Eveil Et Maturite (1) - Préface Et Initiation

EVEIL ET MATURITE (1)

PREFACE

Je m'appelle Patrick L. J'ai 45 ans et suis un homme heureux même si la vie n’est pas toujours facile. Mon épouse et moi formons un couple réellement uni. Ce livre vous confie une part importante de moi et de mon parcours de l’adolescence à l’age adulte.

Mon sexe et le plaisir qu'il m'apporte et qu'il me permet d'apporter à d'autres furent très importants pour moi depuis la fin de mon adolescence. J'ai toujours vécu sexe et plaisirs communs comme des moyens exceptionnels de contact avec la nature profonde de mes contemporains.

Dans ce monde affectif et sexuel je sens mes racines profondes toucher celles de l’autre et s’y mêler. Cette sensation me remplit de bonheur et me fait vivre toute la profondeur de mon humanité et de celle de l’autre. Au cours des années j'ai découvert que la tendresse donnée et reçue, au niveau du corps comme du coeur, est fondamentale. L'amour, dans toutes ses expressions en étant tout à la fois le sommet et la profondeur.

J'adore les femmes! Elles sont réellement bâties pour nous hommes! Certaines d'entre elles sont des êtres très égocentriques et destructeurs sous des dehors de jolies petites sirènes. Mais tant d'autres sont de réelles fleurs de vie! Il en est de même des hommes d'ailleurs.

Entre hommes on nous apprend depuis l'enfance à vivre dans un esprit de compétition effrénée et de recherche de suprématie sur l'autre. Cette compétition est un facteur de progrès humain, mais peut aussi être un élément de destruction.

Malgré cette compétition nombreux sont les hommes qui rêvent par ailleurs très secrètement aussi de sexualité, de plaisir et de tendresse entre hommes. L’image du mâle que la société entretien et à laquelle le jeune homme croit devoir se conformer le lui interdit cependant. C’est pour cette raison que la femme accepte bien plus facilement sa part bisexuelle que l’homme ne peut le faire.

Elle réagit bien plus librement face à ses pulsions et suit facilement sa nature. L’homme se déchire bien plus qu’elle dans cette crainte de devenir homo ou bi.

Que ceux et celles à qui la bisexualité masculine déplaît referment ce livre. Il les choquera. Je les respecte entièrement, mais je les crois apauvris de ne pas connaître cela, puisque je m'en sens riche moi-même.

Que ceux, par contre, qu'elle attire, même très secrètement, aient du plaisir à me lire.
L'homme et la femme sont tellement beaux et cette beauté éclate quand ils se recherchent et se plaisent.

Voici donc l'histoire des moments de ma vie que je considère comme étant exceptionnels et à l’origine de ce que je suis devenu.

CHAPITRE 1 - INITIATION

J'avais 18 ans, on me trouvait en général sympa et assez beau garçon, assez grand, bien baraqué sans l'être trop, cheveux châtain foncé et yeux sombres, très sensible. Je vivais chez mes parents et ne savais pas encore ce qu'était une femme. Mes seuls plaisirs jusqu'à ce jour avaient été vécus seul avec ma queue dressée dans ma main. Je ne manquais pourtant ni d'imagination ni de sensualité.

Nous habitions en ce temps là une maison de style villa, dans un jardin. Nous n'avions de voisins que d'un côté. De l'autre, comme dans le fond du jardin, nous étions entourés de champs. Mes parents travaillaient beaucoup à leur affaire commerciale et me laissaient très souvent seul, même parfois pour plusieurs jours. J'avais peu d'amis et on voyait peu nos voisins. On en ignorait même presque l'existence. Pourtant ils avaient l'air sympa. Elle était une très jolie petite blonde qui courait parfois dans mes idées polissonnes quand je rêvais éveillé en me caressant. Lui était assez bel homme et avait l’air gentil.

Lors d'un bel après midi d'été solitaire à la maison, penché à la fenêtre de ma chambre, je regardais dans le jardin des voisins. Je vis subitement passer doucement dans un trou de feuillage un dos nu et gracieux qui ne pouvait être que le dos d'une femme.
Lentement elle s'éloignait et ses épaules disparurent mais ses reins se montrèrent à mes yeux. Lorsqu'elle s'avança encore ses fesses apparurent aussi... nues! Je n'en crus pas mes yeux! J'avais vu ses deux fesses roses et la fente au milieu! Puis elle avança encore et je ne vis plus que ses jambes fort jolies et gracieuses... puis plus rien.

Tremblant de tout mon être de jeune puceau, je dévalai les escaliers et me glissai sans bruit dans le jardin. Je connaissais un trou dans la haie et m'y dirigeai comme un sioux. Je traversai la haie et m'installai dans les buissons de leur jardin, de l'autre côté, cherchant à la revoir. Elle était toujours là! Elle se promenait entièrement nue en se caressant les seins et le bas du ventre d’une main distraite. Elle restait à l'abri des buissons pour ne pas être vue.

Tremblant d'excitation dans mon buisson touffu, je la regardai passer à deux mètres de moi. Elle avait de gros seins avec d'énormes aréoles roses, et son bas-ventre était recouvert d'une fine mousse de poils blonds. Elle passa près de moi et je détaillai tout son corps à travers le feuillage, puis elle continua sa promenade et je ne vis plus que ses fesses. Mais quel ravissant petit derrière !

Son mari apparut tout à coup en maillot sur la terrasse. Je fus pris de panique et reculai à toute vitesse vers le trou de la haie. Dans ma panique je cassai malheureusement plusieurs branchettes et secouai une branche que mon tee shirt accrocha.

Vite, vite de l'autre côté de la haie! Je passai d'un trait et me retrouvai dans notre jardin. Ouf! Prenant un air décontracté, je revins à grands pas vers la maison. Au moment où je posai la main sur la clenche de la porte, ma curiosité l'emporta et je me retournai pour être certain qu'on ne m'avait pas vu. Et là, entre les branches des buissons au dessus de la haie s'encadrait le visage du mari! Je plongeai dans la maison et fermai la porte, puis je courus en tremblant dans ma chambre.
Il n'apparut pas pour me flanquer une raclée et les jours passèrent. Mais souvent, le soir surtout, dans mon lit et la queue au creux de ma main, je repensais aux jolies choses que j'avais vues dans le jardin voisin.

A huit ou dix jours de là, un samedi matin de tout grand beau temps mes parents partirent une fois de plus pour le week-end. Ils étaient invités près de Paris où mon père avait des réunions du lundi au mercredi soir. Ils s’offraient alors le jeudi pour se balader et rentraient dans la journée de vendredi. Ma mère me fit cent recommandations, jusque dans la rue, m'expliqua dix fois comment cuisiner mes repas, de ne pas oublier de fermer les portes et fenêtres le soir etc... Puis je les embrassai, les portières de la voiture claquèrent et la voiture s'éloigna. J'étais seul! Je me retournai pour rentrer et vis mon voisin dans le jardinet devant sa maison, enlevant ses mauvaises herbes. Il me regardait! Mon sang ne fit qu'un tour! Je ne dis rien et lui non plus.

Je rentrai dans la maison où j'errai environ dix minutes, puis je sortis dans le jardin arrière, me disant que le voisin était devant sa maison, dans la rue.

A peine dehors une drôle de voix m'appela tout bas. Je tournai la tête, et à trois mètres de moi, au dessus de la haie, le visage de cet homme me souriait. Je savais qu'il avait compris que je regardais sa femme nue l'autre jour et j'eus peur. Il me demanda si j'étais seul. Il était trop près pour que je feigne ne pas l'entendre. Et puis je venais de le regarder dans les yeux. Une deuxième fois il me demanda si j'étais seul et jusqu'à quand. Je lui répondis poliment. Il me demanda alors si je m'ennuyais. Je lui répondis encore que oui mais que ça passerait. Sa réponse me surprit :

Viens chez nous!... Par le trou de la haie au fond du jardin!... Tu sais bien hein!

