Fantasme 3

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

CHAPITRE 3 : Claire la petite chienne de ses parents
Moi, Claire je suis heureuse. Depuis la rentrée de septembre je suis à la fac, je travaille comme une brute dans la petite chambre que mes parents ont louée pour moi à proximité du campus. J’ai fêté mon anniversaire seule, mes parents avaient gagné un voyage à cette date. En partant ils m’ont dit d’être prudente. Je me suis acheté un petit St Honoré, une demie bouteille de mousseux. Je me suis régalée, Puis je me suis déshabillée, j’ai mis mon imperméable qui m’arrive juste sous la boule des fesses, et je suis sortie. Je me suis acheté un Kébab avec un coca que j’ai mangé sur un banc. Je ne serrais les jambes que si quelqu’un arrivait près de moi. J’ai été au cinéma. En montant les escaliers pour rejoindre la salle, j’ai entendu un sifflement admiratif. J’ai tourné la tête, et j’ai aperçu un mec qui levait le pouce : il avait trouvé le spectacle sous mon imper à son gout. J’ai été m’enfermer aux toilettes. Je n’en suis sortie qu’après l’heure de début de la séance. Je ne voulais pas qu’il sache quel film j’allais voir. J’ai été m’installer dans la semi-obscurité, au 2ème siège en bordure de l’allée. Il y avait peu de monde, j’avais choisi un film qui tournait depuis quelques temps pour être tranquille. Un mec est entré 5 minutes après le début du film, accompagné par une placeuse. Ils sont montés dans ma direction. J’ai resserré les pans de mon imper pour cacher ma nudité. La lumière de la lampe m’a éclairé légèrement, le mec s’est dirigé vers ma rangée. « Zut un emmerdeur, je parie que c’est celui de tout à l’heure. Je ne vais pas pouvoir me branler le minou » Bingo, il veut s’assoir sur la même rangée que moi. Il s’approche, je suis obligée de me lever pour le laisser passer. Je rougis, j’espère avoir bien remis mon imper sinon la placeuse risque d’éclairer mon minou. Il se met à 5 places à ma droite, le noir revenu, je glisse ma main droite par l’ouverture de mon imper et commence à me masturber doucement.

Je bouge très peu, mais mon imper finit par s’ouvrir à 2 reprises. La 2ème fois, je jette un œil vers mon voisin, et comme il n’a pas réagi, je laisse l’imper ouvert. Je sens l’orgasme arriver lentement. Sous les vagues de plaisir qui montent, j’écarte un peu les cuisses, je me caresse les seins de la main gauche. Mon imper s’ouvre totalement, mais l’orgasme est si proche que je dois rester concentrée pour ne pas gémir et révéler à mon voisin ce que je suis en train de faire. Je ferme les yeux, et l’orgasme me fait frémir, je tends le bassin vers le haut, mais je maitrise parfaitement mes gémissements. J’ouvre les yeux après une minute, et mon voisin est assis sur le siège d’à côté, penché sur moi sans me toucher. Il me dit « vous êtes superbe, mademoiselle, mais ce n’est pas très prudent » il pose sa main sur mon sein et me caresse. Je suis encore sur mon précédent orgasme, je hoquette, mais je le laisse me caresser, écarte même les cuisses légèrement. Je le regarde les yeux mi-clos. Il est beau, très beau même. Il a l’air musclé, et ses paroles font apparaitre une certaine éducation. Et moi, moi, je m’offre à son regard et à ses caresses. J’ai honte de moi, mais je reste sans bouger. Je lui demande son prénom, Brice, je lui dis « moi c’est Claire », « enchanté Claire, j’adore cette rencontre ». Je pose la main sur son sexe dur. Ses doigts pénètrent dans mon minou. J’enrage, et arrête sa main avec la mienne. « Désolée, pas à l’intérieur » Je devine son air interrogatif grâce à l’éclairage du film. Je précise désespérée « je suis vierge » en voyant un sourire éclairer son visage j’ajoute énervée « oui c’est ça je suis encore pucelle ». Il se penche, me calme d’un baiser et recommence à me caresser. Je suis heureuse, j’écarte totalement l’imper, et m’offre sans retenue à ses caresses. Je me suis rhabillée 5 minutes avant la fin du film, et il m’a regardé sortir dans le noir sans rien dire. J’ai été me cacher à la buvette devant un coca, j’ai essayé de le reconnaitre à la sortir, mais impossible.
