Nathalie 5

Après que je sois tombée (si l'on peut dire) dans ses filets, Gérard devint mon amant régulier et dès que mon mari partit, hop il arrivait. Sachant qu'à chacun de ces déplacements, je serais comblée, je n'attendais même plus que Gérard me confirme sa venue. De moi-même je me mettais en petite tenue, ce qu'il adorait. Cet homme, "dans le civil" très homme d'affaire, PDG, sérieux, imposant, classe, cultivé aimable se muait en amant particulièrement jouisseur dès qu'il venait "tringler sa petite pute" comme il aimait à le dire usant en permanence d'un langage ordurier. Et moi , prof BCBG, un peu revêche, je me muais en maîtresse soumise et avide qui raffolait des propos obscène qu'il employait. J'étais folle de lui de son corps, de ses mains, de ses doigts, de sa bouche, de sa langue…et que dire de sa queue qu'il imposait à tous mes orifices impatients. J'affectionnais particulièrement l'instant ou il tremblait de, que sa pine gonflait au summum, et que son foutre jaillissait m'engluant la bouche. C'est aussi assez peu de dire que j'affectionnais le moment ou son énorme gland venait perforer mon anus. Je m'étais habituée à recevoir ce gros pénis de ce coté et désormais, cette pénétration, redoutée par pas mal de femmes, satisfaisait pleinement mes envies. Il me "tenait" littéralement par les sens…
Lors d'un des voyages de Pascal, Gérard me téléphona, il souhaitait m'inviter au restaurant et me demanda de remettre la robe que je portais lors de notre rencontre. Il faut dire qu'elle m'allait plutôt bien et du fait de son dos-nu m'interdisait le port du soutien gorge, c'était sûrement cela que Gérard souhaitait. Slip en dentelle, porte-jarretelles, bas noir allaient compléter ma tenue, en attendant qu'il m'en dépouille et qu'il me fasse jouir…
Lorsqu'il arriva je lui demandais quand même s'il n'avait pas peur que nous soyons surpris ensemble. Il balaya mes craintes. Durant le trajet (qu'il fit une main sur ma cuisse) je l'interrogeait sur l'endroit ou nous allions.

Je fus surpris de sa réponse, il m'invitait dans un endroit de réputation un peu sulfureuse. Un restaurant connu comme un lieu de rencontre pour échangiste (il paraissait qu'il y avait même quelques salons ou l'on pouvait "consommer" sur place). Il me rassura, pas question de "m'échanger". Simplement il aimait bien cet endroit intime ou la table, de plus, était excellente. Effectivement l'endroit était intime, un peu tamisé, les femmes étaient dans l'ensemble assez jolies et habillée de façon suggestives. Le repas se déroula fort bien, Gérard était enjoué et ses yeux brillaient d'un éclat que je connaissais bien, c'est à dire très, très prometteur. Il me félicita pour ma robe qui lui permettait de voir mes gros seins libres sous le tissus. Sous les compliments, je les sentais gonfler et les bouts durcir ce qui n'échappa point à Gérard. Il regretta par contre que j'ai mis un slip et me fit promettre pour un prochaine fois de m'en passer. Je promis, évidemment…. A la fin du dîner, je passais aux lavabos me refaire une beauté et nous sortîmes. Une voiture se gara au moment ou nous allions reprendre celle de Gérard. Un homme en descendit.
"Mais…" entendis-je
"Ah ça pour une surprise !" répliqua Gérard, et il enchaîna :
"Tu reconnais Madame S. ?"
"Oui, oui bien entendu, notre ami Pascal me l'a présenté lors des vœux"
"Nathalie tu te souviens de Philippe, notre Directeur du personnel ?"
"Oui, effectivement nous avons été présentés"
Je me souvenais effectivement. Pascal avait été obligé de me le présenter. C'était son ennemi juré, celui qui lui avait ravi la fonction qu'il briguait.
"Tu venais dîner ?" demanda Gérard.
"Non, non juste boire un verre, voulez vous joindre à moi"
"Non, non je te remercie, j'allais raccompagner Madame S…mais…j'y pense…pourquoi pas… Nathalie tu pourrais peut être nous offrir un verre ?"
Là, je manquais d'enthousiasme ! Philippe s'aperçut de ma gêne et dit.
"Je ne voudrais pas être importun….
Ou alors juste un verre pour ne pas vous froisser et je file"
Sur le trajet de retour, je fus boudeuse. Qu'avait-il eu besoin de nous encombrer de son DRH ! Arrivés chez moi, je nous servis trois verres et prit place sur le canapé à coté de Gérard. Celui-ci passa un bras un bras autour de ma taille. A cause de l'autre homme je me sentis un peu gênée. La conversation prit un tour qui me déplut :
"Tu sais que Pascal S. délaisse sa femme ?" attaqua Gérard
"Non ! ce n'est pas possible ! Vous êtes une femme superbe pourtant"
"Et encore, tu n'as pas tout vu…"
Il essaya de m'embrasser. Toujours gênée, je le repoussais gentiment, trop gentiment car il parvint à ses fins. Sa langue chercha la mienne, il m'embrassa longuement à pleine bouche, une main se posant sur mes seins. Désorientée, je fermais les yeux pour ne pas voir Philippe en face de nous qui assistait à la scène. Il prit ma main et la posa sur sa braguette. Je sentis qu'il était en érection
"Caresses-moi, vas-y"
Evitant le regard de l'autre, sans savoir pourquoi, je m'exécutais..
