Sortie En Club Avec Une Polonaise

Célibataire géographique en l'absence de ma femme partie à l'étranger, j'écoute sur le répondeur téléphonique les messages d'ami(e)s qui, comme moi, entendent s'amuser à l'approche du week-end. J'entends la voix de Sonia, une polonaise, chef de produit dans une société pharmaceutique que j'avais rencontrée lors d'une exposition de tableaux sur la féminité peints par une artiste de Varsovie. Elle est libre et me propose un dîner samedi soir dans un restaurant branché du 4ème arrondissement de notre belle capitale. Je l'appelle pour lui confirmer ma disponibilité.

J'entre dans le restaurant et l'aperçois assise à une table excentrée. Souriante, elle est vêtue d'un corsage de soie blanche sous lequel elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses cheveux sont blonds, ses yeux verts et ses lèvres sont dun rouge vif prometteur. Intelligente et charmeuse, je l'écoute et observe son jeu de séduction, notamment lorsqu'elle pose la paume de sa main droite sur le dos de la mienne. Après un repas léger, nous sortons dans la rue, bras-dessus bras-dessous. Elle m'entraîne dans un club échangiste et mencourage à « la dévergonder pour le fun ». Je rétorquai « OK, baby !»

Au vestiaire, je constatai qu'elle portait une jupe noire, courte d'où s'échappaient deux longues jambes gainées dans des bas GoldenLady avec des strass. Elle marcha vers le bar avec un déhanchement favorisé par des escarpins à hauts talons. Le garçon de service nous proposa des verres de scotch qui nous donnèrent un coup de fouet dans le sang. Je l'invitai à danser un slow sur la piste devant un miroir où se reflétaient de multiples couleurs provenant dune boule pivotante. Je sentais son souffle chaud sur ma poitrine et ses mains sur mes épaules. Le disc jockey mit une musique plus rythmée donnant ainsi plus dallant aux danseurs autour de nous.

Imitant dautres couples, elle se plaça devant le miroir alors que je dansais derrière elle. Je lui remontai progressivement sa jupe de sorte qu'apparaissait dans le miroir le tissu noir triangulaire de son string.

Une femme s'approcha, se plaça devant ma partenaire en frottant son pubis contre celui de Sonia. D'autres couples ondulaient de façon semblable devant le miroir, les uns encourageant d'autres en redoublant d'exhibition. Ainsi, un homme, tout en dansant avec sa compagne, la masturbait avec ses doigts entrés dans le string. Je frottai ma queue entre les fesses de Sonia qui leva les bras en arrière autour de mon cou. Le public assis au loin sur des canapés et les autres danseurs pouvaient voir par le miroir interposé ses seins sortir de son corsage, son string et ses bas dorés. Nous regagnâmes le bar pour nous désaltérer. Le garçon nous servi à nouveau un scotch et interpella un ami pour nous faire visiter les lieux.

Nous déambulâmes dans un salon ovale où était projeté un film porno, dans un labyrinthe bordé d'alcôves plongées dans la pénombre, dans d'étroites pièces destinées à des ébats spécifiques, sur dautres pistes de danse plus petites, dans des chambres bien aménagées. Notre guide nous conseilla de commencer par le salon ovale propice à faire connaissance avec dautres partenaires. Nous nous assîmes sur un canapé et regardâmes un film où les acteurs partouzaient. Sonia ouvrit la fermeture éclair de mon pantalon, sortit mon sexe et le masturba lentement. Je passai ma main sous ses fesses et titillai sa chatte avec deux mes doigts. Nous observions des couples autour de nous qui s'embrassaient, faisaient lamour, ou encore des fellations et cunnilingus. Notre guide sapprocha et lécha le minou humide de ma partenaire qui entreprit de me faire une fellation dans le même temps. Nous baignons dans un environnement érotique sans éprouver le besoin de pénétration.

