Rester Tard Après Le Travail, C'Est Le Bonheur !

Mmmm, cette soirée fut encore un délice ! Aujourd’hui, je ne suis pas allée à la manif parisienne, mais je me suis dit que comme tout le monde allait partir plus tôt pour éviter d’être coincé dans les métros et RER, j’allais avoir le champ libre beaucoup plus tôt aussi, au bureau !

Ca n’a pas loupé ! A 4 heures, 80 % du bureau était déjà parti. A 5 heures, il restait plus que 3 personnes sur mon grand plateau… Je suis allée chercher des documents dans un autre service (prétexte, bien évidemment, c’était juste pour voir l’état d’avancement de la désertification…) et j’ai constaté avec bonheur que là aussi, les bureaux étaient pratiquement vides ! L’excitation commençait à me gagner…

J’ai pris l’ascenseur pour retourner à ma place, en compagnie de 2 des gardiens de nuit. L’un deux m’avait déjà baisé la 1ère fois, l’autre était un jeune beur (pour changer des blacks) mais il avait l’air aussi bien monté que ses collègues. Le black m’a adressé la parole : « Alors, quelque chose de prévu ce soir ? ». N’osant pas demander directement de me faire baiser, un reste de vieille pudeur sans doute, je pensais faire comme la dernière fois, me déshabiller et (éventuellement !) me faire surprendre. Mais cette question inattendue m’a ouvert la voie, et j’ai répondu, d’une manière très… suggestive et un brin allumeuse : « Et bien, vu qu’il n’y a presque plus personne, je pense que je vais faire des heures supp’. Je ne travaille bien que quand il n’y a plus de bruit autour de moi. Vous pourrez passer me voir quand il n’y aura plus personne dans les étages ?
- Mais bien sûr !!!
- Et si je peux vous demander un service, venez donc avec Monsieur (en désignant le jeune beur), il a l’air tellement sympathique !

… en faisant un gros clin d’œil et en regardant directement la légère bosse de son entrejambe… Evidemment, il ne comprenait pas bien pourquoi. Pas encore…

Je suis retournée à ma place, toute chaude, excitée, mouillée dans ma petite culotte… car la soirée me promettait une bonne partie de baise !…

J’ai commencer à me deshabiller (je t’ai envoyé une photo…) et je me suis caressé les seins… Mmm, je me suis pincé les têtons, je me caressais… ils sont devenus tout durs… comme une bite qu’on caresse longtemps, longtemps… puis j’ai enlevé chaussures, pantalon… et je me suis caressé à travers ma petite culotte.

Je sentais déjà l’humidité à travers… Une main qui me caressait et me pinçait toujours le bout des seins, j’ai mis l’autre main dans mon slip, et j’ai enfoncé doucement 2 doigts dans ma chatte déjà humide… Excitant !

J’ai alors enlevé ce qui me restait, j’ai mis mes pieds sur mon bureau, j’ai écarté mes jambes et je me suis doigté, plus fort et plus vite… Aaaah, j’ai commencé à sentir une chaleur me parcourir le corps…. Je me suis branlée la chatte, plus vite, plus vite, encore plus vite et ouiiiiii, j’ai jouis sur mes doigts….

Excitée par cette première jouissance, il me tardait de me faire remplir la chatte et le cul par 2 belles queues. J’ai appelé le standard et on a répondu. Je ne savais comment répondre car je ne connais aucun des noms des gardiens de nuit mais j’étais trop excitée. J’ai demandé à parler au jeune beur, c’était le seul qu’on pouvait identifier facilement. On me l’a passé au téléphone et je lui ai demandé s’ils avaient fini de faire le tour de la boite, avec son collègue. Je l’entends poser la question. J’entends une voix au loin, répondre « elle est chaude, la pute ! », puis il m’a dit qu’ils n’allaient plus tarder.

J’imagine que le black a raconté notre précédente rencontre, et quand je l’ai vu arriver en compagnie d’Ahmed (j’ai demandé son prénom après…), j’en ai été sûre et certaine ! Pour eux, je me suis mise dans une position de pute, car j’adore être prise comme une pute. J’ai pris des cartons plein d’archives, que j’ai espacé loin de l’autre dans le couloir central, et je me suis mise à genoux dessus, en appui sur les coudes que j’avais par terre. Leur tournant le dos, j’avais ainsi le cul et la chatte écartée, à hauteur de bite, et le corps penché bien en avant.

« Tu vois, j’ai pas dit de conneries ! ». Ca y est, les voilà. Ils se sont approchés et étaient de chaque côté. Le black m’a dit : « alors, t’as aimé ma bite ? T’en veux encore ? ». Tout en disant ça, il était en train de me fouiller la chatte avec ses gros doigts.

« Mmm, putain elle est déjà toute mouillée la salope ! Tiens Ahmed, vas-y, mets les doigts ! », et d’autres doigts de l’autre côté ont commencé à s’enfoncer dans ma chatte, tandis qu’Eddy (le black) me doigtait le petit trou. Je me fait défoncer le cul à chaque baise, mais je suis encore très serrée de ce côté-là, et ça me fait toujours très mal. Aussi, me faire doigter le cul est supportable, mais me prendre une queue me déchire littéralement. Mais pour l’heure, j’avais la chatte en feu.

- PRENDS-MOI, METS MOI TA GROSSE PINE DANS LA CHATTE !

J’en pouvais plus, j’avais besoin de me faire limer, j’avais trop envie d’une queue. Eddy s’est enfoncé comme dans du beurre dans ma chatte. Ahmed s’est placé devant moi et m’a fourré sa queue dans ma bouche. Mmmm, une belle queue…. J’ai léché sa bite des couilles jusqu’en haut, lentement, dessous, dessus, sur les côtés, puis je l’ai prise au fond de ma bouche, et j’ai commencé à faire des va et vient.

