Suite (Et Peut- Être Pas Fin)

Une semaine plus tard, nous nous apprêtions donc à revoir notre ami dans la région liégeoise. Tenessy, comme moi, savait qu’il se passerait sans doute beaucoup plus de choses que la semaine précédente.
Pour la toute première fois de sa vie, elle allait s’habiller de façon beaucoup plus provocante. Dans le courant de la semaine, nous avions été lui acheté une mini jupe en cuir rouge qui ne lui arrivait même pas mi- cuisse, une blouse noire courte et décolletée (même si ses seins ne sont pas volumineux) et j’avais insisté pour qu’elle enfile avant ses hautes bottes, des bas résilles noirs, mon fantasme !
Au dernier moment, elle avait failli se rétracter, prétextant qu’elle devrait rentrer habiller ainsi dans le restaurant. Je lui proposai donc de faire un appel à notre ami, une fois la voiture devant le restaurant.

Nous arrivons sur la parking. Il y fait déjà noir. Seuls quelques petites lampes, presque inutiles, éclairent les quelques places de parking situées assez près.
Je prends mon portable et sonne à notre ami qui nous signifie qu’il est installé à table et nous attend. Ila même déjà commandé du champagne. Ca n’arrange pas Tenessy mais nous nous voyons dans l’obligation de le rejoindre. Il est classe avec son beau costume noir. J’invite ma copine à se poster à ses côtés et moi face à eux.
Nous discutons de tout et de rien mais au bout de dix minutes, sa main a déjà disparu. Sans doute posée sur sa cuisse. C’est vrai qu’elles sont excitantes aujourd’hui avec ces bas.

Nous prenons un léger repas, sans dessert et notre ami nous invite à aller dans son auto.
Elle est belle, grande et spacieuse. Elle est parquée dans un coin sombre du parking.
Devant mon admiration, il m’invite à faire le tour du quartier, me confie les clefs et se placent derrière avec Tenessy. A peine ai-je redémarrer qu’il caresse de nouveau sa cuisse mais même sous la jupe, pourtant déjà très courte. J’adapte le rétroviseur pour ne rien manquer.

Il commence à l’embrasser. De simples baisers accompagnés de sourire, puis la langue.
Je le vois chipoter à sa braguette. Il sort sa queue. Il bande comme un fou et je ne sais pas pourquoi, je trouve son pénis beau, j’ai presque envie de le toucher moi- même.
Mais je laisse le soin à ma copine de le faire. Je ne dois pas attendre longtemps, il prend sa main et la pose dessus. Je me sens excité. Je retourne au parking et me gare.
C’est ce moment que Tenessy décide de descendre et absorber le pénis. Pour la première fois, elle goûte à une autre bitte que la mienne. Elle a l’air d’aimer en plus la salope. Je vois le gland qui reluit. Elle doit baver ou, alors, c’est son liquide séminal. Je commence à me toucher et ai envie de lui dire d’avaler son premier jus mais je reste silencieux. Elle va et vient, lèche, aspire, embrasse,…. Elle ne lâche rien !

Un moment, notre ami s’abaisse, lui parle dans l’oreille. Tenessy se relève en sursaut et regarde derrière elle. Je ne l’avais pas vu non plus mais à la fenêtre arrière gauche, un homme observe toute la scène. Nous avons compris mais plus tard que ce parking était un lieu de rendez- vous. Notre compagnon ouvre la fenêtre électroniquement et ce que j’entends m’abasourdit. « Elle va te sucer mais tu n’auras rien d’autre et quand tu éjacules tu te retires ! C’est ok ? » L’homme acquiesce de la tête, tend son pénis et Tenessy, après hésitations et après m’avoir regardé, se lance. Elle, qui n’avait eu que la mienne, goûte à une deuxième bitte en cinq minutes. Je la sens stressée au départ mais très vite, elle regarde l’homme et lui sourit même. Pourtant, il n’a rien d’excitant. On dirait un chauffeur poids lourd avec son marcel et son ventre bedonnant.
Notre ami la laisse faire et se couche entre ses jambes pour la lécher. Il a ses mains sur ses cuisses et donne des coups de langue sur sa petite chatte rose toute humide.
J’arrête de me toucher le sexe ou ne vais plus résister et tout lâcher.
Je me contente d’observer. Il lui enfonce deux doigts et lui lèche le clito.
Ce manège dure jusqu’à ce que le routier se retire et se masturbe jusqu’à éjaculer par terre.
Notre ami couche alors Tenessy sur la banquette, lui écarte les cuisses et introduit sa verge dure dans son vagin. Elle a l’air chienne ainsi les jambes écartées pour un autre homme.
Il la pistonne rapidement. Elle me regarde, jouissant, la bouche ouverte. Son regard semble absent et, pourtant, si excitant. Je lui pelote un peu le sein au dessus de sa blouse.

Ils inversent alors les rôles. Ma copine se met au dessus. Elle a plus facile pour se redresser un peu. Il la pelote en même temps qu’elle sautille sur lui. Il commence à lui parler, lui demandant si elle aime sa bitte, si elle veut avaler son jus,… Elle ne répond que par de timides gémissements.
Il a sans doute cru que ça voulait dire ou car tout à coup, il se redresse, s’agenouille sur la banquette et l’invite à le sucer à nouveau, assise à côté de lui. Vingt secondes plus tard, il éjaculait, tout en la doigtant. Elle aval tout ou, plutôt, je compris après qu’elle en garda beaucoup dans sa bouche.
« Allez embrasse ton mec puis pompe le »
Quand elle posa ses lèvres sur les miennes, puis sa langue dans ma bouche, je sentis un liquide divin et chaud. Je compris assez vite que c’était son sperme. D’ailleurs très vite une partie coula entre nous lèvres. Elle le lécha sur mon menton et me le remit en bouche.
Elle me suça alors.
Cette fois, vu le temps qu’elle resta immobile sur ma verge, je compris qu’elle avala tout, partie par partie.
Elle se releva alors et nous sourit à tous les deux.

Nous avons discuté encore un peu dans sa voiture, puis direction le chemin du retour où Tenessy s’est endormie.

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