Professeur Marilyne - 5

Un dimanche matin, elle se prélassait, allongée sur son canapé. Simplement vêtue d'une courte nuisette en satin crème, elle se remémorait voir Marc flirter avec une élève de la classe. Elle se rappelait aussi la bouffée de jalousie l'embraser. Cette dernière disparut dès qu'elle sentit sa main sur sa joue. Elle n'avait pu lui interdire de venir chez elle, mais elle lui avait fait promettre de prendre toutes les mesures de discrétions possibles, pour ne pas être vu. Il venait de sortir de la douche et il sentait bon ! Elle baisa sa main et le respira à plein nez. Elle s'étira de tout son long et ses mains touchèrent son ventre en béton. Elle bascula la tête en arrière et le contempla.
« Que tu es beau ! »
Minauda-t-elle. Elle fit tomber la serviette, qu'il avait nouée autour de sa taille, et apprécia son sexe qui commençait à se raidir. Elle le prit en main et l'attira à sa bouche. Ne pouvant pas vraiment bougé dans cette position, il imprima le mouvement et elle l’accueillit avec des « hum » de gourmandise. Elle se cambra pour pouvoir le prendre le plus profondément possible et cette position était extra pour ça ! Elle l'appréciait beaucoup. Il pouvait lui pénétrer la gorge au plus profond, Il pouvait lui prendre les seins à pleines mains et son entre-jambe lui était accessible aussi. De plus, elle aimait le contact de ses bourses contre son nez et ses pommettes. Elle adorait son odeur et son goût. Elle sentit son excitation monter en l'entendant haleter et grogner de plaisir. Elle l'encouragea à accélérer en lui prenant ses puissantes fesses à pleines mains. Il restant de longues secondes au fond de sa gorge et ressortit complètement pour qu'elle puisse reprendre son souffle. Dès qu'elle rouvrait grand la bouche, il y plongeait vigoureusement. Elle aimait quand il l'a brusquait un peu. Alors, quand il lui prit fermement les seins et lui pinça les tétons, au travers de sa nuisette, elle prit son pied. Il était le premier à la faire monter aussi haut en lui pénétrant la bouche.

Mon dieu c'était si bon de se faire prendre par lui ! Elle lui lécha la verge du bout du gland jusqu'aux bourses. Elle plongeait son visage entre elles et savourait son odeur intime. Il lui amena son gland devant la bouche et elle la lui offrit. Proche de l'orgasme, il se déchaîna. Elle posa ses mains sur ses hanches et le laissa lui violenter la bouche et exploser au fond de sa gorge. Il resta en elle jusqu'à la dernière giclée puis il se retira. Elle reprit son souffle en s'essuyant le coins des lèvres et le menton. Elle avala son sperme avec plaisir. Il n'y avait rien en lui qu'elle n'aimait pas.
« Hum. Merci mademoiselle Bernard. »
Il ne l'appelait que de la sorte, et ça la rendait folle d'excitation. Il commençait à remettre sa serviette et elle la lui arracha. Il resta nu face à elle, les mains sur les hanches et elle le dévora des yeux. Le téléphone sonna et elle due, à regret, aller y répondre. Lorsqu'elle revint dans le séjour, il était allongé sur le canapé dans le plus simple appareil, les rayons du soleil caressant son corps. Elle s'approcha et s'allongea contre lui, reposant sa joue sur sa large poitrine. Il l'entoura de ses bras et commença à lui caresser les cheveux et lui masser délicatement le crâne. Elle se laissa aller tout contre lui et tomba rapidement dans un profond sommeil. Lui-même se laissa à somnoler un peu. Lorsqu'il se réveilla, il remonta délicatement le bas de la nuisette et laissa le soleil lui chauffer un peu la peau. Il commença alors à lui effleurer délicatement les fesses et elle, encore endormie, émit quelques petits gémissements. Inconsciemment, elle écarta ses jambes et il put, progressivement, être plus entreprenant dans ses caresses. Son corps commençait à réagir langoureusement et elle Bougeait lentement ses fesses et son bassin. Ses gémissements se firent plus fréquents et il la sentit commencer lentement à s’éveiller. Avec habileté, il la garda dans un état de torpeur profonde, tout en continuant ses caresses.