Lui par contre m’a reconnu : j’ai trouvé une fleur extraite d’un centre de table, posés sur mon sac, à côté de mes fesses, sur mon siège. Je suis rentrée chez moi en le cherchant du regard, mais je suis restée seule. Un très bon anniversaire.
Les vacances de Noël seront bientôt là, encore quelques semaines et je serai à la maison pour 2 semaines. Je rentre un weekend tous les quinze jours. Alors je tombe les fringues : je descends du train, je monte à l’arrière de la voiture, un break Mercedes, j’embrasse mes parents, et sans me préoccuper si on peut me voir je me mets nue sur la banquette arrière, j’enfile mes bottines, mes genouillères. Systématiquement depuis 3 mois, je leur demande, « Vous n’avez toujours pas trouvé le petit plug anal avec une queue ? » (Toujours la même réponse, 3cm de diamètre minimum ma belle). Tant pis je vais devoir m’en passer, je ne me suis jamais fait enculer avec plus gros qu’un doigt, j’attends un homme qui me plait vraiment pour lui offrir mon cul.
Mon beau-père voit que je suis prête, il me dit « mets ta muselière, il y a trop de monde », c’est vrai qu’il y a encore au moins 20 personnes autour de nous. Avec ma muselière-masque toutou sur le nez je suis méconnaissable, mais personne ne pourra avoir de doute sur le fait que je serai intégralement à poil en pleine rue. J’adore toujours m’exhiber. Mon beau-père préfère attendre qu’il y ait moins de monde : même s’il vient me chercher à la gare précédente à 70 km, s’il a légèrement masqué la plaque d’immatriculation et que le moteur tourne, il a toujours peur qu’une voiture ne nous prenne en chasse. Encore une dizaine de personnes, il entend que je souffle d’impatience, je veux m’exhiber. Il sort à l’extérieur de la voiture, ouvre la malle, veut taper à la portière pour que je sorte, mais je suis déjà dehors en pleine lumière, devant des gens de tout âge et tout sexe, éberlués. Je rentre dans la malle, j’écarte les jambes exposant mon minou maintenant totalement épilé. Claude referme vite la porte et retourne prendre le volant.
Plusieurs personnes se sont approchées rapidement de la vitre du haillon, et me regardent couchée sur le dos dans la malle, les jambes en l’air, écartées pour ne rien leur cacher de mon anatomie. Ma mère dit
- « Claire tu exagères, tu aurais pu garder les cuisses serrées au moins. » je réponds en riant :
- « Ta fille Claire, bien propre sur elle, est restée à la fac, c’est ta salope de chienne en chaleur qui vient vous voir. Faudra faire avec et la maltraiter convenablement pour l’inciter à revenir. D’ailleurs, j’ai trouvé un martinet dans un sexshop, j’espère que vous n’hésiterez pas à vous en servir. Je vous expliquerai comment. Sinon qu’est-ce que vous avez prévu pour les fêtes ? »
- « Pour Noël, en famille, ton oncle et tes cousins et cousines vont pouvoir découvrir ta situation. A toi de voir si tu y tiens. Je te demanderai uniquement de te retenir un peu, en ne suçant pas ton oncle, ni tes cousins. Ils seraient trop choqués. Tu pourras te rattr après. Pour le premier de l’an, on est invité 3 jours, chez les Lefèvre, il y aura au moins cinquante adultes, plus pas mal de personnes avec qui tu as été au lycée. Une tenue correcte me parait souhaitable. Helena sera présente, comme vous vous détestez, elle serait enchantée de te martyriser. En chienne, je ne pourrai rien faire pour toi, sauf si elle dépasse certaines limites. Son père aura prévenu tout le monde, mais pas en détail. S’ils te voient arriver à poil, avec ton collier de chien et ta laisse, le cul et la chatte exposés, tu risques d’avoir des réflexions désagréables. En plus, je te rappelle qu’il fait plutôt froid ici en hiver, alors prévois un manteau au moins» je réponds
- « Je verrai, mais je me vois mal empêcher Helena de me demander, debout, assis, coucher, dans la neige pour que je me gèle le cul. Ce ne serait pas gentil de l’en priver. J’aurai le temps de sentir la météo quand vous me sortirez pour mes besoins dans la rue. J’adore voir la tête des voisins quand je m’accroupis pour pisser ou mieux quand je me frotte le cul dans l’herbe après avoir posé ma pêche.
