Histoire Vraie (Suite)

Le lendemain de la première fois où ma femme m'a trompé, je décidais de faire semblant de partir et de me cacher dans le palcard du hall de l'entrée.
Cela m'a permis de voir comment mon épouse se préparait. Elle avait mis une mini jupe, avait mis une culotte puis décidait de l'enlever. Rien que cela je n'en pouvais plus, je lui avais demandé déjà plusieurs fois pour moi, elle avait refusé, "je ne suis pas une salope disait elle".
Je commençais vraiment à me demander si j'avais bien fait de la laisser tenter l'expérience car son comportement commençait à m'inquiéter.
A 2h son copain de la veille arriva. Mon épouse lui demanda si il était tout seul. Elle semblait déçue. Michel (s'était son nom) lui dit que le garçon en question était timide et qu'il n'avait jamais fait l'amour. Il n'avait pas osé venir. A ma grande surprise, elle lui dit "tu veux que je l'appelles?" Michel lui dit tu peux toujours essayer. C'est ce qu'elle fit. Elle sut se montrer très convaincante. Elle demanda à Michel de la laisser. Il vallait mieux les laisser tout seuls pour la première fois. Elle l'appellerait après.
Je n'en revenais pas, elle prenait toutes les initiatives maintenant. J'étais curieux de savoir comment elle allait s'y prendre pour le dépuceler.
IL arriva. C'était un grand échalat tout boutonneux. Il n'était pas beau mais cela n'avait pas l'air de rebuter Béatrice. Elle le fit entrer. Le garçon ne décrochait pas un mot. Tu n'as vraiment jamais fait l'amour ? lui dit elle. Un si beau garçon... Bref elle le mettait en confiance. Elle lui fit boire un peu de vin cuit. Tu as déjà touché les seins d'une femme? Non lui dit il. Et la voilà qui att sa main et lui fait toucher sa poitrine. Le pauvre garçon était tout rouge. En même temps elle commençait à carresser sa poitine en le complimentant sur ses muscles . Il commençait à caresser les seins de Béatrice. Elle lui prit la bouche et lui donna une leçon. Enfonce ta langue et roule moi une pelle.

Je vois que tu n'as jamais embrassé non plus! Quel age as tu? 19 ans et demi lui dit il.
Elle ota son chemisier et son soutien gorge en l'invitant à prendre ses seins dans sa bouche. Elle commençait à le déshabiller en lui otant sa chemise. Le pauvre bandait tellement que le bout rouge dépassait du pentalon et qu'elle put l'appercevoir et s'en saisir dans sa bouche. Visiblement elle allait trop vite car le jeune homme se recula. Il ne voulait pas enlever son pantalon et se montrer nu. Elle l'embrassa de nouveau et glissa ses mains sous sa jupe et lui fit sentir combien elle était excitée. Elle lui expliqua que c'était pour lui qu'elle n'avait pas de culotte.
Elle n'en pouvait plus. Le garçon ne voulait toujours pas se déshabiller. Elle entreprit de lui expliquer l'anatomie d'une femme en guidant ses doigts sur ses levres puis son clitoris.
Cette leçon excitait beaucoup Béatrice, elle enleva sa jupe. Elle était complètement nue maintenant, elle se mit face à lui les jambes écartées et lui expliqua comment les filles se masturbent. Elle se masturbait devant lui, elle lui expliquait comment il devrait faire avec ses petites copines pour leur donner du plaisir. Elle lui guidait sa main. C'est alors que je l'ai vue partir comme rarement je l'ai vue partir. Elle a eu un de ces rares orgasmes qui lui font perdre la tête.
Elle commençait à lui parler cruement alors qu'lle ne le fait jamais d'habitude. " Baises moi j'en peu plus !" Le garçon n'avait toujours pas enlevé son short! Elle le lui arracha presque," mais tu vas me baiser oui ou non?" A peine prenait elle son sexe entre ses mains que le garçon éjacula. Il était tout peno. Elle le rassura en lui disant qu'elle n'avait jamais vu un sexe aussi long. Et c'était vrai le mien bien que plus gros en diamètre était bien plus court et celui de Michel qu'elle avait découvert la veille aussi. Elle était admirative et commençait à le carresser. Il lui expliquer que c'était pour ça qu'il n'osait pas le montrer car ses copains à la piscine se moquaient de lui.
Ils l'appelaient la tige, très longue mais très fine. Béatrice commençait maintenant à lui faire une fellation. Il commençait à retrouver de la vigueur. Il en avait de la chance. Les fellations n'étaient pas tellement du gout de Béatrice d'habitude. Il était maintenant en complète erection et je voyais Béatrice prendre plaisir à monter et descendre le long de cette tige avec sa bouche. Lui mettait en pratique la leçon qu'il avait appris un quart d'heure plus tôt. Elle le guidait, monte un peu oui là vas y tourne autour avec tes doigts. Je n'en croyais toujours pas mes yeux et mes oreilles.
Enfin ce fut lui qui prit les initiatives. Il la retourna la fit mettre en levrette et la pénétra d'un coup. Je pouvais voir la moitié de son sexe qui n'était pas entré. Malheureusement il éjacula au bout de 3 vas et vient. Béatrice n'en pouvait plus, elle essaya de le rallumer mais visiblement rien n'y faisait. Il n'arrivait pas à avoir de nouvelles érections. Elle le rassura et lui dit que pour une première fois c'était bien même très bien. Elle lui dit de revenir le lendemain. En partant elle lui demanda de dire à Michel de venir.
Michel qui devait attendre derrière la porte fut là dans la minute. Elle l'attendait prête à se faire défonçer. Elle n'en pouvait vraiment plus. Il se déshabilla rapidement et la pénétra sans préliminaire. Cette fois ce fut long et elle en profita, elle avait des spasmes, elle hurlait de plaisir, elle jouit plusieurs fois. Il la quitta exténuée. Il la questionna sur son copain, elle lui dit que ça avait été formidable.
Il lui demanda si il pouvait lui présenter d'autres copains. Cette fois elle ne répondit pas tout de suite et lui dit qu'on verrait une autre fois.
Moi j'avais passé l'après midi dans mon placard et j'en avais appris plus sur ma femme qu'en 20 ans de mariage.
J'allais au bar et attendais avant de rentrer au bungalow.
Le soir en rentrant, je lui ai demandé si son après midi s'était bien passée. Là elle m'a tout raconté et cette fois elle n'a rien oublié.

Nous avons fait l'amour et ce fut encore une fois merveilleux. Elle me donnait tout et bien plus qu'aux autres.
Après elle m'a fait part de la proposition de Michel d'emmener d'autres copains. Je lui ai dit vas y. Il faut tout essayer dans la vie.
Bien sur je ne lui ai pas dit que je serai dans le placard.


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