Elle crut qu'elle rêvait. Elle se laissait baigner dans ses délicieuses sensations. Avec souplesse et délicatesse, il plaça sa verge en érection et la pénétra lentement. Son corps tout entier et son esprit s'éveillèrent avec cette décharge exquise. Elle releva la tête, cambra son dos, ouvrit grand les yeux et inspira profondément. Alors qu'il imprimait son premier ample va-et-vient, elle s'esclaffant de plaisir. Il lui saisit les cheveux à la base du crâne et les tira en arrière alors qu'il accélérait la cadence.
« Oh mon dieu ! »
Gémit-elle en s'agrippant à sa puissante poitrine. Il la maintenait fermement contre lui, son bras entourant entièrement sa taille fine. Elle avait écarté ses jambes pour qu'il puisse la pénétrer le plus profondément possible. A chaque pénétration, il venait heurter violemment son clitoris, ce qui lui déclenchait de véritables chocs électriques dans tout son corps. La sensation de ses bourses qui lui frappaient les fesses l'excitait également. Son bras, maintenant fermement sa taille, lui donnait l'impression d'être à la fois emprisonnée et en totale sécurité. Elle adorait ces sensations paradoxales. Elle sentait qu'il mettait en œuvre tous ses muscles pour la prendre virilement. La pointe de ses seins frottait contre le satin de sa nuisette et son torse musclé. Ses fesses claquaient contre ses cuisses et, autant la sensation que le son, la surexcita. Elle commença à contracter son vagin et il dû forcer encore plus pour la pénétrer. Elle fut aux anges de l’entendre s'employer pour la prendre si fort. Elle sentait son sexe la forer littéralement. Il était tellement endurant qu'il put reprendre un rythme effréné. Elle sentit son cœur battre fort sous ses mains, son corps se couvrit de sueur et son visage grimacer sous l'effort.
‘Tout ça pour moi !’
Pensa-t-elle, ravie.
C'est alors qu'il abattit ses deux mains sur ses fesses en une fessée retentissante. Elle cria de surprise et le regarda droit dans les yeux, son visage exprimant son ravissement.
Il les agrippa fermement et leur imprima de violents mouvements opposés à ses pénétrations. Ses fesses montèrent et descendirent amplement, venant percuter ses cuisses avec force et sonorité.
« Oh oui ! Là ! Comme ça ! Hoooo ! »
L'encouragea-t-elle. Il gardait une cadence infernale pendant un temps qui lui sembla une éternité et lorsqu'il ralentit, elle était enivrée, comme saoul. Sa tête lui tournait, elle avait des fourmis au bout des doigts et à son entre-jambe. Ses jambes tremblaient sans qu'elle puisse les contrôler. Son sexe avait des spasmes près-orgasmiques et elle était hors d'haleine. Elle reposait sa tête sur sa poitrine et entendait son cœur battre à tout rompe. Sa poitrine s'élevait et s'abaissait au rythme de sa respiration saccadée. Elle sentait sa verge encore vibrante en elle et elle joua en contractant son vagin autour en bougeant le bassin. Il lui répondit en se contractant à son tour en elle. Ils jouèrent quelques temps en gloussant. Elle lui baisait sa peau ruisselante de sueur. Même le goût de sa sueur salée ne lui était pas désagréable. Elle aussi était en nage. Elle le caressa lascivement avec l’intérieur de ses cuisses moites. Il lui remonta sa nuisette et elle l'aida à s'en débarrasser. Elle ondulait maintenant tout son corps contre le sien, faisant glisser chaque centimètre carré de peau contre la sienne. Leurs odeurs intimes se mêlèrent et les excitèrent. Alors qu'il s'était un peu relâché, elle le sentit se raidir à nouveau en elle.
« Oh ! Bonjour Monsieur Perchot ! »
Dit-elle toute émoustillée. Tout en restant en elle il l'a la retourna sur le dos. Elle enserra ses jambes autour de sa taille et l'attira tout contre elle. Il s'activa à nouveau avec d'amples et lents va-et-vient. La sensation de leurs corps frottant l'un contre l'autre, ajouté au plaisir de le sentir la prendre voluptueusement, la fit chavirer.
« Oh ! Oui ! Prend-moi fort ! Tu me rends folle ! C'est si bon ! »
Parvint-elle à lui dire.