D'un main, il ouvrit sa braguette de pantalon, et mit ma main sur sa queue à moitié dure et toute chaude, cela m'excita brutalement:
" Suces-moi Nathalie"
"Oh non, je t'en prie pas devant Philippe"
"Et pourquoi ? Fait comme si nous étions seuls. Laisse-toi aller, je suis sûr que tu mouilles déjà non ?
"Oui, c'est vrai, mais je ne suis pas tranquille."
En réponse, je sentis sa main appuyer sur ma nuque. Sa main guida ma tête vers sa queue. Sous la pression mes lèvres se rapprochèrent et comme hypnotisée, je pris dans ma bouche son membre qui doucement durcit entre mes lèvres.
"Allez suces-moi, salope, tu aimes ça !"
Je ne fis plus attention à rien, j'oubliai même la présence de Philippe et suçai la bite si dure de mon amant. D'une main posée sur ma tête, Gérard me caressait les cheveux. Son autre main dégrafa ma robe. Son autre main me caressa la cuisse….
Soudainement je réalisai…. Comme une majorité de personne, Gérard ,ne possédait que deux mains… donc…donc celle qui remontait le long de ma cuisse ne lui appartenait pas, c'était celle de Philippe qui jouait avec l'attache de mon bas.
"Non Gérard, je ne veux pas " tentais-je de protester.
"Tais-toi et suce… et puis…laisse toi faire…"
Je sentais à présent les mains de Philippe m'écarter les cuisses et s'introduire dans mon slip, écarter mes lèvres, s'introduire en moi.
"Non, tu es un salaud, je ne veux pas"
"Allons, Nathalie, tu vas aimer, tu vas avoir deux bites rien que pour toi, tu en redemanderas….'
Et il appuya de plus belle sur ma tête, sa bite s'enfonça complètement dans ma gorge pendant que l'autre me doigtait la chatte.
J'entendis Philippe dire :
"Elle parait vraiment bonne, elle est trempée"
"Oui, je me doute, et elle suce merveilleusement bien cette chienne et de plus elle a un cul superbe, tu vas voir, attends, on va la foutre à poil".
Il me firent relever. Face à moi Philippe saisit ma robe par l'ourlet et commença à me la remonter. Une fois le tissu arrivé à ma taille, je sentis les mains de Gérard prendre l'élastique de mon slip et me le baisser. Pendant que j'enjambais le dérisoire sous-vêtement, le levais les bras pour permettre que ma robe me soit ôtée. J'étais nue et…plus aucun doute permis, j'allais y passer…. Les souvenirs de mes ébats avec Hassan et Aziz me revinrent en mémoire, je m'embrasais…. Mes cours demain seraient une catastrophe…
"C'est pour nous exciter que tu as mis des bas cochonne" demanda Philippe
"Oui, oui c'est vrai…c'est pour vous exciter"
" Je vais te baiser, tu es ma pute, dis-le" renchérit Gérard
"Oui Gérard"
"Dis-le : « je suis ta pute »"
"Oui je suis ta pute" répondis-je abdiquant toute pudeur
"Demande -moi de te baiser"
"Oui Gérard, baise-moi."
Il se ré-assit sur le divan et me fit lui présenter mon dos. Il m'invita à m'asseoir sur son piston.
Ce que je fis délicatement en gémissant. Quittant son pantalon sous lequel il ne portait rien, Philippe s'avança queue à la main pour la présentes à ma bouche. Sans être énorme, il n'était tout de même pas mal monté et je n'hésitais pas une seconde à la prendre entre mes lèvres.
"Tu vois Philippe, elle aime ça"
"Oui, tu avais raison, quelle garce !"
Gérard me souleva et me lima très fort, me laissant retomber sur son pieu. Tour à tour et parfois en même temps, ils se saisirent de mes seins pour les triturer à loisir à tel point que je n'arrivais plus à sucer Philippe. Gérard me changea de position, il me fit me mettre à quatre pattes et me rentra son chibre jusqu'à la garde, au plus profond comme il savait que j'aimais et je sentis ses couilles sur mes cuisses. Philippe se rapprocha et m'enfonça sa bite dans la bouche, je gémis sous les coups de boutoir.
"Tu avais raison, elle a un cul superbe, je vois sa rondelle s'ouvrir, mets-lui un doigt dans le cul "
"Pas un doigt, je vais l'enculer…"
Il se retira et sa langue vint me lécher l'anus, un doigt puis deux m'ouvrirent...
"Non Gérard, je t'en prie" protestais-je, consternée de me faire prendre ainsi devant un quasi inconnu.
"Tais-toi, tu vas bientôt me supplier de t'enculer"
Je gémis.
"Tu vois que tu aimes, c'est bon. Demande-le-moi maintenant"
"Oui Gérard, encule-moi" demandais-je, domptée
"Quelle salope, vas-y, encule là cette pute"
"Oui, je vais la mettre profond"
Il retira ses doigt et son gland m'écartela . Je suçais de plus belle Philippe.
