Du Bonheur À L'Horreur 2

Je me réveillais difficilement au son de mon réveil indiquant 8h que j’avais eu la présence d’esprit de régler avant de boire. Julien, à mes côtés, émergeait difficilement également. Mon crane me faisait affreusement mal et j’avais des difficultés à me remémorer la soirée de la veille. Cependant mon corps nu et les douleurs au niveau de mon vagin et mon anus indiquaient que nous avions fait des choses pas très catholiques. Je n’avais que des flashs de la soirée et les multiples orgasmes ressentis me revenaient quelques peu en mémoire. Une honte m’envahit car je savais que mon fiancé n’était pas celui qui me les avait donnés.
Je m’habillais en vitesse mais aucune trace de mes sous vêtement, néanmoins nous étions pressés donc je décidais de les abandonner. Sur la route du retour Julien ne m’a pas adressé un mot et je me demandais s’il se souvenait de toute la soirée, s´il me faisait la gueule mais je n’osais pas lui demander, j’avais tellement honte. Heureusement nous devions nous séparer pour la journée, lui devait se charger des derniers préparatifs du repas et du dj pour le mariage et moi aller voir si le plan de table et la décoration avait été respecté. Nous discuterions de ça surement ce soir mais pour ma part je préférais oublier tout simplement cette soirée et faire comme si elle n’avait jamais existé.
Après une bonne douche et un bon café je me sentais un peu mieux. J’enfilais une robe sage a fleur sur des sous-vêtements en coton blanc sage également et je partis au lieu de réception du mariage pour vérifier les détails. Tout était parfait et j’étais tellement pressée d’être après demain pour que mon père puisse m’accompagner pour m’unir à l’homme de ma vie. Tous mes rêves aller se réaliser.
Après manger en début d’après-midi je reçu un appel d’un numéro inconnu.
- Allo ?
- Allo Adèle c’est Carlos a l’appareil comment vas-tu après cette folle soirée ?
Mon sang se glaça et je devins livide et ne sus pas trop quoi répondre terrifiée.


- Ça va et vous ?
- Oh s’il te plait après tout ce que nous avons partagé tutoies moi. J’ai retrouvé quelques choses qui t’appartiens chez moi, tu préfères venir les chercher au bureau ou je te les apporte au mariage ?
Mes sous-vêtements me revinrent directement en mémoire et je n’avais aucune envie qu’il me rapporte ça le jour de mon mariage.
- Non je viens tout de suite les chercher.
- C’est bien je t’attends dans ce cas.
Mes vérifications étant terminées je me mis donc en route vers les bureaux ou travaillait mon mari qui heureusement été en congé. Je voulais récupérer mes sous-vêtements et partir au plus vite en oubliant ce gros porc. J’étais déjà dégouté de le revoir mais en plus je savais qu’il serait présent le jour de mon mariage et j’espérais que lui comme Atif ne ferait aucune allusion cette soirée devant ma famille si catholique et prude.
J’entrais dans la petite entreprise et me dirigea directement vers le bureau de Carlos pour toquer à la porte.
- Entrez
Me voyant entrer dans son bureau Carlos se leva tout sourire. Il était vraiment moche avec sa grosse moustache son ventre bedonnant et son début de calvitie. Il se dirigea vers moi.
- Ah c’est toi ma belle comment vas-tu ?
Il me prit dans ses bras et me fis deux grosses bises appuyées. J’étais complètement tétanisée.
- J’imagine que tu es venue pour cela ?
Il sortit de sa poche mon tanga et mon soutif qu’il renifla avant de me les tendre. Il me dégoutait mais j’étais vraiment paralysée. Je pris timidement mes vêtements intimes et les rangea dans mon sac.
- Alors remise de ta soirée ?
- A vrai dire je n’ai pas beaucoup de souvenir… A partir du poker c’est devenu très flou…
- Hahah bah je peux te dire que tu as passé une très bonne soirée petite coquine.