Quelle bonne bite, qui grossissait rapidement dans ma bouche. Je me suis arrêtée quand j’ai eu sa queue au plus profond de ma gorge, j’ai serré mes lèvres fort, le plus fort que je pouvais jusqu’à entendre un petit cri de Ahmed : « AIE ! Salope ! Tu m’a fait mal ! ». Aaaah, il me traite de salope ! Mais comme il a raison, une bite dans la bouche et ma chatte malmenée à chaque coup de queue par Eddy, je suis bien une salope ! Les lèvres serrées au maximum sur la grosse queue de Ahmed, je suis descendue doucement, en serrant toujours, et je suis remontée. J’ai bien senti en remontant l’endroit où était son gland, mmmmm que c’est bon, des petites gouttes perlaient au bout de son gland…. J’ai fait quelques allers et retours comme ça, avec sa bite bien enserrée, et quelques secondes avant qu’il n’explose, je l’ai relâché en criant : « PRENDS MOI LA CHATTE, VAS-Y, EXPLOSE MOI !!! ». Le black s’est retiré et Ahmed est venu s’empaler… dans mon cul !

« AAAAAHHH ! NON, PAS DANS MON CUL ! ».


Mais trop tard, une colonne énorme s’était enfoncé dans mon petit trou avec violence, et s’agitait d’avant en arrière. Mon cul s’est soulevé 4 ou 5 fois et j’ai crié également 4 ou 5 fois de douleur, à chaque fois que son gros gland s’enfonçait dans ma rondelle, et il a explosé au fond de mon trou ! Il est resté un moment au fond de moi, et a commencé à rire quand il a vu que je tortillais du cul pour essayer de m’enlever sa grosse bite de mes entrailles. Il m’a maintenu solidement par les hanches et a sorti doucement, très doucement sa bite de mon cul, et il s’est amusé à s’enfoncer en moi et à ressortir juste au niveau du gland, là où ça me faisait gémir de douleur à chaque fois. J’avais la queue d’Eddy le black dans la bouche, et je faisais « MMMMM ! » de douleur à chaque fois que le gland entrait et sortait. Et d’un coup, « AAAAhhh ! QUELLE BONNE SALOPE ! », Eddy a tout lâché dans ma bouche. Je ne sentais plus rien, et j’avais du sperme plein le cul et plein la figure et la bouche !!!

Puis ils se sont retirés tout les deux. « Alors ma p’tite salope, t’as aimé ? Qu’est-ce que tu penses de tes gardiens ?
- Mmmm, en tout cas j’adore vos grosses bites !

Je me suis relevée, j’avais ma mouille et du sperme qui me coulait sur les cuisses. Je leur ai dit : « j’ai un fantasme, c’est de me faire insulter quand on me baise. En fait, j’aimerais être traitée comme une pute ». J’ai vu leur regard briller tout d’un coup. Je parierais presque que leurs queues se soient redressées….

Ahmed m’a alors flanqué une bonne frappe sur les fesses en me disant « t’es une pute ? Et ben moi je vais te traiter comme une pute ! Allez ma salope, écarte tes cuisses et penche-toi en avant ! ». Ce que j’ai fait. Il m’a introduit ses doigts dans ma chatte et m’a fouillée. Eddy me maintenait penchée en avant, en appuyant sur mon dos. Ahmed me faisait presque un fist dans la chatte, j’avais ses 4 doigts enfoncés, et je sentais son pouce qui essayait de se frayer un chemin.
Je mouillais comme une folle, jamais personne ne m’avait fait ça avant.

« Tu vas être un garage à bites ce soir, hein ma salope ?! T’aimes ça, avoir quelque chose dans le cul ma pute, et ben tu vas pas être déçue ! Ce qu’on fait avec une pute dans ton genre, on la baise comme on baiserait personne d’autre ! Aaaah, tu bouges ton cul, t’es vraiment une chienne ! Allez, avance, chienne ! ».

Il a gardé ses doigts dans ma chatte et a avancé son bras. J’ai voulu me relever, mais c’est Eddy qui m’a mis des claques sur le cul. « JE TIENS PAR LA CHATTE, ESPECE DE CHIENNE ! Reste penchée en avant et avance ! ». Il me soulevait presque par la chatte. J’ai été obligée d’avancer comme ça, penchée en avant et pratiquement sur la pointe des pieds tellement il me soulevait. J’étais excitée comme jamais. Ils m’ont emmenée jusqu’à l’accueil comme ça. « Tenez les gars, on vous amène une pute ! Elle aime la bite, ça j’vous le garantis !!! C’est même une putain de salope ! ».

Disant ça, un des gars qu’on venait de rejoindre s’est défait le pantalon et m’a fourré sa bite dans la bouche aussitôt : « suce-moi bien la bite ma salope ». Et le 2e qui était en bas a commencé à me lécher la chatte. Ahmed et Eddy se sont mis de chaque côté, et m’ont pris chacun une main, je devais les branler en même temps.

Ils sont tous passés dans ma chatte, dans ma bouche, dans mes mains, et dans mon cul ! Je me suis allongée sur un des mecs, qui m’a enfoncé sa longue bite dans ma chatte, et je ne sais plus lequel est venu s’empaler dans mon petit trou. J’ai jouis comme une pute, d’avoir 2 queues qui remuaient au fond de mes trous ! Ca faisait des bruits de succion, à force d’avoir du foutre plein le cul et plein la chatte ! J’ai vraiment servi de garage à bites, ce soir, et je suis restée jusqu'à presque 11 heures du soir !

J’ai promis qu’on recommencerait….



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