"Tu vois, elle aimes ça dans le cul"
"Oui, vas-y, mets-lui entière, bien à fond qu'elle le sente passer, fait la gueuler…"
Doucement sa queue rentra dans mon cul jusqu'à le sentir complètement puis il commença les va et vient pour me baiser aussi facilement que s'il me prenait la chatte.
Le plaisir se diffusa en moi comme une boule qui s'enfla. Délaissant le membre qui m'emplissait la bouche, je pus feuler à mon aise pendant que Gérard ne me ménageait pas le fondement et qu'il se vida interminablement dans mon boyau. Il resta ainsi en moi sans vraiment débander jusqu'à ce que Philippe éjacule sur ma langue.
"C'est vrai, tu avais raison elle suce divinement" louangea Philippe
"Je ne me trompe jamais, j'étais sûr que c'était un bon coup"
"Et dire que son imbécile de mari ne la saute plus "
"Remarque, on ne peut pas trop lui en tenir rigueur, cela nous la laisse disponible"
Et ils éclatèrent de rire, moi aussi un peu jaune, sous ces compliments salés. Ils se resservirent à boire. Du coin de l'œil je ne pouvais que constater que leurs sexe après un court instant de relâchement reprenaient de la vigueur. Gérard me fit venir vers lui pour le chevaucher. Je m'agenouillais sur le canapé de part et d'autre de lui et à nouveau me laissais aller sur le gourdin de nouveau en pleine forme. Ses mains me caressèrent les flancs, puis il me prit par les fesses pour accompagner mes mouvements d'ascenseur. Je passais mes bras autour de son cou et l'embrassais langoureusement. A un moment, je le sentis écarter mes globes et dire à son acolyte.
"Amènes-toi !"
Je sentis Philippe dans mon dos. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine je savais ce qu'il allait m'arriver…quel pied !
"Oui Nathalie, cambre-toi bien, je vois que tu as compris"
"On va te baiser et t'enculer en même temps comme actrice de porno, tu vois ce que je veux dire."
"Oui Gérard, continue, c'est si bon"
"Je suis certain que tu regardes des films pornos et que tu te branles en voyant des femmes prises par plusieurs type, n'est ce pas. A ton tour Philippe de l'enculer ! Mets- lui à cette salope"
"Oui prenez-moi comme une salope, je ne mérite que cela…. Oui je suis une pute… Aaaaah !
Doucement je sentis sa queue qui me pénétrait l'anus.
"Ton cul est si bon Nathalie, merci Gérard de me l'offrir"
Ainsi je retrouvais offerte empalée la bite de Philippe dans le cul et la chatte grande ouverte par celle de Gérard. Il accordèrent leur rythme facilement (et en cet instant de je compris qu'ils devaient être de connivence) Gérard plutôt de haut en bas et Philippe d'avant en arrière. Et moi la poupée de chair, je rebondissait de l'un l'autre, les reins arqués souvent la tête renversée en arrière sur l'épaule de Philippe ou leur offrant passionnément ma bouche. Placé derrière moi, Philippe me branlait fermement mon clitoris dressés, ou prenait mes seins pour les malaxer, parfois il les tendais à Gérard pour qu'il en suce les bouts, parfois encore les quatre mains s'occupaient rudement de mes nichons durcis et de leurs tétons qu'ils ne manquaient pas de faire rouler ou de pincer.
J'avais aimé (le mot est faible) être prise en double par Hassan et ses comparses. Mais là c'était autre chose…tout avec Gérard était fabuleux…
Il vit que mon plaisir était intense et m'encouragea à ma lâcher et à jouir comme un catin.
Je me laissais aller à crier des mots sans suite dans mon propre salon…quelle décadence !
"AAAAAAAhhhhhhhhh !!!!.Ouiiiiiiiiiiii !!!!!!... le salaud !!!!..il m'excite le bout des seins !!!.AAAmmmmmhhhh !!!. ohhh Gérard baise moi fort…aiiiiiiieeeeeeeee !!!.Regardes, il me donne des tapes sur les fesses !!!.OOOOhhhh !!!.ouuiiiii !!!. et m'éclate le cul comme une brute !!!.OOOuuuaaaahhh !!!. c'est trop bon !!!. Huuummmmmmmmmmmmm... !!!.. plus fort je vais jouiiir sur ta queue aaaahhhh.aaahhh. !!!. l'orgasme arrivait, je ne contrôle plus rien : AAAAAhhhhhhhhhhhh." Je jouis comme une folle inondant la verge de Gérard sous des ruissellement de cyprine. Pantelante et essoufflée, mais les deux pines profondément fichées en moi j'entendis Gérard dire :
"Tu t'es bien envoyée en l'air petite pute, à nous maintenant"
Comme s'il voulaient se défouler sur la femelle que j'étais, ils me travaillèrent âprement à fond pour mon plus grand plaisir. Surtout lorsque, au lieu d'accorder un rythme alternatif, il se mirent à entrer et sortir de mes trous en même temps, semblant vouloir laminer la parois qui séparait mes deux orifices.
Ils me ramonèrent frénétiquement et trempée de sueur, échevelée, hagarde j'eus deux encore deux orgasme avant que ma chatte et mon cul ne reçoivent chacun sa ration de sperme abondant.