Il me mit une petite fessée en me disant cela. Je ne réagis même pas tellement choquée, le culot de cet homme me tétanise. Il dut remarquer cela car il se rapprocha et pris mon visage dans ses mains.

- Tu es tellement belle et jeune tu pourrais être ma fille. Si tu veux je peux te faire un petit résumé d’hier soir ?
Aucun son ne sortait de ma bouche, j’étais comme hypnotisée. Il m’embrassa alors d’abord tendrement puis je sentis sa langue forcer l’entrée de mes lèvres et envahir littéralement ma bouche. Ses mains quand a elles descendaient le long de mon corps passant par mes seins, mes tétons qui se mirent à pointer jusqu’à mes fesses qu’il palpait maintenant de ses deux grosses mains.
Ce baiser intense dura de nombreuses minutes et je me laissais totalement aller à cet homme qui me dominait. Sa langue parcourait toute ma bouche, il suçait ma langue par moment. La situation m’échappait totalement et je savais que je n’oserais jamais me révolter. Il me souleva et m’assit sur son bureau.
- Tu vas passer la soirée avec moi histoire de profiter encore un peu de ton célibat. Je vais te faire passer un bon moment ne t’en fait pas.
D’après son ton je savais que ce n’était pas une question et il savait que ma timidité et son emprise sur moi suffisait à ce que je n’émette aucune protestation.
- Appelle Julien pour lui dire que tu ne rentreras pas ce soir, que tes copines t’ont prévu une petite soirée.
Tout en me disant cela il m’écartait les jambes et fit descendre ma petite culotte.
- Tout de suite !
Je sortais mon portable de mon sac et composa le numéro. Carlos plongea sa tête sous ma robe et commença à me lécher le sexe qui devait être trempé vu mon excitation coupable. Le premier contact de sa langue sur mon clitoris me fit l’effet d’une décharge électrique et le souvenir du cunnilingus de la veille me revint directement en mémoire. Il savait y faire et le plaisir fut quasi immédiat que j’en oubliait que mon portable sonnait.
- Allo chérie ?
- Allo mmmon cœur ça va ?
- Oui très bien qu’y a-t-il ?
- Juste pour te dire que je ne vais pas rentrer ce soir, les filles mmmmoui m’ont prévu une soirée.

- Ah c’est super ! Sinon ça va tu as l’air bizarre ?
En effet la langue de Carlos s’activait autour de mon clito et j’avais énormément de mal à parler normalement tellement c’était bon.
- Oui je fais juste un peu de sport pour rentrer dans ma robe après-demain.
- Ah d’accord ! Je voulais te dire à propos d’hier soir…
- Oh ooouii ?
Ça y est l’orgasme m’envahit totalement et je serrais mes cuisses sur le visage de Carlos qui se relevât satisfait avec ma mouille plein la moustache.
- Je ne sais pas si tu te souviens, pour moi c’est flou mais je pense que nous avons deconné et nous nous sommes un peu trop laissé aller tous les deux hier soir.
Tout en écoutant Julien parler je voyais que Carlos commençait à se déshabiller enlevant sa chemise puis son pantalon et enfin son slip laissant apparaitre son énorme sexe qui me fit le même effet qu’hier c’est-à-dire très peur.
- En tout cas je voulais que tu sache que je ne t’en veux pas et que j’espère que toi non plus. Il faut juste que l’on oublie cette soirée et que l’on n’en parle plus jamais qu’en pense tu ?
J’écoutais a moitie complétement tétanisé par la vue de Carlos qui s’approchait. Il m’écarta les jambes plaça son sexe a l’entrée de ma vulve accueillante et poussa doucement son énorme chibre à l’intérieur
- Adèle ?
- Moooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiiii ! Je suis d’aaaaaaacord.
Je ne pouvais maintenant plus parler avec ses trente cm de chair dans mon vagin. Carlos commença un lent va et vient et le plaisir était juste incroyable. Et ma honte était énorme, j’étais au téléphone avec mon fiancé pendant que son horrible patron me pénétrait.
