Denise Le Debut

J'avais alors 35ans, artisan plombier, j'assurrais la maintenance de 3OOO à 4OOO appartements, pour une société immobiliére, qui avait en gérance plus de 2O OOO appartements. Je travaillais uniquement pour une agence décentralisée, dirigée par une femme, prénommée DENISE, entourée de quatre collaborateurs, trois hommes et une femme. Je passais trois à quatre fois par jour à cette agence, selon la durée de mes interventions. Je n'avais à faire qu'à la responsable, pour les interventions, DENISE, la quarantaine, tres belle femme, 1, 70m environ, cheveux mi- longs, auburn, tres jolis yeux verts, toujours vetue d'un chemisier, d'un jean moulant qui rendait bien la forme de son petit cul rond. Toujours en haut talons, agrandissant encore plus ses jambes, poitrine moyenne, souvent souriante, bien qu'ayant remarqué parfois son regard triste quand elle se croyait seule. J'entretenais de bons rapports avec elle, m'adressant à elle en lui disant madame alors qu'elle me donnait mon diminutif "TITI".
Ce jour là, je passais à son bureau vers 16h30, elle me reçut avec le sourire:
- J'avais peur que vous ne repassiez plus, j'ai un probléme dans appartement, pourriez- vous me depanner?
- Pas de probléme, je peux m'y rendre maintenant, si vous voulez.
Elle me tendit un papier, ses doigts etaient longs et fins, terminés par des grands ongles rouges.
- Vous etes gentil, heureusement que vous etes là, je suis seule cette apres- midi, sans vous je ne sais pas ce qu'il se serait passé, je vous recompenserais à votre retour.

Je pris le papier et quittais le bureau, le papier contenait les coordonnées de l'intervention. Je pensais à la récompense promise, une tasse de café ou un chocolat, comme d'habitude.
Je fus de retour au bout d'une heure, je lui rendis le papier avec le compte rendu de l'intervention, elle en prit connaissance, me remercia à nouveau.


- Vous m'aviez promis une récompense, lui dis- je en riant.
- J'y pense, rassurrez- vous, elle me fit signe de venir à ses cotés.
Je me tenais proche de son fauteuil qu'elle fit pivoter, tout en refermant un tiroir qui la génait, se leva, prit ma tete entre ses mains et appliqua ses lévres sur les miennes, le baiser dura quelques secondes, tres appuyé, puis elle se reinstalla dans son fauteuil. Je suis resté un petit moment sans réaction, je me lançais , enfin:
- Si vous le désirais, je peux vous rendre votre baiser ce soir. Je m'adressais à elle, plutot en plaisantant.
Sans aucune hésitation, me regardant dans les yeux:
- Je veux bien, mais où?
- A mon atelier, si ça ne vous dérange pas?
- Bonne idée, à 18h alors?
- Vous savez où il se trouve?
- Oui bien sur ! à tout à l'heure, 18h
Elle etait obligée de savoir où se trouvait mon atelier puisqu'il m'était preté par sa société, un appartement en sous- sol, composé de trois piéces plus une salle de bains et une cuisine. La plus grande piéce me servait de bureau.
Vers 18h j'attendais derriére la fenetre de mon bureau, j'avais entrebaillé les volets de maniére à voir son arrivée sur le parking. Je me demandais si elle allait vraiment venir et aussi, si elle n'allait pas me jeter en se moquant de ma demande. D'un autre coté, je pensais à son corps, ce qui me fit bander. Elle arriva à l'heure, gara sa voiture, en descendit, son sac en bandouliére, jeta un regard vers l'immeuble, se dirigea d'un pas décidé vers ma porte que j'ouvris avant qu'elle ne sonne. Elle entra, posa son sac sur le bureau, sa veste qu'elle ota, sur le dossier d'une chaise, se tourna vers moi, me fixant:
- Vous etes tres bien installé.
Elle passa ses deux bras autour de mon cou et m'embrassa, nos langues se cherchérent puis se mélerent dans un trés long baiser. Etant pressée contre moi, elle devait sentir la dureté de mon sexe.
J'avais appliqué une main sur ses fesses, je sentais leur fermeté, mon autre main se trouvait dans son dos. Ma main quitta ses fesses pour gagner sa poitrine, je pris un sein, le massait, il etait ferme, son mamelon durci, je déboutonnais son chemisier, son soutien gorge noir pigeonnant apparu, je n'eus aucun mal à en sortir les seins, tres jolis, termines par des auréoles fonçées et deux mamelons, bien gros et bien durs, je les tetais, tour à tour. DENISE avait sa tete dans mon cou, de petits gémissements sortaient de sa bouche. Puis ma main alla vers son ventre, passait entre ses cuisses, saisit la fermeture de son jean, la fit descendre, mes doigts entrerent par l'ouverture, mais eurent beaucoup de mal à se glisser entre la ceinture de sa culotte et son ventre, je pus sentir la chaleur que degageait son intimité, mes doigts arriverent aux premiers poils de sa toison, je les enroulais autour de mes doigts, ils etaient soyeux, ne pouvant aller plus loin, je retirais ma main. Je fis sauter la boucle de son ceinturon et le dernier bouton de son jean, j'ecartais les deux cotes, j'enfouissais ma main, DENISE ecarta légerement les cuisses, la paume de ma main s'appliqua sur la totalité du fond de la culotte, je sentis son humidité et la toison à travers le tissu, mes doigts passérent sous l'élastique, atteignirent la fente de sa chatte et les poils mouilles qui la recouvraient, je carressais la fente, puis mes doigts doucement, écarterent les lévres et penetrerent à l'intérieur de la vulve, tournérent dans tous les sens, puis saisir son clitoris, DENISE gémissait de plus en plus fort. De mon autre main, j'ouvrais mon pantalon, je libérais ma queue raide, de sa prison, je pris une de ses mains et la dirigeais sur ma queue, elle l'entoura de ses doigts, mais ne fit aucun mouvement. Elle s'ecarta de moi, me désigna une chaise, me fit asseoir, baissa un peu son jean, m'enfourcha, prit ma queue, la dirigea vers l'entrée de sa vulve, s'empala dessus, son bassin se mit à onduler dans tous les sens, cela ne dura que quelques minutes, elle se cabra, sa tete se renversa vers l'arriere, un long gémissement, elle se redressa, se reajusta:
- Je te demande pardon, il faut que je parte.