Il me souriait gentiment et un éclair brillait dans ses yeux. Il savait et n'avait pas l'air fâché ! Il avait même l'air très gentil et semblait vouloir faire la paix.
J'avais peur d'aller, mais j'avais peur aussi de lui déplaire et de le vexer. Je me dirigeai vers le fond du jardin. J'hésitai devant le trou puis y passai. Il était là, en maillot, accueillant, écartant les buissons de son côté pour que je passe sur leur pelouse. Mes yeux glissèrent le long de son grand corps brun et de ses longues cuisses. Je le trouvai beau. Marchant derrière lui vers sa maison je regardais son corps presque nu. Ses petites fesses, gainées dans son maillot jaune, oscillaient devant moi à chaque pas.

Il se dirigea vers leur piscine dans un coin de leur jardin, bien protégé des regards par une haie épaisse. Je passai cette haie derrière lui et vis sa femme Tina étendue par terre sur un matelas de jardin, fesses au soleil. Elle était à nouveau complètement nue! Elle se releva sur un coude et je regardai pendre ses seins nus sous sa poitrine. Il me dit:

- Je ne dois pas te présenter mon épouse Tina!

Je rougis et baissai les yeux. Ils éclatèrent tous deux d'un rire joyeux et Tina, voyant mon trouble, roula sur le dos, me montrant tout son ventre et ses seins qui oscillaient divinement, puis se releva et vint vers moi. Je lui serrai la main mais ne pus empêcher mes regards de glisser sur ses seins et sur les poils de son ventre. Qu'elle était belle! Elle me dit en me souriant:

- Ne fais pas attention Pat! Il te fait marcher! C'est normal que les garçons de ton âge regardent les femmes,... et c'est bon d'ailleurs! C'est très agréable pour moi que tu me regardes comme ça!... Et tu vois, il comprend cela très bien lui aussi!

Puis elle ajouta en se trémoussant devant moi toute nue:

Il fait chaud hein aujourd'hui? Tu n'as pas envie de nager? Elle est merveilleuse! Fais un saut dedans!

Je regardai l'eau bleue, ravi que mes regards puissent enfin échapper à son corps nu et répondis que je devais rentrer pour aller chercher mon maillot.

Tu n'en as pas besoin! Personne ne peut te voir ici! C'est exquis de nager nu tu sais! Allez! Va nager!

J'hésitai un moment, ne sachant que faire, mais ils insistèrent tous les deux. Je regardai le corps nu de Tina et me déshabillai.

Je me jetai vite à l'eau et nageai comme un fou. Ils me regardaient en riant et ça me plaisait de me montrer ainsi nu à eux mais quand même protégé, du moins je le pensais, par l’épaisseur et les déformations de l’eau. Puis quelqu’un plongea derrière moi et l'instant d'après je vis la tête de Tina sortir de l'eau tout près de moi. Elle nageait nue près de moi! C'était tellement bon! Je regardai son mari mais il riait et ne semblait pas jaloux du tout. Je me sentais dans mon paradis terrestre. Son visage était si attirant et joli. Elle avait un petit nez en l’air et des yeux que je ne me lassais pas de regarder. Tout bleus et spécialement clairs, tout rieurs aussi ! Parfois elle faisait trois brasses et je voyais ses fesses affleurer la surface. Parfois elle faisait la planche sur le dos les yeux fermés et mes regards se délectaient de ses seins et de son mont de vénus si joliment décoré.

Après dix bonnes minutes je la vis remonter l’échelle et sortir de l’eau. Quelle jolie croupe. Une fois sur le bord elle se retourna vers l’eau et m’invita à sortir aussi et à venir boire un Coca. Je me sentis maintenant plus à l’aise sous leurs regards et sortis de l’eau derrière elle. Elle me passa un essuie et je me frottai énergiquement. Puis je m'assis près du bord, tout nu sur mon essuie, à trois mètres d'eux, mes bras entourant mes genoux. C'était en effet le paradis, tout nu au soleil près d'eux, au bord de l'eau, et avec Tina toute nue près de moi.

Le bruit d'un léger déclic me fit lever la tête. Je vis Pierre, armé d'un appareil de photos, couché près d'elle mais tourné vers moi. Il prenait des photos de moi. De là où il était il devait bien voir mes cuisses et mon sexe nu qui pendait au repos entre elles.

- T'en fais pas Patrick! Il les développe lui-même! Personne d'autre que nous ne verra tes photos!... Laisses le faire! Ca fait de si beaux souvenirs!... Tu aimes me voir toute nue mais nous aussi tu sais on aime te voir!... Fais le modèle pour lui! Tu sais... comme les peintres!

J'hésitai, ne sachant quelle contenance prendre. Mais lui, à genoux maintenant dans l’herbe, continuait et ne se gênait nullement pour chercher à faire plonger le regard de sa caméra entre mes cuisses. Je me mis à rire et le laissai faire. C'était quand même trop tard, et puis ça ne me déplaisait pas qu'eux aussi aiment me voir nu. Puis il me demanda d’ouvrir les cuisses pour qu’on voie mieux mon sexe. Je le fis gentiment. Tina m'en demanda d'autres, plus cochonnes comme de me mettre à quatre pattes les cuisses ouvertes. Il photographiait tout mon cul. Ca me donnait tout chaud partout. Tina faisait des remarques du genre:

- Tu as un beau sexe pour ton âge! Ce serait dommage de ne pas bien le voir sur la photo! Regarde le mien! Tu le trouves beau aussi ?

Elle ouvrait les cuisses pour moi et mes regards plongeaient à nouveau dans son buisson de poils fendu maintenant de rose au milieu. Je sentais que du feu me remplissait le ventre et ma queue grandissait devant eux sans que j'y puisse rien. La première femme que je voyais! Elle me rendait dingue et elle le savait ! Mais ma queue qui grandissait semblait les inspirer aussi! Ils continuaient de me demander de nouvelles poses, poussant mon ventre en avant en tenant ma queue en mains. Tout à coup elle ajouta:

- Tu es si beau dans cet état,... je veux dire... tu as une belle grosse bite!... Tu plairas aux filles!...Caresses la un peu!

Elle avait un drôle de regard sur ma bite. J'avais l'impression que son regard la faisait tout le temps gonfler plus encore. L'excitation courait dans mes veines.

- Pat!... Laisses le prendre une photo quand tu pisses!

- Tu es folle!... Non! Ca pas!

- Si! Fais le pour moi!... Si tu acceptes je pisses devant toi!... Pour toi!... T’as pas envie de me voir pisser?... T’as envie hein ?

- Oui!

Si je le fais tu le fais aussi et tu le laisses prendre des photos?

- ... Oui!

- Regardes!

Elle se mit à genoux, écartant les cuisses au maximum et se renversa un peu vers l’arrière. Je vis son con tout grand ouvert devant moi et tout rose à l’intérieur. Elle attendit un peu puis dit:

- Tiens!... Regardes!... Ca vient!

Et je vis subitement un fort jet de pipi gicler de son con ouvert. Je tremblais d’excitation. Je la regardai pisser jusqu’aux derniers petits jets. Mon sang battait dans mes tempes.

- Maintenant à ton tour!... Vas-y!... Ne rate pas les photos Pierre!

Lentement je me mis debout. Je sentais couler dans mes veines une intensité d’excitation sensuelle que je n’avais jamais connue. Sous leurs regards conjugués je pris ma queue en main et me tournai vers eux en dénudant bien mon gland. Cela mit un certain temps. Ils attendaient, subjugués par ma queue. Puis je sentis enfin que ça venait et je pissai pour eux dans l’herbe devant moi.

- Oh c’est génial!... Vas-y Pierre!... Prends des photos de lui pendant qu’il pisse!...

Pierre prenait des tas de photos. Je les regardais faire tous deux. Je pissais pour eux face à leur camera! C’était si bon qu’ils aiment ça! Je pissai longuement. Alors Tina ajouta:

- Que tu es beau Pat!... Maintenant fais la bander tout à fait!... Caresses la pour nous!... C’est si beau!... Bandes pour nous!... Fais la bander bien!...

Je n’avais en effet plus qu’une envie, celle de me masturber. Et ils m'excitaient! Je m’assis dans l’herbe. Ma main glissa devant eux entre mes cuisses et mes doigts prirent ma queue... Et là je fus perdu! Je me mis à me masturber devant eux et pour eux. Ils étaient entrés dans mon intimité! Mon sexe prit toute son ampleur sous leurs regards et ils semblaient tous deux adorer ça !