- Ok ok du coup je te laisse finir ta séance de sport on se voit demain. Passe une bonne soirée avec les filles. Je t’aime fort Adèle je suis tellement pressé que tu deviennes ma femme.
Carlos accélérait maintenant vraiment le rythme et je sentais son sexe entrer au plus profond de moi c’était tellement bon mais j’avais tellement de peine pour mon beau Julien que je trompais en ce moment même.

- A demain mon ammmour. Je t’aimmme fort aussi.
Je raccrochais et Carlos me retourna immédiatement et m’allongea les seins contre son bureau, se plaça derrière et repris sa pénétration avec force. Après plusieurs allers-retours je fus saisit d’un nouvel orgasme et je ne retenais plus du tout mes gémissements, c’était tellement bon.
Dans cette position j’étais devant l’ordinateur de Carlos qui affichait la caméra de surveillance de l’entrée de l’entreprise et quelle ne fut pas ma surprise de voir la voiture de mon fiancé se garer suivit de celle d’Atif.
- Ah oui Julien a dû oublier de te dire qu’il avait un petit entretien annuel aujourd’hui. Mais t’inquiète on sera discret.
J’étais horrifiée de voir mon Julien discutant avec Atif tranquillement dehors a quelques mettre du bureau de son boss qui me défonçait en levrette.
Je sentis un cracha sur mes fesses puis deux doigts étalant la salive a l’entrée de mon anus je pris peur mais Carlos me plaquait fermement sur le bureau et continuait ses va et vient avec forces. Je sentais un doigt puis deux entrer dans mes entrailles en faisant des mouvements circulaires. Puis je sentis Carlos se retirer de ma vulve et présenter son gland a l’entrée de mon cul et d’une puissante poussée il fit entrer le gland. Je ne pus retenir un cri étouffé par la main de Carlos sur ma bouche. Il prit ma culotte pour la mettre entièrement dans ma bouche pour retenir mes cris.
- Tu feras moins de bruit comme ça. Il ne faudrait pas que ton chéri nous entende.
Il poussa une nouvelle fois et tout son sexe entra en moi. Je criais de douleur mais j’étais complétement bloquée sur ce bureau avec le gros ventre de Carlos appuyant sur mon dos. Il commença des grands mouvements et la pénétration coulissait de mieux en mieux et naturellement la douleur se transformait lentement en plaisir.
- Tu es vraiment une sacrée salope. On va vraiment passer une bonne soirée ma belle.
Il envoya une énorme fesse en me disant cela et un autre tout en me défonçant.
- Toc toc toc
- Deux minutes Julien !
Il accéléra encore et je sentis Carlos entrer au plus profond de moi, se crisper et éjaculer au fond de mon intestin me procurant un orgasme énorme.
Il se retira et commença à se rhabiller. Je voulus faire de même mais ma culotte était pleine de bave en sortant de ma bouche. Je la remis donc dans mon sac.
- Planque-toi sous mon bureau t’inquiète ça ne sera pas long.
Je me mis donc à quatre pattes sous le bureau de Carlos qui lui ne s’était rhabillé que du haut et s’assit sur sa chaise. Il prit mon visage et l’inclina sur sa verge et je fus obliger de le prendre en bouche malgré les odeurs nauséabondes de mes entrailles.
- Entre Julien !
J’étais totalement humiliée, à genoux, du sperme dégoulinant de mon anus et un énorme sexe flasque entre les lèvres pendant que mon fiancé s’installait devant le bureau de son patron. J’avais déjà du mal à bien sucer ce sexe pas encore dur que ça me faisait mal aux mâchoires mais je m’efforçais de faire ça bien pour ne pas risquer que Carlos révèle ma position.
- Comment vas-tu ? Pas trop dur ce matin ?
- Si un petit peu, désolé on a dû partir en coup de vent ce main nous avions encore beaucoup de préparation pour samedi.
- Oui j’imagine j’espère que vous avez passé une bonne soirée ?
- Oui enfin je pense, mes souvenirs ne sont pas très clairs même si ce genre de soirée n’est vraiment pas pour nous. Je pense qu’Adèle n’a pas trop apprécié et moi ça m’a gêné aussi….