Je me suis entrainée dans ma chambre à la fac, j’ai des abdos d’enfer. J’y arrive super bien. » Ma mère hoche la tête de désespoir.
- « Et c’est l’un de nous deux qui est réquisitionné pour ramasser ta crotte avec un sac à caca. C’est super agréable. » glisse mon beau-père
- « C’est ça d’avoir un chien, faut s’en occuper. J’y pense, vous pourriez m’emmener à la SPA en disant que vous pensez à me laisser pendant les vacances pour pouvoir faire un voyage, j’aimerai voir leur tête en regardant le type de chienne que vous leur amenez. »
On éclate tous de rire. Nous arrivons à la maison. Claude sort en déclenchant l’ouverture automatique du haillon depuis son siège. Je me précipite dehors, surprise, 15 centimètres de neige. Je glisse, je me retrouve allongée de tout mon long. Je sens de la neige rentrer dans ma fente. Mes seins sont glacés. Je me dis que chienne en hiver sera plus dure que je ne le pensais. Un couple de nouveaux voisins passent à côté de moi. Je me secoue pour faire partir la neige qui colle sur moi. Je m’arrange pour leur présenter mon intimité, mais ne voulant pas les effrayer, je ne leur cours pas après. Claude, d’une voix autoritaire, et forte dit « Claire fait tes besoins avant de rentrer, je n’ai pas envie de ressortir pour te faire pisser ». Les gens se retournent vers lui puis vers moi, je me m’accroupis et me mets à pisser. Ils sont à quelques mètres, ils ne peuvent que voir ma fente ouverte qui laisse passer un flot jaunâtre. Pipi terminé je continue à sauter dans la neige malgré le froid. Zut, les voisins me regardent toujours sans s’éloigner, je me mets accroupis et je pousse pour essayer de déféquer. Je pousse fort, je sens que ça vient, les voisins n’en croient pas leurs yeux, je pose une grosse crotte, pas très large mais bien longue. Je m’avance un peu, je repousse, et une autre petite crotte sort. Maintenant que j’ai fait la grosse commission pour épater les voisins qui s’éloignent enfin, faut que je m’essuie dans la neige : c’est beaucoup moins drôle avec la neige. Je cherche un endroit plat. Ils se sont de nouveau arrêtés et regardent intrigués. Je pose mes mains à plat, mes jambes en avant les pieds à 30cm du sol, une sorte d’équerre, je pose mes fesses dans la neige, je me penche en avant et je marche sur les mains en frottant mes fesses dans la neige fraiche. Ca marche super bien, mon entrainement porte ses fruits. Je n’avais juste pas pensé qu’en frottant mes fesses dans la neige poudreuse, mon bas-ventre fonctionnerai comme un chasse-neige. J’en ai jusqu’au nombril, j’ai en plus la fente ouverte, e par la neige qui est entrée à l’intérieur. J’ai l’impression d’avoir un glaçon dans le sexe. Je ne ris plus du tout, je bouge mon bassin comme si je voulais twerker. La neige fond à l’intérieur de mon sexe et fini par tomber. Je suis soulagée. J’ai les lèvres gelées (en bas) Mais je pense aux prochaines fois où je vais devoir le refaire en public, j’ai peur de flancher. Ma mère ramasse mes crottes, je rentre au chaud dans la maison. Je me couche en travers d’un fauteuil devant la cheminée, les jambes et surtout le bas-ventre vers le feu. Je touche mes lèvres, je fais partir de la glace qui s’était formée à la jonction près du cul. Mon père rentre ma petite valise et me dis
- « tu n’as pris que ça comme affaires pour 15 jours ? »
- « Toute mes fringues de chienne sont ici, et je n’ai pas de cours à préparer, je suis à jour. Je n’ai pris que mon nouveau harnais, et ma ceinture de chasteté … »
- « On va manger » dis ma mère depuis la cuisine