Philippe nous quitta peu après puis se fut le tour de Gérard qui me promis de revenir le lendemain. Je sombrais dans un sommeil halluciné…
Le lendemain, le port de lunette noire fut obligatoire pour masquer les ravages de ma nuit, heureusement je n'avais pas beaucoup de cours ce mercredi matin. Devant ma tête, des collègues et quelques élèves s'inquiétèrent de ma santé…la migraine diplomatique…. Je surpris aussi quelques réflexions de lycéens que je pensais plus obtus et moins observateurs
"… tu parles, elle à dû baiser toute la nuit…"
"Tu rêve, les prof de math, ça nique pas…sauf avec Pythagore et vu son âge il ne pas lui faire grand mal…"
Crétin va ! S'il savait !….
L'après-midi en guise de correction de copies, je m'offris un belle sieste d'ou j'émergeais à peu près fraîche. Le temps de me faire séduisante et de m'habiller (juste une paire d'escarpin et des boucles d'oreille, ce fut vite fait) Gérard sonnait à la porte. Il me transporta tout de suite vers la chambre ou il me fit l'amour avec tendresse et délicatesse. Nous savourions ensuite un moment de repos, moi alanguie et allongée sur le ventre, lui sur le coté me caressant le dos et les reins, lorsqu'il me demanda :
"Tu as aimé hier, à plusieurs ?
"Tu ne t'en es pas aperçu"
"Allez, soit sérieuse, réponds-moi"
"Oui Gérard, j'ai beaucoup aimé ce vous m'avez fait tous les deux" répondis-je devant son air sérieux.
"Tu aimerais recommencer ?"
"Avec Philippe ?"
"Oui, lui et d'autres…"
"Comment cela d'autres ?"
"Oui…d'autres que lui…et pourquoi se limiter à deux…"
"…?"
"Je sais, je sais, tu m'entends, je sais que tu es une femme qui aime la queue, je devrais dire les queues…j'avais tout manigancé hier avec Philippe pour en avoir la preuve définitivement et maintenant je suis réellement convaincu que cela te fais mouiller de savoir que des hommes vont bander pour toi et te mettre par tous les trous. Je veux que tu soit ma maîtresse attitrée, je veux pouvoir te baiser quand je veux aussi te voir baiser avec d'autres… qu'en penses-tu ?"
J'entendis une voix, celle de Madame Nathalie S. enfin la mienne quoi ! répondre docilement .
"Je ferais ce que tu veux Gérard…. Je t'obéirais "
"Je vais te débaucher un peu et quand je dis un peu c'est un euphémisme. J'ai tellement aimé te voir sucer Philippe et te faire enculer que je compte t'inviter a des soirées où tu seras la seule femme pour un groupe d'hommes qui te traiterons comme une pute et je vais même te prêter à des amis ou là aussi tu seras pratiquement la seule femme".
"Oui, oui…. Tout ce que tu veux …" dis-je en perdant la tête.
Et l'instant d'après je me repris
"Mais, mais et Pascal, il va me jeter dehors…"
"Ce n'est pas grave, tu viendras chez moi"
Décidément non ! je ne voulais pas divorcer, allez savoir pourquoi….
"Je me doutais de ta réponse, j'ai une solution pour qu'il ne nous ennuie plus, viens !"
Il m'emmena vers le salon ou il introduisit un DVD dans le lecteur. Il s'agissait d'un film amateur, porno certes, même très hard, puisqu'une femme environ de mon âge se faisait prendre par cinq hommes, soit successivement soit simultanément. Parmi les acteurs je reconnus bien sûr Gérard et aussi Philippe ainsi que d'autres type de leur société. Il me passa les meilleurs extraits. Au cours de cette soirée, je pense qu'ils lui firent tout et je pensais vu l'état dans lequel i l'avait mise que le lendemain elle avait du avoir du mal à s'asseoir…. C'était donc à ce genre de soirée qu'il voulait me convier…. Quel pervers ! Mais après tout, pourquoi pas, avec lui, je crois que je me sentais prête à tout.
Il m'expliqua quel dessein machiavélique avait germé dans son esprit. La femme sur l'écran était l'épouse de l'ancien directeur commercial. Bien qu'il n'en fut rien (Pascal paraît-il avait toutes les qualités voulues), Gérard allait lui faire croire que sa promotion en tant que directeur commercial serait subordonnée à ma participation à une soirée comme celle que je venais de visionner. Il ajouta ensuite :
"Comme ton mari, cette fois va être obligé de te demander cela, je te fais confiance pour gérer au mieux la suite de tes relations avec lui, pour que les notre en soit grandement facilitées"
Je fus doublement émoustillée. Premièrement je tenais ma vengeance, mon petit chéri allait filer doux comme un agneau et deuxièmement la soirée que me promettait Gérard allait être, à n'en pas douter torride.
Le week-end passa et le lundi soir je vis revenir Pascal avec un air de chien battu. Je buvais du petit lait…. Avec duplicité, je l'interrogeai sur la triste mine. D'après lui des petits soucis et la prochaine décision du conseil d'administration le perturbait…tu parles !
Tous les jours j'attendais, le mercredi il me sembla décidé, mais non. J'en arrivais presque à me faire des illusions, allait-il me sacrifier sa carrière…. Et puis vint le vendredi et le "Nathalie, il faut que je te parle" tant attendu arriva.