Elle était à vif. Chacun de ses mouvements en elle, chaque baiser, chaque caresse, chaque friction de peau la transporta jusqu'à l'extase. Une vague d'émotion lui remonta dans la gorge et elle ne put retenir ses larmes. Elle commença à sangloter et il s'arrêta. Elle l’incitât silencieusement à continuer et elle pleura à chaudes larmes pendant qu'il la prenait intensément. Il la couvrit de baiser alors qu'il plongeait en elle avec passion. Elle explosa et fut secouée par de violents hoquets. Lorsqu'il la sentit se rasséréner, il se redressa sur ses mains et joua un peu. Il ressortit entièrement son sexe et titillait son entrée avec son gland. Elle gémit, soupira et, n'y restant pas, elle lui plaqua les mains sur ses fesses et les tira à elle pour qu'il la pénètre à nouveau. Il y retourna avec plaisir et la pénétra lentement avec toute sa longueur. Marilyne posa alors ses mains sur ses épaules et fut transporté par la suavité de ses pénétrations. Elle bougea son bassin en rythme et le contemplant au-dessus d'elle, tous ses muscles saillants sous l'effort.
« Oh que tu es fort mon bel étalon ! »
Lui chuchota-t-elle.
« Tu es si beau ! Haaa ! Si puissant ! Oh mon dieu Ouiiii ! »
Il continua quelque temps puis se redressa en s'agenouillant. Elle haussa son bassin pour que son pubis reste au contact avec le sien et il glissa un coussin sous ses fesses pour qu'elle puisse reposer dessus. Il lui saisit la taille et commença à accélérer le rythme. Elle renversa la tête en gémissant de plaisir et lui agrippa les poignets pour se maintenir fermement. Il la percutait violemment à chaque pénétration et les sons, autant que les chocs, l'embrasa à nouveau. Il la saillait avec une telle fougue, son corps tellement secoué que ses seins furent douloureusement ballottés en tous sens. Elle dû les retenir d'un bras et elle le regarda d'un air mêlant extase et surprise. Comment pouvait-il la malmener ainsi et lui faire tant de bien ! Les larmes lui remontèrent aux yeux. Une nouvelle fois elle fut terrassée par un orgasme puissant et profond et il continuait encore et encore.
« Mon dieu ! Tu es une véritable machine ! Comment fais-tu ? »
Lui demanda-t-elle incrédule. Alors il passa ses bras sous se cuisses et lui referma ses jambes, lui faisant reposer les mollets sur une épaule. Il plaqua ses cuisses contre son torse, en les enserrant de ses bras puissants. Son vagin se pressa d'avantage autour de sa verge brûlante et l'effet la fit monter encore d'un cran. Elle ouvrit de grands yeux et le supplia d'arrêter, s'en était trop. Elle bascula la tête en arrière, cambra son dos et agrippa le canapé comme elle le put lorsqu'il libéra toute son énergie. Elle fut balayée par cette vague voluptueuse. Noyés dans ses exclamations, ces supplications n'eurent aucun effet. Il la prenait si fort ! Il la prenait si bien ! Son esprit commençait à divaguer. Elle explosa encore une fois. Elle crut qu'elle allait tourner de l’œil. Elle hyper ventila et cherchât désespéramment de l'air. Elle tournait la tête à droit, à gauche, la bouche grande ouverte incapable de reprendre sa respiration. Son regard était complètement paniqué, incapable de se fixer. Il se retira et la guida par la voix pour qu'elle retrouve son calme et qu'elle réussisse à retrouver sa respiration et ralentir les battements de son cœur. Lorsqu'elle y parvient, après quelques longues secondes de panique, elle se prit le visage dans ses mains. Elle soupira et s'esclaffa à de nombreuses reprises.
« Oh mon dieu Marc ! Qu'est-ce-que tu m'as fait ! Houuu ! Ho là là ! Ouuuff ! »
Il gloussa et elle le regarda d'un air faussement réprobateur. Il éclata de rire.
« C'est pas drôle ! »
Lui dit-elle d'une voix minaude.
« J'ai cru mourir ! »
Exagéra-t-elle à moitié. Il s'approcha pour lui faire un baiser mais elle le retint et lui frappa l'épaule de son petit poing. Il rit de plus belle et ils commencèrent à se chamailler gentiment. La bagarre ne dura pas, tant elle était épuisée et lui bien plus fort qu'elle. Ils restèrent allongés l'un contre l'autre, les jambes enlacées pendant un long moment jusqu'à ce que la faim les étreigne. A regret, elle se leva pour aller se laver alors qu'il alla dans la cuisine réparer un délicieux snack. Il passa rapidement à la douche, après elle, et ils dévorèrent leur déjeuner. Marc la quitta dans l'après-midi car elle avait travail…

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