Je passe ma main sur mon sexe, et fait tomber les dernières traces de glace. Je me rapproche du feu, mes fesses tendues vers la chaleur qui s’insinue au fond de moi. Quand ça brule un peu je retourne me coucher sur le tapis au pied de mon beau-père. Je me mets sur le dos les bras et les jambes écartés attendant une caresse qui ne vient pas. C’est dure la vie de chien. Ma mère passe la tête pour qu’on aille à table, elle me voit quémander cette caresse, elle ne sait pas si elle doit se fâcher ou rire. Elle sourit moqueuse, et dit : « Claude, ta chienne attend ». Il se penche me voie, hésite, pour lui, je reste plus sa fille plus que sa chienne, il a du mal, je vois les larmes dans ses yeux, sa main descend sur mon nombril, puis vers mon sexe et le caresse. Il sait que je suis en voie de guérison, mais que, depuis quelques temps, un fantasme masochiste me travaille. On en a parlé avec le docteur, qui a conseillé de laisser faire, de ne pas hésiter à faire mal, mais en prenant des précautions pour éviter les blessures. Mes parents étaient présents, quand j’ai expliqué, il y a quinze jours, à Jérémy, le fils des voisins comment caresser mon ventre, et surtout me tripoter violement le bouton. Entre deux doigts, Claude att mon bouton, je décalotte. Je tends mon bassin pour l’offrir. Mon beau-père sait ce que je veux mais il n’aime pas cela, mais il le pince en le tordant. Mes mains sur ma bouche, je gémie. Il tord et pince plus fort. Je tremble, jouie, et cris de douleur. Je maintiens mon bassin relevé, tendu vers cette main qui me martyrise. Il caresse mon bouton doucement maintenant, je lui dis dans un gémissement de plaisir, « Recommences plus fort, fais-moi mal, punis ta salope de chienne en chaleur. Pince-le. Je t’en prie. » Désabusée, ma mère assiste à l’échange, et dis « vas-y Claude satisfait là qu’on puisse manger » je remercie ma mère d’un regard, mon père pince et tord mon bouton. La douleur est si intense qu’aucun son ne sort de ma bouche. Mes cuisses se serrent contre la main qui me , je suis secouée des spasmes de mon orgasme. Malgré ma position, bassin soulevé, les lèvres de ma chatte s’humidifient et coulent, j’ai le haut des cuisses trempées. J’ai l’impression de n’avoir jamais autant mouillé. La douleur a été si forte que je ne l’ai pas senti me lâcher. Je repose mes fesses au sol, je récupère les cuisses écartée, « Merci, j’ai mérité cette punition, demain je te montrerai le martinet, vous me fouetterez tous les deux. » Péniblement je me mets en levrette puis debout. Je vais à la cuisine chercher les plats et les boissons. Je les dispose sur la table entre mes parents. Je pose la gamelle du chien à côté, en disant « Pour vos déchets, mon repas de tout à l’heure » Ils me regardent avec reproche. Je reprends « s’il te plait traites moi comme je le dois en chienne en chaleur sinon je n’évoluerais pas, je pourrai devenir une chienne lubrique, et je m’offrirai au premier venu, tous les jours. Je ne veux pas devenir ce genre de salope. Je veux reprendre pied. » Je me baisse. Je me mets à genou à côté de la table bien en vue en position d’attente et d’exposition de mon corps et j’attends. Ils posent quelques restes de leurs assiettes dans ma gamelle, mais surtout des beaux morceaux. Il y en a au bord de son assiette, je dis « Le morceau là tu peux le mettre. » Elle me dit qu’il est tombé par terre. Je la regarde, et dit « ce n’est pas sale pour une chienne, mets le s’il te plait »
Ils se lèvent de table, je rassemble les couverts et les assiettes, vide les assiettes des restes dans ma gamelle. Ma mère me dit « pas ça, je l’ai recraché, ce n’est pas mangeable. » je lui souris, continue à rassembler les restes, apporte la vaisselle à laver dans l’évier, pose ma gamelle par terre entre eux, me mets à 4 pattes et commence à manger avec les doigts : je n’arrive pas encore à manger sans mes mains. J’apprends vite, c’est pour bientôt.