Elle passa sa veste, déposa un baiser sur mes lévres, je la vis partir rapidement, j'étais resté assis, me demandant ce qui était arrivé. On pouvait appeler cela un raté.

Le jour suivant DENISE m'accueillit avec le sourire, un petit peu moqueur malgré tout,
- Vous allez bien, me tendit la main, mima un baiser avec ses lévres.
- Oui ça va, mal dormi, mais ça va.
Elle me donna quelques papiers, me glissa quelque chose dans le creux de ma main avant de me souhaiter une bonne journée. Dehors je m'aperçus que c'était un papier plié qu'elle m'avait glissé, elle s'excusait pour la veille, elle voulait que l'on se revoit le soir a la meme heure que la veille, si j'en avais envie. Dans l'aprés- midi je lui confirmais que j'étais d'accord bien sur. Mais ne voulant pas me faire surprendre comme la veille, je décidais de m'équiper, je fis l'acquisition d'un matelas pneumatique deux places, coussins et un nécessaire de toilette. Le soir venu, je guettais son arrivée derriére ma fenétre, elle fit son apparition, posa son sac sur le bureau, sa veste, sur une chaise, voyant le matelas, me regarda dans les yeux:

- Trés bonne idée, nous serons plus à l'aise.
Elle se jeta dans mes bras, nos bouches s'unirent. Elle passa sa main sur ma braguette:
- Cela fait longtemps que tu es comme cela?je vais me mettre plus à l'aise.
Elle se retourna et entreprit de se deshabiller, voyant cela, je décidais d'en faire autant, en dix secondes je fus nu, la queue raide. DENISE était en soutien gorge et culotte , en dentelle noire, le soutien tomba, vint le tour de sa culotte, elle se pencha en avant pour la descendre, son joli petit cul tendu vers moi, je ne tins pas, de mon bras gauche je lui pris la taille, ma main droite lui carressait les fesses, je pouvais voir une petite touffe de poils entre ses cuisses, ma main se glissa entre ses fesses, atteignit sa chatte, elle écarta les jambes, ma main se plaqua sur sa motte toute mouillée, mes doigts pénétrerent dans sa fente, mon pouce carressait son petit trou, ma main descendit, mes doigts saisirent son clito, le massérent, DENISE tourna sa tete vers moi:
- Il faut que tu me prennes, je te veux !
- Tu as une belle chatte, je l'aime ta chatte, tu mouilles, j'ai les doigts trempes par ton jus.

