Offerte En Forêt

Mon maître m'a promis pour ce soir une expérience inédite et très sensorielle. Il m'a donné rendez-vous à 21 h 30 dans un hôtel, à une centaine de km de chez moi.

Me préparer comme il me l'a demandé m'excite déjà : épilation totale, lavement...quand je boucle mon collier de chien autour de mon cou, mon seul vêtement à part un manteau, j'ai déjà le ventre qui bouillonne. Je n'oublie pas le gode qu'il m'a demandé d'apporter.

Arrivée sur le parking de l'hôtel, je suis surprise qu'il me fasse monter dans sa voiture, je pensais qu'il avait réservé une chambre. Après m'avoir embrassée, il ouvre mon manteau et vérifie des doigts que même ma raie des fesses est parfaitement lisse. Ses doigts ressortent de ma chatte tous mouillés, il me les fais lécher en remarquant que je suis toujours aussi salope, prête à me faire enfiler.

Il sort un loup et me bande les yeux, avant de redémarrer. Tel que je le connais, je sais donc que je ne saurais jamais où il m'emmène, et mon excitation monte d'un degré.

Après un moment, je n'ai plus de repères ni visuels ni temporels. Au bruit des roues, je comprends que la voiture s'est engagée dans un chemin où elle roule quelques centaines de mètres, avant que mon maître coupe le moteur.

Il me fait descendre, et je déduis, au bruits d'animaux et de vent dans les feuillages que nous sommes dans un bois ou une forêt.

Il m'enlève le manteau et me fais faire quelque pas , la luminosité qui traverse le loup me fais deviner qu'il a laissé les pleins phares de la voiture pour éclairer mon corps seulement vêtu de mon collier.

Il me fais mettre à genoux, jambes très écartées et m'ordonne de ne plus bouger. J'entends qu'il tape sur quelque chose, autour de moi, et quand je sens qu'il m'attache les poignets et les chevilles, je suppose qu'il a fiché quatre piquets en terre pour me maintenir à disposition.

Je l'entends repartir vers la voiture, et quand il revient, il m'enfile le gode d'un coup dans la chatte et le ressort lubrifié pour me l'enfoncer doucement mais complètement dans le cul.

Par réflexe, je me suis cambrée.

- tu fais une magnifique putain comme ça ! J'entends des déclics d'appareil photo, puis plus rien ne se passe.
Je reste ainsi un moment qui me paraît une éternité, vulnérable, cul dilaté, avec une envie d'être baisée à son paroxysme.

J'entends d'autres voitures arriver, des portières claquer, des voix d'hommes.
Je reçois une grande claque sur le cul, et sans même une caresse, mon visage est relevé et un gland s'engouffre dans ma bouche.

- allez ma pute, montre leur que je possède un bon garage à bites!

Le gode toujours en place, l'un d'entre eux vient de m'empaler la chatte en y enfonçant son membre d'un coup jusqu'à la garde, et j'attendais tellement ça que je jouis aussitôt. Les gars en sont encore plus excités, et je me prends des coups de boutoir des deux cotés, plus le gode qui est maintenu enfoncé par le torse de l'homme qui me baise. Les coups s'accélèrent, et bientôt mes hanches et ma tête sont maintenues fermement immobiles pour recevoir en même temps les semences.

J'avale le nectar pendant que le membre commençant à mollir sort de ma bouche, aussitôt remplacé par un autre.

Puis je sens que le gode est retiré, mais avant qu'il ai pu se refermer, mon anus reçois un gros sexe qui me dilate encore plus. Je ne peux rien dire, la bouche occupée à pomper goulûment, mais la façon dont j'envoie mon cul vers l'arrière pour être bourrée plus encore montre à quel point j'apprécie. Autour de moi, les commentaires portent sur ma gourmandise et les intentions de la satisfaire.

J'ignore combien ils sont mais chaque fois que l'un d'eux décharge en moi, il est aussitôt remplacé. Mon maître sachant à quel point j'aime la pénétration anale, il veille à ce que le gode soit remis en place dans mon cul chaque fois que l'un d'entre eux préfère prendre la voie habituelle. Je finis par ne plus savoir combien de fois mes orifices sont visités, je ne ressent plus que cette jouissance d'être emplie, et des orgasmes multiples.


Fatigués, je les entends remonter en voiture et repartir. C'est seulement quand nous sommes de nouveau seuls que mon maître me détache et me fais remettre debout. Quand je redescend de mes vertiges sensoriels, j'ai mal aux genoux et aux poignets, je suis endolorie de tous les membres, des lèvres aussi. Mon maître me remet mon manteau, me fait boire de l'eau et me ramène à l'hôtel.

Il m'enlève enfin le loup et me confirme qu'une chambre nous attend. Il sait que je ne suis pas en état de reprendre la route. Il a une autre raison aussi pour ne pas me lacher comme ça. Après une douche bienvenue, je le trouve nu allongé sur le lit, bandé comme un arc. Me voir baisée ainsi comme la dernière des putains l'excite toujours au plus haut point, et cette fois, c'est dans la douceur et la tendresse qu'il me fait longuement l'amour.

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