L'appareil de Pierre continuait ses déclics mais dans ma queue un plaisir sourd montait,... et ils n'en perdaient rien. Je me sentais devenir vicieux sous leurs regards et le pire était que ça me plaisait terriblement. Je me mis subitement à quatre pattes devant eux et leur montrai vicieusement mon cul en l’air. Je pris ma pine et la poussai entre mes cuisses pour qu’ils la voient bien sur les photos. Tout à coup mon regard tomba sur le maillot de Pierre. Je fus vraiment surpris de ce que j'y découvris! Quelle longue bosse! Lui aussi il l'avait grosse!... Très grosse même! Mais alors …. Je l’excitais lui aussi !

Tina en tous cas était maintenant visiblement excitée. Elle se leva nue et approcha de moi. Sa petite main glissa entre mes cuisses et ses doigts prirent délicatement mon gland rose. Quelle douceur exquise, quel plaisir! Jamais je n'avais vécu cela! Ma bite devenait énorme dans ses doigts. Elle semblait connaître ma bite bien mieux que je ne la connaissais moi-même. Je n’en revenais pas ! Elle en était comme maîtresse et sa douceur m’était inconnue. Elle tomba à genoux devant mon bas-ventre. Elle caressait doucement toute la longueur puis ses doigts traînaient sur le gland. Pierre regardait et prenait toujours des photos, mais de tout près maintenant, il cadrait sur mes couilles et ma queue dressée dans les doigts de sa femme. Nous regardions à trois ma bite grandir dans sa main. J'étais comme paralysé et laissais faire Tina. Tout à coup ses lèvres avancèrent et glissèrent autour de mon gland et le suça.

- Pierre regardes! Quelle belle pièce!... Couches toi sur le dos Pat!

Elle me poussa un peu sans lâcher ma queue toujours entourée de ses doigts agiles et savants. Je tombai en arrière dans l'herbe. Ses mains glissèrent, exquisément douces, sur tout mon corps nu. Des mains de femme ! Quelle différence avec les miennes quand je me caressais moi-même ! Des mains intelligentes ! Comme elles semblaient connaître mon corps de longue date ! Quelle découverte délicieuse ! Je me sentais tomber amoureux de la femme et de Tina en particulier. Ses mains semblaient me connaître si bien et m’aimer si exquisément.

Elles couraient partout sur ma poitrine et mes flancs, mon ventre et mes cuisses. J’avais l’impression intense que ces mains comprenaient tout mon corps… tout en moi… tout moi !

Je me rendais compte qu’elles évitaient mon sexe et il me tardait terriblement qu’elles le touchent. Oh Tina ! Quelle découverte de la femme elle me donnait ! Que c’était intense et bon ! Mon corps ondulait sous ses paumes et ça semblait lui plaire tellement.

Alors je sentis ses doigts légers effleurer mon sexe puis mes couilles et mon ventre bondit en l’air vers son joli visage. Elle m’avait, Je voulais qu’elle me prenne, je voulais qu’elle me touche encore et plus… mieux… plus intensément. Sa féminité m’affolait.

Une de ses paumes s’arrondit autour de mon sac et tendrement le soupesa. J’étais au paradis avec une femme. Je savais qu’elle était en train de me marquer à vie de l’amour de la femme. J’avais conscience de toute l’importance de ce moment pour moi, comme du fait qu’elle le savait aussi et qu’elle me le donnait. J’étais rempli de reconnaissance et d’amour pour elle.

Alors ses doigts s’arrondirent autour de ma verge et elle la releva dressée sur mon ventre. Je la regardais faire. Elle semblait émerveillée. Une femme m’aimait ! Tina m’aimait ! Elle aimait mon sexe de garçon ! Oooohh Tina Merci de tout mon être ! Mais je ne pouvais rien lui dire tant c’était intense en moi et elle ne disait rien non plus.

Ses doigts me caressaient et montaient et descendaient amoureusement sur ma hampe. Quelle douceur que celle de ces mains, que celle de la femme ! La sensation qu’elle me donnait n’avait absolument rien de commun avec celle de mes propres mains sur ma queue. Et je la connaissais si intimement cette sensation de mes propres mains. Ici c’était un tout autre monde. Je découvrais le monde de la femme avec délices.

Ses doigts maintenant enfermaient puis dégageaient mon gland de mon prépuce. Il était tout caché dedans puis en sortait tout nu et rose. Elle vit comme moi une goutte perler au bout de ma verge et passa le doigt dessus pour l’étaler sur tout mon gland. Son doigt glissait maintenant merveilleusement sur mon gland… amoureusement même semblait-il.

Tina semblait aimer mon jus. La femme aimait le jus de mon sexe ! Mon bonheur profond était à son comble.

Son visage s’abaissa alors sur moi en me caressant les couilles et à ma toute grande surprise sa bouche approcha de mon gland mouillé de mon jus. Ses lèvres s'y posèrent et, d'un coup elle lécha tout le gland. Je me souviens que tout mon ventre sauta en l'air vers elle. Alors elle avala mon gland en gémissant doucement.

Je comprenais que je faisais avec elle des choses pas permises mais je jouissais maintenant trop bien. Et puis son mari était là! Il nous regardait et ça avait l'air de lui plaire drôlement aussi! S'il le permettait et que ça lui plaisait alors tant pis! Qu'elle me suce! C'était trop bon!

A ce moment je sentis en moi s’épanouir quelque chose que je ne comprenais pas encore bien mais que je prenais pour une intense reconnaissance envers lui de me permettre de vivre tout ça aussi intensément avec sa femme.

Elle me téta un moment. Mon plaisir grandissait dans mon ventre. Une de ses principales composantes était la découverte qu’une femme pouvait aimer mon sexe. Je savais d’expérience que d’autres gouttes devaient y perler et elle semblait tout aimer avec autant de passion que celle qui courait dans mes veines. Je découvrais que la femme aime l’homme comme il est. Quelle découverte merveilleuse ! Quelle richesse profonde !

Alors ses lèvres lâchèrent mon gland, elle s’écarta légèrement, le regardant comme tout mon sexe avec une sorte de fierté et de tendresse dans le regard et me dit toute sérieuse :

- Quel beau petit mâle!

Et lui ajouta:

- Ne rates pas ça Tina! Vas y!

Elle avança à genoux, me tourna le dos et je vis une de ses jolies cuisses enfourcher mon ventre nu. Je ne comprenais pas encore très bien ce qu'elle voulait. Mais que ses fesses étaient jolies ! Je voyais entre elles une délicieuse petite étoile rose si intime en en dessous, entre ses cuisses, son sexe de femme.

Quel sexe ! Il semblait tellement gonflé et si ouvert. De dos je voyais si parfaitement cette ouverture béante. Je pensai quelque chose comme « l’antre de la femme ».

Je vis une de ses jolies mains ramasser ma grosse bite sur mon ventre et la dresser vers le ciel... Elle mit son con juste au dessus. Puis elle frotta mon gland nu dans sa fourrure et entre les lèvres de ce sexe féminin ouvert et le plaisir monta encore dans mon ventre. Je compris subitement! J'allais coucher avec elle! J'allais coucher avec une femme pour la première fois de ma vie, et devant son mari!

Je vis son con s’abaisser sur ma colonne et celle-ci glisser en elle. Mon ventre bondit encore et je me retrouvai mouillé et inséré en elle jusqu’aux couilles. Je vivais des choses que jamais les mots ne pourraient dire. Elle se mit alors à danser doucement sur moi. Je voyais mon sexe glisser hors d’elle puis y rentrer totalement. Elle me mouillait complètement les couilles. Je la vis lever un bras en l’air et de l’autre se caresser les seins. J’avais atrocement envie de voir ses seins nus.

Et subitement elle bougea et se souleva, mon sexe s’échappant d’elle. Ce n’était pas possible ! Pas déjà fini ! Pas maintenant ! Une vraie douleur courait dans mes veines.

Mais ce n’était que pour mieux m’enfourcher à nouveau, tournée cette fois vers moi. Elle m’avait compris sans que je lui parle! Je voulais voir ses seins et elle me les donnait !