- Baise moi ! prends moi
Elle s'écarta et s'allongea, jambes serrées, bras croisés sur la poitrine. Elle était superbe, une taille fine, une toison brillante a la lumiére, de belles jambes, pas un gramme de cellulite, j'ecartais ses bras pour voir ses seins, je tetais ses mamelons, une main carressais sa chatte, mes doigts glissérent en elle, ma tete descendait lentement de ses seins à son ventre, mes levres atteignirent la toison, j'essayais de lui ouvrirent les cuisses, elle les resserra, comprenant ce que je voulais faire.
- Non ! pas cela je ne veux pas ! pas cela ! je t'en prie, viens, viens sur moi !

Je n'insistais pas, je posais ma bite sur son ventre, elle leva la tete, pour regarder
- Tu vois ma queue, je vais te la mettre, tu es belle tu sais, j'aime ton cul, ta chatte, tes poils, tes seins, je vais rentrer en toi.
J'approchais mon gland, l'appuyais sur les lévres de sa vulve, j'écartais ses poils avec mon gland et je commençais à la pénétrer, tout doucement, cm par cm, arrivais au fond d'elle, je passais mes bras sous ses genoux et lui remontais les cuisses, ses genoux sur la poitrine, mes mains saisirent ses épaules, elle était bloquée, la chatte en l'air, elle ne pouvait plus bouger. Je donnais des coups de queue vers l'avant, sans faire aucun mouvement arriére, des coups de plus en plus fort, mon gland tapait son utérus. DENISE me fixait de ses grands yeux verts, ses pupilles dilatées au maximum, se mordant la lévre inférieur, sa tete accompagnait mes coups de butoir, comme pour m'encourager, mes couilles etaient plaquéees contre ses fesses, je continuais encore un moment de la bourrer, puis sentant que je ne pourrais plus tenir bien longtemps, je me retirais d'elle, posais ma queue sur sa toison, je lachais ses épaules:
- Tu es bonne, tu es toute mouillée, c'est chaud à l'intérieur, tu aspires ma bite avec ta chatte, tu es belle quand tu baises, tu en veux encore, je vais te la remettre, je vais te faire jouir, je vais me vider dans toi.
Elle prit mes couilles dans sa main, je sentais ses ongles les griffer légerement.
- Oui ! viens vider tes couilles, je veux tout ton jus, ça fait des mois et des mois, que je n'ai pas eu une vraie bite dans ma chatte, viens baises moi encore.
Je pris ses fesses dans mes mains, je relevais son bassin à la hauteur de mon noeud, je rentrais d'un seul coup en elle. Ses mains attirerent ma tete vers la sienne, elle prit mes lévres à pleine bouche, aspira ma langue et la suça, ensuite ses mains redescendirent, me prirent les hanches pour m'imposer la cadence qu'elle souhaitait, je sentais ses ongles sur ma peau, le va et vient qu'elle voulait etait de plus en plus rapide, je sentais que j'allais pas tarder à éjaculer:
- Je vais juter ! viens !
- oui ! vas- y donne moi tout !
Sa tete allait de droite à gauche, de plus en plus rapidement , un gémissement montait de sa gorge, en s'emplifiant.
- Viens mon TITI, viens, je sents la chaleur de ton jus en moi, oui ! oh ! que c'est bon ! tout, tout, pour moi, pour moi ! tout dans moi,
Ses ongles entrerent fortement dans ma peau, nous nous relachames tous les deux, nos bouches se soudérent pour un baiser sans fin. Ma queue ressortit lentement de sa vulve. Je me redressais un peu, je voulut prendre une serviette, elle refusa:
- Non, je veux tout garder de toi, le plus longtemps possible, c'était bon, je n'avais jamais eprouvé cela, je croyais que ça n'existait pas, demain, nous recommencerons demain, tous les jours, je te veux en moi, tous les jours.
Nous sommes restés un petit moment encore, à nous carresser et s'embrasser, mais il fallait bien que l'on se sépare, elle m'a demandé pour le lendemain, je lui promis donc que l'on se reverrait. Notre histoire ne faisait que commencer vraiment, cette histoire je l'ai vécu, j'ecrirais peut- etre la suite.

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