"Nathalie, il faut que je te parle… je crois que je suis sur le point d'être nommé Directeur commercial"
Avec hypocrisie, je me réjouis
"Mais, mais….ce n'est pas simple à dire, mais… enfin, je …. La femme de l'ancien directeur était la maîtresse du PDG…"
"De Gérard ? Celui que tu as invité ici, ah bon ! Je ne vois pas en quoi nous sommes concerné…"
"Euh…eh bien… voilà… Je n'aurais le poste que si tu passe une soirée avec le patron…" fit-il d'une toute petite voix
"Mais tu délires…"
"Ce poste est vraiment important pour moi"
"Et ma dignité, qu'en fais-tu ?". là, j'y allais un peu fort
"Je sais…je sais…mais…."
"D'abord tu me fais faire l'amour devant toi par un type rencontré sur le net, puis deux. Cela avait tellement l'air de te plaire que j'ai fait une erreur d'appréciation. Tu me l'a fait payer très cher, tu t'es montré odieux pendant des mois. Et maintenant tu voudrais que…"
"Je regrette, je t'assure que je regrettes, pardonne- moi…."
Je fis semblant d'hésiter.
"Bon après tout, si c'est la chance de ta vie…et puis, heureusement, ce Gérard, n'est pas si mal de sa personne…. Mais je te préviens, que si par la suite tu me fait le moindre reproche je te quitte."
"Oh merci, merci ma chérie…je te promets de ne plus t'en parler…
"C'est pour quand cette obligation mondaine ?"
"Demain ! Mais…"
"Mais ?"
"Euh, il faudra que ce soit moi qui te conduise chez lui…. Et…et il faudra que…que tu sois nue sous ton manteau."
Gérard avait bien fait les choses…
"Eh bien, eh bien…. Les choses seront on ne peut plus claires…C'est tout ?"
"Non…."
"Quoi encore ?" Je savais qu'il était au supplice…
"Il m'a dit que…qu'ils seraient plusieurs…."
Je laissais un silence pesant s'installer et repris…
" Bon écoutes-moi bien, -tu veux me faire passer pour une traînée !…. Alors je vais vraiment mal me conduire, comme une vraie pute, ils ne seront pas déçu Monsieur le directeur, je ne les empêcherais de rien, tu m'entends, ils pourront tout me faire…. J'espère qu'ils me donneront beaucoup de plaisir…"
L'air penaud de Pascal me ravit et plus tard une fois couchés, sa tentative de rapprochement fut vertement repoussée.
Le lendemain matin j'allais chez le coiffeur et optais pour une coloration acajou de quelques mèches escomptant un allure un peu moins sage. J'étais "conviée" pour dix-huit heures ce qui me laissa le temps de bien me préparer. J'avais regardé avec attention le maquillage des actrices et mannequin des sites pornographiques. J'allais faire à l'identique, un peu plus soutenu, peut-être…tellement je voulais faire salope. Pratiquement à la loupe j'examinais mon entre jambes. Parfait ! rien n'avait repoussé. Au lieu de complètement nue, j'adoptais le porte-jarretelles et les bas noirs à couture, plus les talons aiguilles que Pascal m'avait convaincu d'acquérir. Les ongles soigneusement vernis, une paire d'anneaux aux oreilles, j'étais parée pour le sacrifice, enfin si l'on peut dire….
En entrant dans le salon je vis dans les yeux de Pascal que j'étais remarquablement désirable. Une petite bosse fit son apparition. Je ne résistais pas au plaisir de me moquer.
"Mais…mais tu bande mon chéri…. C'est moi qui te mets dans tout tes états…. Il ne faut pas, tu sais très bien que ce soir, ce n'est pas pour toi que je me suis faite belle…. C'est pour ton patron…."
Et jusqu'à notre départ, je restais dans cette tenue. Il n'empêche que cette attente me plongea dans un état étrange mêlé de désir et d'inquiétude.
Lorsque Pascal décida du départ une boule d'angoisse me tordis le ventre et remonta dans ma gorge. Il se gara juste devant chez Gérard. Sans un mot je descendis. Je me retrouvais sur le trottoir, seule devant cette immeuble. J'allais me jeter dans la gueule du loup, sachant que les hommes qui m'attendaient seraient particulièrement vicieux et lubriques à souhait.
Interphone…"C'est Nathalie", "Monte, c'est au dernier étage"…ascenseur…une seule porte…il habitait tout l'étage…j'étais nouée…un dernier instant d'hésitation… sonnette… Drrriiiing !… silence… j'ai peur… ouverture de la porte…Gérard…"Entre…".
L'air amusé Gérard me prit me fit défaire mon manteau, puis me le retira. Il se recula pour m'admirer et poussa un "hummm" de satisfaction, puis dit ironiquement:
"Vous êtes superbe Madame S, superbe et… très bandante…. Tu vas être la reine de la soirée".
Et me prenant par la taille, il m'entraîna vers une porte qu'il ouvrit. Il s'effaça un peu et me mit la main aux fesses pour me faire entrer dans cette pièce. Aux quatre hommes présent dans la pièce, il me présenta ainsi :
"Je vous présente Nathalie S., la femme de notre futur directeur commercial qui vient nous divertir. Regardez comme elle est belle…Elle vient aimablement se mettre à notre entière disposition, alors je compte sur vous pour que vous en profitiez sans aucune modération et qu'elle passe un soirée mémorable. De toute façon elle sait qu'elle ne doit attendre de nous aucune réserve ni compassion…."