Elle reprit ma verge maintenant toute mouillée sur mon ventre, la dressa à nouveau verticalement, puis en fit jouer à nouveau le gland dans ses grandes lèvres. Quel sexe féminin ! Maintenant je le voyais bien mieux encore. Il me semblait si féminin et si totalement intime. Quelle surprise de voir mon gland glisser dans les plis roses et mouillés de son con ! Et ce sexe avala à nouveau le mien. Elle se remit a danser doucement sur moi puis de plus en plus vite.

Les regards de Tina plongeaient dans les miens et j’étais certain qu’elle lisait en moi comme personne n’avait jamais lu. Mais j’étais tout surpris de lire en elle comme je n’avais, moi, jamais lu dans un autre être. Et je n’y trouvais que de l’amour, toute une féminité si profondément émouvante et un plaisir, un bonheur de danser sur ma queue qui m’émerveillait totalement. Je découvrais que j’étais capable de donner un tel bonheur à une femme. Je ne m’en lasserais jamais. Je recommencerais toute ma vie.

Et quel plaisir inconnu dans le fond de son ventre! Quelle douceur!... Quelle chaleur!... Elle poussa alors un gémissement mais moi aussi! J’avais touché quelque chose tout au fond d’elle, quelque chose qui semblait ressembler à mon gland. C’était doux, chaud et dur à la fois. Elle avait un gland au fond d’elle ?

J’eus comme un flash d’un dessin des organes féminins que j’avais souvent et longuement regardé et je sus ! C’était sa matrice ! Le bout de sa matrice ! J’étais en elle si profondément ou alors son plaisir amenait sa matrice à caresser amoureusement mon gland ! Une immense fierté me remplit ! Une fierté de mâle que je n’avais jamais connue en moi. Quelque chose d’immense et de très profond. Quelque chose qui touche aux racines de la vie.

Je ne bougeai plus, planté en elle jusqu’au fond. Elle gémissait doucement et ondulait sur moi. Ses seins superbes ballottaient et ce ballottement témoignait tout à la fois de leur fermeté et de leur douceur. Mes deux mains glissèrent le long de son ventre et montèrent emballer ses seins de tendresse en tétant parfois ses bouts de deux doigts. Loin au fond d’elle, dans le secret de son sexe profond et de son ventre de femme, sa matrice se frottait amoureusement à mon gland, à ma pine pleine de plaisir. Je voulais tenter de rester toujours dans le paradis au fond de son ventre mais sentais que mon plaisir en elle devenait ingouvernable.

Alors je sentis subitement sa matrice se frotter encore plus amoureusement à mon gland si profond. Je lui criai presque :

- Tina ! Je n’en peux plus ! Je vais jouir !

Elle ondula sur moi, plus adorable et belle dans sa féminité que jamais et cria :

- Moi aussi Pat !... Ca vient ! … Ca y est !.... Aaaahhhhhhhh !!!!

Ses cuisses me serrèrent très fort puis elle tomba lentement sur moi comme une fleur couchée par le vent. Je l’enlaçai follement nue et écrasai ses beaux seins contre ma poitrine. Je découvrais contre mon ventre l’exquise douceur du sien. Comme un ventre de femme était différent et doux comparé à un ventre d’homme ! Et ses seins !... Ses seins !

Elle qui avait été si flamme, si fière dansant sur mon sexe, elle n’était plus que tendresse, douceur et apaisement. Nos lèvres se trouvèrent et se joignirent tout spontanément, comme la chose la plus naturelle de la vie.

Pierre continuait à prendre des photos de nous mais je ne le voyais pas. Plus rien d'autre n'existait maintenant pour moi en dehors du corps nu et du con de Tina ou ma bite palpitait encore et dégonflait doucement !... Je me sentais follement amoureux d’elle et de la femme.

Longtemps elle reprit son souffle couchée nue sur moi et dans mes bras, nos deux sexes totalement accouplés. Ca coulait de partout mais on s’en fichait tous deux. Je caressais ses seins nus et en découvrais avec ravissement la texture si douce mais si ferme. Un vrai miracle féminin. Je me dis que tout était comme ça dans la femme, si doux et tout à la fois si ferme.

Puis elle releva un peu son visage et me regardant dans les yeux me demanda doucement :

- C'était la première fois pour toi ?

J'approuvai, et elle m'embrassa à nouveau longuement sur la bouche. Même sa langue venait entre mes lèvres s'enrouler à la mienne. Tout son corps lascif m’embrassait et tout le mien lui répondait. Ma queue, maintenant toute petite était toujours en elle mais je savais qu’elle ne pourrait plus y rester longtemps. Elle dégoulinait maintenant de partout.

Puis elle se leva de mon corps, se redressa et se releva. Pierre dit :

- Que vous étiez beaux tous les deux ! J’ai pris beaucoup de photos mon amour !

Elle sourit amoureusement à son mari mais ne répondit pas. Je me relevai, me mit debout et eu la surprise de ma vie. Pierre était entièrement nu debout près de nous et sa queue était totalement dressée! Quelle bite! Quelle pièce! Elle ballottait à chaque mouvement de son corps et de grosses couilles poilues pendaient en dessous. Quelle découverte ! Quelle puissance mâle !

Tina se tourna vers nous et nous dit :

- Venez! On sera mieux dans la maison!

Elle ramassa mes quelques vêtements et me prit par la main. Pierre s'approcha de nous. Elle me serra dans ses bras et m'embrassa encore sur les lèvres comme une petite amoureuse. Elle était plus jolie que jamais, toute rose et les yeux plus brillants encore. C'était exquis son corps nu contre le mien! Je retrouvais la douceur de son ventre nu se frottant au mien et de ses seins contre ma poitrine. Et Pierre tout nu près de nous qui permettait... et je voyais combien ça l'excitait aussi. Je savais que je venais de vivre une étape capitale de ma vie. Elle m’avait, à vie, rendu fou de la femme. Elle me dit toute sérieuse :

- Tu m'as fait jouir fort tu sais! ... Toi aussi tu as fort joui hein?

J'approuvai et elle me serra encore dans ses bras et m'embrassa follement.

- Tu es un merveilleux petit mâle!... Viens!

Elle m'entraîna nu vers la maison. Pierre suivait, nu aussi, et je vis sa grosse queue à l’horizontale ballotter lourdement devant son ventre en marchant. Quand on entra dans le salon elle s’écarta de moi et alla soigneusement fermer les tentures. Pierre s'arrêta nu tout près de moi et je le regardai à la dérobée. Sa bite énorme se dressait toujours sur son ventre. J'avais envie de la toucher. Je m’assis sur le coin de la table. Quand Tina revint nue vers nous je compris qu'elle avait vu mes regards en coulisse vers la queue dressée de son mari. Elle nous sourit et dit:

- Elle te plait sa bite hein?... Regardes la tant que tu veux Pat!... Elle est belle!

Sa remarque me fit rougir. Elle approcha de moi et prit ma main qu’elle enroula avec douceur autour de la bite de son mari.
- Tâtes la!... C’est chaud et dur hein?... Vous êtes beaux tous les deux! Vous avez de belles bites! Elles sont belles toutes deux l’une dressée et l’autre toute calme! Prends le dans tes bras et serre le Pierre. Sens comme sa peau est douce!

Je sentis instantanément les mains de Pierre glisser sur mon corps. Elles étaient puissantes mais douces et leur tendresse m'étonna. La situation me paraissait bizarre et pourtant me plaisait tellement que j’en tremblais intérieurement. Je passai un bras autour du cou de Pierre et me laissai faire par lui en regardant Tina toute nue devant nous. Je serrais sa bite tendue dans ma main. Elle était grosse et chaude. J'avais l'impression de glisser subitement tout nu dans leur monde sensuel, de le sentir si vaste, et de découvrir combien il correspondait au mien. J’avais senti tantôt en couchant avec Tina un immense sentiment de gratitude à l’égard de Pierre mais quelque chose de plus se glissait en moi que je ne m’expliquais pas encore. Une chose était sûre. Pierre m’attirait aussi.