On sonne à la porte, il est 20h30, un voisin vient avec son fils, Jérémy. Je le connais bien. Il était en première ensemble mais il a redoublé, il est un peu plus vieux que moi. Jérémy avait entendu de vagues bruits sur moi, mais n’avait pas compris. Il me voit devant lui, nue les mamelles pendantes en train de manger un mélange infâme de reste de soupe, légume viande croute de fromage et dessert mélangé. Je fini ma gamelle en la léchant. J’entends le voisin dire, « je venais voir comment vous alliez, et voir si mademoiselle Claire était rentrée. Elle va bien ? » Je ne suis pas dupe, mes parents non plus, ils sont furieux. Docile, je me dirige à 4 pattes vers le fils, fais semblant de lui renifler le pantalon à l’entre-jambes, me mets à genou et ouvre sa ceinture, le fils recule, j’avance, son père lui dit « ne bouge pas idiot. » Il regarde son père et me regarde quand je sors son sexe et le mets en bouche. Je le suce en douceur, sa bite prend rapidement sa taille maximum, je suce encore il gémie, et se vide dans ma bouche. J’avale tout. Mes parents sont dégoutés, ils pensaient que j’étais presque guérie. Je dis : « merci Jérémy, tu veux encore ?» Il ne répond pas, je reprends le sexe, et recommence une nouvelle fellation, plus ample, plus profonde. Il s’appuie contre le mur, le sexe tendu en avant vers ma bouche. Il n’arrête pas de gémir puis décharge une nouvelle fois dans ma bouche. Je lui montre son sperme dans ma bouche et j’avale. Je lui dis « il est bon ton sperme. Tu veux encore ? » Son père s’empresse de répondre pour lui «Non, c’est pas raisonnable, il reviendra » Mes parents sont outrés de la façon dont le voisin profite de la situation. Il se met bien face à moi et sort lui-même son sexe de sa braguette. Je plonge dessus et commence à pomper. Je m’active pour le faire gicler rapidement. Le fils approche sa main de ma joue pour la caresser. Je le regarde en souriant. Je l’att et la descend sur mon sein. L’homme gicle, j’avale directement la semence. J’allais remonter le slip quand il dit « encore une petite ? Ca fait longtemps. Je le regarde dans les yeux, et le reprends en bouche. Je mets près de 10 minutes à le faire gicler une 2ème fois. J’ai mal à la mâchoire quand enfin il décharge 3 gouttes. Tout ça pour ça ! Ils n’ont pratiquement pas parlé, ils ne sont venus que pour la fellation. Ils repartent. Je me dis que je vais mieux : j’aimer sucer Jérémy, mais je me demande si je sucerai son père la prochaine fois. Ma mère me dit
- « tu ne peux pas sucer tous ces porcs ! Claude ne les laisse pas entrer demain, dit qu’elle dort »
- « Papa laisse entrer Jérémy s’il revient, il est gentil, je ne pense pas qu’il viendra de toute façon »
Je me mets à genou près de mon père la tête sur sa jambe. Je suis bien. Mon retour est comme d’habitude, un mélange d’avilissement et de compassion. Petit à petit la compassion prend le pas sur mon désir d’avilissement. Seul mon désir de sperme reste intact, mais je sens qu’il devient moins impératif, pour moi toutes les occasions ne sont plus ment bonnes. Ca ne fait que 4 mois que je fais la chienne, mais j’ai déjà bien évoluée au fond de moi. Je commence, au contact de certains, à me poser des questions. La route est longue. Je me tourne vers mes parents, « je vais fais mes besoins », ma mère immédiatement, « il fait trop froid maintenant, va dans les toilettes, », je la remercie pour sa proposition et vais vers la porte de derrière. Je sors dans la neige. Il fait vraiment très froid. Je reste immobile les jambes écartées en forçant pour faire venir l’urine. Je sens mes lèvres, mon bouton et mes tétons geler sur place. Je force et enfin l’urine chaude coule entre mes jambes et fait du bien à mes lèvres. J’ai mal aux tétons et à mon clitoris, je rentre vite à l’intérieur. Je me sèche avec le torchon pour les mains. J’appuis sur mon bouton pour le réchauffer. J’arrive dans ma chambre je m’allonge sur mon lit, tire la couette sur moi. Ma mère a refusé catégoriquement que je dorme sur le canapé de la salle à manger. L’été prochain, elle a promis que je pourrai dormir dans l’ancienne niche du chien, mais elle a encore le temps de refuser. Je m’endors immédiatement.