- Je comprends ça ne se reproduira plus mais il fallait le dire si ça vous gênait. Enfin bref parlons de ton travail.
J’entendais toute la conversation durant laquelle Carlos imprimait un rythme sur ma tête avec sa main poussant de plus en plus son sexe qui était maintenant bien dur au fond de ma gorge. Ils parlèrent travail, objectifs, etc. A un moment mon patron poussât d’un coup son sexe au fond de ma gorge et refermât fort ses jambes pour que je ne puisse bouger. Je voulais hurler, vomir mais j’étais bloquer, contrainte de faire le moindre bruit.
- Bon je pense que tu mérites une augmentation en tous cas tu fais du bon travail et je sais que je peux compter sur toi
- Merci Carlos j’adore bosser ici également et ce projet de nouvelle plateforme de streaming me plait vraiment.
- De rien et on se voit au mariage dans tous les cas. Tu pourras dire à Aziz de venir en sortant et passe le bonjour à ta belle fiancée
J’entendis la porte se fermer et Carlos desserra ses jambes. Je pensais que j’allais il, était resté une bonne minute tout au fond de ma gorge. Mon menton était couvert de ma salive.
- Tu dois être contente ton futur mari a obtenu une augmentation et c’est aussi grâce à toi. Allez vient t’empaler sur ma grosse bite.
Telle une automate je me levais, enjambais Carlos et descendit sur son chibre avec un râle de plaisir. De ses deux mains il enleva ma robe et défit mon soutien-gorge libérant mes petits seins qu’il prit directement à pleine mains. Dans cette position son sexe entrait complétement en moi et de moi-même je montais et descendait sur ce sexe c’était vraiment bon. J’avais honte de tromper mon fiancé surtout avec son patron horrible mais je ne pouvais rien refuser et le plaisir que me donnait cette bite n’était pas refusable. Il m’embrassait à pleine bouche sa bave coulant le long de mon menton quand j’entendis la porte se réouvrir.
- Ah bah je vois que l’on ne s’ennuie pas ici. Le puceau t’a prêté sa bombasse. Elle était déjà en manque de grosse bite hahah
- Allez fou toi à poil et vient la culbuter avec moi qu’est-ce que t’attend
Carlos m’allongea sur son bureau continuant à me pilonner, Atif de l’autre cote pris ma tête entre ses mains et introduisit son sexe en entier. Se servant de ma gorge comme d’un sexe j’étais prise des deux côtes du bureau. Les couilles poilues d’Atif recouvraient mes yeux. Moi j’étais en transe et je ne comptais plus les orgasmes que me procurait la bite de Carlos. Après plusieurs minutes de ce traitement Carlos me leva, moi tel un Koala sur son arbre j’étais suspendu à lui. Atif se plaçait derrière et introduit son sexe dans mon anus j’étais en suspension empalait sur les deux bites des collègues de mon mari qui m’embrassaient a tour de rôle.
- Je ne le crois pas que cette petite sainte ni touche t’obéisse comme ça.
- Je l’ai vu directement qu’elle voulait découvrir les plaisirs de la vie cette petite
J’étais humiliée mais je profitais au maximum de cette double pénétration car je me promis que dès demain c’était fini tout ça et que je serais la femme d’un seul homme. Ils me prirent ainsi pendant plus d’une heure échangeant les positions j’eu un nombre d’orgasme incalculable jusqu’à ce qu’ils éjaculent tous les deux dans ma bouche une énorme quantité de sperme que je dus bien sur avaler.
- Merci boss pour cette petite surprise moi j’y vais il est 18h
- Ça marche Atif on se voit demain. Bon Adèle on va chez moi prendre une bonne douche et te trouver une robe dans les affaires de ma femme car ce soir je reçoi des clients à la maison pour un rendez-vous d’affaire. Nat est absente et j’aurais besoin que tu la remplace.