Un des "convives", du service de sécurité je crois, parut enchanté.
"Elle est bien roulée, tu nous gâtes…"
"Et attends de l'avoir vue à l'œuvre…je peux te garantir que ce soir tu repartiras les burnes asséchées"
En plus de Gérard et de ce type, les deux autres étaient également de la société, un comptable, je crois et un commercial qui serait bientôt sous les ordres de mon mari. Le dernier de la bande était Philippe qui m'adressa un clin d'œil. Gérard proposa à l'assistance de me faire voir ce qui m'attendais. Les rires égrillards fusèrent et les cinq hommes se mirent à se déshabiller. Je pus m'apercevoir alors que ses hommes avait un point commun : la taille de leur sexe. Ils étaient tous bien proportionnés. Trois fois cinq égal quinze, j'allais déguster. Il n'en demeurait pas moins vrai que Gérard était le mieux loti, suivit de très près par Joël le vigile, les trois autres étant sensiblement de la même longueur, même si les diamètres variaient un peu. Enfin, pour résumer il me paraissait tous au dessus de la moyenne et dans tous les cas, c'était mieux que ce que j'avais à la maison.
Il s'approchèrent et les premiers contacts me firent frissonner. Les cinq hommes m'entourèrent et leurs mains se posèrent dur moi et commencèrent à me caresser. Mes seins et mes fesses furent des cibles privilégiées. Les premiers furent soupesés, tâtés, manipulés, les secondes pétries caressées et évidemment écartées. Un homme m'attira pour me rouler une pelle. On me demanda d'écarter les jambes. Des doigts commencèrent à fureter sur mon pubis et ma vulve. D'autre s'immiscèrent dans le sillon de mes fesses. Mes mains furent prise et refermées sur des queues tendues. Les doigts fouineurs se firent investigateurs. Un moment un homme m'embrassait, Philippe m'étirait les tétons, Gérard avait introduit trois doigt dans mon vagin trempé et Joël deux dans le fondement. Le dernier avait saisi un caméscope et filmait la scène.
"Suce-les " commanda Gérard.
Je m'agenouillais et commençais déposer de légers baisers sur l'extrémité des verges, puis mettant les gland à jour j'entrepris de les lécher langoureusement et enfin me distendant les lèvres j'embouchais l'un après l'autres les dards épais. Je tendais les mains vers les sexes gonflés dont j'avais tant envie et les caressais quelques instants avant de me mettre à les aspirer tour à tour, continuant à masturber les triques et les bourses encore pleines.
Lentement je pris les belle pine en mes lèvres, puis les fit voluptueusement glisser entre ses joues serrées avec la ferme intention de les absorber entièrement. Encouragée de façon salace par les hommes, le gland du premier commença à introduire au fond de ma gorge. J'avalai jusqu'à temps que mon, nez touche les poils pubiens du type, puis j'entamais un doux va et vient buccal. Je repassais ensuite à au autre à qui je pratiquais la même technique. Je passais ainsi de l'un à l'autre un moment, agenouillée entre les cinq hommes, jusqu'à temps que Joël, le plus impatient se poste derrière moi, me fasse cambrer, jambes bien écartées, et s'introduise précautionneusement en moi ce qui s'exécuta sans de difficulté vu l'état dans lequel le désir m'avait mis. Je sentis l'imposant sexe l'envahir, et l'impression de plénitude fut bien celle que j'attendais. Autant que mes baillons de chaire me le permettait, je geignais de plaisir encourageant les allées et venues que mon baiseur me faisant subir cramponné à ses hanches, poussant ma bouche vers une autre queue de rencontre.
Philippe jugea qu'il était temps de changer de position. Il demanda à Joël de se retirer et m'emmena vers un fauteuil ou j'allais "me faire reluire". Quand je me fut assise, il ouvrit en grand le compas de mes jambes et m'enfila d'une seule poussée, Gérard et le comptable me donnèrent leur pines à branler pendant qu'ils me malaxaient les lolos, Joël et le dernier hommes se mirent à la hauteur de mon visage pour se faire sucer alternativement ou simultanément m'obligeant à me distendre les lèvres pour les absorber ensemble.
De temps à autre je leur échappais pour encourager Philippe.
"Oh ! je la sent énorme, vas y pousse, cloue moi complètement, met la moi à fond, ooooh! c'est terrible, je mouille comme une folle, oh oui vas y je t'en prie, encore…."
Toute résistance était vaine et de toute façon, je serais le jouet de ces cinq vicieux aussi longtemps et de la manière qu'ils le souhaiteraient, je m'abandonnai à leur stupre.
Philippe jouit le premier, vite remplacé par un autre. Sûrement à cause de ce changement de membre je jouis également. Fort excité par ce que je luis avait fait avec ma bouche, il quitta précipitamment ma chatte pour venir se déverser sur ma langue. L'homme que je masturbais demanda à Gérard "s'il y avait moyen de me sodomiser". Vous pensez bien que Gérard donna son accord. Il convia même les autre à me prendre de cette façon au moins une fois dans la soirée en vantant la disponibilité de mon petit cul.
