Un Jeu À Bayonne 3

Suite Suite( et fin?) de le la série de Gages pour Camille, à Bayonne

Camille me regarda avec des yeux gourmands, dans l’attente de son dernier gage. Le repas touchait à sa fin, elle se demandait à quelle sauce j’allai la dévorer.
Pour commencer, e avant daller régler la note, je lui rappelait de mettre le shorty de la serveuse.
Je lui intimait l’ordre de se dépêcher pour l’ajuster sur son petit cul. Elle le prit sur la table...-Attend, ca serait dommage de ne pas sentir la mouille de ta nouvelle conquête… Lèche le un peu, avant de le mettre.
Elle le porta à sa bouche, le cachant du mieux qu’elle pouvait entre ses doigts, y déposant de petits bisous.
- Non, je t’ai dit de le lécher, je veux voit ta langue se promener sur le fond de sa culotte. Allez, vite, on n’a pas que ça a faire. Le dernier gage t’attend. Et plus tu tarderas, plus il sera vicieux…
Comprenant le risque, elle e mit a lécher consciencieusement le bout de tissus, s’imprégnant de l’odeur et du goût de la serveuse. Je crois qu’elle y prenant goût, retrouvant les saveurs de la chatte qu’elle avait en bouche il y a quelques minutes à peine. Puis, je l’autorisais a mettre la culotte. La voir se tordre dans tous les sens, se baissant pour passer les pieds, puis remonter le shorty le long de ses jambes, pour enfin relever ses fesses des la chaise pour l’ajuster fut un délice. Surtout que tous ces mouvement entraînaient les boules qui bougeaient en elle, la faisant mouiller de plus belle.
Je décidait de laisser le string de Camille sur la table, sous la serviette, la serveuse méritait bien un petit pourboire. Je laissat également le numéro de tel de Camille, au cas ou.. on ne sait jamais.
En sortant de la terrasse, je décidait que nous allions marcher un peu, avant de retrouver la voiture.
Aprs avoir fait quelques pas, je me retournait, et vu notre serveuse mettre la culotte dans une de ses poches, un grand sourire aux levres…

Pour que mon 5eme gage se mette en en place, je devait simplement trouver le lieux idéal…
Le centre ville était relativement désertée, à part quelques couples de touristes, comme nous, 2 ou 3 solitaires et 1 groupe de jeunes assez bruyant, rien qui ne devait m’empêcher de jouer une dernière fois ce soir.