Le lendemain, le père de Jérémy pointe son nez à la maison vers 10h30, mon père le reçoit sur le pas de la porte, il demande explicitement si je suis disponible, mon père répond que je dors encore. Il espérait une nouvelle pipe. Il ralle en repartant sans s’être vidé les couilles. C’est le seul voisin à profiter de la situation, les autres viennent rarement quand je suis là. Jérémy vient à son tour vers 11h30, mon père, à ma demande, lui dit de faire semblant de repartir vers la ville et de revenir par la porte de derrière. Mon père lui dit que je suis dans ma chambre au premier, qu’il peut monter je l’attends. Timide il monte. La porte de ma chambre n’est plus jamais fermée, il me trouve sur mon lit, comme d’habitude, nue les jambes écartées. Je le fais assoir sur mon lit à côté de moi, sa main commence à me caresser le mollet, je l’attire vers moi, et place ses mains sur mon sexe et mes seins. Je lui dis qu’il ne peut pas mettre ses doigts à l’intérieur de mon vagin, sinon tout est permis. Il me demande pourquoi je fais cela. Je ne sais pas trop quoi répondre. J’essaie de lui fournir une explication, de l’attitude des mecs par rapport aux filles, l’avilissement programmée de la relation entre conjoints, la soumission, mais il ne comprend pas et moi, je ne suis plus sûr de rien. On parle pendant près de 4 heures, il me caresse, me fais jouir à plusieurs reprises, je le suce plusieurs fois. On est bien l’un près de l’autre. Quand il part vers 16 h, je reste allongée sur mon lit, languissante. Repue de sperme. Je vais rejoindre mes parents vers 20h. Je dispose les plats, ma gamelle, et me glisse sous la table. J’attends la fin du repas, pour récupérer les restes pour manger, ma mère n’a mis que des beaux morceaux. Je m’approche d’elle, je la serre fort pendant longtemps, Je prends ma gamelle, et je m’assois à table, la première fois depuis 4 mois. Mes parents me regardent en souriant.
Je vais faire mes besoins dans la neige et le froid. J’ai si froid qu’après avoir fait pipi, je tombe assise dans la neige, j’ai du mal à me relever, je tombe plusieurs fois, j’ai le sexe gelé. Je frotte avec mes mains couvertes de neige. J’ai mal. Je rentre dans la maison sans m’essuyer, je vais dans le salon devant la cheminée, chercher un peu de chaleur. Mes parents me voient couverte de neige de neige au niveau des fesses. La neige, dans ma fente, ne fond pas, j’ai trop froid. Ma mère me met sa main chaude entre les cuisses, le sang recommence à passer, je crie, la douleur devient violente dans mes lèvres. Dès que je suis réchauffée je me dirige vers ma chambre. Ma mère me dit « je t’interdis de faire tes besoins dehors » je souris, et réponds « non ça je ne peux pas encore, tant que je suis une chienne je fais mes besoins dans la rue » et je pars me coucher. Aujourd’hui je n’ai sucé que Jérémy. Je suis contente de moi.
Le lendemain, je prends une bonne douche, et je m’habille en femme. J’arrive dans la salle à manger, mon père me dit « je suis heureux de te voir habillée dès le matin. Le train n’est qu’à 15h heures tu sais ». Je le regarde en face. Je me sers contre lui. Je ris avec mes parents, Jérémy vient vers 11h, il reste avec nous au salon, il ne me touche pas, je ne lui fais pas de fellation. Quand il part, je lui dis merci pour son aide. Je mange avec mes parents à table, après le dessert, mon père s’allonge sur le canapé, ma mère dans un fauteuil. J’hésite, puis je me mets dans l’autre fauteuil. Il est l’heure, je me sers contre ma mère, je lui chuchote « je vais réfléchir à ma tenue de Noël » Mon beau-père se lève et signale qu’on est en retard, qu’il faut se dépêcher. J’arrive juste au train, embrasse mes parents et repart vers la fac, la dernière fois avant noël.
(à suivre)

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