.
Lentement je m’approche de Sylvette et la tourne vers le fauteuil ou se trouve Jean, je retire deux boutons de son joli chemisier blanc pour montrer un sein nu. Sylvette ne porte pas de soutien-gorge. La vieille femme est troublée, incapable de réagir. Derrière elle, je l’encercle et m’empare du sein dénudé. J’adresse un clin d’œil à Jean, accompagné d’un léger sourire moqueur. Puis lentement je déboutonne entièrement le chemisier laissant Sylvette apparaître nue jusque la taille. Je lui caresse les deux seins, jouant avec les pointes qui se dressent. L’épouse se sent envahir par la chaleur du plaisir. Elle tente bien de se contenir, consciente que son époux assiste à sa débauche. Mais toute résistance cède quand j’entreprends de dégrafer sa jupe que je retire entièrement.
Puis fébrilement je fais glisser sa petite culotte blanche en belle dentelles découvrant le sexe bien dégagé mais qu’un fin duvet couronne en forme de triangle au sommet des lèvres qui sont déjà luisantes de cyprine.
Sylvette s’abandonne à nos désirs. Exposée à la vue de son cochon de mari. Elle semble troublée depuis mon arrivée. Elle efface tous ses principes d’éducation. Seul son plaisir commande son comportement. Elle doit sentir mon souffle chaud dans son cou. Elle passe une main derrière elle, pour me saisir la tête et la coller contre elle. Ce geste tout empreint de tendresse, elle le sait, ne doit pas échapper à son « cocu » mari. Elle manifeste l’envie, l’envie de se donner à moi Éric, et le fait savoir à celui qui l’a livrée. Elle se sent délivrée de tout engagement vis à vis de lui. Mais surtout vis à vis de son éducation. Elle aime à se sentir devenir pute, salope comme elle l’a souvent été bien plus jeune.
Jean n’en croit pas ses yeux ni ses oreilles. Les gémissements de Sylvette qui lui parviennent, sont clairs et sans ambigüité. Il réalise qu’elle ne s’inquiète nullement de sa présence. Il bande bien sûr, et se branle en même temps car quelque part il réalise que sa femme malade prend son pied. Avait-il imaginé être exclu de la débauche de sa tendre épouse ?
Pour ma part, je suis aux anges. J’ai une bonne érection et de bonnes sensations, je dois vous avouer que j’étais un peu anxieux avant de rentrer dans la chambre…
Je n’imaginais pas Sylvette comme ça, c’est une belle surprise. J’ai bien compris le geste de la vieille femme qui m’a attiré à elle pour me signifier son désir. J’en viens presque à regretter qu’elle se laisse aller aussi vite. En cet instant je lui malaxe les seins sans aucun ménagement. La jolie mamie soupire et gémit, puis glisse une main dans son dos et me caresse mon sexe bien en forme. La salope est chaude. J’abandonne un sein et descend une main qui s’empare de son sexe maintenant tout humide. Je rentre dans un délire un peu inhabituel chez moi…
- Tu as envie de baiser, de te faire défoncer, hein ma salope !
Sylvette me regarde d’une façon interrogative…
- Dis-le à ton cocu de mari… Qui se branle en te matant, toi sa tendre épouse nue dans mes bras. Et je vais te sauter dans un instant. Dis-lui que tu aimes…
Car je jouis aussi de cocufier ce mari, moi qui l’ai tant été par Marie et tous ses amants.
- Dis-lui, pour lui faire plaisir. Il te le demande...Lui dit Jean.
- Oui mon chéri.
- Oui quoi ?
- J’ai envie qu’il me prenne.
- Mieux que cela salope ! Lui dit encore Jean.
- Oui, dis le moi, petite pute… Je continue dans mon délire.
- J’ai envie que tu me baises…Devant Jean…
Quand il entend ces paroles, Jean, le mari cocu, qui continue de se branler, ne peut empêcher l’éjaculation spontanée qui déverse son sperme sur lui. Il jouit comme un malade, le liquide chaud coulant le long de ses cuisses.
Il doit vite reprendre ses esprit pour voir Sylvette, les mains appuyées sur le bord du lit, les fesses tendues vers moi qui derrière elle, est en train de lui pilonner le sexe. Je défonce avec une violence inouïe cette femme qui est la sienne.
Il ne peut ignorer qu’elle jouit aussi. Je l’ai placée de profil pour lui offrir le meilleur angle pour qu’il puisse profiter du spectacle.
Jean réalise aussi que sa femme n’est pas en reste pour m’offrir autant de plaisir que je le souhaite.
Elle passe une main entre mes cuisses et s’empare de mes couilles qu’elle malaxe avec ferveur…
Puis Sylvette se cabre et tend ses fesses vers ma bite qui la transperce. C’est à ce moment que je me redresse et pousse un cri de bête sauvage.
- Tient salope, prend ça ! Prend ça, ma bonne pute, tu aimes hein…Salope…

En plusieurs coups de rein, je déverse ma semence dans le vagin de la vieille femme également en pleine jouissance.
Une fois la dernière poussée achevée, je reste bien planté au fond de sa chatte profanée pour encore goûter quelques instants la chaleur du ventre de la tendre épouse de Jean.
Je regarde Jean fièrement, qui me fait un signe d’approbation…
Repus, nous nous séparons. Je me retire de Sylvette, en l’embrassant tendrement, mais Jean réagit très vite, en nous demandant de ne pas nous embrasser. Je peux baiser sa femme, mais les baisers sont un signe d’amour qui lui est réservé.
Sylvette att sa petite culotte, et essuie sa chatte consciencieusement, puis elle me l’offre.
- Elle te l’offre, c’est le trophée que tu as gagné en la baisant…Me dit Jean.
- J’espère que tu as bien joui du spectacle Jean, c’était bon pour toi aussi…
Sylvette repasse son chemisier et sa jupe…
- Tu vas rester le cul nu ma belle. Lui dit Jean.
- Oui, j’en ai envie…Lui répond Sylvette.
- C’est pour exciter ton mari, Sylvette. Lui dis-je…
- Nous avons un repas de famille, tous les regards vont être braqués sur ton fion…
- Demain soir je te veux ici !!! Me déclare Sylvette.
Nous nous quittons, je me retrouve seul à la maison, mon fils étant pour le weekend chez les parents de Marie, je me pose beaucoup de questions, certes je reprends maintenant beaucoup de plaisir dans mes différentes relations mais ce n’est pas un projet de vie, j’ai 45 ans, la vie passe vite, il faut peut-être songer à une vie de couple plus structurée.
Et puis je fais un premier bilan sur ma sexualité, je suis toujours attiré par les sexes des garçons, mais j’aime avant tout les femmes.
J’ai baisé avec treize femmes différentes en comptant Sylvette, née en 1936, c’est la plus âgée de mes maitresses, Martine étant la plus jeune, née en 1966. J’ai baisé des femmes bien différentes les unes des autres, mais j’ai surtout eu la chance de partager ma vie avec une perle : Marie, ma belle épouse disparue…Il me faut retrouver une perle !!!
Côté garçons, j’ai eu des relations avec douze hommes, tous beaucoup plus âgés que moi…Claude-Yves était plus âgé que moi d’une trentaine d’année, j’ai toujours eu ce besoin d’hommes plus vieux, je ne peux m’imaginer avec un homme de mon âge…
Patientez un peu, avec le Chapitre 21, vous allez découvrir une femme qui va changer ma vie.

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