Promenade En Autobondage

Je passais mes vacances dans un petit village à la campagne.
Il n’y avait pas de quoi se distraire beaucoup.
C’est ainsi que j’aimais me promener le long de la rivière ou je me baignais de temps en temps ou bien je faisais de longues promenades en forêts.
Pendant la première semaine, je n’ai rencontré personne au cours de mes promenades , c’est ainsi qu’il m’est venu l’idée de pratiquer ma passion favorite.
Plusieurs jours de suite, je me suis rendu à la lisère de la forêt dans un endroit tranquille et je me suis entraîné à l’auto bondage : pour commencer très prudemment, on ne sait jamais, puis je me suis enhardi.
Et puis un beau matin, je suis parti à vélo de bonne heure pour la forêt.
Arrivé à la lisière, je descends de mon vélo, le cadenasse à un arbre puis je sorts de mon sac à dos une chaînette d’une cinquantaine de centimètres à laquelle est fixée une pince coupante d’électricien pour couper les câbles.
Je fixe la chaîne à une racine et je recouvre le tout de feuilles mortes.
J’avance maintenant dans la forêt, je ne vais pas très loin cette fois car j’ai envie de faire quelque chose de nouveau.
Après environ 1km de marche à bonne allure, je m’arrête et observe autour de moi.
Tout est tranquille, j’enlève mon sac à dos et en sort deux cordes préparées : ce sont des cordes de nylons dont les extrémités sont soigneusement soudées ensembles et une corde avec une boucle à une extrémité et trois serres-câbles d’électricien.
Je sors enfin un cockring d’environ 600g pour mes testicules, je l’ouvre avec la clé six pans.
Tout est toujours tranquille comme tous les jours et comme il est bien tôt, je suis certain d’avoir la paix aujourd’hui.
Je me déshabille, ce qui est vite fait car je ne porte qu’un short et un t-shirt et mets mes vêtements dans mon sac.
Assis sur une branche d’arbre cassée, je m’applique à passer le cockring autour de mes testicules et à le fermer minutieusement , la clé six pans rejoint mes vêtements dans le sac que je planque dans sous un buisson bas et bien épais, je prends soin de croiser les bretelles du sac autour du tronc du buisson (on ne sait jamais ce qu’un animal peut faire) je n’ai pas envie de retourner nu au village.


Pendant les quelques mouvements que je fais pour cacher le sac, le cockring se manifeste déjà et tire durement ma bourse vers le bas, ce qui ne me laisse pas sans réaction, ma verge se raidi et se redresse vers mon ventre.
Je prends maintenant la corde préparée pour mes chevilles et l’enroule en triple 0 et la passe soigneusement autour de celles-ci qui se retrouvent unies mais sans être serrées, je passe ensuite un serre-câbles autour de la corde entre mes chevilles que je serre fortement.
La corde enserre mes chevilles fermement… je sens ma verge se ramollir… je suis déjà prisonnier de mon fantasme d’aujourd’hui… je ne peux me liberer qu’avec la pince coupante qui est à la lisière de la forêt.
Avec la corde ayant la boucle, je fais un lasso fixe avec un nœud que je passe autour de mes épaules comme un sac à dos, le nœud entre mes épaules… je laisse l’extrémité libre de la corde pendre dans mon dos.
Je prends alors la dernière corde préparée pour mes poignets et comme pour mes chevilles, je l’enroule en triple 0 puis la passe autour de mes poignets avant de la refermer autour de ceux-ci avec un serre-câbles que je serre avec mes dents, mes poignets sont ligotés devant moi.
Je suis complètement attaché mais je veux encore compliquer la chose.
Je me saisi de la corde qui pend dans mon dos et la met entre mes bras… je passe l’extrémité de la corde entre contre mon dos, sous mon « sac à dos » et ressaisi la corde…
Je lève alors mes poignets au dessus de ma tête et tire sur la corde pour tendre mes bras au dessus de ma tête, mes mains entre mes épaules… le plus loin possible derrière ma nuque… puis du bout des doigts car ce n’est pas facile, j’empêche la corde de détendre mes bras en fermant le dernier serre-câbles que je serre solidement autour des brins de corde qui vont et viennent dans mon dos.
Je me lève…
Un frissonnement parcourt mon corps, ma verge se raidi de nouveau comme la baguette d’un sourcier, elle m’indique le chemin à suivre : droit devant moi.

