Je Ne M'Y Attendais Pas

Montréal. Québec, Canada

Bonjour, amies lectrices et amis lecteurs

Parfois, la vie nous offre des cadeaux. Il suffit de les voir et de les saisir. Voici un de ces cadeaux.

Deux semaines avant cet événement, je me suis blessé à la main en travaillant le bois. Sans être grave, la coupure était large et profonde, elle a requis cinq points de souture. Je me présente donc chez mon médecin pour retirer les fils et m’assurer que tout guérit bien. Je donne mon nom à la réception et m’assoie dans la salle d’attente. Croyez-moi, elle porte bien son nom…

Il n’y a que sept ou huit personnes, ça ne devrait pas être trop long. Je sors un livre et commence à lire. Attendre… attendre… encore attendre… ça fais une heure que je suis là, il n’y a qu’une personne qui est passée…

Ma voisine semble vraiment impatiente, elle se lève, marche, tourne en rond, puis revient s’asseoir en soupirant. Je baisse mon livre et lui dis :
- C’est long…
- Ça n’a pas de bon sens comment c’est long.

Nous avons engagé la discussion autour du très mauvais service de la clinique. Puis nous avons parler de la raison chez le médecin. Je lui montre ma main enveloppée dans les gaz et lui raconte mon accident avec le ciseau à bois. Elle me raconte qu’elle vient pour les résultats de tests antérieurs, elle vie une fatigue chronique, le doc pense qu’elle fait du diabète ou quelque chose du genre. La conversion était lancée.

C’était une belle fille aux cheveux noirs. Nancy avait des trais délicats, elle était à peu près de la même grandeur que moi. Légèrement plus ronde que les critères de beauté actuels, mais elle dégageait un charme à tout casser.. Elle était très bien proportionnée, une poitrine généreuse, des hanches qui rebondissent à la chute des reins, un cul rond et bien moelleux. Ses yeux noisette brillaient illuminant son visage. Ses cheveux noirs coupés au menton laissaient voir son cou et ses épaules nues malgré l’automne.



Attendre… Attendre… toujours attendre…

Je ne sais pas combien de temps ça faisait que nous parlions, mais trois personnes de plus avaient vu médecin. Nous continuons à discuter, rapidement une atmosphère détendue s’était installée entre nous

« M. Un tel, salle 3 »…. Sixième personne à passer depuis le matin, avant moi il ne reste plus que Nancy. Ca devait bien faire plus de cinq heures que nous étions assis dans la salle d’attente. l’heure du lunch était passée depuis long temps, je mourrais de faim, mais je me suis surpris à espérer que le doc n’appelle pas Nancy tout de suite, sa compagnie me plaisait.. Je ne sais pas si c’est par sa personnalité, son sourire, son rire, ses yeux ou quoi d’autre mais j’étais complètement séduit.

« Nancy B. salle 1 » elle se lève prends son sac, me dit bonne journée et s’en va dans la salle d’examen.

Crisse !! , j’ai pas eu le temps de lui demander son numéros de téléphone. Je ressors mon livre en bougonnant contre moi-même.

Attendre, encore … il me semble que c’est encore plus long seul. Enfin mon tour vient, avant que Nancy ne soit ressortie, crisse ! le doc examine ma main, tout est beau. Il retire mes points et je repars. À ma sortie du cabinet, elle était la.

« t’es pas partie ?»
« Non, je voulais savoir si tu avais le goût d’aller manger »

Devinez ma réponse…

On se trouve un resto, pour avaler une bouchée. L’atmosphère est légère entre nous. On mange en bavardant de tout et de rien. Souvent mes yeux quittaient les siens pour lorgner sa poitrine généreuse. Serrés dans son top tube, ses seins présentaient une craque des plus attrayante. Pour la première fois, je remarque qu’elle avait une barrebell (petit bijou qui traverse la langue, les extrémités sont de petites billes ). D’une manière imperceptible, je me rapproche de Nancy tout au long du repas, ainsi, sans brusqué les choses, nos têtes se retrouvent à moins de dix pouces.
Discrètement je respire son cou, elle sent bon. Son parfum légèrement sucré a une odeur de fleurs sauvages. Je m’enivre de cette douce odeur.

Tournant une mèche de cheveux nonchalamment entre ses doigts, elle me propose de finir la soirée en boîte. Sa proposition semble innocente, mais son regard est plein de promesses. Vu qu’il est encore trop tôt pour sortir, nous passons chez elle pour prendre un premier verre. Arrivée dans son appartement, elle met de la musique latine. On commence à danser au milieu du salon. Rapidement une chaleur nous envahie. Nos corps s’harmonisent instantanément. Au rythme de la salsa et du meringué, ils se collent, se décollent, se frottent et se caressent. Partie comme s’est là, la piste de danse sera terriblement chaude ce soir.

La sueur perle et colle nos vêtements à la peau. Cela me donne un coup d’œil imprenable sur les courbes de Nancy, moulés par la chaleur, son top dessine ses seins dont les mamelons pointent sous le tissu. Elle roule le bas de son top, jusqu’à la limite de sa poitrine. Elle est vraiment sexy, elle commence à m’exciter. Sa taille creuse légèrement avant la courbe des hanches. De petites gouttelettes coulent le long de cette courbe qui me fait fantasmer. On continue à danser, toujours un peu plus langoureusement, une tension sexuelle s’établit entre nous deux. Je la désir de plus en plus, et devienne que c’est réciproque. 22 :00, c’est presque l’heure de partir pour aller en boite.