Tina glissa une de ses jolies mains à son con, l'ouvrit de deux doigts qui glissèrent alors dedans. Elle se masturbait devant nous! Mes yeux étaient rivés à ces jolis doigts agiles.

Je lâchai Pierre et me mis debout. Lui, glissant derrière moi, m'enlaça et je sentis tout son corps nu s'accoler au mien. Ses mains descendaient le long de mon ventre. Je les sentis prendre doucement possession de tout mon sexe, couilles et queue, et le malaxer tendrement. Il m'embrassa dans le cou. Mon corps nu s'étonnait et s'émerveillait de cette douceur mâle que je n’aurais jamais soupçonnée chez l’homme. Tina se masturbait toujours doucement devant nous.

Alors Pierre se mit à m'embrasser les épaules, le dos, la poitrine et ses lèvres se mirent à sucer mes tétons tout en me caressant partout. Tout surpris je le laissais tout faire et regardais sa queue dressée et les doigts de Tina dans son con.

Puis il tomba à genoux, regarda mon sexe en le caressant et en approcha ses lèvres. L'instant d'après toute ma queue était dans sa bouche. Il la suçait avec passion. C'était exquis! Ma queue grandissait à nouveau sous son baiser. C'était comme avec Tina tantôt, sauf que c'était un homme qui me suçait et que Tina regardait nue en se caressant entre les jambes! Elle ouvrait obscène ment les cuisses pour avoir un meilleur accès à son con. Son mari me suçait et elle permettait, nous regardait et nous l'excitions! Mon regard retourna alors à Pierre, nu, suçant ma queue qui se dressait maintenant entre ses lèvres et mon plaisir augmentait. En le regardant faire j’étais totalement surpris de prendre un tel plaisir à ce baiser entre hommes. C’était totalement incompatible avec mon amour de la femme que Tina venait de fixer définitivement en moi et pourtant une part de moi semblait correspondre à un tel baiser.

Il lécha alors ma queue sur toute sa longueur, se releva contre moi et m'enlaça à nouveau. Il collait son ventre nu au mien et frottait sa grosse queue nue à la mienne en un va-et-vient exquis. Je le sentais aussi excité que moi. Je levai les yeux vers son visage et vis ses lèvres avancer. Il avait un drôle de regard. Instinctivement je sus pourquoi. Pour la première fois de ma vie j'étais témoin du désir du mâle ... et j'en étais de plus l'objet.

Je n'eus pas le temps d'avoir peur. Ses lèvres se posèrent, très douces sur les miennes et sa langue se glissa entre elles. Mon sang ne fit qu'un tour! Il m'embrassait comme on embrasse une fille! ... Comme je l’avais fait avec Tina! D'un coup je sentis se révéler en moi un formidable désir vicieux de connaître la sensualité secrète de ce mâle nu qui ressemblait si fort à la mienne et lui abandonnai ma bouche.

Il m'embrassa longuement devant Tina. Sa grosse bite dure et chaude se frottait sans cesse à la mienne. Il me caressait tout le corps et poignait dans mes fesses nues. C’était bon !

Quand il me lâcha on repris haleine quelques instants. Mais il avait fouetté mes désirs et m'avait fait sentir combien je l'excitais avec mon corps nu et ma queue tendue. Maintenant j'en voulais subitement plus de son désir et de sa grosse bite chaude se frottant contre la mienne. Je voulais connaître toute la sensualité profonde de cet homme qui s’ouvrait à moi aussi intimement. Et c'est moi qui lui repris alors les lèvres, entrant ma langue dans sa bouche et frottant moi aussi tout mon ventre nu au sien. Il répondait bien! Nos bites se frottaient et se mêlaient. Je sentais la mienne s’écraser et s’enlacer à la bite chaude de Pierre. Nos couilles se mêlaient et sa langue s’enroulait à la mienne. Nos ventres s’écrasaient l’un contre l’autre. Son ventre était doux aussi, même si cette douceur n’était en rien comparable à celle du ventre nu de Tina. Quand je lâchai ses lèvres pour reprendre mon souffle j’étais émerveillé par ce plaisir d’être nus à deux et de s’embrasser sur la bouche. Il m’ouvrait son monde sensuel d’homme. J’étais tout jeune et n’avait qu’une envie, celle d’y plonger. Et ça me semblait si exquisément vicieux entre hommes et ce vice m’attirait de manière très trouble. J'entendis la voix sourde de Tina dire:

- Suces lui aussi la queue Pat! Il adorera ça! Et toi aussi tu vas adorer ça!... Tu vas sentir comme c’est doux une bite d’homme dans ta bouche!... Assieds toi sur la table Pierre et donnes lui ta bite à sucer! Il doit découvrir ce plaisir là!

J'hésitai, craignant tout à coup ce nouveau pas sexuel. Mais sa grosse bite douce et chaude, si dressée m'attirait trop fort. C'était comme un miracle sensuel dressé entre ses cuisses au bas de son ventre nu! J’en avais envie... sa femme me le demandait et lui, assis au bord de la table, me l’offrait! Je sentais qu’ils voyaient tous deux mon désir et qu’ils l’aimaient. Ils me poussaient. Alors avec eux je pouvais. Ils étaient complices. C’était bon!

Je me penchai vers son sexe dressé, le gland dénudé. Quelle pièce! Ses couilles dans ma main pesaient lourd. Mais quelle douceur! Quelle souplesse ! Ma paume encercla alors sa bite. C'était dur et doux à la fois... et si chaud! Elle était raide mais flexible quand même.

Je me penchai et posai mes lèvres sur son gland nu. Quelle surprise de douceur, de fermeté et de chaleur! Je l'embrassai, puis lâchai son gland. Je le pris alors tout entier dans ma bouche et le suçai comme il me l'avait fait. Quelle découverte! Je ne savais pas si mon gland était comme ça, mais la douceur de la peau du sien était extraordinaire. Et puis il était si chaud. Je pouvais un peu l’écraser avec la langue mais qu’il était ferme à la fois ! Je découvrais l’homme en lui et je découvrais avec étonnement en moi qu’il m’attirait et que je l’aimais, moi le passionné de femmes !

Pierre gémit doucement et je vis Tina approcher pour mieux voir. Deux doigts glissaient toujours dans les plis mouillés de son con tout gonflé. Je tétai Pierre avec passion et sentis la main de Tina glisser entre mes fesses et ses doigts agiles caresser doucement mes couilles et ma bite. Après un moment Pierre m'enleva sa bite et me fit relever. Je compris subitement qu'il allait jouir et ça me plût follement de découvrir mon pouvoir sur un tel mâle et sur son beau sexe. J’avais un pouvoir sexuel sur un homme si beau! Je me redressai en le regardant dans les yeux y découvrant un plaisir trouble que j’adorai immédiatement.

Tina se taisait et nous regardait en se caressant les seins et entre les jambes.

Il m'enlaça à nouveau et me caressa partout. Maintenant je lui rendais ses caresses et découvrais tout son corps. Je savais que nous partagions ensemble notre monde sensuel et c’était si bon! Je caressais sa queue et ses couilles et il me le rendait bien! Ses doigts couraient même entre mes fesses et je le sentais me toucher là où personne ne m'avait jamais touché. C'était exquis et ça m'excitait! Involontairement, je tendais mon cul en arrière pour lui faciliter l'accès et ses doigts m’arrachaient de petits gémissements que je ne me connaissais pas. J'adorais cette caresse intime. Je fis de même chez lui et découvris avec ravissement les plis de son anus sous mon doigt. Tina nous dit d'une voix sourde :

- Comme vous bandez tous les deux!... Caresses sa bite Pat!... Oui!... Comme ça!... Tu sens comme il bande?... C’est toi qui l’excite comme ça!... C’est pour toi qu’il bande!... Il te désire!... Il désire ton joli corps nu et te le dit avec tout son corps... toute sa bite chaude et dressée pour toi... Continuez à vous deux!... Oh Pierre!... Vas y!... Ne rates pas cette chance!... Il bande dur aussi!

Il s'écarta un rien de moi, rempli le creux de sa main de salive et ramena sa main derrière moi. L'instant d'après je sentis ses doigts écarter mes fesses et sa main étendre sa salive sur mon anus. C'était doux et intime. Ca me faisait penser à un baiser. J’avais conscience à dix huit ans de voler avec eux de découverte en découverte.