Je commence à sautiller avec enthousiasme mais après quelques bons comme un cerf en rut, je suis vite rappelé à l’ordre par le cockring suspendu à mes œufs et aussitôt, ma verge perd de sa fierté et montre alors en direction du point que je vais devoir ménager le plus possible : ma bourse… et je dois dire que c’est efficace car ma cadence de saut à pieds joints se ralenti rapidement.
Après avoir parcouru une centaine de mètres, je suis couvert de sueur, mes œufs commencent à me faire souffrir passablement, mes poignets qui bougent de trop derrière ma nuque et me font également mal : la corde rentre lentement mais certainement dans mes chairs.
Je ne sais pas combien de temps je mets pour parcourir ce petit kilomètre, la douleur de mes poignets mais surtout celle entre mes jambes me font perdre toute notion de temps.
Enfin, j’aperçois mon vélo qui brille au soleil : il ne me reste plus qu’environ 50m à sautiller…
Je gigote, ce serait le mot le plus juste, après chaque saut, je me tortille de douleur et je saute de nouveau tout en sachant que cela va encore me faire mal… les derniers mètres sont un calvaire…
Enfin, je suis là… tout couvert de sueur, ma verge mais surtout mes œufs ne sont pas très fiers de moi, je suis repus de fatigue.
Je m’agenouille près de l’endroit ou est la chaînette avec la pince coupante, je calcule de manière à ne pas devoir me bouger beaucoup pour me détacher… mes poignets me font atrocement mal.
Le contact de mes genoux avec les feuilles encore humides me ragaillardi, une sensation de bien-être me rempli… avec beaucoup de mal je m’allonge… d’abord sur le coté… puis je roule sur le dos…
Il fait bon dans cette position, nu, allongé à même la terre, mon sexe reprend même de la vigueur… le salop.
Heureusement que personne ne me voit dans cette position, je reste un moment sans bouger, étendu, heureux d’être là.
Bon, maintenant, il faut que je me détache… je soulève légèrement ma tête pour pouvoir chercher la chaînette avec la pince coupante libératrice.

Mes mains fouillent les feuilles sous ma nuque, la chaînette n’est pas là,
Bon sang, ou est-elle ?, me suis-je trompé de racine, je suis pourtant sur de moi… mes doigts glissent le long de la racine : rien…
Ce n’est pas possible…
Je commence à paniquer, mes mains fouillent fébrilement le sol là où était la chaînette, je me tords sur le sol pour agrandir mon rayon de recherche…. En vain…
J’entends des bruits de feuilles mortes froissées, de branches qui bougent devant moi
Instinctivement, comme pour me protéger, je me retourne sur le ventre… probablement pour cacher mon sexe nu, j’écrase mes œufs sous mon ventre…
Et puis une voix de femme :
- c’est ça que tu cherches ?
Je sens une chaîne tomber entre mes fesses.
- C’est moi qui ai la pince coupante.
- Qui es-tu ?
- Une fille qui est en vacances au village comme toi… depuis plusieurs jours j’observais tes allés-et-venues et ce matin quand je t’ai vu passer sur ton vélo de si bonne heure, j’ai voulu savoir ce que tu allais faire… je me suis prise les pieds dans cette chaîne qui était attachée à la racine… alors j’ai décidé de t’attendre ici.
- Détache-moi… coupe les serres-câbles… ou bien donne moi la pince coupante…
- Tu pourrais de blesser avec.
Je me glisse de manière à pouvoir la voir, elle est grande, avec des cheveux mi-longs noirs. Elle porte un short court, très court qui lui découvre largement la base des fesses de couleur kaki et un T-shirt sans manche noué juste sous la poitrine de la même couleur, elle semble ne rien porter dessous. Une paire de basket également kaki complète sa tenue.
- Arrête tes conneries, détache-moi !
- Je te trouve mignon comme ça…
Elle s’approche de moi, me plante un genou dans le dos et coupe le serre-câbles qui retient mes poignets derrière ma nuque.
- Enfin, tu as pris ton temps…
- Pour faire quoi ?
- Pour me détacher…
- Parce que tu crois que j’ai envie de te détacher ?
Elle me tire les bras encore plus dans le dos, elle me fait mal …
- Arrête tu me fais mal…
- Tais-toi sinon je tire encore plus fort…
Et de mettre ses mots à exécutions et de tirer encore plus fort avant de fixer la corde de nouveau avec un serre-câbles.

- Ou sa tu trouvé ce serre-câbles ?
- Dans ce sac que j’ai trouvé dans la forêt…
- Tu es une salope, tu m’as suivi tout le temps…
- Oh non, tu marchais beaucoup trop lentement, j’ai même eu le temps de me changer pour t’attendre, de mettre une tenue à la hauteur de tes attentes…
Son portable sonne…
- Oui, je t’ai envoyé un SMS pour que tu me rappelles… Je suis à la lisère de la forêt, as-tu envie de venir ?… Je t’explique…Oui, exactement là… Prend le sac de jouets avec toi…
- Tu vas voir, c’est une amie qui aime les hommes comme toi….


attache-moi@hotmail.com

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