Mon Education Sexuelles A + De 40 Ans

Je m’appelle rose j’ai 43 ans.
Je suis mariée avec un homme qui, pour des raisons professionnelles, se rend à l’étranger par bribes de 2 à 4 mois.
Je suis maman de deux grands s qui vivent en ‘cité U’ depuis cette année. Je me retrouve donc seule la plupart du temps dans notre maison de banlieue. Voilà pour ma situation sociale, quand à mon éducation elle fut assez stricte, on m’a apprit à être une bonne femme d’intérieur puis une bonne épouse et enfin une bonne mère. Je fus tour à tour chacune de ces femmes.
Maintenant je ne suis plus qu’une femme seule attendant je ne sais quoi ?

Je mesure 1.69m je pèse 45kl j’ai les cheveux longs châtain foncé, les yeux vert et un bon 95C de tour de poitrine. Sexuellement, ma vie ne fut pas l’extase et puis je n’étais pas programmée pour ça. De toutes façons, je ne me fais aucune illusion sur la fidélité de mon mari.
Puis récemment un soir je suis tombée sur un film pornographique. Malgré le fait que je ne l’ai pas regardé très longtemps, je fus troublée et je passais une nuit agitée. Une chaleur envahie mon bas ventre, au petit matin je remarquais une curieuse auréole dans ma culotte, cela me fit rougir. Puis quelques jours plus tard le même film fut rediffusé, je le regardais et fut encore cette fois prise de bouffées de chaleur. Ne pouvant détourner les yeux de ce spectacle, presque sans m’en apercevoir, ma main se posa sur mon sexe le caressant à travers ma culotte que je sentais toute humide. Je gémissais de plus en plus, n'y tenant plus j’écartais ma culotte et j’introduisais un doigt dans mon sexe. Je commençais à me masturber regardant cette actrice se faisant culbuter par un homme très grandement membré. Il y avait maintenant 2 de mes doigts qui masturbaient ma chatte qui en voulait plus encore. Mes seins étaient tout durs, avec mon autre main je le saisis et je titillais mon téton en le pinçant.
Je senti mes doigts inondés par une giclée de mouille.

Etant carrément excitée, je saisis sur la table du salon une bougie de la taille d’un beau sexe et je l’enfilais dans ma chatte. Sans ménagement je me masturbais en criant tellement je jouissais. Il me fallut quelques minutes pour récupérer d’une telle jouissance. Puis après, ce sentiment de jouissance intense fut remplacé par la honte d'être sale et perverse, par contre je passais une super nuit.
Par la suite, me masturber devint comme une drogue, il ne se passait plus une seule nuit sans que je me donne du plaisir. Je m’offris donc plusieurs objet toy’s, gode et vibromasseur avec lesquels je passais des nuits torrides. J’allais de plus en plus sur le net chercher de nouvelle sensations fortes car mes besoins étaient de plus en plus grands et je passais beaucoup de temps à satisfaire mon sexe. Il me fallait passer à autre chose. Un soir je décidais de me rendre dans un club libertin de la capitale.
Je m’habillais pour la circonstance d’une paire de bas résille fins noir d’un joli string dentelle noir et d’un soutien gorge assorti. Puis je mis par dessus une robe moulante noire m’arrivant à mi cuisse et possédant deux bretelles nouées sur mes épaules. Mais quand je la mis elle me moulait comme une deuxième peau tant et si bien que mes sous vêtements laissaient des marques disgracieuses, je décidais donc de les enlever.
C’est donc nue sous ma robe que je me rendis dans ce club.
J’étais arrivée depuis environs ½ h quand je fus abordée par un homme.
- salut c’est la première fois que je te vois ici, t’es nouvelle ?
A priori il me prenait pour une des entraîneuses du club.
- oui je suis nouvelle je boirais bien quelques chose.
Il demandais à la barmen une bouteille de champagne et un salon privé. Je le suivis avec une certaine insouciance et une pointe d’appréhension. Nous nous installâmes et après avoir bu une coupe et échangé quelques baisés il dénoua les bretelles de ma robe. Le pan qui recouvrait ma poitrine tomba et laissa apparaître mes seins.
Il les prit à pleines mains et commença à titiller et mordiller mes tétons. Je me contenais mais déjà je gémissais et mouillais. Puis il se redressa, baissa son pantalon. Sa bite était déjà en érection et d’une bonne taille. Il se mit entre mes seins et commença à se masturber entre. Je tenais mes seins serrés pour mieux le branler.
- ho oui comme ça quelle paire de nichons.
Son gland montait de plus en plus haut, je baissais ma bouche en sa direction et saisis son gland entre mes lèvres. Une de ses mains passa derrière ma tête, il rythmait maintenant ma tête avec ses coups de reins.
- oui vas y suce moi bien grosse salope.
Ses insultes me firent mouiller encore plus. Je sentais dans ma bouche son excitation. Puis il me bascula en arrière, il remonta ma robe et me tira les fesses au bord du fauteuil. Il écarta mes cuisses et fourra sa queue dans la chatte d’un énorme coup de reins. Il m’arracha un cri de plaisir.
- tu aimes ça ma salope et bien je vais t’en mettre encore
- ho oui encore
Après m’avoir limé comme ça il m’agenouilla sur le fauteuil et passant debout derrière moi il me prit en levrette.
- comme ça tu en auras encore plus.
Ses coups de reins étaient comme des coups de boutoir, il me défonçait la chatte, son sexe tapait dans le bas de mon ventre, ses couilles sur mes cuisses rebondissaient. Une de ses mains quittait mes hanches sur laquelle elle était agrippée. Je sentis sa main se poser sur mes fesses et son pouce titillait mon anus, puis il pénétra mon cul. Je n’avais plus toutes ma tête il me baisait tellement bien ! Seule sa queue en moi comptait.
- tu aimes ça te faire fourrer comme une pute
- oui oui oui c’est bon je jouis !!!
- ho oui moi aussi
Je sentis le jet en moi, puis il sortit son sexe et le caressa sur ma fente et ma raie. Je sentais son sperme couler entre mes lèvres et mes fesses. Il coulait entre mes fesses sur mon anus son gland caressait mon cul. je sentais que sa queue exercer une pression sur mon anus.

- je vais t’enculer comme une chienne
Et joignant le geste à la parole il pénétra mon cul et y vida ce qu’il lui restait de jus.
- j’adore enculer les petites putes comme toi.
Ce fut une nouvelle sensation qui elle aussi m’arracha du plaisir.
Puis il se rhabilla, jeta quelques choses sur la table et sortit.
Il me fallu quelques minutes pour me ressaisir et constatais qu’il avait jeter quelques billets sur la table.
Il m’avait prise pour une pute.
Je rentrais chez moi épuisée avec le cul endolori mais rassasiée de mes désirs de sexes.










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