Et tout à coup quelque chose d'extraordinaire se passa dans mon cul. Je poussai un "Ooooh!" de surprise et compris. Un de ses doigts glissait dans mon cul! Quelle sensation exquise! Il jouait dans mon cul tout en me triturant la bite! Je gémis doucement, écartai un peu les cuisses et tendis instinctivement ma croupe en arrière pour qu’il m’atteigne mieux. Il versait du feu dans mes veines. Jamais je n’avais eu l’impression d’une caresse aussi intime. Et il était « en moi » Une part de lui me caressait en moi ! Et que c’était bon ! Ce plaisir qu’il me donnait dans le cul je ne l’avais jamais ressenti de ma vie entière, et même jamais soupçonné.

Tina approcha encore et, sans retirer ses doigts de son con, vint se frotter nue à nous deux. Ses seins doux contre mon bras m'affolaient autant que cette caresse intime au fond de moi.

- C'est bon hein Pat! ... C’est merveilleux son doigt là hein?... Tu lui donnes des envies terribles... Un vrai désir de toi... Il te veux!... C’est pour toi qu’il bande comme ça!... Quel plaisir vicieux tu aurais s'il te mettait sa bite chaude au lieu de son doigt! Tu te rends compte? Toute sa bite chaude et folle glissant dans ton cul? Tout son désir fou en toi?... Mets toi à quatre pattes et tends lui ton cul!... Tu vas adorer le sentir entrer en toi!... Tous les vrais mâles adorent ça... et tu en es un!... Mets toi à quatre pattes et laisses le faire! Il va t’aimer très fort !

En disant ça elle continuait à se frotter nue contre nous deux. Sa peau et ses seins étaient si doux contre moi! Et elle, si profondément femme, me poussait à l’union avec son homme !

- Tu vas le faire jouir avec ton cul... et tu vas en jouir follement aussi!... Cette grande bite chaude et tout son désir dans ton cul!

J'étais comme fou de sensualité. Ce désir mâle pour mon cul! Cette grosse bite qui voulait glisser en moi et me posséder comme j'avais possédé Tina! Et cette femelle qui était déjà la mienne, que j’avais possédée devant lui et qui se frottait nue à moi en me demandant maintenant cet accouplement à son mâle! J'avais envie de cette queue dans mon cul à la place de son doigt agile! Je voulais le faire jouir ce mâle en moi et connaître ses vices! Je voulais satisfaire ses désirs et ceux de cette femelle nue! Je vibrais de désir de plonger encore plus, tout nu, dans leur folle sensualité à tous deux! J’avais envie d’accouplement avec ce mâle dont je connaissais déjà la femelle! Quelque chose de puissant en moi m’y poussait mais quelque chose me retenait encore et j’en tremblais. J’avais peur qu’il ne me fasse subitement mal. Sa bite était si grosse. Pouvait-elle entrer là ? Mais la promesse de Tina que j’en jouirais aussi moi-même me décida.

Je tombai à genoux puis à quatre pattes. Tina vint à genoux près de moi, se pencha sur moi et me caressa tout le dos et les fesses de ses seins nus et chauds. Elle caressa tout mon derrière de ses mains puis écarta mes fesses. Je sentis Pierre derrière moi retirer doucement son doigt de mon cul. Je savais l’accouplement tout proche maintenant. Alors quelque chose d'énorme et de chaud se poussa tout mouillé en moi. Tina dit d’une voix sourde:

- Il entre Pat! Je vois ton cul s’ouvrir!... Tout son gland entre et sort!... Laisses toi aller !

Et c’était vrai ! Je sentais mon cul rempli comme il ne l’avait jamais été. Je le sentais ouvert comme il ne l’avait jamais été non plus. Et tous deux le regardaient. Je me sentais comme fou de sensualité de me livrer aussi intimement à eux comme ça.

Puis tout à coup ça fit un peu mal à l’intérieur et je sursautai. Pierre arrêta sa poussée et se retira même légèrement. Tina me dit :

- Tu as eu mal Pat ?

- Oui un peu.

- Pierre fera doucement ! Tu vas voir ! Il me prend là aussi et ça va tout seul. Attends !

Pierre se retira complètement de moi et je sentis un paquet de salive de Tina tomber juste sur mon anus. Puis immédiatement après le gland de Pierre rentra en moi et poussa à nouveau. J’aimais ça mais craignais d’avoir à nouveau mal. Alors Tina me dit :

- Pousses comme quand tu es à la toilette ! … Il entre à nouveau!... Pousses sur sa bite comme si tu voulais sortir une grosse crotte…. Oh c’est beau ton cul tout ouvert et sa belle bite dedans!

J'avais l'impression qu'il m'écartelait et me remplissait jusqu'à l'estomac. Je gémissais un peu. Puis j’entendis Tina et poussai de toutes mes forces. Ca faisait un peu mal mais moins que tantôt.

- Oh Pat !... Il entre !... Tu l’accueilles en toi !... Toute sa longueur !

Et c’était vrai ! Je le sentais loin en moi ! Quelque chose comme un seconde porte secrète s’ouvrait à lui en moi et je le sentais l’ouvrir inexorablement. J’imaginais son beau gland si lisse et si ferme, si chaud aussi m’ouvrant complètement comme quand je me passes à moi-même un pull à col roulé un peu trop serrant. Et ça ne m’étonnait pas qu’il soit trop serrant, sa bite était si grosse !

Je volais de découverte en découverte. Subitement je me sentis m’ouvrir complètement sous la poussée de Pierre et je le sentis se retirer presque complètement puis glisser à nouveau tout au fond de moi. Je découvrais avec ravissement le contact de ses poils pubiens tout serrés contre mon anus.

Pierre ne bougeait plus, enfoncé en moi jusqu’à la garde. Machinalement je portai une main entre mes jambes et caressai mes couilles puis celles de Pierre posées presque dessus. Un de mes doigts se glissa entre nous et je sentis la base de la belle bite de Pierre insérée dans mon anus distendu. Je gémis de sensualité débridée et reposai ma main à terre pour m’empêcher de tomber.

- Tu n’as pas mal Pat ?

- Non !... C’est merveilleux !...

Il se passa alors quelque chose d’intense en moi, encore une sensation nouvelle. Et je découvris qu’elle était causée par la bite de Pierre qui commençait à bouger tout doucement en moi. C’était un peu celle de son doigt tantôt en moi mais bien plus fort, bien plus profond et plus intense.

- Oh Pierre ! C’est bon ce que tu me fais !... Oh encules moi ! Oh ouiiiii !

Pierre se mit alors à bouger de plus en plus fort et de plus en plus vite. Je sentais mon anneau autour de sa bite se desserrer incroyablement. C’était comme s’il avait réussi à m’ouvrir comme je ne savais pas que c’était possible. Par moments il ressortait presque toute sa bite de moi. Il me causait un profond sentiment de vide et de peur de le perdre. Il ne s’arrêtait de sortir que quand ma porte intérieure enserrait sa gorge profonde juste sous son gland. Je sentais parfaitement en moi que ma seconde porte conservait tout son gland et l’empêchait de ressortir. Je le serrais convulsivement de toute la force que mon cul éclaté possédait encore.

Alors il changeait d’avis et re-glissait entièrement en moi, possédant sexuellement le mâle que j’étais et cette possession sexuelle me ravissait au plus profond.

Dans ses va et vient je sentais qu’il touchait en moi un point encore plus sensible que partout ailleurs mais j’étais totalement incapable de dire où. Il ravissait tout mon cul. J’avais l’impression que tout le plaisir qu’il avait dans sa bite coulait d’elle en moi et me remplissait. Un plaisir montait en moi, le sien, et envahissait mon dos et coulait dans mes cuisses nues. Sa main puissante et si douce, posée au bas de mon dos, juste au début de mes fesses semblait encore accroître mon plaisir interne.

J’étais plein d’homme... Rempli totalement par cette bite chaude et vicieuse. Tina eut un petit rire sourd et Me demanda:

- Pat ! Tu sens bien tout son désir sexuel pour toi dans ton cul?