Je marchais assez vite, sur les pavées de Bayonne. Les boules de geishas, enfoncées dans le minou de Camille, bougeaient dans tous les sens, sous l’effet de la vitesse, et de la difficulté pour Camille de marcher avec ses talons. Elle devait sans arrêt changer de rythme, la longueur de ses pas pour suivre mon rythme, et les 2 diablesses en profitaient a cœur joie. Sans compter sur le plug, bien enfoncé dans son petit trou, qui venait taper a chaque pas les boules… elle haletait, elle transirait, et je la sentait capable de jouir à chaque pas. Elle me serrait la main un peu plus fort, de peur de lâcher prise… ses cuisses étaient luisantes de mouille, ses tétons pointaient avec force sur le tissus, ses seins le ballottaient à chaque pas, parfois, un des deux, ou même les deux sortaient. Elle les remettait rapidement, ce qui avait immanquablement une incidence sur l’action des boules dans sa chatte….
Rapidement, je trouvais l’endroit idéal. Devant une petite église, il y avait un mini parc, fait de quelques arbres assez bas, comme un bosquet, qui pourrait relativement, mais c’était voulu nous cacher. Nous etions de plus assez proche du parking ou était garé notre voiture.
-Alors, ma chérie, voici ton dernier gage. D’abord, tu vas retirer ta jupe, la culotte et déboutonner entièrement ton chemisier, je veux voir tes jolis seins que tu caches à peine de puis tout à l’heure.
Elle ôtât sa jupe rapidement et défis les 2 boutons qui restaient encore accrochés. J’adore ses seins, encore ferme, en forme de poire, surtout quant ses tétons sont particulièrement excités, comme ce soir.
Je m’assis sur un petit muret, l’attira contre moi, et je l’embrassait a pleine bouche, ma langue contra la sienne. Je sais qu’elle adore quant ma langue rentre profondément dans sa bouche, tourne autour de sa langue, dans un ballet endiablé. Mes mains trouvent rapidement le chemin de ses fesses, et commencent a jouer avec le plug. Celui ci est bien installé au chaud, mais, petit à petit, je réussi à le déloger, le retirer presque entièrement, avant de le pousser a nouveau au fond de son ventre, et ce plusieurs fois de suite.
Quant il est bien au fond, je le bouge d’avant en arrière, pour toucher la boules, et exciter encore plus ma compagne. Mais je ne veux surtout pas la faire jouir de suite, je veux qu’elle reste dans cet état d’excitation permanent, au bord de l’orgasme… Au bout de quelques minutes, et sentant que Camille va bientôt succomber à mes traitement, je relâche mon étreinte. J’avais une folle envie de sa bouche, là, maintenant.
- Suce moi, pend ma queue dans ta bouche, tu m’as excité toute la soirée, tu me dois bien ça. Elle s’accroupit devant moi, défis ma ceinture, les butons de ma braguette et sorti mon sexe, épais, dur, gonflé a souhait. Une petite goutte d’excitation perlait déjà, sa langue vint la chercher, avant de lécher amoureusement mon gland complètement sorti de sa cachette… Sa langue se promena sur la longueur de mon sexe, puis, elle pris mes bourses dans sa bouche, les malaxa doucement, avant de repartir vers la pointe. Elle m’emboucha d’un coup, descendant de plus en plus, sa langue tournant autour de ma queue. La position accroupie n’était pas la plus stable pour elle, cela la forçait a bouger régulièrement et, ainsi, les boules enserrées dans sa chatte, le plug dans son cul pouvaient bouger à l’unisson…
Au bout de quelques minutes, je lui demandait de se caresser les seins, et je pris sa tête entre mes mains pour donner le rythme. Elle ne me suçait plus vraiment, c’est plutôt moi qui baisait sa bouche. Je voyais ses doigts pincer ses tétons, sa tête aller et venir sur ma bite, que j’enfonçais de plus en plus, jusqu’à sentir mes couilles buter sur son menton. Et je reprenais le va et vient. Camille bavait, gémissait de plus en plus fort. Au moins, ou même tout prêt, pas cacher par les arbres, nous entendions les bruits des passant, rendant la situation encore plus excitante. Rapidement, je sentis que je n’allait pas tenir. Mais je ne voulais pas jouir dans sa bouche. Non. Je me retirais.
- Écarte ton chemisier, tend moi tes seins, je veux jouir sur toi.
Elle se pencha un peu en arrière, m’offrit sa poitrine. Ma main faisait son œuvre, et, au bout de quelques allées et venues, mon foutre sorti en plusieurs saccades, retombant entre ses seins, sur les tétons. Je gardait la dernière vague pour son visage. Elle était couverte de foutre. Je lui remis ma queue dans la bouche afin qu’elle prenne les dernières gouttes. Après avoir repris mes esprits, et avoir retiré mon chibre de sa bouche , je le remis dans mon pantalon. Il était l’heure de la dernière partie de son gage. Je pris sa jupe, le shorty lui autorisa de fermer uniquement 1 bouton de son chemisier, et, surtout, de ne pas s’essuyer. Je lui indiqua le chemin pour rejoindre la voiture, au cas ou, et lui demandât de marcher au moins 50 m derrière moi. Le sperme coulait sur sa joue, le chemisier, au niveau de ses seins, devenait translucide. Elle sentait le foutre, la mouille, elle sentait le sexe. Une nouvelle fois, je lui laisse le soins de raconter le retour.
-Ce furent les 500 mètres les plus long de ma vie, mais aussi les plus excitant. Je tachait de garder mon chemisier le plus long possible, il couvrait a peine la moitie de mes fesses. Et tu sais comme j’adore me balader le minous a l’air, sous mes jupes, mais la, sans jupe, whaou, c’est trop excitant. Les boules bougeaient dans tous les sens, le plug m’empêchait de marcher normalement,.. j’ai encore failli jouir plusieurs fois.
Au bout de 10 mn, nous sommes arrivés a la voiture. Heureusement, personne ne nous avait croisé.
Pour le retour a l’hôtel, elle dut poser ses jambes sur le tableau de bord, et jouer avec les boules, les retirer, les remettre…. A ce jeux, elle ne tint pas longtemps, et un tsunami s’emparât de son corps. Elle cria, puis s’écroula sur son siège.
Nous rentrâmes a l’hôtel, heureux. Camille repus d’excitation.
Elle ne se rendis quasiment pas compte que son entrée, quasiment nue, fit son effet auprès du gardien de nuit.
Elle m’avoua, dans l’ascenseur, qu’elle avait adoré la soirée, mais que je ne perdait rien pour attendre….

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