Nous quittâmes l'endroit et nous dirigeâmes dans le labyrinthe. Un jeune couple bien physiquement nous demanda de partager une alcôve ce que nous acceptâmes. L'espace était restreint et obscur aussi vite nus, nous étreignîmes nos partenaires provisoires. La femme me lécha de la tête aux pieds et me fit une fellation en me masturbant avec énergie.
Puis je la plaquai contre la cloison en soulevant ses jambes au-dessus de mes bras pour la pénétrer. Sonia se faisait prendre en levrette tout en se caressant le clitoris. Les ébats finis, nous poursuivîmes notre chemin en jouant aux voyeurs. Je constatai que l'imagination fertile de certains clients émoussait ma polonaise.

Sonia m'entraîna dans une alcôve vide et me demanda d'y attirer deux autres hommes. Elle s'assit sur un large fauteuil de cuir et branla de chaque main les deux étalons tandis qu'elle me lécha par des petits coups de langue le gland. Elle réalisa son fantasme qui consistait à nous faire éjaculer ensemble sur sa poitrine. Les deux hommes prirent congé et nous montâmes à létage voir ce qui se passait dans les chambres.

A chacune des pièces correspondait une spécialité : hétéro, homo, sado, scato.Nous entrèrent dans une chambre où trônait un grand lit rond sur lequel partouzaient quatre couples. Nous entrâmes dans la mêlée de jambes, de chattes, de queues, de lèvres, de fesses et de torses. Je suçai des tétons et des femmes me léchaient les couilles en me masturbant. Je fourrai tantôt dans des culs, tantôt dans des minous larges ou étroits. Sonia se fit prendre par les deux orifices par plusieurs hommes expérimentés et sportifs. Nous entendions les gémissements et les hurlements en participant avec appétit aux ébats. Le groupe d'hommes décida de conclure en prenant les femmes en levrette et en éjaculant sur leurs culs, ce que nous fîmes avec joie.

Dans le couloir, nous vîmes plusieurs mâles qui regardaient dans les trous d'une porte de chambre des couples qui s'adonnaient à ses positions sado-masochistes avec des chaînes, des attaches, des fouets et des cordes. Nous jetâmes un coup d'oeil et constatâmes que des hommes prenaient du plaisir à se faire légèrement violenter par des maîtresses-femmes. Je proposai au groupe de six voyeurs de nous suivre dans une chambre que je fermai de lintérieur. Sonia devina mon fantasme : elle fixa un bandeau sur ses yeux et m'étreignit.
Mes partenaires de jeu la caressèrent sur tout le corps pendant que je lembrassai. Puis elle sassit sur le rebord du lit et suça lune après lautre les six queues. Elle se fit prendre en levrette longtemps, les hommes passant à tour de rôle. Ma partenaire était endurante et en redemandait si bien quelle eu droit à un bang gang avec un bourrage des deux orifices, et de surcroît deux queues dans la bouche et une dans chaque main. « Du bel art pour une dévergondée » pensais-je.

Nous allâmes sur une petite piste oû dansaient cinq couples nus. Nous nous joignîmes à ce petit groupe pour nous reposer dans un slow langoureux. Puis, nous nous assîmes dans un salon à proximité pour partager des alcools avec de précédents partenaires qui félicitaient Sonia pour sa beauté et son goût du sexe. Mon amie souriait à son entourage en se caressant lentement la chatte avec un onguent pour la lubrifier. Derrière elle quelques voyeurs se masturbaient en recherchant à obtenir une invite. Sonia poursuivit comme si de rien nétait sa masturbation solitaire. J'observai son jus couler sur le coussin en cuir. Un homme s'agenouilla et le but en lapant le minou. Le corps de mon amie se contractait sous l'effet dun orgasme formidable qui illumina son visage.

Nous quittâmes le club rassasiés, allâmes dans mon appartement nous toiletter et nous endormîmes dans les bras de l'autre comme des bébés.




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