A ses ordres je me rendais compte que j’obéissais depuis tout a l’heure sans dire un mot. Je me rhabillais et nous partîmes dans sa voiture direction sa grande maison, théâtre de l’orgie de la veille.
- Tu sais où est la salle de bain. Va te doucher je vais te choisir une tenue dans le dressing de ma femme.
Je pris donc une bonne douche et la fellation de la veille que je fis à Atif me revint en mémoire. Cela faisait un bien fou de se laver après ces heures d’orgie. Cela me fit réaliser que jetais vraiment en train de faire n’importe quoi. Mais il fallait se rendre à l’évidence j’étais incapable de refuser quoique ce soit à cet homme pourtant horrible physiquement. J’étais sous son emprise.
Je sortais et me maquillais en attendant que Carlos me ramène les affaires. Il apparut changé et lavé avec une robe et des talons qu’il me tendit.
- Ne met pas de sous-vêtements tu n’en auras pas l’utilité.
La robe était rouge courte mais d’une certaine classe et les talons mettait en valeur mes jambes. Avec ma peau bronzée et mes cheveux bruns soyeux j’étais vraiment belle ce soir. Je rejoignais donc Carlos au salon qui me regardait avec envie.
- Tu es vraiment canon Adèle si on avait le temps je te défoncerais encore une fois.
Je rougis malgré la certaine vulgarité de cette remarque. La sonnette resonna.
- Va ouvrir et ramène-les au salon.
Je m’exécutais ne sachant vraiment pas à quoi m’attendre ce soir. Je pensais naïvement que je devais représenter la classe de l’entreprise et charmer les futurs clients de mon mari.
En ouvrant je découvris deux asiatiques d’un certain âge, ils devaient approcher les 60-70ans. Ils étaient dégarnis tous les deux, pas très grands, maigres avec des visages de vieillards. Ils souriaient et avaient l’air sympathique. Je leur serrais la main et les invitais à me suivre jusqu’au salon où les attendait Carlos.
La discussion entre les trois hommes se fit en chinois que Carlos paraissait maitriser à la perfection. Nous étions moi et Carlos dans un canapé et les deux asiatiques dans le canapé d’en face. Je ne comprenais rien à leur discussion me contentant de sourire et de boire le champagne que Carlos nous servait abondamment. Les trois hommes semblaient négocier et je sentais les regards des asiatiques vers moi par moment comme si j’étais le cœur du débat. Cette situation me mis mal à l’aise surtout que les deux vieillards commençaient à avoir des sourires lubriques.
Après une bonne heure de négociations. Carlos sortit des feuilles de sa sacoche que les deux autres signèrent. Carlos se mis debout et levant son verre pris la parole cette fois en français.
- Je suis heureux d’annoncer la signature de ce contrat qui ouvre notre plateforme de streaming au marche chinois ce qui représente un énorme boost économique pour notre entreprise.
Tout le monde se mit à applaudir et moi aussi j’étais heureuse car cela était super pour mon petit Julien.
- Maintenant fêtons cela s’écria Carlos en débouchant une autre bouteille de champagne.
Carlos se pencha alors à mon oreille.
- Ma belle je leur ai promis que tu leur accorderais quelques petites danses pendant la soirée ce qui a accéléré les négociations alors ne me déçois pas.
Je me disais bien que ces regards vers moi n’étaient pas innocents mais bon si ce n’était que des danses je pouvais bien leur accorder ça et puis je commençais à être un peu éméchée donc ça ne me dérangeait pas. Carlos se leva vite mettre de la musique et presque immédiatement un des asiatique m’invitât à danser.
C’était évidemment un slow, je me retrouvais donc au milieu du salon dans les bras du vieillard. Ses mains caressaient mon dos et je sentais sa respiration dans mes cheveux et mon cou. Au bout d’un moment je sentis un baiser sur ma joue en même temps que ses mains descendaient vers mes fesses. Me rappelant que je n’avais pas de culotte je voulus saisir ses mains pour les remonter mais l’autre asiatique que je n’avais pas sentis arriver se plaqua dans mon dos et empêcha mes mains d’arriver à destination.