« Je suis trempée, je ne peux pas sortir de même. Je prends une douche rapide et on y va? »

« pas de problème, prends ton temps on n’est pas pressé »

Elle, dans la douche, moi dans le salon. Je tourne en rond, jonglant avec l’idée d’aller l’y rejoindre. Après tout, le dénouement final de la soirée ne fait aucun doute. Aussi bien en profiter tout de suite. J’en fais ma décision,

En tournant dans le corridor pour me rendre à la douche je vois son linge sur le sol.
Ou bien j’hallucinais et voyais bien ce que je voulais voir. Ou bien Nancy m’envoyait un message très clair. Ses vêtements formaient une flèche imprécise vers la salle de bain. Au diable les devinettes, j’entre doucement dans la salle de bain.

Elle me faisait dos, et ne me voyais pas. Elle n’était pas en train de se laver. Debout, Le front appuyé contre le mur de la douche, les jambes écartées, elle se caressait sous l’eau chaude. En silence je l’observe, son bassin ondule au rythme de ses caresses comme si elle faisait l’amour. La scène est d’une sensualité incroyable. Nancy s’abandonne à ses plaisirs solitaires sans se rendre compte de ma présence, j’entends ses petits gémissements étouffés par le bruit de l’eau qui coule.

Le plus discrètement possible, je me déshabille. J’entre dans la douche. Sans avertissement ni aucune parole, je glisse mon sexe tendu comme un canon sous son cul pour venir le poser contre l’entrée du sien.

« enfin, te voilà »

dit-elle. Dans un soupir de plaisir. Pour ne pas la faire attendre plus longtemps, je la remplie d’un seul coup. Avançant d’un pas, elle me fais sortir, et d’une main guide mon sexe sur son clito. Je me sers de mon sexe pour la caresser. Nancy se masturbe maintenant avec mon pénis. Parfois roulant le gland conte son clito, parfois l’introduisant à l’entrée de son intimité. Je passe mon bras autour de son corps, et ma main va rejoindre la sienne sur son sexe. Nos doigts et mon sexe jouent en elle simultanément.

De l’autre main, je parcours son corps pour remonter sur ses seins. Je cherche son cou de ma bouche, lorsque je le trouve, je le mordille avec passion. Sous mes assauts, elle se cabre de plaisir. Aucune vision n’est plus sexy, qu’une femme prise par derrière dont la croupe fait une courbe de plaisir. Mes deux mains viennent se poser sur cette croupe et je la prends maintenant à grands coups. Nancy délaisse son sexe et pose ses mains contre le mur pour avoir un meilleur appuie et mieux profiter du sexe qui la dévore.
Elle lâche un long râle de plaisir qui monte en intensité comme un grondement de tonnerre. Elle pousse ses hanches en arrière me faisant glisser au plus loin de son intimité. Elle se laisse aller dans un long et puissant orgasme. Je ne bouge plus, mais pousse vers elle pour maintenir la pression sur son plaisir. Tous ses muscles se sont contracté avant de se détendre en libérant une chaleur intense dans tout son corps.

Nancy peine à respirer tant sa jouissance est grande. Je reprends mes caresses sur tout son corps. Je masse ses seins, ses fesses, son dos et son sexe. mes cuisses contre les siennes, je recommence à bouger en elle. Je savoure son plaisir tandis que je la possède. Je continue à lui faire l’amour à alternant les rythme et les caresses de toutes sortes poussant Nancy à d’autres explosions de plaisir. L’eau de la douche n’est plus chaude, le réservoir doit être vide.

« Y fais trop froid viens, on va finir dans mon lit »

Sans même se sécher, on saute dans le lit, je me place pour la prendre en missionnaire. J’entre en elle avec vigueur. Je soulève ses jambes et les accote contre mes épaules. Je la prends à grande vitesse. Je maintiens ses mains derrière sa nuque pendant que je la pénètre. Les parois de son sexe se resserrent autour de mon membre. Nancy jouie profondément. La voyant ainsi comblée, combiné au rythme avec le quel nous faisions l’amour, j’étais au bord de l’explosion. Mais avant que je puisse jouir, moi aussi, ses jambes se sont enroulées sur mon torse et mon repoussé.


« attends, j’en peux plus. »

Après cet ultime orgasme, Nancy se dégage de mon sexe et me fait coucher sur le dos. À genou devant moi, elle joue avec mon pieu. Elle fait des aller retours rapides d’une main et masse mes couilles de l’autre. Elle me gobe d’une seule bouchée. Ses lèvres se serrent sur mon sexe. Elle chatouille mon gland de sa langue, la barbelle est d’un agréable sensation. Sans me donner aucun répit, elle commence une incroyable bonne fellation. Utilisant ses deux mains, sa langue, ses lèvres et ses joues, Nancy me suce et me caresse. Sur-excité comme je l’étais, ça lui a pris moins d’une minute à m’amener au point de non retour. Comme si elle a deviné, dans une dernière descente, Nancy avale mon pénis jusqu’à la garde. Serrant la base avec les doigts et la bouche, elle remonte doucement savourant mon sperme qui se déverse dans sa bouche.

Presque six heures d’attente pour dix minutes de rencontre avec le doc, dans le fond ça valait la peine.

Voilà chers amis, je vous rencontrai bientôt d’autres histoires d’ici là envoyez-moi vos commentaire, j’adore vous lire.

Polichinel







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