- Oh oui!... C’est merveilleux!... J’aime sa grosse bite! Je sens son plaisir couler en moi !

- Petit vicieux! Tu es vraiment fait pour goûter à toutes les joies... même celles de faire l’amour avec un homme! Sens comme ton cul est fait pour sa bite!... Vous êtes si beaux accouplés entre hommes!... Faites l’amour à vous deux et jouissez bien l’un avec l’autre!... C’est bon Pierre?

- Oooohh oui ! Il a un cul merveilleux! Je voudrais que tu puisses sentir comme il palpite autour de ma bite!

- Vous êtes si merveilleusement adaptés l’un à l’autre!... Jouissez en tous deux!... Et jouis dans son cul Pierre! Jouis très fort !

Pierre gémit aux paroles de sa femme et se mit littéralement à danser dans mon anus.

Quelle découverte! C'était exquis! Jamais je n’aurais pensé que ce fut si bon. Et comme il me tenait par le cul avec sa bite! Comme j'aimais cette grosse et longue chair mâle pleine de désir et de plaisir dans mon cul! Et comme j’aimais lui donner mon cul! Je sentais mon anneau tout relâché et ouvert, offert à sa bite et à ses plaisirs mâles. Et les idées folles tournaient dans ma tête. Je pensais que je devais ressentir un peu ce que Tina avait senti en dansant tout à l’heure sur ma bite. Pierre gémissait constamment d’une voix étonnamment basse et me disait:

- Oh Pat! J’adore ton corps... tes couilles, ta bite et ton cul!... Je te désirais depuis des semaines!... Depuis que tu avais vu Tina nue dans notre jardin. Mais jamais je n’aurais espéré t’avoir complètement nu comme ça avec tout ton cul offert et ouvert et ma bite nue plongeant loin dedans! Ton cul me fait jouir Pat!... Jouir !.... Jouiiiiiiirrrhhhhh !!! Aaaahhhhhh ……!

Enfoncé totalement en moi et immobile je le sentais gicler tout au fond. Tout mon cul, tout mon être alla à la rencontre de son plaisir et de cette queue merveilleuse de chaleur et de vice et dansait autour. Je me délectais de sentir ses jets tout chauds au fond de moi.

Alors Tina se glissa nue sous mon ventre et se mit à sucer mon gland avec passion. Je me trouvai devant la fourrure de son ventre, fendue de rose en son milieu et qui exhalait une odeur qui affolait mes sens. Ses seins nus et doux se frottaient à mon ventre. Pierre essoufflé me dit:

- Lèches lui le con! Passes ta langue entre les grosses lèvres! Tu vas voir comme elle goûte bien la femelle!

Je lui obéis et collai les lèvres à son con! C’était exquis!... Et elle me suçait la bite. Tout en me pilonnant le cul Pierre m'expliquait comment boire au con de sa femme. Je me sentais nu, sexuellement, entre eux, mêlé à leurs désirs et ne faisant qu’un avec eux.

Pierre gémissait encore, le torse abaissé sur mon dos et toujours totalement planté en moi. Quelle découverte de faire jouir un mâle avec mon corps de mâle. Je sentais sa bite toujours aussi grosse en moi. Après un moment il se mit à nouveau à limer en moi mais Tina lâcha ma bite et l'arrêta:

- Non Pierre! Arrêtes!... Sa bite est énorme!... Il est prêt!... Laisses le t’enculer lui aussi!... Il doit aussi découvrir le plaisir d’enculer un homme et de jouir dans son anus!... Après toutes ses barrières auront sauté et on l’aura complètement à nous pour tous les accouplements!... Hein Pat que tu aimerais aussi enculer Pierre?... Son beau cul mâle offert à ta jouissance!... T’as envie de le prendre hein maintenant qu’il t’a si bien pris?... Tu as envie qu’il sente ta belle bite loin dans son cul?... Hein oui?...

- Oui!... Très fort!... Je veux aussi jouir dans son cul!...

En effet ma queue, longuement sucée par Tina, pendait massive et énorme sous mon ventre. Je sentis alors la bite de Pierre glisser doucement hors de mon anus qui me parut tout à coup si vide et abandonné. Il roula sur le dos, ouvrit grand les cuisses et les bras et m'attira sur lui. Il releva haut ses cuisses et en entoura ma taille. Il me dit à l'oreille:

- Elle a raison Pat! Viens amour de gamin! Viens découvrir le plaisir de prendre un homme dans le cul! Pousses ta bite en moi comme tu en as envie salaud! Viens découvrir mon cul et jouir dedans mon petit vicieux de 18 ans!

Je sentis la main de Tina se glisser entre mes cuisses et caresser Pierre. Je savais intuitivement qu'elle lui mouillait l'anus. L'instant d'après elle me prit la queue et en frotta le gland à l'anus trempé de Pierre. On gémit tous les deux de plaisir et elle me dit :

- Vas y! Prends le! Pousses toi en lui Pat! Accouples toi à l’homme!

J'étais comme fou de sensualité! Je me relevai sur mes bras tendus et regardai entre nos ventres la grosse queue molle de Pierre, ses couilles, son anus offert tout mouillé devant ma bite et la main de Tina dirigeant ma queue folle vers cette étoile de chair. La main d’une femme, de ma première femme, me poussait vers l’homme et me guidait dans son anus !

- Pousses!... Vas-y!... Rentres bien dans son cul!... Oui!... Fais doucement !

Je sentis l’anus de Pierre se distendre et m’accepter. Je plongeai mes regards entre nos corps, me ravit à regarder avec passion ses belles couilles et sa bite encore grosse couchée lascivement sur son ventre puis plongeai le regard vers son anus. Tout mon gland était déjà dedans ! Je vis entre mes cuisses le menton de Tina. Elle était couchée entre nos jambes et nous regardait de tout près. Ca me rendait fou.

Mais mon gland semblait buter contre quelque chose qui ne le laissait pas passer. La seconde porte ! Je l’avais sentie en moi ! Il l’avait aussi !

Lentement, très doucement, je poussai et relâchai comme Pierre l’avait fait en moi. Et, Oh merveille ! Je la sentis s’ouvrir doucement et sentis mon gland avancer tout serré dans ses profondeurs.

Et tout à coup il passa ! Le pull à col roulé ! C’était vraiment çà ! Je restai un moment immobile goûtant follement à l’anus de Pierre me serrant de toutes ses forces dans le creux juste en dessous de mon gland. Quelle sensation ! Quel bonheur ! Quelle jouissance ! Comme un homme aussi pouvait me rendre heureux et me faire jouir sexuellement en lui ! Que de découvertes uniques aujourd’hui ! Puis poussé par un instinct séculaire irrépressible je glissai totalement en lui et ne bougeai plus. Il l’avait fait pour moi et je voulais lui faire de même. Et là encore quelle découverte ! Tout son cul palpitait doucement autour de ma bite comme s’il la tétait et mes couilles s’écrasaient chaudement sur son fondement.

C’était bien moins extraordinaire que tout le plaisir que j’avais vécu dans le con de Tina. Depuis elle je me sentais inconditionnellement amoureux de la femme. Mais ça me semblait plus vicieux, moins normal mais totalement exquis et quelque part très excitant. Une bonne part de moi-même aimait ça aussi !

Je me couchai nu sur Pierre qui me prit les lèvres. Sa langue glissa le long de la mienne qui lui répondit immédiatement. Je sentais sa barbe naissante picoter légèrement mes lèvres et ça me donnait un trouble qui coulait partout en moi. Ces baisers entre hommes ne valaient pas non plus les baisers passionnés vécus sous les lèvres de Tina. Celles de Tina m’affolaient et me faisaient me donner corps et âme à elle. Celles de Pierre étaient possessives et intenses, plus fortes aussi, mais comme elles étaient exquisément vicieuses unies aux miennes. Comme sa langue était plus puissante et moins adroite. Deux langues d’hommes qui faisaient l’amour.

