Un Train D'Enfer (Partie 1/2)

Nous revenions d’un week-end en amoureux. Pour le voyage nous avions choisi le train couchette, avec en arrière pensée l’idée de faire l’amour dans la cabine qui se composait de 6 couchettes, trois de chaque côté. J’avais insisté pour que Ma femme porte une jupe courte qui lui arrivait à mi-cuisse. Dessous elle portait des bas noirs et des bottes en cuir, j’avais réussi à la convaincre de ne pas mettre de culotte afin de réaliser notre fantasme plus facilement.

Le soir vers 20 heures notre train arriva en gare de Nice, pour un dernier arrêt avant le terminus à Paris. Il y avait beaucoup d’agitation sur le quai, elle se propageât petit à petit à l’ensemble du train. En effet nous étions sur le départ en permission d’une caserne de militaire. Ma femme s’était absentée pour aller au bar, chercher des boissons.
Tout d’un coup j’entendis siffler et je remarquais quelques paroles plus fortes venant du couloir. Je compris qu’il devait se passer quelque chose et sortis de mon compartiment pour mieux comprendre. J’aperçu ma femme qui avait bien du mal à passer au milieu de tous ces mâles. Je remarquais trois soldats d’une vingtaine d’années qui prenaient visiblement plaisir à la gêner et à admirer ses jambes, le plus hardi se permit même d’avoir les mains baladeuses, il avait donc ment remarqué l’absence de culotte.

Elle arriva enfin jusqu’à notre compartiment toute rouge mais le regard pétillant, elle me tendit ma boisson et rejoignis sa couchette. Elle était installée au milieu du coté droit de la cabine, ma couchette était en face et tout en haut, ce qui ne facilitait pas les choses pour la réalisation de notre fantasme. Dans notre compartiment pour le moment les autres places étaient inoccupées, tant et si bien que si elles le restaient nous avions prévu de nous rapprocher.

Mais le destin en avait décidé autrement, tout à coup dans un brouhaha indescriptible, les trois militaires du couloir investirent notre cabine, j’avais tout à coup l’impression que le ciel me tombait sur la tête.

Je n’étais pas au bout de mes surprises en effet un quatrième larron se présenta dans notre cabine, un sergent la cinquantaine, affichant un certain embonpoint. Il portait une casquette et ses cheveux poivre et sel dépassaient sur les côtés. Son visage bouffi et ridé était barré par une moustache épaisse et grisonnante. Les prunelles de ses deux petits yeux bleus brillaient. Il était vêtu d'un pantalon de treillis, d’un tee-shirt douteux un peu court qui laissait apparaître un abdomen proéminent et velu. Ces épaules étaient larges et il avait un cou de taureau. Ses bras ballants étaient décorés par d’anciens tatouages qui avaient mal vieillis, Ses mains ressemblaient à des battoires.

Alors que tous le monde préparait sa couchette, un des militaires profita de l’étroitesse du compartiment pour se frotter contre les fesses de ma femme, elle fit comme si de rien n’était.
Le vieux Sergent rondouillard s’aperçu du manège et regarda Ma femme de haut en bas avec un sourire lubrique. Je m’étonnait qu’il puisse imaginer quoi que ce soit au vu de son physique, mais les évènements à venir allaient pourtant lui donner raison.











Un peu plus tard tout le monde était couché, d’où j’étais je voyais très bien Ma femme elle était en sandwich, un militaire au dessus et un en dessous, moi-même j’avais un militaire au dessus et le Sergent pas très clean en dessous. Elle était toujours habillée de la même façon, elle avait juste enlevé ses bottes et s’était allongé sur ses draps, il faisait très chaud dans ce train. Tout à coup un fantasme me vint à l’esprit, un fantasme de ma femme dont le début aurait pu ressembler étrangement à ce qui nous arrivait. Ma femme y avait-elle pensé ?
À priori non car elle semblait dormir. Mais était t-elle réellement assoupi, moi-même je simulais le sommeil. Nos amis les militaires eux ne dormaient pas, nous croyant peut-être endormis, ils commencèrent rapidement à faire des commentaires salaces et dirent que ma femme avait l’air chaude au vu de sa tenue, que cela tombait bien car ils n’avaient jamais croisé de nymphomane et qu’ils avaient plein de choses à expérimenter que leurs femmes ne pratiquaient pas.
L’un d’entre eux alla fermer les rideaux du compartiment et éteignit la lumière, mais les veilleuses m’éclairaient suffisamment la scène.

Après quelques minutes dans la pénombre, ils décidèrent qu’il fallait vérifier l’absence de culotte de ma femme, en conséquence celui qui était couché au dessus de sa couchette essaya de lui remonter légèrement sa jupe pendant son sommeil. Je restais interdit, en effet que dire, s’était tellement excitant, je décidais que quoi qu’il arrive s’était à ma femme de décider. En l’occurrence elle ne réagissait pas, il faut avouer qu’elle a le sommeil lourd. Les deux militaires dont les couchettes étaient en haut se rinçaient l’œil, on commençait à voir le haut de ses bas et sa peau claire apparaissait maintenant. Ils allaient donc voir qu’elle ne portait pas de culotte que penseraient-ils ? Qu’elle était une fille facile voire une grosse salope ! La jupe était désormais remontée sur le haut de ses cuisses, qu’elles avaient de légèrement écartées, on voyait son pubis avec une petite touffe de poils bien taillé comme j’aime, et juste en dessous ses lèvres charnues, bien rasées, bien dessinées et déjà gonflées, dormait-elle vraiment ? Apparemment l’absence de culotte avait encouragé les militaires, ils se disaient que décidément ils avaient affaire à une nympho.