J’étais donc en train de danser en sandwich entre les deux hommes. Celui d’en face avait passé ses mains sous ma robe et me caressait donc les fesses pendant qu’il me léchait le cou et la joue. L’autre se saisit de mes seins qu’il malaxait par-dessus ma robe et me léchait l’autre joue.
Je me resignait a mon sort sachant que je n’aurais pas le caractère et le courage de les repousser surtout que je pouvais voir le regard satisfait de Carlos assit dans le canapé. Le spectacle devait être hallucinant, une superbe jeune femme de 22ans dansant coller serrer avec deux vieillards de 70ans.
Le slow terminé j’allais me rassoir à côté de Carlos essuyant mes joues couvertes de bave mais satisfaite que ce ne fut que des caresses finalement. Je pense qu’ils avaient peur d’aller plus loin devant Carlos. Cependant il m’empêcha de m’assoir et sans aucune retenu fit passer ma robe au-dessus de mes bras. Je me retrouvais donc nue les larmes aux yeux et totalement impuissante. Les asiatiques n’en croyaient pas leurs yeux, se mirent à sortir leurs sexes de tailles raisonnables et commençaient à se toucher en me regardant. Carlos me pris par la main et me tendit à ses clients comme pour leur donner le feu vert à mon grand désespoir.
Je fus immédiatement malaxée de tous les côtés par ces 4 mains : mes seins, mes fesses, mon clitoris. Je fermais les yeux ne voulant pas voir ce qui m’arrivais. Je sentais des langues envahir ma bouche, des doigts pincer mes tétons, d’autres pénétrer mes orifices. Je commençais à mouiller sévèrement malgré mon dégout. Ils me mirent à quatre pattes et un sexe s’infiltra entre mes lèvres que je suçais du mieux que je pouvais histoire d’abréger ce supplice. L’autre pénétra instantanément mon sexe et je dois dire qu’après mon orgie de l’après-midi avec les deux énormes sexes celui la ne me fis pas beaucoup d’effet, surtout qu’il s’agitait en moi comme un lapin ce qui ne me donna pas beaucoup de plaisir. Il éjaculat d’ailleurs très vite et ils échangèrent donc de place. L’autre fit de même et comme un lapin éjaculat rapidement en moi. Je me relevais et pouvais voir les deux vieillards qui semblaient être au paradis avec le sourire jusqu’aux oreilles.
- Merci ma belle je pense que tu peux aller te doucher et m’attendre dans la chambre c’est du beau travail.
Cette remarque humiliante de Carlos me sortit de mon trauma et je partis me doucher pendant que Carlos allait sans doute clore la soirée. Sous les jets d’eau je repensais à ma journée et il était évident que j’avais un problème car j’avais pris énormément de plaisir même quand Carlos me prostituait à ses clients. Il fallait que je règle cela avant mon mariage et je ne voyais qu’une seule solution : rendre visite au père Emile et confesser mes fautes et purger mes démons. Je me promis d’aller lui rendre visite demain avant de passer l’ultime nuit avant le mariage chez mes parents.
Je sortais de la douche et me rendais dans la chambre que m’avais indiqué Carlos. Je me mis dans le lit et m’endormis extenuée par cette journée. Je fus réveillé par la langue de Carlos entre mes jambes et mon excitation revint immédiatement, il était vraiment doué pour le cunnilingus. Il s’arrêta juste avant que l’orgasme m’envahisse et s’allongea sur le dos ; sans attendre je l’enjambais et introduis son sexe en moi dans un cri de plaisir. Je l’embrassais à pleine bouche pendant qu’il allait et venait en moi multipliant mes orgasmes. Une bonne demi-heure plus tard éjaculat me faisant jouir encore une fois dans ses bras. Nous nous endormîmes enlacés ; j’avais honte de moi, de ma luxure et de ma faiblesse. Je pensais à mon chéri qui me croyait avec mes amies et cela me fendit le cœur, demain tout cela devait cesser.

A suivre

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