Jean Luc m'encula me faisant pousser une clameur vite étouffée par la bite de Gérard. Joël s'était couché sous moi et prenant mes nichons à pleines mains me baisait à fond. Trois hommes, tous mes trous bouchés comme je l'espérais. Gérard éjacula le premier sur ma langue en longs traits blanchâtres, juste avant que j'atteigne en criant, moi aussi la jouissance, puis ce fut le tour de Joël qui ne pu se contenir plus longtemps et lui inonda le ventre, pratiquement en même temps Jean Luc qui me remplit les intestins.
Ouuuhh ! les salauds ! il bandaient toujours…. Je n'en avait pas fini avec eux.
On me tendit un verre, je bus, c'était fort, c'était bon, je passais de bras en bras, des mains me parcouraient, des doigts s'infiltraient, des bouches m'embrassaient, des langues me léchaient, je remarquais que les homme bandaient de plus en plus, on me pétrit les seins, on me les suça, on me les pinça, on me fourra une queue dans la bouche, elle sentait ma mouille, on me palpa les fesses, on me plongea trois doigts dans la chatte, puis dans le cul, les hommes étaient visiblement déchaînée d'avoir à leur merci une partenaire aussi disponibles et il en profitaient largement sous l'œil froid du caméscope.
La prenant par la taille, Gérard m'entraîna,
"Viens, je vais m'occuper de toi" dit-il
Il me coinça contre une cloison, passant un bras sous mon genou me fit lever une jambe, et après avoir tâtonné un peu m'embrocha debout. Clouée au mur, il me violait littéralement de son gros sexe à grands coups de butoir en émettant des grognements de satisfaction. Il me demanda de passer mes bras autour de son cou, et de nouer mes jambes autour de sa taille. Me tenant par les fesses, il continua à m'emmancher au long du mur sous le regard et les commentaires grossiers des autres que je pouvais voir par-dessus son épaule, et qui présentaient des érections impressionnantes. A un moment, il me décolla du mur et s'y adossa comme pour se reposer. Je n'eut par le temps de se demander pourquoi, je sentit un thorax contre dos et une verge contre la raie de ses fesses et lorsque Gérard les écarta de plus belle, je compris ce qui allait se passer. Je n'eut pas le temps de protester, une belle pine, celle de Joël se fraya sans pondération et sans arrêt un chemin dans le conduit déjà une fois possédé. Je n'étais plus reliée à la terre que par les deux bites sur lesquels j'étais fermement enfichée. Les deux hommes se mirent à me soulever, puis me laisser retomber pour qu'à chaque fois je s'empale profondément en poussant des halètements rauques. Malgré la position inconfortable, la double pénétration simultanée de mes orifices me fit éprouver des ondes de jouissance extraordinaires.
"Aaaaah que c'est super, oui oui ouiiiii, encore, plus haut, laisser moi retomber de plus haut, Ah mes salauds, qu'est ce que vous me faites, qu'est ce vous me metteeeez, aaaah c'est trop, je pars… je jouiiiiiis…."
A peine ma jouissance retombée, Gérard se retira la pine encore raide, et Joël en profita, lui aussi pour me coincer contre le mur où m'ayant demandé de me cambrer, il me sodomisa debout, les seins écrasés contre le mur jusqu'à temps que je le supplie de me prendre autrement la position devenant trop incommode. Il se retira de mon rectum, et m'invita à l'accompagner sur le tapis du salon ou il me proposa de me mettre en levrette, ce que je fis percevant parfaitement ses desseins. Je vis Gérard le membre à la main venir vers moi m'ordonner :
"Allez Nathalie, tu vas donner ton petit cul à Joël, écarte toi bien les miches, fait voir ta rondelle…"
Adroitement, je se penchais en prenant une fesse dans chaque main pour dévoiler son anus rougi et resté entrouvert par les premières pénétration. Il ajusta l'extrémité de sa pine et débuta l'inexorable intromission anale.
Gérard se glissa sous moi et j'eus la grande satisfaction d'être mise par les deux gros plus gros calibres de la soirée. Les trois autres vinrent devant moi pour se faire pomper tour à tour.
"Regarde comme elle m'ouvre son cul ! Et en grand encore !" Dit Joël.
"Elle adore ça se faire astiquer…" reprit Philippe
"Ce qu'elle adore, c'est bite, elle aime ça qu'on lui en mette partout, pas vrai ?" Ajouta Gérard.
"Oui, j'aime vos grosses queue, oh oui ! Joël encule moi bien, j'en ai envie depuis ce que je suis arrivée"
"Qu'elle salope ! la petite femme de Pascal. Ne t'en fait pas ma belle nous allons te faire devenir un véritable trou à bite bien comme il faut. Tu vas devenir folle de nos queues !"