Je me mis alors à limer instinctivement dans le cul de Pierre avec délices. Il me disait combien il aimait sentir ma bite en lui. Je lui répondais tout mon plaisir de le posséder et de sentir son anus serrer ma queue folle de plaisir, et ses couilles et sa queue, écrasées toute chaudes entre nos ventres mâles ! Il était nu tout à moi! Je fouillais son cul et ses vices. Comme il se donnait! C’était merveilleux! Et je découvrais des pans entiers de mon être profond que je ne me connaissais pas. Je découvrais que quelque part en moi j’aimais aussi passionnément l’homme, aussi passionnément, mais pas de tout mon être comme j’aimais la femme.

Tout à coup les mains de Tina écartèrent mes fesses et je sentis sa langue entrer dans mon anus encore tout chaud. Elle avait dû voir le sperme de Pierre en couler sur mes fesses! Longuement je possédai Pierre, l'anus fouillé par la langue exquise et savante de Tina et par ses petits doigts si agiles et qui semblaient tout connaître de moi. Je me mis, moi aussi, à leur dire les pires saloperies et ils adoraient ça. Subitement la jouissance devint incontrôlable. Elle démarra subitement autour de la langue ou des doigts de Tina dans mon anus, coula dans ma queue et mes couilles, remonta tournoyer autour de mon anus, monta tout le long de mon dos, coula dans mes jambes jusque, j’en eus l’impression, tout au bout des doigts de pieds, et m'emporta follement. Je me tordis, planté dans ce cul mâle excitant et excité, et avec la langue vicieuse de Tina en moi, et giclai follement en lui.

Tina s'effondra sur moi et se frotta nue à nous en nous embrassant tous les deux et en nous disant sa joie de nous voir accouplés et jouissant si bien ensemble. Je restai tout un temps planté dans le cul de Pierre avec Tina nue sur moi.

Puis je sentis tout mon ventre comme glissant dans du mouillé contre celui de Pierre. Je me relevai un peu et regardai entre nos ventres. Ce mouillé me paraissait subitement plus froid. Il avait joui ! … Il avait follement joui et sa bite avait éjaculé à longs traits enfermée entre nos deux ventres d’hommes. ! Je me recouchai émerveillé sur lui et fis glisser tout mon corps sur le sien pour étendre tout son sperme sur nos ventres.

Ma tête se posa dans le creux de son épaule et mes lèvres contre son cou. Pierre !... J’aimais Pierre aussi ! … J’aimais aussi un homme !... Je savais toujours que jamais rien ne me détournerait de la femme…. Mais j’apprenais subitement que je ferais aussi encore l’amour avec un homme parce que j’adorais ça !

Tina se coucha de tout son long sur nous. Ses seins s’écrasèrent adorablement sur mon dos et toute la douceur de son ventre de femme enveloppa mes fesses. Son bassin dansait tout doucement sur mes fesses. Elle nous enlaçait tous deux de ses bras et, par-dessus mon épaule, embrassait son mari à bouche que veux tu.

Un copain de cours m’avait déjà parlé de ça ! J’étais bi ! Bisexuel ! J’étais bi… sexuel !!! Que de découvertes aujourd’hui !

Comme si elle lisait en moi à livre ouvert Tina écarta ses lèvres de son mari, me regarda profondément dans les yeux et me demanda :

- Tu as aimé hein Pat?

Je lui répondis dans un soupir :

- Oh ! Oui !...

- Quelle est ta plus grande découverte aujourd’hui ?

- Ma plus grande découverte ?... Que… Que j’adore la femme et … que je suis bi !

Elle éclata d’un rire clair et tout à la fois coquin et répondit :

- Oh Oui !... Tu l’es merveilleusement !... Tu as formidablement joui avec moi mais tu as adoré aussi vos deux accouplements entre hommes hein !

- Avec toi ce n’était pas pareil !... C’est très difficile à expliquer !.... Je crois que c’était bien plus proche de l’amour…. Je l’ai senti très fort en moi ! … Avec toi c’est tout mon être qui participait !.... Avec Pierre c’était plus de la jouissance… Ca me semblait plus exquisément vicieux mais j’ai adoré presque autant.

- De nous deux je gagne quand même ?

- Oh oui !... De très loin !... Mais je recommencerai avec lui aussi !

- Tu te rends compte? Pour la première fois tu as couché avec une femme et puis tu as couché avec un homme... et tu l’as fait de toutes les façons!

J'hésitai un peu puis ajoutai:

- Pas encore!... Je n'ai pas encore joui dans ton anus!

Ils éclatèrent de rire et me serrèrent dans leurs bras. J’étais nu au sein de leur couple nu. J’étais au paradis ! Tina, en me caressant, dit à son mari:

- Chéri quel vicieux!

- Il a raison mon amour! Il sent si bien ce qui est bon!

Puis il ajouta à mon égard:

- Tu pourras la prendre là tu sais! Elle adore ça autant que moi! Tes parents sont partis jusque quand?

- Jusque vendredi!

- Tu peux rester avec nous jusque jeudi soir alors ?

- Oui!... Loger chez vous? Oh ce serait super !... Je peux?

- Bien sûr!... Tu logeras dans notre lit... et entièrement nu bien sûr!... Toute la journée aussi tu resteras avec nous à poils!... On fera l’amour tout le temps à trois!... Librement... comme on aime!... Tu auras les deux culs du couple pour tous tes désirs!... et les deux sexes mâle et femelle aussi!... Tu en as envie?

- Oh oui!...J'aime ça! Et je vous aime tous les deux!... J'aime vos corps, vos culs et tous vos désirs! Et j'aime quand vous m'employez pour satisfaire tous vos vices! J'adore vos vices à tous les deux!... J’adore être employé par vous pour vos plaisirs! Je resterai tout le temps tout nu pour ça! Je serai votre petite pute à tous les deux! J’adore ça! Vous m’aurez pour tous vos vices! Employez moi tant que vous voulez! Ca me plait terriblement.

- Eh bien mes salauds, ça promet à nous trois! On va s’apporter beaucoup de plaisir et beaucoup jouir ensemble tous les trois! Mais une chose très importante Pat… personne ne doit jamais rien apprendre de nous trois… Promis ?

- Oh oui ! Ne vous en faites pas !

Et Tina ajouta:

- Viens Pat! Viens d’abord te reposer un peu... comme ça tu sauras si ça te plait d’être entre nous deux, tous trois tous nus dans notre lit!... Il te faut d’abord reprendre des forces avant de coucher de nouveau avec nous deux.

Elle se releva et m'entraîna suivie de lui hors du living. Je titubais un peu de fatigue. En marchant je sentais quelque chose me mouiller entre les fesses. Le sperme de Pierre qui coulait de mon cul! Ce ne pouvait être que ça! J'avais tout son jus dans mon cul! Ca m'excitait! Et je me disais que mon sperme devait aussi couler de leurs deux culs. J'entrai derrière elle dans leur chambre et elle ouvrit leur lit. Elle était jolie et ses seins étaient beaux!

Couches toi au milieu Pat! C'est ta place maintenant!

Je me couchai. Ils se couchèrent nus de chaque côté de moi, tout contre mon corps et me recouvrirent chacun d'une de leurs cuisses. J'étais vidé mais comme au paradis. En m'endormant j'entendis Tina dire tout bas à son mari:

- Quel merveilleux jeune Pierre! Comme on va jouir avec lui!... 18 ans !

- On va tout lui faire vivre ! On va le dévoyer complètement!... Et il en a envie, follement envie, le petit salaud! Tu as entendu comme il nous disait vouloir devenir notre petite pute à tous les deux?

- Il ne demande que cela!... Et nous aussi!... Tu as vu comme il te donnait son cul? Chaque fois que tu rentrais il soulevait les fesses pour mieux t'avoir! Tu te rends compte? Toi qui rêvais de lui... Tu l’as complètement!... On va lui apprendre à jouir avec un couple! ... Comme Jim! Tu te souviens ce jeune américain que tu avais une fois ramené à loger? Pendant que j'étais partie faire des courses tu en avais profité pour l'enculer puis te faire enculer par lui. J'avais assisté à la fin de vos ébats... et quelle nuit après ça à nous trois!... Tu te souviens?... Pierre... J'adore te voir coucher avec un garçon! … Avec Pat plus que tout autre !

Je m'endormis alors comme une souche entre leurs deux corps nus et chauds, dans leur tendresse physique qui me faisait tant de bien.

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