Les Jeux D'Etna, Plantureuse Femelle Très Soumise De 43 Ans - 3Ème Partie

Jouet charnel et charnu, je me sens telle un gros gâteau
dégoulinant de crème, à la vitrine
d’un pâtissier.
Tu m'ordonnes de me mettre à 4 pattes.
Malgré l'ivresse du champagne, je sens la douleur de mes
genoux dans la boue glacée du bois.
Mais qu’importe. Ma nature de femelle docile, l’état dans
lequel je me trouve, nue et offerte, me rendent
complètement esclave des bites qui évoluent devant moi et
qui me sont destinées.
J’ai les yeux rivés sur elles et ne désire qu’elles, par
n’importe quels moyens.
Deux hommes se placent derrière moi et, suivant tes
ordres, entreprennent de me goder le sexe et le trou du cul
avec les goulots des bouteilles de champagne vides.
Cà rentre et çà sort sans ménagement… et sans difficultés.
De mon entre jambes s’élèvent clairement les bruits du
clapotis flasque de mes chairs intimes, lubrifiées par un
mélange de fond de champagne et de mes abondantes
sécrétions gluantes, meurtries par les goulots des
bouteilles qui par moment s’entrechoquent.
Poussée par l’excitation incontrôlable qui me gagne toute
entière, je me met instinctivement à remuer mes grosses
fesses en tous sens.
Je crie, je gémis, j’agite frénétiquement la tête en haletant,
bouche grande ouverte, langue
sortie.
Un des hommes, sachant profiter de la situation, se place
devant moi et s'enfonce dans ma bouche.
" T'es une bonne salope " dit-il.
Les autres s'occupent de mes formes plantureuses, me
malaxant les lourdes fesses et les grosses mamelles aux
longs bouts dressés qui pendent presque jusque dans la
boue du sol.
Cà y est, il me jute dessus. J'en ramasse plein le dos et
les épaules.
Je me régale à la fois de la sensation des jets de sperme
chaud qui s’écrasent par saccades sur
ma chair, des râles du mâle jouissant et de la vue de sa
grosse bite sur laquelle il tire comme
un forcené pour en extraire le jus qui m’est destiné.


Une nouvelle queue investi immédiatement ma bouche.
Celui qui a jouis commence à me frapper les fesses et les
coups claquent pendant que les goulots continuent à me
pénétrer de plus en plus profondément.
La nouvelle trique gicle directement dans ma gorge en me
maintenant la face écrasée contre
son bas-ventre.
Ma bouche est pleine de foutre gluant.
Un troisième mâle me pénètre à nouveau entre les lèvres et
très rapidement me balance à nouveau tout son paquet sur
le dos et les épaules.
Il jute abondamment . Les jets semblent ne jamais vouloir
s’arrêter et je sens une petite marre
gluante se former dans le creux de mes reins.
Quand il a enfin terminé, il me saisit le visage par le
menton, le soulève et s’essuie la queue sur toute sa
surface.
Les autres n'en peuvent plus. Ils abandonnent les deux
bouteilles indécemment suspendues,
comme ventousées à mes deux trous et viennent autour de
moi.
Je suis complètement folle avec toutes ces queues et tout
ce sperme.
Je me redresse à genoux, et je sens la petite marre de
foutre gluant s’écouler du creux de mes
reins dans le sillon profond de mes grosses fesses.
Sensation affolante pour mes sens déjà très exaltés, que
cet écoulement visqueux de semence
mâle qui s’insinue dans les profondeurs odorantes de mon
intimité.
Je saisi une queue dans chaque main et entame
instantanément une masturbation frénétique.
Je happe ensuite la troisième en bouche et me régale du
spectacle de la quatrième, branlée à quelques millimètres
de mon nez par son propriétaire.
Je hume les puissantes effluves de cette grosse bite, je
savoure le goût poivré de l’autre et mes
mains emplie de puissants épieux charnels gonflés de
sève ne peuvent que les astiquer allégrement.

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