"Oooooh, je ne demande pas mieux…." Répondis-je
Une fois de plus je ressentis cette sensation délicieuse d'être réduite à l'état d'objet dont ces hommes usaient et abusaient virilement. Ce soir là, ils étaient vraiment déchaînés et tout en m'imposant leurs sexes dans mes différents orifices ils m'humiliaient copieusement en proférant des grossièreté et des insultes qui n'avaient pour but (atteint) que de faire monter l'excitation générale et d'accen la disponibilité de celle qui s'offrait sans retenue. Joël et Gérard me taraudaient frénétiquement en rythme pendant que Philippe et les autres lui enfilaient leurs membres jusqu'aux amygdales. Finalement j'expulsa les membres de ma bouche pour pousser une longue clameur de jouissance accompagnée par Joël qui déchargea dans mon cul qu'il laissa libre et ainsi donc lubrifié pour que Philippe prenne la place. Gérard se retira de dessous moi pour lui aussi laisser la place à un autre. En fait il avait choisit d'éjaculer dans mes reins et attendait que Philippe ai conclut. Celui que je suçais m'éclaboussa le visage, Je sentis le foutre de Philippe couler dans mon rectum. Vite Gérard reprit la place et me bourra en me traitant de vide couille. Lui et celui avec qui il combinait sa pénétration m'amena encore à l'orgasme énorme tandis que les deux hommes se vidaient dans leurs étuis respectifs. Trempée de sueur je restais un moment allongée sans réaction. Avec complicité Philippe me tendit à boire. Gérard amena de quoi nous accorder une collation réparatrice. Soudain, je me rendis compte que cela faisait plus de trois heures que je me faisais baiser…
J'émis la vague souhait de partir.
"Et puis quoi encore ! Tu veux partir, tu veux partir… tu ne peux pas nous laisser comme ça…" dit Joël.
"Et puis, ne t'inquiètes pas pour Pascal, il sait que tu es entre de bonnes mains et que tu baise…" compléta cyniquement. Jean Luc et Denis, se mirent m et à m'étreindre afin de faire renaître mon désir.
"Vous me faite trop jouir, je ne peux pas refuser vous le savez bien" repartis-je confuse.
"Tu veux encore faire des trucs cochons ?"
"Si vous voulez"
"Tu sais bien que ce n'est pas bien comme réponse, est ce que tu veux faire des trucs cochons ?"
"Oui je veux faire tous les trucs cochons ou vicieux que vous voudrez me faire faire" admis-je résigné et échauffée par les propos pervers et j'ajoutais en regardant Gérard "mais plus par derrière j'ai eu mon compte"
"Promis, juré" rétorqua ce dernier
Philippe se leva, alla chercher deux chaises qui mit cote à cote avec un écartement d'une cinquantaine de centimètres. Il m'invita ensuite à monter en mettant un pied sur chaque chaise. Ensuite, il me demanda de m'accroupir en tenant les dossiers. Dans cette position je réalisais que ma bouche était à la hauteur de leurs sexes et que de l'autre coté, je pouvais être prise très profondément. Ils me laissèrent un moment dans cette position dégradante plaisantant sur l'ouverture de ma moule. Le caméscope tournait toujours…
Le premier Philippe me présenta sa queue à sucer ce à quoi je m'adonnais sans ses mains toujours cramponnées aux dossiers. Philippe ironisa sur ma voracité qu'il rythmait en me tirant par les cheveux et m'appuyant sur la tête. Puis il délaissa ma bouche pulpeuse et faisant le tour m'investi d'une seule poussée. C'est Jean-Luc à son tour qui lui enfourna sa bite entre ses lèvres et ainsi ils entamèrent un mouvement tournant ou j'étais toujours pénétrée par une tige dressée tandis qu'une autre m'était fourrée la bouche. Je n'étais à nouveau plus qu'un jouet entre leurs mains immorales et je songeais que j'étais une vrais salope mais que j'aimais et que Gérard apprécierait mon comportement et que cela lui donnerait envie de me plier à d'autre expérience. Autant que je le pouvais, je râlais et me laissais aller aux orgasmes que ses séducteurs me faisaient éprouver. Eux aussi se mirent me remplir de leur abondante éjaculation, tout d'abord ce fut Jean-Luc dans mon vagin distendu puis presque aussitôt Philippe dans ma bouche qui ne pu absorber la totalité de la sauce salée qu'il essuya sur mes joues. Denis et Gérard prirent place dans ma bouche aux lèvres luisantes pendant que Joël me pinçait les mamelles et me besognait puissamment. Celui-ci sortit son organe mon con ruisselant et sans avertissement me plongea sa queue dans le cul resté bien entendu on ne peut plus ouvert par les enfilages successifs et ma position. Je protestais :
"J'avais dis plus par derrière"
"Ah! moi, je n'ai rien promis, je croyais que cela n'était destiné qu'à Gérard" rétorqua-t-il mentant effrontément et il ajouta
"Allez bouges ton cul comme tu sais si bien le faire "
"Oui c'est cela remues bien, il va te défoncer la rondelle jusqu'à ce que tu hurle…"
"Vas-y Joël encule-la à fond, fait la bramer"
"Mets-lui bien, explose lui le trou du cul, elle en raffole la salope"
Et il continua donc de m'enculer la faisant aller et venir sur son dard par un mouvement de balancier qui ne s'interrompit que pour laisser la place à Denis qui déchargea sa semence dans mes entrailles pendant que cette fois je pris mon pied en hurlant. Joël vint rejoindre Gérard pour une double pipe qui s'acheva lorsqu'il me jouirent sur le visage me souillant de traînées blanchâtres, brillantes et visqueuses que je léchais avec servilité.
Tous assouvis, cette fois il me laissèrent tout le loisir de partir. Gérard ne voulut pas m'accorder une douche, pour que Pascal puisse se rendre compte de ce que j'avais vécu. Je fis le tour de mes amants pour les embrasser une dernière fois. Il me firent compliment et m'assurèrent de leur disponibilité pour me sauter dès que Gérard leur en donnerai l'occasion.
Il y en eut…

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