Je vis les trois militaires qui commençaient à ouvrir leurs braguettes pour se masturber, celui qui menait les opérations prenant un peu d’assurance commença à lui caresser les cuisses puis la chatte. Tout en dormant elle étouffait de petits cris qui n’allaient pas tarder à exciter tous les hommes du compartiment. Sous les caresses, inconsciemment elle écarta davantage les jambes, je pouvais voir que ça chatte luisait de mouille. L’homme qui la caressait dit alors à haute voix que sa chatte était trempée. Soudain elle fit mine de se réveiller. Elle voulait sûrement mettre un terme à l’expérience et s’agita. Deux des militaires l’attrapèrent pour la maintenir et le troisième lui mit la main sur la bouche pour l’empêcher de crier, elle était prise à son propre piège.
Ils lui expliquèrent qu’ils ne lui voulaient aucun mal bien au contraire.
Cela faisait deux mois qu’ils n’avaient pas eut de permission et qu’ils n’avaient pas baisé de fille. Elle du comprendre que soit je dormais, mais c’était peu probable, soit j’appréciais qu’elle se fasse tripoter par plusieurs mecs en même temps. Elle devint donc beaucoup plus coopérative avec nos trois soldats.









L’un deux lui enleva son petit haut et fit apparaître sa poitrine généreuse, ses tétons étaient insolemment dressés. Il se mit à lui embrasser fougueusement les seins qu’il finit par libérer de leur écrin. Un autre lui avait fourré sa tête entre ses cuisses et lui titillait le clitoris en passant sa langue dans sa chatte qui était maintenant trempée de mouille et de salive.
Le troisième monta sur sa couchette et après avoir enlevé son pantalon et son slip se plaça face à elle et mit son sexe contre sa bouche, elle l’engloutit et après l’avoir léché longuement se mit à le sucer activement, le militaire l’attrapa alors par les cheveux et la força à l’avaler presque entièrement, elle failli s’ mais se laissa faire docilement. Elle sentait un visage entre ses cuisses et une langue qui s’introduisait dans son vagin. Sous la langue du premier sa poitrine se durcissait et sous celle du second sa chatte mouillait. Les cuisses écartées et maintenues, elle se retrouvait entouré par trois militaires mal dégrossis dont deux avaient commencé à la travailler.

Cette langue et se sexe qui envahissaient sa bouche et son vagin, l’excitaient au plus haut point, ses mains saisirent le sexe du troisième militaires, qu’elle masturba frénétiquement. La situation la plaçait comme une poupée de chair manipulée, le comportement de ses amants ne cherchant qu’à la posséder. Réalisant qu’elle cochonne ils avaient sous la main, ils la mirent à quatre pattes sur la couchette, lui enlevèrent sa jupe et son soutiens-gorge, il ne lui restait plus que ses bas, puis ils la prirent en levrette les uns après les autres, alternant les vas et vient rapides et lents, sortant pour la pénétrer de plus belle, alternant de temps en temps avec sa bouche tant et si bien qu’elles avait toujours deux bites en elle.
Mais la couchette était un peu petite pour quatre personnes donc trois hommes, en conséquences ils l’attrapèrent et la portèrent pour la mettre à quatre pattes au milieu du compartiment.

Comme une chienne docile, les fesses relevées, elle avait la tête entre les bras et ne bougeait pas, elle attendait le cul bien relevé, la chatte luisante de mouille. Immédiatement l’un d’eux l’enfourcha et s’enfonça d’un coup dans sa belle fente. A la pénétration, ma femme ne fit que crisper les mains, puis il commença une série de va et vient très rapides, rythmés par les halètements de ma femme. C’est ce moment que choisi le sergent pour se manifester, je l’avais oublié car il était sous ma couchette, il se leva, il avait déjà ôté son pantalon et son slip, son sexe était impressionnant très épais et noueux, ses couilles étaient également impressionnantes, il se dirigea vers ma femme, lui releva la tête en la saisissant par les cheveux. Qu’elle allait être sa réaction face à cet homme de Cro-Magnon ? Elle eu effectivement un léger recul, mais n’hésita qu’une petite seconde et pris le sexe en bouche en fixant son propriétaire dans les yeux sur un air de défi, mal lui en pris car il lui tira plus fort sur les cheveux pour lui faire avaler son sexe jusqu'à la garde, puis il fit de violents allers et retours comme s’il était dans un vagin et dit :
- qu’elle est bonne les gars, regardez ses seins qui pendouillent. Ecarte ta chatte petite chienne !
Il attrapa fermement ses fesses et pris soin de les écarter, je vis donc la queue d’un des militaires renter et sortir du con de ma femme. Il échangèrent leurs places et le sergent présenta son énorme engin contre le sexe de ma femme et le fit coulisser avec vigueur, pendant ce temps celui qui venait de la pilonné présenta son sexe tout gluant à ma femme qui le suça à son tour du mieux qu’elle le pouvait malgré les coups de boutoir du sergent, ils échangèrent tous les quatre de place à tour de rôle. Le Sergent peut avare de commentaires salaces dit alors :
- On va la faire exploser cette petite !





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